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17 juillet 2016

Une pensée par jour (Saint François d'Assise)

saint francois d'assise.jpgMalheur à ce religieux qui se délecte dans des paroles oiseuses et vaines, et par elles, conduit les hommes à la risée.

Quiconque viendra aux frères, ami ou adversaire, qu'ils ne se querellent avec eux en aucune manière.

Si nous trouvons de l'argent, ne nous en soucions pas plus que de la poussière que nous foulons au pied.

L'aumône est l'héritage et la justice qui sont dûs aux pauvres et que nous a acquis Notre Seigneur Jésus Christ.

Sainte Pauvreté confonds toute cupidité et avarice et les soucis de ce siècle.

Rien n'est préférable au salut des âmes, puisque le Fils unique de Dieu a daigné être attaché pour elles à la croix.

J'ai fait ce que je devais, maintenant faites ce que Jésus-Christ vous inspirera.

16 juillet 2016

Journées du Patrimoine visites dans les églises et chapelles de Paris

Pour les Journées du Patrimoine qui se dérouleront les 17 et 18 septembre 2016 sur le thème «PATRIMOINE et CITOYENNETE  », vous trouverez ci-dessous les coordonnées qui vous permettront d'obtenir le dossier détaillé des visites organisées dans les églises et chapelles de Paris.

Ce programme contribue à mieux faire connaître au grand public les richesses du patrimoine religieux parisien.

 Le Secrétariat d'Art Culture et Foi  01 78 91 91 65

artculturefoi@diocese-paris.net -   www.artculturefoi-paris.fr

 

15 juillet 2016

Voyage en Arménie exposition à la galerie Daguerre du 13 au 23 juillet

voyage en arménie exposition du 13 au 30 juillet 2016.jpgL'association Photo Club Val de Bièvre présente une exposition de photographies de 6 photographes voyageuses parties à la découverte de cette région du monde !
Lieu: 28 ter, rue Gassendi, Paris 14e
Attention, exposition se déroulant jusqu'au 23 juillet 2016!

14 juillet 2016

Festival Noches Latinas à l' Entrepôt en juillet 2016

l'entrepôt 7 rue francis de pressenséPendant tout le mois de juillet la musique vibre du côté rive gauche !
La scène musicale de l’entrepôt anime votre été aux sons des tambours, des bongos et des congas en célébrant les cultures latines d’hier et d’aujourd’hui !

Au programme : de la cumbia, de la salsa, du son cubano, du flamenco […]

A l'Entrepôt 7 rue Francis de Pressensé 75014 Métro Pernety

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12 juillet 2016

Rousseau a-t-il peint l'octroi de la Porte de Vanves en 1890 ?

Douanier Rousseau l'Octroi Henri Rousseau 1890.jpg     On sait que Henri Rousseau est né à Laval et qu’il était appelé plus vers les espaces de l’océan que vers Paris à l’époque d’Haussmann et des premiers chemins de fer, ces derniers attirant facilement la venue des populations paysannes vers la grande ville.              

Les liens de Rousseau et de la porte de Vanves sont évidents : il habitait Plaisance, logé sur les terrains acquis par Chauvelot, le promoteur des lotissements de Plaisance. Rousseau ainsi travailla à l’octroi de la porte de Vanves. On sait qu’il peignit l’octroi et ses alentours, mais d’une façon si particulière, qu’ on y décèle une colline fermant l’horizon où se dresse l’orphelinat Saint Philippe, fondé par la duchesse de Galliera et construit en 1877 sur le territoire des bois de Clamart. Il aurait pu également se servir d’un canevas emprunté à une peinture de Fra Angelico : « La décollation de Saint Cosme et de Saint Damien », n’utilisant qu’une partie de ce tableau. Ainsi Rousseau gagne pleinement son surnom de :  « vieil ange de Plaisance ».               

On retrouve sur ce tableau des vergers de poiriers qu’il a pu connaître aux confins de Malakoff et de Clamart. Aujourd’hui, bien entendu, il faudrait, pour retrouver ce paysage, se positionner sur la terrasse de l’Ancienne Ecole Supérieure d’électricité à Malakoff ou du pont du Garigliano pour retrouver l’essentiel du panorama, totalement bouleversé par les constructions nouvelles de grande hauteur (HLM, etc.).               

Rappelons qu’Henri Rousseau eut, de 1898 à 1900 un atelier situé au 3 rue Vercingétorix, mais aujourd’hui tout a disparu dans la rénovation de Plaisance et de Montparnasse. La réalité de l’appellation : « l’octroi de la porte de Vanves » réside par le fait que Sonia Delaunay aurait dit à Dora Vallier, auteure de son recueil « Tout l’œuvre peinte de Henri Rousseau », (Editeur Risolli, Milan 1969), que cet octroi était celui de la porte de Vanves. Sonia donc n’a jamais vu notre porte de Vanves avant la disparition de l’octroi en 1920. Elle n’a pensé qu’au temps où Rousseau habitait Plaisance à partir de 1893 (successivement 44 avenue du Maine, 3 rue Vercingétorix, 36 rue Gassendi, impasse du Rouet sans doute, 44 rue Daguerre, seulement 2 bis rue Perrel à partir de 1906).               

Ainsi, l’Octroi de la Porte de Vanves, n’est-il sans doute en partie, que la sublimation métaphorique de Rousseau, qui fut le gabelou célèbre de cette Porte de Paris. -

Documentation extraite du N° 28 de la Revue de la S.H.A. du 14ème

11 juillet 2016

L'aigle et l'enfant

L'Aigle et l'Enfant.jpgUn film de Gérardo Olivares              

En haute montagne, deux aiglons viennent de naître. L’un d’eux devra abandonner le nid au profit de son frère. Le fugitif sera recueilli par Lukas, un enfant qui le soignera au cœur d’une cabane délabrée située au sein de la montagne. Il faut préciser que Lukas est lui-même en conflit larvé avec son père et que celui-ci, d’une certaine manière, l’ignore et le rejette.             

Lukas appellera son protégé Abel, par opposition à son frère surnommé Caïn, celui-ci resté au nid. Une amitié profonde et réciproque naîtra peu à peu de cette relation si particulière. L’enfant devra nourrir, éduquer son protégé, lui apprendre à voler, à chasser, puis progressivement, à devenir libre et adulte afin d’affronter une nouvelle vie, sa vie d’aigle, une vie axée sur la persévérance, la volonté et le désir profond d’être soi-même.              

C’est Jean Reno, le garde-forestier, qui nous conte cette histoire. Il la commente de remarques dignes de celles d’un fabuliste connu, tout en la complétant avec l’éclairage discret d’une forme de bon sens prenant parfois une intention philosophique. Ici, l’amour des êtres vivants prend toute sa véritable place.              

Nous sommes conquis par cette relation exceptionnelle où un enfant et un oiseau apprennent à vivre ensemble dans un amour partagé et réciproque. La leçon se veut par ceci exemplaire pour nous autres humains.    Ce film est une réussite parfaite où les splendides paysages alpins forcent l’admiration par le grandiose décor qu’offre une nature où la beauté a le dernier mot. L’histoire n’en est que plus sensible à notre cœur. 

R Rillot 

15:40 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |  Imprimer |