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18 mars 2015

Ascenseurs du métro Porte d'Orléans : à quand la mise en service ?

Le 23 mars 2013, il y a deux ans, la ligne de métro numéro 4 était prolongée jusqu'à la mairie de Montrouge. La RATP a profité des ces travaux pour moderniser la station Porte d'Orléans. Elle a ouvert deux entrées supplémentaires, situées de part et d'autre de l'avenue du Général Leclerc. L'une pour prendre la direction de la Porte de Clignancourt, côté impair, l'autre pour la direction de la mairie de Montrouge, côté pair. Pour améliorer l'accessibilité aux personnes âgées, handicapées et aux parents avec des poussettes, deux cages d'ascenseurs en verre et acier ont été édifiées à proximité des bouches de métro.

Photo ascenseur Métrob.jpgProblème, deux ans plus tard, les ascenseurs n'ont jamais été mis en service. Des pancartes indiquent : « Cet ascenseur sera mis en service prochainement. Merci de votre compréhension ». Récemment, une main anonyme a rajouté « A la Saint Glin-Glin. Merci ». (Cliquez sur l'image pour l'agrandir)

Pourquoi ce retard ? Qui en est responsable ? Les machineries des ascenseurs sont en place depuis plus d'un an, bien visibles derrière les portes de verre. « La Voix » a contacté le service de presse de la RATP pour avoir des explications. Après des courriels et des appels téléphoniques, une réponse, enfin : « nous avons transmis et nous vous transmettront l'information dès qu'elle nous parviendra. L'explication n'est jamais arrivée. Les personnes à mobilité réduite attendront encore.

Gérard Desmedt

12 novembre 2014

Hamburger contre l'entrecôte

Que vois-je, où suis-je ? Avenue du Général Leclerc, ex avenue d’Orléans pour les plus anciens dont je fais partie, de nouvelles enseignes commerciales aux sonorités anglo-saxonnes, arborent leur nouvelle présence, au détriment de commerces parisiens de tradition française.
Ainsi : KFC, Mac Donald’s, Burger King (the home of the whopper), Starbucks Coffee, et pour couronner le tout : Marks and Spencer Food…

Où suis-je ? J’en perds mon latin, ou plutôt mon français. Jadis – c’était après la guerre – il y avait : « Le planteur de Caïffa », « Noblet » et son fameux cochon, le pâtissier « Vivier », le « Café Biard », l’épicerie « La Havane », tandis-que le « Soldat Laboureur » faisait les cent pas sur l’avenue. Heureux temps où les choses paraissaient éternelles, où un marché restait un « marché » et n’aspirait pas à devenir un « Carrefour » où l’on fait son « market ».

Oui, l’anglomanie, tapie dans l’ombre, réussit à faire introduire moult dissonances dans la douce mélodie de la langue de Molière. Les derniers Gaulois seront-ils les derniers Iroquois, victimes de la conquête de l’Ouest par le sabir des forces yankees ?

Il faut réagir. Je propose d’ouvrir de nouveaux commerces francophiles : « le Bougnat républicain », « la Belle Meunière », « Dédé la boulange », « la Frite parisienne », le « Jambon beurre »… Une souscription publique pourra être mise à l’étude, mais les carottes ne sont-elles pas déjà cuites ?

Je rêve… oui je rêve ! Pouvons-nous nous attendre à la réouverture des guinguettes à Robinson ? Non, mais alors, que faire ?

Au fait : Do you speak English ? Ké-Ca-Ko ? (cela veut dire au moins quelque chose, à ceux qui savent poser une question : qu’est-ce que c’est ?).   

Obélix et Astérix sauront-ils défendre le vrai casse-croute français ? Rendez-vous dans dix ans.

R.Rillot

15 septembre 2013

Quelques pas de travers...

Je me dirigeais ce mercredi-là, en direction de l’hôpital Saint Joseph pour y subir un examen. A cet effet, je m’engageais rue Pierre Larousse, sur le trottoir de gauche. Ainsi, je longeais la clôture du dit hôpital, lorsqu’au début de l’enceinte de l’établissement, mes pas furent soudain surpris par le chaos d’un trottoir non revêtu. J’étais devenu ivre, mes pas heurtaient çà et là, cailloux déchaussés, plaques de ciment disjointes, trous divers et variés. Bref, ma démarche s’épuisait à vouloir retrouver un équilibre fragile, j’aurais pu choir avec brutalité sur le dit trottoir, qui en fait est devenu un cauchemar douloureux, celui d’une marche qu’il était temps de stopper. Miracle ! j’arrivais enfin à l’hôpital sans encombres, mais cela aurait pu mal se terminer…

Gageons que le récit de cette fâcheuse traversée d’un désert caillouteux inspirera les services de la voirie de la ville, afin qu’ils s’engagent à remettre en état ce trottoir fatigué. Les chutes, les foulures, les fractures et les ecchymoses de toutes sortes, si la situation devait perdurer, apporteraient aux urgences de Saint Joseph une foule de citoyens estropiés et en colère, soupçonneux quant à l’emploi judicieux et approprié de leur contribution fiscale aux finances locales, lesquelles en retour doivent satisfaire les élémentaires travaux d’entretien de la voirie. 

En attendant, piéton je suis et piéton je reste !

R. Rillot

 

30 juin 2012

Circulez... circulez ! Oui, mais comment ?

 La circulation automobile entre la place Victor Basch et la porte d’Orléans devient un enfer pour les riverains, les piétons  et… les automobilistes ! Cela dure depuis des années et cela empire un peu plus chaque année. Que faire ?

 Tout d’abord, le blocage quasi permanent de la place V. Basch est dû  au fait que les feux tricolores ne tiennent aucunement compte des véhicules qui ne peuvent plus avancer vers la porte d’Orléans ou vers la porte de Châtillon, ceux-ci créant un bouchon central au milieu de la place, et celle-ci ne peut plus être traversée par les véhicules débouchant de l’avenue du Maine ou de la rue d’Alésia !

 Une solution ? Faire en sorte que les feux tricolores deviennent  «  enfin intelligents ». C’est-à-dire ? Que les feux n’autorisent les véhicules à pénétrer sur la place que lorsque celle-ci est dégagée de tout véhicule et que les voies sortantes de Paris vers la porte d’Orléans et la porte de Châtillon puissent absorber un nombre de  voitures , en fonction du débit d’écoulement que peuvent supporter au maximum les avenues du Général Leclerc et de Châtillon.

 Le positionnement de caméras  placées en «  amont », c’est-à-dire vers Mouton Duvernet d’une part et  à quelques centaine de mètres sur l’avenue du Maine,  ainsi que sur la section V. Basch – porte d’Orléans pourrait offrir une solution satisfaisante dans l’analyse et la programmation de l’ouverture ou de la fermeture des feux de circulation sur la place V. Basch.

 D’autre part, il est remarquable  que les deux voies réservées à la circulation en direction de la porte d’Orléans ne correspondent plus à la densité du trafic ; cela ajoute à ceci un handicap supplémentaire pour la fluidité  générale.

 La question est posée. Qui donnera la réponse ?

 R.Rillot

27 avril 2012

Rue de Coulmiers, le Mur de l'Atlantique

 Oui, vous avez bien lu, le Mur de l’Atlantique ! Car il s’agit de la construction d’un petit immeuble de  quatre étages, situé au 35 de la rue de Coulmiers. C’est à croire que l’architecte n’a retenu des plages  du dit océan, afin de concrétiser son projet, que les fortins et les batteries aménagés pour l’artillerie lourde de l’armée allemande, durant la Seconde guerre mondiale.

Et quel projet ! En rupture totale avec l'harmonie des façades mitoyennnes et en particulier avec celle de l'immeuble sis au 33. Certes, il faut que l’architecture de notre temps puisse s’exprimer, mais à ce point, c’est du plagiat. En son temps, l’ingénieur Maginot, qui nous gratifia de sa fameuse ligne, doit se retourner  dans sa tombe…

Bref, si vos pas vous conduisent vers cette casemate insolite, ornée pour faire "joli", de décorations suggérant le souvenir de quelques de fleurs des champs... ne soyez pas pris d’un vertige qui pourrait vous amener à vous jeter dans la tranchée du chemin de fer de ceinture tout proche ! Evitez de stationner aux alentours et passez vite votre chemin. Vous en sortirez indemne et réconcilié avec la juste mesure qu'offre l'harmonie des immeubles haussmaniens.

R.Rillot

11 décembre 2011

Une avenue ou un chantier ?

Certes, l’avenue de la Porte de Montrouge n’est pas une voie prestigieuse qui marque en général l’entrée d’une ville. A la périphérie de la Porte d’Orléans, elle conduit tout simplement nos pas sur Montrouge, et longe à cet effet le cimetière du même nom situé à droite et le jardin du Serment de Koufra à gauche . Voilà pour le décor.

Cependant, à y regarder de plus près, et ceci depuis de nombreuses années, un important dépôt de chantier y a pris place. On y voit des abris Algeco, des réverbères, des bornes lumineuses, des feux tricolores à même le sol et  cela sans  compter les dépôts sauvages abandonnés ici ou là par des particuliers peu scrupuleux...  En outre, en face, des baraques repoussent le piéton sur la chaussée réservée à cet endroit à la circulation des bus. Cette situation est-elle irréversible ?

Devrons-nous supporter encore longtemps ce « désordre visuel » pour lequel nos édiles n’ont peut-être pas pris encore conscience, à défaut de s’engager pour proposer une solution plus esthétique et citoyenne ?  A quand le retour de trottoirs remis en état pour l’agrément de tous ?  R.R

18 octobre 2011

Travaux rue d'Alésia : blocage de la circulation et concertation inexistante! Réunion publique d'information sur la poursuite des travaux jeudi 20 octobre, 19h, 48 rue Hippolyte Maindron

Travaux rue d'Alésia  : confusion et perturbations à tous les niveaux,  blocage de la circulation interminable et concertation défectueuse !!! Comme vous le savez, la rue d’Alésia connaît des perturbations importantes dûes aux travaux réalisés par la Compagnie Parisienne de Chauffage Urbain (CPCU). La rue d'Alésia sera en sens unique pendant plus de 6 mois, le parcours du bus 62 est donc détouné dans le sens Alésia -Plaisance- Labrouste vers le boulevard Brune.  Les habitants de notre quartier ont donc encore plus de mal à être desservis puisque la rue d' Alésia était un des seuls axes en double sens du 14ème ! Et ne parlons plus d'aller à l'hôpital Saint Joseph qui regroupe pourtant Broussais, Notre- Name de Bon Secours, l' hôpital Sainte Marie,  l' hôpital Saint Michel et une partie des services de l'hôpital Bellan...

Le CPCU organise une réunion publique avec les riverains pour informer de la poursuite des travaux le : Jeudi 20 octobre 2011 à 19H à l’école Hippolyte Maindron 48, rue Hippolyte Maindron Les membres des Conseils de Quartier Pernety et Didot/Porte de Vanves y sont cordialement invités, nous dit-on.

Ce qui est surprenant c'est qu'on ne précise pas que les membres des conseils de quartier Jean Moulin-Porte d' Orléans et du quartier Mouton-Duvernet y sont conviés aussi !!! Et encore plus surprenant qu'on choisisse le jour de réunion publique du conseil de quartier Jean- Moulin-Porte d'Orléans qui se tient à partir de 19h30, tout près, 22 rue Antoine- Chantin !!! N'aurait-il pas été envisageable d'avoir une intervention des représentants du CPCU au cours de ce Conseil de quartier ???

En effet, tous les habitants, commerçants et professionnels de notre quartier sont concernés par ces perturbations. Il y a une absence d'organisation, d'information et même de bonne volonté tout à fait déplorables de la part des services de la voirie,  la compagnie parisienne de chauffage urbain, de la RATP et des instances municipales. Ces négligences sont dangereuses et insupportales pour les riverains.

Monique Garrigue- Viney

13 décembre 2010

Le coin du râleur

Paris enneigé… Paris embouteillé… Paris paralysé.. Mais Paris libéré… du trafic automobile !

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Ciel ! il a neigé sur Paris ! Horreur ! Stupéfaction ! Les esprits s’échauffent. M. le Ministre de l’Intérieur (qui n’était pas à l’extérieur), proclame haut et fort que «  tout va bien , et qu’il n’y a pas de pagaille » !

Serait-ce le début de nouvelles glaciations ? Quid du réchauffement climatique ? As-t-on prévu assez de sel pour le salage des chaussées ? On patine.. c’est la paralysie des autos. Les cols du Fémur, à défaut d’être cassés, sont inaccessibles ! La chute des corps étaint prévisible, les entorses le sont aussi. Quant aux fessiers délicats, leur faculté d’amortir une descente aux enfers, n’est plus garantie !

Bref, nous autres les modernes, nous avons oublié que Dame Nature peut avoir des hoquets, des spasmes, des éternuements, des coliques et qu’elle est comme les humains : un être vivant.

Prisonniers de notre confort douillet, nous oublions que sur Terre, nous sommes une espèce qui a réussi ( provisoirement) et que si nous continuons trop à nous lamenter, nous subirons peu-être un jour le destin des dinosaures.

Alors, balayons devant notre porte. Qu’importe le flocon, pourvu qu’on ait l’ivresse de retrouver bientôt le soleil, au printemps par exemple. Affaire à suivre…

R.R

12 juin 2010

Et encore une!

Et encore une !.. Une boutique de fleurs disparaît : « Les jardins secrets » mettent la clé sous la porte, ou plutôt les fleurs ne fleuriront plus sur le seuil du 109 de l'avenue du Général Leclerc. Les fleurs auraient-elles une raison de survivre  sur l'ancienne Avenue d'Orléans, artère mythique, celle que les anciens ont bien connue ? Elle était fort animée, riche en commerces divers et variés, foisonnante de couleurs, de senteurs maraîchères, ( nous étions sur le parcours de «  l'Arpajonnais », petit train qui amenait de la région d'Arpajon les légumes aux Halles Centrales...) Mais ce temps est bien révolu ! Aujourd'hui les légumes arrivent d'Espagne ou du Kenya et sont  cantonnés sur le M.I.N de Rungis. Les fleurs  sont allées aussi  rejoindre  ce monstre insatiable, où la corolle affaissée, le pistil dégrafé, les pétales qui détalent et leurs parfums envolés, elles languissent et s'épuisent en rêvant à un autre paradis...

Curieuse époque où l'on parle de biodiversité, d'environnement menacé, d'extinction des espèces, de qualité de l'air, etc... et voici que les fleurs , n'ont plus droit de cité dans la cité... A quand un « Ministère des fleurs », dont le budget serait approvisionné par un impôt sur la cupidité, la rapacité et la bêtise des hommes ? Ce budget deviendrait sinon exponentiel, du moins confortable, ce qui permettrait de combler le trou de la Sécu et celui de nos retraites !

Ainsi, l'ultime et malheureux client des « Jardins secrets » de l'avenue, verrait une perspective heureuse et une espérance bienfaitrice se profiler à l'horizon . Aujourd'hui, il ne peut que cultiver son petit jardin secret ou les pissenlits se lamentent par la racine !

R.R

21 mai 2010

Merci RFF !

RFF, Réseau Ferré de France est propriétaire du chemin de fer de la Petite Ceinture, et donc du bâtiment situé au dessus des voies, entre la Villa Virginie et la rue Beaunier, sur l'avenue du général Leclerc.

Ce bâtiment est à l'abandon depuis plusieurs années. Il est sale, squatté, et sert aussi de toilettes publiques. La photo ci-dessous, montre l'aspect sinistre qu'avait ce morceau d'avenue..

RFF-DSCF3071.jpg

Mais, ce cauchemar est terminé. Le chevalier RFF, sur son cheval blanc est passé par là ! Et tout de suite, c'est le rêve, la plage, le sable blanc, les baigneuses bronzées et court vêtues.

Et tout ça, comment ? Il a suffi de quatre panneaux publicitaires et voilà le travail.

RFF-DSCF4952.jpg

Merci, RFF, vous êtes une fée.

A.C.

30 avril 2010

L’Ecologie en ville pour les nuls, par les nuls.

Maintenant que l'écologie est notre maître à penser pour la vie en général et la vie citadine en particulier, où en sommes nous ?

Point 1 : l'éradication des automobiles des habitants est en marche (pas celles de nos élites, tout de même !), avec la suppression des parkings (dans le 14ème, 400 places rue Lecuirot, 200 places sur la Petite ceinture, de nombreuses places de stationnement de rues, ... Pour posséder une voiture il faut des places dans son immeuble.

Point 2 :  Tous ceux qui en ont l'âge, achètent un scooter. Le nombre de ceux-ci a plus que triplé en une mandature. Ainsi leurs heureux propriétaires évitent les embouteillages, et pour certains s'affranchissent du code de la route.

Point 3 : La nature ayant horreur du vide, les voitures de banlieue viennent occuper les places de stationnement et pas mal d'autres emplacements moins autorisés. Mais comme ça fait marcher le commerce, tout va bien.

Point 4 : Mais alors, à quoi servent nos écologistes que le monde entier nous envie ? C'est très simple : à remplacer les voitures des habitants par celles d'autres habitants venus d'ailleurs. Ils viennent de plus loin. Donc, si vous trouvez garé devant chez vous un 4x4 venant d'une banlieue défavorisée, Sceaux par exemple, n'hésitez pas : allez vous garer à Sceaux!

Point 5 : Quant à l'essor du vélo, c'est pour plus tard. Rien de sérieux n'a vraiment été fait, ni pour lui faciliter la circulation (les pistes cyclabkes ne sont pas toujours là où on en a le plus besoin), ni pour  le mettre à l'abri du vandalisme. (problème du stationnement dans les immeubles ). Velib, après un démarrage prometteur, peine à prendre une place significative.

Les nuls