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Ou Maison de l’Allemagne à la Cité Universitaire.

Un lecteur nous rappelle opportunément, que point n’est besoin d’être germaniste pour fréquenter la très interessante maison Heinrich Heine. Ses programmes ouverts à tous, sont riches et variés : expositions, livres et lectures, concerts, films, ciné-club, conférences et débats, etc…., le plus souvent gratuits, dans la limite des places disponibles. La Fondation Heinrich Heine se veut un foyer de rencontres internationales et un centre de culture franco-allemande au sein d’une communauté multiculturelle.

Par exemple, le vendredi à 20h30, est consacré au ciné-club : en novembre :

Le 12, Œdipe Roi, de Pier Paolo Pasolini

Le 19,  Pays du silence et de l’obscurité, de Werner Herzog

Le 26, Cités de la Plaine de Robert Kramer

Le 27, Clara de Helma Sanders-Brahms

Ou des films comme La langue ne ment pas de Stan Neumann, en présence du réalisateur, le 29 novembre à 20 heures

Ou les concerts :

20 novembre : Jorge Garcia Herranz – Angel Huidobro, pianos : tangopuntodos

28 novembre, 17h,  Hommage à Robert Schumann

Toute l’information est sur le site de la Fondation à l’adresse  http://www.maison-heinrich-heine.fr/fr/

« Ceux qui brûlent les livres finissent tôt ou tard par brûler les hommes » a écrit Heinrich Heine, l'un des plus grands poètes romantiques allemands du XIXe siècle, qui finira par s’établir à Paris en 1831, «  capitale de la liberté ». Heine y peut s'adonner à la poésie et à la satire tout en menant une vie « de femmes et de vin ». Il y publie 'Contes d'hiver' et 'Rêve au milieu de l'été' puis meurt en 1856, miné par la syphilis.