Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

27 mars 2017

Aide aux réfugiés et migrants du Centre La Rochefoucauld

Aide aux réfugiés et migrants au Centre La Rochefoucauld

Les quatre paroisses catholiques du 14e participent aux activités de ce Centre d’aide aux réfugiés et migrants. au 8 bis avenue René Coty. 

Ballade dans Paris, le dimanche 2 avril à 14h00

Chaque semaine : -Vestiaire et tri à St-Dominique le mercredi matin -Groupes de rencontre en français le mercredi à 16h30

Contact : paroisses14.refugies@orange.fr

Une année avec « Amoris Laetitia » (La joie de l’amour) à St Pierre de Montrouge prochaine réunion le 29 mars

L’annonce chrétienne pour la famille est une bonne nouvelle. Publiée en mars 2016, signée par le pape François à l’issue de deux années de travaux menés par le Synode des évêques en 2014 et 2015 sur la famille, l’exhortation « Amoris Laetitia » (La Joie de l’amour) est un texte à découvrir « avec patience, morceau par morceau », comme l’écrit le pape au début de ce document de 250 pages. Dans une société où tant d’individus cherchent des chemins de réalisation de soi et des sources de bonheur, l’Eglise a quelque chose d’essentiel à proposer.

Miséricorde, accompagnement, discernement : voici les mots-clés de ce document centré sur les divers cheminements humains, dans toute leur beauté et surtout très attentif à leur complexité afin de les remettre au cœur de toutes les préoccupations pastorales. « Amoris Laetitia » incite à une « conversion » de l’Eglise et de chacun d’entre nous.

La paroisse St Pierre de Montrouge a donc lancé un cycle d’une dizaine de rencontres  – un mercredi soir par chapitre du document  - pour réfléchir en groupe informel autour du père Olivier Auffret. Ces rencontres sont destinées à tous ! Le Pape François a écrit cette exhortation « à tous les fidèles laïcs »… parce que l’amour dans la famille n’est pas réservé aux seuls couples, parce que - quelle que soit sa situation matrimoniale - nous avons tous une famille. 

Un mercredi par mois au Centre Paroissial, le groupe aborde un chapitre de l’exhortation, dans l’ordre du document. Après deux séances consacrées à «LA LUMIERE DE LA PAROLE», puis à «LA REALITE ET LES DEFIS DE LA FAMILLE», le chapitre «LE REGARD POSE SUR JESUS : LA VOCATION DE LA FAMILLE» sera le thème de la réunion du mercredi 29 mars à 20h30 au  Centre paroissial 9 passage Rimbaut 75014. 

Lire la suite

Le boulevard Raspail et ses écrivains (II)

Nous continuons notre promenade le long du boulevard Raspail ou ses environs, afin d’évoquer les domiciles où vécurent certaines figures célèbres de la littérature française. Ainsi :

Victor Hugo by_Étienne_Carjat_1876_-_full3.jpgHugo (1802-1885) habita 31 rue du Cherche-Midi avec son épouse Adèle dans l’appartement de fonction du père de celle-ci. Ils y ont un fils qui meurt prématurément. Victor Hugo écrit Han Islande. Le couple déménage ensuite au 90 rue de Vaugirard. De 1827 à 1830, ils habitent au 11 rue Notre Dame des Champs. Ici naîtront des œuvres importantes : Cromwell et sa fameuse Préface, les Odes et Ballades, les Orientales, Le dernier jour d’un condamné, Marion Delorme et Hernani. Sainte-Beuve, Nerval, Musset et Gautier participeront à un cénacle. On y verra aussi Balzac, Vigny, Dumas, Sainte-Beuve, Mérimée, Delacroix et Berlioz.arthur rimbaud.jpg

Rimbaud (1854-1891) -A l’angle nord fait par la rue Campagne-Première et le 
boulevard Raspail, Rimbaud loge ici en 1872 dans une chambre éclairée par un vasistas. Verlaine qui habite alors Montmartre prévient son épouse qu’il « rentrera tard car il va dans un quartier éloigné ». Au rez-de-chaussée se trouvait un marchand de vin où se réunissaient les cochers d’omnibus.

montherlant.jpgMontherlant (1895-1972) – Dans son adolescence, il fréquenta les académies de dessin Calarossi et Castelucho-Diana situées rue de la Grande Chaumière.

Céline (1894-1961) – Il habita au 225 boulevard Raspail, hôtel de la Paix, enCéline  3.jpg décembre 1926. C’est là qu’il écrit : L’Eglise, publié en 1933 et joué en 1936. Cet hôtel fait à peu près face au futur numéro 222, où habitera plus tard Jean-Paul Sartre. 

Documentation extraite du n° 54-55 de la SHA du 14ème -