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04 décembre 2011

Une pensée par jour (Abbé Pierre )

Le mystère, ce n’est pas l’absence de lumière, c’est une lumière qui me dépasse mais dont ma raison et mon cœur peuvent parfaitement sentir qu’elle n’est pas absurde.

Le Christ est incarné dans ce voyou, ce voleur, ce menteur. La Gloire de Dieu est incarnée en toi qui lis, en moi qui parle.

C’est la vie qui doit créer la loi. Et non pas la loi figer la vie.

Rester toujours petit auprès de Jésus. Il n’est qu’auprès de l’Enfant divin qu’il faut se laisser envahir, et dominer, vaincre.

On approche l’amour absolu sans jamais l’atteindre. Cela vous laisse une blessure qui ne guérit jamais.

Par les cycles qui rythment la vie de son corps, la femme est liée à l’universel, à l’universel vivant ; elle vit en union mystérieuse avec la pulsation de l’univers. Je pense qu’il y a là une richesse de l’humanité, quelque  chose comme du sacré.

La raison ne nous permet pas d’imaginer ce qu’est l’infini. Notre cerveau n’est pas à la mesure. On peut l’approcher par l’amour. Un mécanisme au-delà de la raison qui consiste non pas à capter une image, à la prendre pour se l’approprier, mais à se donner. Etre davantage hors de soi, c’est sortir de ses limites. Là, on peut rencontrer l’infini.

Sans le sacré,  la réalité perd l’équilibre. Avec l’occultation du sacré monte le risque de la barbarie.

Aujourd’hui plus que jamais, la fraternité doit d’étendre au-delà de la famille, du clan ou de la nation. La fraternité humaine est universelle.

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