27 avril 2010
Alice au Pays des Merveilles . Film de Tim Burton.
Après le célèbre film du même nom réalisé en dessins animés par les studios Walt Disney en 1951 , quel plaisir de voir la dernière version (suite plutôt) avec de vrais acteurs, sous la même signature du grand magicien de l’image!
Tim Burton , le réalisateur, s’est frotté à l’œuvre majeure de l’imaginaire britannique pour nous proposer sa vision et son interprétation des aventures d’Alice au pays des questionnements (wonderland).
La petite fille du chef -d’œuvre de Lewis Carroll a grandi , elle a maintenant 19 ans , et, son père mort, sa mère (que l’on soupçonnait déjà de ressembler à la « reine de coeur ») la prie d’accepter la proposition de mariage d’un Lord peu ragoûtant, mais …elle n’aura pas toujours le charme de la jeunesse pour plaire à d’autres n’est-ce pas, lui rappelle sa maman. Alice, grandie, a gardé son horreur de toute contrainte, de toute convention humiliante …Que peut-elle faire? Heureusement, son allié, le Lapin Blanc va l’extraire à nouveau de son monde d’apparences trompeuses pour la ramener à celui où tout apparaît au grand jour. Là-bas, les personnages stagnent depuis sa dernière visite dans l’attente d’un libérateur. Le royaume parallèle vit dans l’urgence de se débarrasser de la tyrannie de la reine rouge. Chacun se soumet ou devient fou. Repassent les images suspendues dans le temps du Jardin des Fleurs soudain ravagé par l’irruption d’un monstre halluciné de rage….le Bundersnatch! Ce monstre (chien gigantesque) est suivi du Chevalier Noir, l' âme damnée de la reine Rouge faisant prisonnière tout créature vivante trouvée sur son passage pour l’amener au palais. Alice, réchappée de justesse, revoit les protagonistes du fameux Thé chez les Fous d’autrefois: le Loir, le Lièvre de Mars et le Chapelier Fou, grandiose Johnny Depp, avec son nœud de cravate rose assorti à son mythique chapeau haut de forme. Ce dernier personnage lui viendra en aide et lui demandera d’ intervenir une dernière fois après avoir pris les ordres de la chenille bleue détentrice du savoir sur l’avenir -déjà écrit- du royaume. Alice vaincra la Reine Rouge et tuera le «Jabberwocky »grâce à l’épée « Vorpaline » dont elle deviendra le champion pour le retour de la Reine Blanche.
Tim Burton , le réalisateur, s’est frotté à l’œuvre majeure de l’imaginaire britannique pour nous proposer sa vision et son interprétation des aventures d’Alice au pays des questionnements (wonderland).
La petite fille du chef -d’œuvre de Lewis Carroll a grandi , elle a maintenant 19 ans , et, son père mort, sa mère (que l’on soupçonnait déjà de ressembler à la « reine de coeur ») la prie d’accepter la proposition de mariage d’un Lord peu ragoûtant, mais …elle n’aura pas toujours le charme de la jeunesse pour plaire à d’autres n’est-ce pas, lui rappelle sa maman. Alice, grandie, a gardé son horreur de toute contrainte, de toute convention humiliante …Que peut-elle faire? Heureusement, son allié, le Lapin Blanc va l’extraire à nouveau de son monde d’apparences trompeuses pour la ramener à celui où tout apparaît au grand jour. Là-bas, les personnages stagnent depuis sa dernière visite dans l’attente d’un libérateur. Le royaume parallèle vit dans l’urgence de se débarrasser de la tyrannie de la reine rouge. Chacun se soumet ou devient fou. Repassent les images suspendues dans le temps du Jardin des Fleurs soudain ravagé par l’irruption d’un monstre halluciné de rage….le Bundersnatch! Ce monstre (chien gigantesque) est suivi du Chevalier Noir, l' âme damnée de la reine Rouge faisant prisonnière tout créature vivante trouvée sur son passage pour l’amener au palais. Alice, réchappée de justesse, revoit les protagonistes du fameux Thé chez les Fous d’autrefois: le Loir, le Lièvre de Mars et le Chapelier Fou, grandiose Johnny Depp, avec son nœud de cravate rose assorti à son mythique chapeau haut de forme. Ce dernier personnage lui viendra en aide et lui demandera d’ intervenir une dernière fois après avoir pris les ordres de la chenille bleue détentrice du savoir sur l’avenir -déjà écrit- du royaume. Alice vaincra la Reine Rouge et tuera le «Jabberwocky »grâce à l’épée « Vorpaline » dont elle deviendra le champion pour le retour de la Reine Blanche.
06:01 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : alice au pays des merveilles, tim burton, film | Facebook | | Imprimer |