Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

27 octobre 2016

Exposition de Denis Dailleux du 28 octobre au 3 décembre à la Galerie Camera Obscura

Camera Obscura exposition Denis Dailleux 28oct-3 dec 2016 jeune enfant au visage enfariné Ghana.jpgExposition de Denis Dailleux du 28 octobre - 3 décembre 2016.

Vernissage le jeudi 27 octobre à 17h, en présence de Denis Dailleux : Signature du livre GHANA (éditions Le bec en l’air) 

Denis Dailleux est célèbre pour le portrait inédit et passionné de l’Égypte qu’il élabore depuis une vingtaine d'années.
En quête de nouveaux espaces de création, il s'est rendu régulièrement au Ghana depuis 2009.
Les pêcheurs du port de James Town, ancien quartier d'Accra, la capitale, sont devenus l’un de ses sujets favoris, avant qu'il ne découvre, guidé par ses amis Francis et Joseph, la région Ashanti et les villages des bords de la Volta.
Ce sont les rencontres, les liens tissés à travers elles avec un pays, qui sont l'âme du travail de Denis Dailleux.

En Égypte comme au Ghana, son attachement aux quartiers Camera Obscura expo Denis Dailleux 27 oct -3 décembre2016  Ghana quartiers pauvres.jpgpopulaires, aux gens modestes, témoigne de sa volonté d'en montrer la beauté et la noblesse.

Notre exposition accompagne la sortie du livre "Ghana" aux éditions Le Bec en l'air photographies et textes de Denis Dailleux. 112 pages. 42 euros. Une édition limitée accompagnée d'un tirage (format 16 x 16 cm) est disponible au prix de 300 euros.

La galerie est ouverte au public du mardi au samedi de 12h à 19h et le samedi de 11h à 19h.

Galerie Camera Obscura, 268 Boulevard Raspail 75014, Paris, France  01 45 45 67 08  - www.galeriecameraobscura.fr


Camera Obscura expo Denis Dailleux 27 octobre - décembre 2016 enfant pêcheur Ghana.jpgNyamo est un jeune pêcheur.

Quand il n'est pas en mer pour assurer sa survie, il joue au foot avec ses amis. Il a l'allure et l'élégance d'un prince et, chaque fois que je le salue pour lui dire au revoir, il me regarde du haut de son mètre quatre-vingt-dix et, comme un monarque qui s'adresse à ses sujets, me dit : "We shall meet again" (Denis Dailleux)

Les commentaires sont fermés.