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07 septembre 2009

Jobs étudiants, petits jobs, temps partiel

Etudiants qui avez besoin d'un job, voulez-vous faire du baby-sitting ? Venez au Crous du 15 au 17 septembre.

Le CROUS de Paris et le Pôle Emploi organisent du 15 au 17 septembre un « baby-sitting dating » de 9h30 à 17h. Le but de l'opération : mettre en contact des étudiants à la recherche d'un job avec des parents. Les candidats auront quelques minutes pour convaincre leurs employeurs.

Les jeunes qui souhaitant participer à l'événement doivent se munir de plusieurs CV et se rendre au Crous de Paris.
CROUS de Paris- Hall d'exposition, 33 avenue Georges Bernanos. Paris 5e- RER B - Port Royal

En savoir plus... Pour plus d'informations, contactez : Pôle emploi étudiants au Crous
Tél : 01 40 51 37 53 Mél : usp.crous@pole-emploi.fr

Emploi : Les centres de loisirs et les écoles recherchent des animateurs et des surveillants d'interclasse pour assurer l'animation et l'encadrement des enfants.

Les animateurs doivent assurer l'animation dans les maternelles et les écoles le soir de 16h30 à 18h30, et dans les centres de loisirs le mercredi ou pendant les petites et grandes vacances, de 8h20 à 18h30.

Les surveillants d'interclasse doivent assurer la surveillance, l'encadrement et l'animation de groupes d'enfants durant la pause de midi et le temps du repas à la cantine, de 11h30 à 13h30.

Les recrutements s'effectuent par entretien et dossier à déposer auprès de la Circonscription des affaires scolaires. Pour travailler en centres de loisirs, il faut posséder ou préparer le BAFA.
Renseignement auprès de la Circonscription des affaires scolaires des 13e et 14e arrondissements : 01 53 82 89 00

Télécharger l'appel à candidatures pour le recrutement d'animateurs vacataires

Télécharger l'appel à candidatures pour le recrutement d'animateurs-surveillants sur la pause du midi (interclasse)
Télécharger le dossier

Vous avez besoin d'un complément de revenu ? Vous avez du temps libre ? Devenez surveillant de point école près de chez vous.

La mairie recrute des surveillant(e)s chargé(e)s de faire traverser les écoliers et leurs parents sur les passages piétons près des écoles le matin, le midi et le soir pendant 40 minutes. La rémunération est d'environ 3 000 € net annuel pour 10 mois, soit un complément de rémunération de 300 € par mois.

Les candidat(e)s doivent habiter à proximité immédiate d'un point école référencé, être âgé(e)s de moins de 65 ans et présenter un casier judiciaire vierge. Aucune condition de nationalité ni de diplôme n'est requise. Une formation est assurée avant la prise de fonction.

Direction de la prévention et de la protection -Bureau de la surveillance des points d'école -1 place Baudoyer 75004 Paris -Tél. : 01 42 76 75 05

21 octobre 2008

Vous avez besoin d’un petit complément de ressources ? Vous avez du temps libre ? Assurez-vous un revenu complémentaire en devenant surveillant de point école près de chez vous.

La mairie recrute des surveillant(e)s chargé(e)s de faire traverser les écoliers et leurs parents sur les passages piétons près des écoles le matin, le midi et le soir pendant 40 minutes. La rémunération est d’environ 3 000 € net annuel pour 10 mois, soit un complément de rémunération de 300 € par mois.
Les candidat(e)s doivent habiter à proximité immédiate d’un point école référencé, être âgé(e)s de moins de 65 ans et présenter un casier judiciaire vierge. Aucune condition de nationalité ni de diplôme n’est requise. Une formation est assurée avant la prise de fonction.

Direction de la prévention et de la protection
Bureau de la surveillance des points d’école
1 place Baudoyer 75004 Paris
Tél. : 01 42 76 75 05

 

23 avril 2008

AU FEU LES POMPIERS MON ECOLE BRULE

Il faut lire l’article publié par « Le Monde » édition du 18 avril -lire l‘article-, au sujet des évènements survenus au Lycée Jean Moulin ( Seine St Denis) au cours des journées du 8 avril dernier et suivantes. Cet article fait état d’ « attaques » d’élèves dans l’enceinte du lycée à la suite des manifs, contre les suppressions de postes d’enseignants , qui se sont déroulées à Paris tous ces temps-ci. Bouteilles-bombes à l’acide, dégradations multiples ont poussé les profs de cet établissement à arrêter le travail et descendre avec leurs classes dans la cour.
A la suite de ces évènements, un prof de français a encouragé des élèves en demande à écrire leur peur et leur besoin de protection à l’Inspecteur de leur Académie. On peut lire ces lettres dans le journal en ligne: lemonde.fr
Il est temps que le désordre qui règne au sein des établissements les plus défavorisés de la banlieue et d’ailleurs soit repris en main. Tous les acteurs et les usagers le demandent (sauf les chefs d’établissement à cause de leur carrière; je grossis à peine). Ce n’est pas une question d’argent!
Ce qui est le plus incroyable, ce ne sont pas les lettres des jeunes et leurs doléances, c’est le courrier des lecteurs suite à ces lettres. Si elles sont un reflet de la pensée de la population française, on ne pourra rien faire. Ces jeunes demandent une protection, la police a pour devoir de faire respecter l’ordre. Qu’elle fasse son devoir. Où est le problème? Ah, oui, les syndicats, les enseignants (et les parents?) refusent l’entrée de la police au sein des établissements.  Il y a un problème certain. Il est pratiquement impossible de déférer un élève perturbateur devant un conseil de discipline, et les parents amènent leur avocat avec eux? Est-ce légal? Est-ce souhaitable? quand l’ordre ne peut être respecté à cause du refus de la présence policière et du refus d’appliquer le règlement par les directeurs et leur équipe administrative, on se prend à rêver…
La situation limite des établissements de banlieue est-elle si éloignée de nous pour qu’elle se dégrade régulièrement d’année en année sans que rien ne soit fait? Depuis que notre président qui se pose en champion de l’autorité est en place, aucune mesure forte envers les collèges et lycées de banlieue en déroute n’a été mise en place. Y aurait-il trop d’obstacles à ce faire? Faut-il un référendum national pour autoriser la police à faire ce pourquoi elle est faite? Qui est contre? Qui peut proposer un retour à la discipline «tolérance -zéro»? Il n’y a qu’en France que la souffrance des victimes de la barbarie ont moins de crédit que l’appartenance aux classes «défavorisées» qui ont, elles tous les droits, dont celui de détruire l’École.