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02 janvier 2017

Pour commencer, il nous faut de l'humour (I)

Le goût de l'humour Franck Medioni Mercure de France.jpgUn petit livret (Le Goût de l'humour) édité au Mercure de France et dont les textes rassemblés par Franck Médioni, nous permettront de débuter cette année avec l'innocence d'un sourire et la gaieté de l'esprit. Vous trouverez ci-dessous quelques exemples de textes recueillis, à savoir :

Oscar Wilde : J'aime parler de rien, c'est le seul domaine où j'ai de vagues connaissances.

Alphonse Allais : J'ai poursuivi mes études sans jamais les rattraper.

Sacha Guitry : Un seul amour fidèle, c'est l'amour- propre.

Raymond Devos : Lorsqu'un chêne sent le sapin, il sait que sa dernière heure est arrivée.

Raymond Devos : Le carré ment alors que le rond, point.

Woody Allen : L'argent est préférable à la pauvreté, ne serait-ce que pour des raisons financières.

Nous vous souhaitons une lecture divertissante et la découverte d'auteurs qui ont tous pratiqué à divers titres ce goût de l'humour, qui est selon la formule célèbre, souvent attribuée à Boris Vian mais plutôt à

Georges Duhamel :                   "l'humour, c'est la politesse du désespoir".

01 janvier 2017

Une pensée par jour (Abbé Pierre)

abbé pierre.jpgLe contagieux, c'est celui qui sait voir les horreurs du monde et ses merveilles, qui ne peut pas supporter les horreurs et qui cherche les solutions pour qu'il y en ait moins. Celui-là peut être entendu parce qu'il a agi... pour convaincre, les arguments sont nécessaires. Mais les actes le sont davantage.

Quand elle sait - et elle finit toujours par savoir - la société, fût-elle planétaire, doit utiliser tous les moyens pour que cesse la barbarie. Elle doit mettre en œuvre une justice qui énonce des sentences et inflige des sanctions.

Chaque être naît avec une destinée, un devoir à accomplir. Tout doit être mis en œuvre pour la réalisation de ce devoir. Le devoir devient, par conséquent, le fondement du droit.

L'oubli est un déshonneur.

Ce n'est pas de la séparation que donne la mort que je suis impatient, ah non ! Mais de la rencontre. Rencontre de l'Amour éternel qui est le Tout de notre fin.

N'oublions pas l'Eternel. La science est certes merveilleuse. Mais elle n'a pas réponse à tout. Dans son expérience intérieure, la personne humaine peut rencontrer la présence de l'Eternel.

L'Infini, nous le rencontrons quand nous considérons le temps (et pour ainsi dire, l'être hors du temps), mais l'Infini ne peut pas se limiter à telle ou telle réalité que nous connaissons. Ce qui est infini est absolu, et c'est là qu'intervient la foi : la Révélation nous dit que cet Infini est Amour.