06 mai 2011
Portes ouvertes du Lycée Municipal d’Adultes : samedi 7 mai de 13h à 17h, 132 rue d' Alésia 75014
Le samedi 7 mai, de 13h à 17h, le Lycée Municipal d’Adultes de la Ville de Paris organise une Journée Portes Ouvertes où l’on découvrira qu’il n’est jamais trop tard pour passer le bac !
Cet établissement de la Mairie de Paris offre aux adultes une préparation au baccalauréat général en cours du soir dans 3 filières : économique et sociale, littéraire, scientifique, pour moins de 100 € par an.
Situé à l’angle des rues d’Alésia et Didot, le Lycée Municipal d’Adultes s’adresse en priorité aux personnes salariées qui ont interrompu leur parcours scolaire, parfois depuis de nombreuses années, et qui souhaitent renouer avec les études. En fonction de leur niveau, déterminé par des tests d’entrée, les adultes intègrent une Seconde, Première ou Terminale et suivent un parcours de une, deux ou trois années, le soir de 18 à 22 heures, du lundi au vendredi, et le samedi matin pour les Terminales.
Au programme de cette journée : accueil, réunions d’information, découverte de l’établissement, entretiens, animations, rencontres avec les professeurs et les auditeurs.
Samedi 7 mai de 13h à 17h - Lycée Municipal d’Adultes 132, rue d’Alésia Tél. : 01 45 41 52 44 M° Alésia ou Plaisance
14:29 Publié dans 3- Vie des quartiers, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : paris 14, paris 14e, lavoixdu14e, lavoixdu14e.info, lycée municipal d’adultes, mairie de paris, formation, éducation | Facebook | | Imprimer |
26 avril 2007
"Que la porte s'ouvre"
Un drame, celui d’une femme qui vit un dur chemin de conversion. Elle n’avait qu’un fils. Elle avait beaucoup misé sur lui. Or voici qu’il lui échappe pour vivre sa propre vie. Elle ne peut accepter la nouvelle orientation qu’il a choisie, celle de devenir prêtre.
Sa première réaction est de partir en guerre contre le prêtre qui, pense-t-elle, a su séduire son fils. Pas de doute, il a été trompé, il ne peut en être autrement. Elle se lance dans une lutte acharnée contre les prêtres, contre l’Eglise.
On apprendra par la suite qu'elle se considérait comme une "bonne chrétienne". Pourtant elle semble réagir comme une personne pour qui Dieu n’existe pas. Tout ce qu’elle a appris sur l’Eglise sonne faux pour elle désormais. Elle ne voit plus que les petits côtés de cette institution qui lui prend son fils. Elle s'emploie activement à essayer de la détruire. Elle laisse sortir d'elle-même tout ce qu'elle a emmagasiné, sans doute inconsciemment, de préjugés. A travers ses propos l’auteur nous fait entendre le discours habituel des ennemis de l’Eglise, ceux qui n’en voient que les aspects négatifs. Pas un instant, semble-t-il, cette mère ne soupçonne qu'il puisse y avoir un autre acteur dans ce drame.
La réaction de cette femme montre l’idée qu’on se fait maintenant de la vocation de prêtre dans l’opinion publique. Quand on se souvient de la considération que l’on avait dans le monde chrétien pour cet état de vie il y a encore 50 ans on mesure l’évolution des mentalités.
En s’abandonnant ainsi au sentiment de haine l’héroïne s’est soulagée un moment sans doute. Bientôt, pourtant, elle perd sa belle assurance. En voulant détruire les autres elle s’est en partie détruite elle-même. Ce sera le début d’un chemin de conversion.
Voici qu’on la retrouve dans un monastère. Elle n’est pas venue dans ce lieu pour prier. Non, simplement pour essayer d’y trouver le calme. Elle y fait une rencontre qui lui fait découvrir qu’on peut être heureux tout en étant prêtre. Après un dur combat elle finit par accepter la voie que son fils a choisie. Elle pressent tout à coup des réalités mystérieuses qui, jusqu’ici, lui avaient échappé. En se réconciliant avec Dieu elle connaît des joies qu’elle ne soupçonnait pas.
Ce spectacle peut amener des parents à se poser des questions par rapport à leurs enfants. « Est-ce que je m’efface suffisamment pour les laisser exister à leur manière ? Pourquoi me suis-je investi à ce point dans ces enfants? Ne seraient-ils qu'une part de moi-même? Ont-il le droit d'avoir leur propre vie? »
fr Bernard Méha
08:00 Publié dans Théâtre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : prêtres, Eglise, vocation, conversion, éducation, parents | Facebook | | Imprimer |
13 mars 2007
« N’ayons pas peur des ados »
Jacques Arènes, l'auteur:
« Marié et père de deux filles, Jacques Arènes, 49 ans, est psychothérapeute et psychanaliste à Paris.
Membre du groupe de travail des évêques sur "les différences structurantes", il était invité à parler, devant l’Assemblée plénière à Lourdes. » cf Journal La Croix 6 novembre 2006.
"Pendant quelque temps, il a travaillé pour l’institut de prévention et d’éducation sanitaire (...) notamment sur la santé des adultes et des adolscents. (...) Après quelques années de pratique en hôpital psychiatrique, il se consacre depuis 2000 à son cabinet libéral en plein Paris. Cela ne l’empêche pas de donner des cours au Centre Sèvres (...) et à l’Ecole Cathédrale, sur l’histoire de la psychologie." (ib.)
Les titres des extraits que j’ai sélectionnés dans cet ouvrage paru en mai 2006 chez Desclée de Brouwer:
- A propos de la sexualité dans les radios et les magazines.
Rites initiatiques, l’émission « Jackass » La thématique de la mort
Une Toile très séductrice
Des limites à poser.
- Une télé parfois dangereuse.
Un devoir de protection. Ne pas mettre la télé dans leur chambre.
Canabis : effets néfastes. Se positionner clairement par rapport à la sexualité.
Le suicide insupportable des adolescents.
- Ressentir l’extase.
La foi et le rapport à Dieu.
JMJ ou rave party ?
fr Bernard M.
09:00 Publié dans Livre/BD/Mangas | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Jeunes, éducation, télévision, radios, sexualité, drogues | Facebook | | Imprimer |