05 avril 2015
Inscriptions aux Journées Portes Ouvertes 2015 des artistes
Les artistes du 14e, peuvent participer comme chaque année à la prochaine édition des Journées Portes Ouvertes (samedi 6 juin et dimanche 7 juin de 11 heures à 19 heures) en accueillant le public dans leur atelier ou en exposant sur le Marché de la création boulevard Edgar Quinet.
Pour s'inscrire, vous ne pouvez plus télécharger le formulaire joint et le déposer en salle polyvalente de la mairie, (c'était jusqu'au vendredi 3 avril à 19h30). Mais vous pouvez remplir la version électronique de ce formulaire jusqu’au vendredi 10 avril. Pour les demandes d’inscription au marché de la création, une attestation de domicile est demandée.
La date limite pour figurer dans le catalogue est elle aussi officiellement dépassée (vendredi 4 avril).
06:03 Publié dans 6- Art, Culture, Patrimoine, Art et artisanat | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
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Deux conférences d’Éliane Gondinet-Wallstein, dont une à Saint Pierre de Montrouge
- Mercredi 15 avril 2015 à 20h30, Les fresques de Fra Angelico à San Marco de Florence, conférence avec projections, 15 rue Marsoulan, 75012 Paris (métro Pte deVincennes ou Picpus – entrée libre, avec libre participation aux frais).
Fra Angelico a consacré sept ou huit ans de sa vie à peindre les cloîtres, les salles, les cellules du couvent San Marco, les transfigurant par des fresques dont la beauté sobre et lumineuse voulait aider ses frères dominicains à intérioriser le mystère pascal : celui de Dieu venu partager notre vie humaine jusqu'à la mort sur une croix afin de nous faire partager sa vie divine.
- Lundi 11 mai 2015 à 20h30, La Pentecôte dans l’art, conférence avec projections au Centre paroissial de Saint-Pierre-de-Montrouge, 9 passage Rimbaut, 75014 Paris (métro Alésia – entrée libre, avec libre participation aux frais).
C’est à partir du 5e siècle que la Pentecôte se célèbre comme la fête de la naissance de l’Eglise, et à partir du 6e qu’apparaissent des images de la Pentecôte dissociées de celles de l’Ascension. Nous suivrons les différentes formes de représentation proposées au cours des siècles par l’art des chrétiens d’Orient, puis par celui des chrétiens d’Occident.
06:00 Publié dans Conférence, colloque | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
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04 avril 2015
Le Groupe hospitalier Paris Saint-Joseph
(Photo Hervé Abbadie) Groupe hospitalier Paris-Saint Joseph, sous ce titre récent, apparait le résultat de la fusion de trois hôpitaux connus dans le 14ème, fondés au 19ème siecle: Saint-Joseph, Notre Dame de Bon Secours et Saint-Michel auxquels se joint l’Institut de formation en soins infirmiers (IFSI). Ce nouveau groupe est administré par la Fondation hôpital Saint-Joseph.Ce Groupe hospitalier Paris Saint-Joseph pratique des tarifs conventionnés sans dépassement d’honoraires. En cliquant sur ce lien, on peut télécharger une plaquette d'information sur ses principales activités (http://www.hpsj.fr/wp-content/uploads/2015/01/plaq2014.pdf).
Le Groupe met à disposition de ses patients un ensemble de soins hospitaliers et de proximité, incluant en particulier l’accueil des urgences 24h/24 et 7 jours/7 et leur traitement médical et chirurgical. 25 spécialités médicales et chirurgicales soignent dans un même lieu la majorité des maladies. La complémentarité des équipes soignantes (médicales et chirurgicales) offre aux patients une prise en charge globale et facilite le suivi de leur pathologie.
23:57 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
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Une pensée par jour - Abbé Pierre
- Pendant les heures terribles qui s'écoulèrent entre le cri d'agonie de son Fils sur la croix et le moment triomphal des premières apparitions après la Résurrection, c'est dans le coeur de Marie que subsista, unique, l'Espérance.
- Il n'existe qu'une seule Route et elle est déroutante en apparence, mais elle mène au but, et elle seule est vérité. Chaque jour et toute l'histoire humaine font voir cela comme une éclatante évidence pour les regards francs. Est c'est la Route de l'agonie d'Aimer vers la Résurrection.
- L'Eternel est Amour, c'est le premier fondement de ma Foi. Le deuxième fondement de ma Foi est la certitude d'être aimé. Et le troisième fondement, c'est la certitude que cette mystérieuse liberté qui est en nous n'a pas d'autre raison d'être que de nous faire capable de répondre à l'Amour par l'amour.
- On doit être fier de ce qu'on fait et pas de ce qu'on est. On n'est pas meilleur que les autres, mais ce qu'on fait est meilleur que nous.
- La foi est un Acte d'amour. Il arrive un moment où l'on dit "je crois" et on plonge.
- Quand on s'indigne, il convient de se demander si l'on est digne.
- La seule liberté de l'homme, c'est de tenir la voile tendue ou de laisser choir, lassé. Le vent n'est pas de nous.
05:00 Publié dans 7- Chrétiens dans le 14e, spiritualité | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
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03 avril 2015
Ionesco à Montparnasse
Une plaque commémorative avait été dévoilée le 5 décembre 2014 au 96 boulevard du Montparnasse indiquant que Eugène Ionesco y avait habité. De nombreuses personnalités assistaient à cette cérémonie : notre maire Carine Petit, Pascal Cherki, Hélène Carrère d’Encausse, Marie-France Ionesco, Stéphanie Tesson, directrice du théâtre de Poche Montparnasse. Rappelons que ce théâtre avait présenté La Leçon dès 1951. En 2013, ce théâtre présentait Les Contes, écrit par Ionesco pour sa fille.
Rappelons brièvement la vie de Ionesco. Il est né le 25 novembre 1909 en Roumanie. Il était le fils d’un roumain et d’une française. Dès son enfance, il fut imprégné par la culture française. A l’aube des années 50, le critique Jacques Lemarchand : « saluait l’avènement d’une nouvelle génération de jeunes auteurs, parmi lesquels figurait Ionesco et Beckett ».
Ionesco aimait Paris et Montparnasse. Il a été académicien, critique d’art, dramaturge, écrivain de langues française et roumaine, peintre et père du théâtre de l’Absurde.
En 1938, il fréquentait « La fraternité cosmopolite » des brasseries du carrefour Vavin-Montparnasse, « nombril de l’univers, centre du monde et tour de Babel ». Dans l’entre-deux-guerres, on disait que ce lieu était la Société des Nations, la seule qui vaille…
Ionesco en pleine gloire s’installa au 96 boulevard du Montparnasse. Il s’y éteint le 28 mars 1994.
Le théâtre de l’Absurde dont Ionesco est un maître reconnu, fut également représenté par Adamov, Beckett, et aussi Jean Genêt et Nathalie Sarraute. Il faut signaler que Ionesco fut un peintre de près de 400 gouaches et lithographies et qu’il fut également critique artistique sur Alechinsky, Brancusi, Brauner, Giacometti, Klein, Miro.
Ionesco restera l’un des archétypes du théâtre d’après-guerre, immortalisant par son œuvre, l’absurdité, l’angoisse et l’horreur indicible portées par la Seconde Guerre Mondiale.
- Documentation extraite du Bulletin n° 213 de la SHA du 14ème.
05:00 Publié dans En flanant dans le 14e, Histoire du 14ème, Littérature | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ionesco, montparnasse | Facebook | |
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01 avril 2015
Le parc Montsouris et son avenue
C’est par un décret du 22 février 1862 que fut arrêtée la naissance du parc et des travaux d’aménagement s’y rapportant. Les rues Gazan, Nansouty et l’avenue Reille ainsi que la création d’une avenue partant de la place d’Enfer étaient également prévues. L’expropriation fit disparaître 24 immeubles (huit pièces en terre appartenant aux hospices, soit 14674 mètres carrés). L’achèvement du parc et son ouverture furent réalisés en septembre 1878. Le point de départ de l’avenue situé à Denfert invitait les Parisiens à parcourir ses 1013 mètres de longueur sur 32 mètres de largeur pour respirer le bon air au « Parc National des Montrougiens » d’alors. Mais les lieux étaient peu accueillants. Une publication de l’époque précise : « C’était un véritable désert, une sorte de morceau de Far-West encastré dans Paris et d’assez mauvais renom… Les habitants du quartier prétendaient qu’il n’était pas prudent de s’aventurer dans les parages de la Fosse-aux-lions et l’on racontait à ce sujet des histoires lugubres bien capables d’impressionner les braves Montrougiens ».
Dès 1869 on travailla activement à la réalisation du parc et de ses plantations dont les premiers arbres furent déplacés et transportés à partir de l’ancien Hospice des Ménages (emplacement actuel du Bon Marché et du square voisin). Plus tard, on voulut déplacer dans le parc un immense cèdre situé au 87 de l’avenue d’Orléans où habitait Monsieur Dareau, propriétaire de ce magnifique spécimen, mais l’opération échoua. Tels furent les premiers pas de ce parc, arrivé aujourd’hui à sa pleine maturité pour la plus grande satisfaction des habitants du 14ème et de quelques autres…
Documentation extraite du n° 23 de la Revue de la SHA du 14ème.
05:00 Publié dans Histoire du 14ème | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : paris 14e, 75014, reille, montsouris | Facebook | |
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