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30 juin 2012

Circulez... circulez ! Oui, mais comment ?

 La circulation automobile entre la place Victor Basch et la porte d’Orléans devient un enfer pour les riverains, les piétons  et… les automobilistes ! Cela dure depuis des années et cela empire un peu plus chaque année. Que faire ?

 Tout d’abord, le blocage quasi permanent de la place V. Basch est dû  au fait que les feux tricolores ne tiennent aucunement compte des véhicules qui ne peuvent plus avancer vers la porte d’Orléans ou vers la porte de Châtillon, ceux-ci créant un bouchon central au milieu de la place, et celle-ci ne peut plus être traversée par les véhicules débouchant de l’avenue du Maine ou de la rue d’Alésia !

 Une solution ? Faire en sorte que les feux tricolores deviennent  «  enfin intelligents ». C’est-à-dire ? Que les feux n’autorisent les véhicules à pénétrer sur la place que lorsque celle-ci est dégagée de tout véhicule et que les voies sortantes de Paris vers la porte d’Orléans et la porte de Châtillon puissent absorber un nombre de  voitures , en fonction du débit d’écoulement que peuvent supporter au maximum les avenues du Général Leclerc et de Châtillon.

 Le positionnement de caméras  placées en «  amont », c’est-à-dire vers Mouton Duvernet d’une part et  à quelques centaine de mètres sur l’avenue du Maine,  ainsi que sur la section V. Basch – porte d’Orléans pourrait offrir une solution satisfaisante dans l’analyse et la programmation de l’ouverture ou de la fermeture des feux de circulation sur la place V. Basch.

 D’autre part, il est remarquable  que les deux voies réservées à la circulation en direction de la porte d’Orléans ne correspondent plus à la densité du trafic ; cela ajoute à ceci un handicap supplémentaire pour la fluidité  générale.

 La question est posée. Qui donnera la réponse ?

 R.Rillot