Une pensée par jour (Frédéric Ozanam) (26 février 2017)
Je n'ai qu'un espoir, mais il est grand. C'est qu'au milieu de la décomposition de la société politique, le christianisme se raffermit.
Si le doute et l'erreur ont rendu malade les sociétés modernes, nous savons que Dieu a fait les nations guérissables.
La loi prononce ce qui doit être, encore qu'elle sache bien quelle triste distance la sépare de ce qui est.
Tous ce qui a été dit de bon et de juste appartient d'avance au christianisme. C'est ainsi que l'Eglise accueillait la sagesse antique en la discutant. L'Eglise ne fut point ombrageuse : elle fut, et elle est toujours hospitalière.
Les idées religieuses ne sauraient avoir aucune valeur si elles n'ont pas une valeur pratique et positive.
Tout ce que ma raison peut exiger, c'est que je ne la force pas de croire à l'absurde.
Combien la science est insuffisante pour conduire l'homme à l'accomplissement de ses destinées immortelles.
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