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17 juin 2018

Romain Rolland (suite) : l'écrivain engagé

Romain Rolland Au-dessus de la melée, 1915 édition intégrale jpg.jpgEn 1912, il abandonne tout professorat et se consacre à son œuvre. En 1913, il reçoit le Grand Prix de Littérature de l’Académie Française. En août 1914, il publie un livre : « Au dessus de la mêlée » faisant preuve d’un pacifisme mal reçu, ce qui lui vaudra de durables inimitiés. En 1916, il reçoit le prestigieux prix Nobel de littérature dont il offre le montant à la Croix Rouge suisse.

En 1919, toujours au service d’un pacifisme actif, il écrit son roman « Clérambault ». Partisan d’une entente entre les peuples européens, il fonde la revue Europe en 1922.

Non violent, il s’intéresse à l’hindouisme, et à la non-violence (Mahatma Gandhi), rencontrant le poète indien Rabindranath Tagore. En 1919, il publie « Colas Brugnon » contrastant avec ses œuvres habituelles. Entre 1922 et 1934, il publie « L’âme enchantée » exaltant l’instant puissant de la vie. Jusqu’à sa mort, il fera preuve d’une vaste culture musicale, développant en plusieurs volumes les grandes périodes créatrices de Beethoven. De 1922 à 1937, il s’installera en Suisse à Vevey, car sa santé est fragile.
En 1927 à 61 ans, il adhère au parti communiste, bien qu’il fût toujours opposé à une quelconque doctrine. Il tente de concilier « la pensée de l’Inde et celle de Moscou ». En 1932, il organise avec Henri Barbusse le Congrès mondial contre la guerre. En 1933, président d’honneur du Comité National de Lutte contre la guerre et le fascisme. En 1935, il séjourne chez Maxime Gorki mais n’eut pas le courage d’André Gide de critiquer certains aspects du régime soviétique.
En 1938 il achète une maison à Vézelay et proteste contre les accords de Munich. En 1939 il fait jouer à la Comédie Française sa pièce : « Le jeu de l’amour et de la mort ». La guerre déclarée, provoque chez Romain Rolland un conflit existentiel à travers l’entente intervenue entre l’Allemagne et l’URSS. (à suivre)-

- Documentation extraite du N° 43 de la S.H.A du 14ème

25 mai 2016

La Passion selon Beethoven dimanche 29 Mai à l’atelier du Verbe

Atelier du Verba 29 mai 2016  Beethoven concert conférence.jpgDimanche 29 mai  17h30, l'Atelier du Verbe  et l’Association Beethoven France  présentent : « La Passion selon Beethoven » , Concert-conférence de Elisabeth Brisson et Alexandre Javaud.

"Celui qui sentira pleinement ma musique sera  à tout jamais délivré des misères que les hommes traînent après eux."
Les misères de l'homme, la biographie du compositeur en est remplie, la plus énigmatique étant bien celle pour un musicien de devenir sourd.
Par la force de sa musique  il veut célébrer la victoire de l'homme sur les forces qui lui sont hostiles, à commencer par celles de son propre tempérament. Le développement musical, plongeant dans le drame passionnel opère les transformations de l'âme qui accède à la paix.

Elisabeth Brisson est une spécialiste reconnue de l'oeuvre de Beethoven.
Elle dédicacera son dernier livre qui vient de paraître lors de notre séance du dimanche 29 Mai. (cliquer sur l'image pour la voir en grand)

  Participation 15€  (TR : 12€) Réservations : 06 26 24 90 59 / atelierduverbe@gmail.com

17 rue Gassendi 75014 Paris M° Denfert-Rochereau / Gaité  http://www.theatreatelierduverbe.com/

 

21 avril 2011

Pour clore Avril en beauté à L'Atelier du Verbe…

 " Baudelaire, dernière escale" … Les 27, 28 et 30 avril  à 20h
«  Une remarquable évocation du poète dans son intimité » …  Composé et interprété par Fabrice Merlo - Comme dans un monologue shakespearien le personnage est à la fois seul sur scène et avec le public et partage ses pensées, ses doutes et ses décisions. Participation 10 €

et aussi ce vendredi 22 avril un concert avec au piano Lise Lienhard et un atelier « découverte du langage de la musique » le vendredi 29 avril après un deuxième concert : La Notturno op 42 de Beethoven

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19 février 2011

Quand je pense que Beethoven est mort...

beethoven,eric-emmanuel  schmitt…alors que tant de crétins vivent…  Ce titre un peu accrocheur qu’a choisi l’auteur – Eric-Emmanuel  Schmitt – n’est en fait que la réflexion que faisait son professeur de piano alors qu’il était adolescent et qu’il s’évertuait à apprendre cet instrument. Cinq années  de partage et d’initiation  au cours desquelles il découvrit et s’imprégna du génie de Beethoven. Puis, ce fut une période où abandonnant l’étude du piano , il « oublia »  le musicien , seulement redécouvert à l’occasion d’une exposition de masques à Copenhague, où soudain Beethoven se rappela à lui.

Le choc fut immédiat. E.E.Schmitt nous révèle, dans ce livre, son immense amour pour la musique. Il dit : … les musiciens n’insufflent  pas que des notes, des accords, des rythmes, des timbres en nous ; ils nous communiquent une dynamique, un tempérament, une vision. Pénétrant au plus intime, dans notre âme qui vibre, tels des marteaux d’un piano tapant les cordes, les morceaux percutent et activent nos sentiments. Ils consolent, ils ébranlent, ils allègent ; ils consolident la joie, la fureur, l’impatience ; ils effraient, apaisent, relancent. Rien  ne nous touche plus profondément ni plus vite que la musique… l’auteur , à partir de là complète sa pensée : « Beethoven m’a fait croire en l’homme, en sa capacité de dominer la matière ». Et cette découverte amène l’auteur à concevoir une sorte d’humanisme nouveau : … après plusieurs mois de cohabitation avec Beethoven, j’en suis venu  à formuler ce qu’il m’a suggéré. Il s’agit d’un credo. Un credo humaniste.

Pour conclure, le livre s’accompagne d’un CD , reprenant des extraits d’œuvres majeures du musicien, en relation directe avec les chapitres du livre. Raison de plus de s’attacher à l’écoute autant qu’à la méditation procurées par la lecture et l’audition de chef-d’œuvres immortels, universels. La musique alors, devient notre guide spirituel,  celui qui, unique, nous offre en partage « l’hymne à la joie », un hymne qui peut ressourcer notre vie et la transfigurer.  R.R

Ed. Albin Michel

10 décembre 2010

Concerts et actualités à Saint Dominique et Saint Bernard de Montparnasse

Saint Dominique


Dimanche 12 décembre : 15h30 dans l’église, concert de Noël de la chorale « LIBRE JOIE».
- Chants de Noël
- Messe en Fa de Théodore DUBOIS
Direction: Bernard LALLEMENT  et Bernard HENNEBELLE , libre participation aux frais
Sacrement du Pardon, mardi 14 décembre :
 Plusieurs prêtres seront à votre dispositionde 16h00 à 22h00 pour vous aider dans votre démarche spirituelle vers Noël.
"La grande aventure des chrétiens d’Orient": Exposition du 8 décembre au 8 janvier
En écho au Synode extraordinaire des Évêques pour le Moyen-Orient qui vient de s’achever à Rome, L’Œuvre d’Orient et la paroisse Saint Dominique présente une exposition sur "La grande aventure des chrétiens d’Orient". Les origines, l’histoire et l’actualité des Églises d’Orient.

Saint Bernard de Montparnasse

Samedi 11 décembre 2010 à 20h30 :
 Concert Piano-Violoncelle autour de Beethoven, Chopin et Chostakovitch - Thomas Delclaud
Jeudi 16 décembre 2010 à 20h00 :
audition-concert, chorale et poésie sur le thème de " l'attente ", avec la chorale du jeudi soir (Gérard Jacob) et le groupe vocal les Aristocloches ; lecteur: Patrice Bouret
Dimanche 19 décembre 2010 à 16h00 :
Concert de Noël - Masado Kudo - Musique de chambre, flûtes et piano
34, place Raoul Dautry - 75015 Paris - (Entrée sous la pendule de gauche de la gare)

15 juin 2010

Récital de piano de Nicolas Horvath (Mozart, Beethoven, Liszt, Ravel

Donné au profit des Enfants des rues de Saint-Pétersbourg : mercredi 16 juin, 19h30 à l' Entrepôt

Ce concert est organisé par l'association Parcours Association Enfants des rues de Saint Petersbourg, la totalité des bénéfices du récital sera reversée à son programme alimentaire.

Programme :

- Mozart, Fantaisie KV 475 en ut mineur

- Beethoven, Sonate op57 "Appassionata"

- Liszt, Après une lecture de Dante

- Ravel, Alborada del Gracioso

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