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03 mai 2016

Défilé aux couleurs du monde porte de Vanves samedi 7 mai de 12 à 18h

porte de vanves,centre socioculturel  maurice noguès,boulevard brune,square anna marlyLes habitantes de la Porte de Vanves vous invitent à un défilé aux couleurs du monde pour échanger et partager autour des richesses culturelles. On vous attend tous et toutes habillés(es) en tenue du pays de votre choix pour mieux se connaître et partager nos valeurs dans un moment festif et convivial.

Venez en famille et avec vos amis à partir de 12h place Marthe  Simard le départ pour le boulevard Brune se fera dès 14h15,  la déambulation passera par la porte Didot puis sur l’autre côté du boulevard Brune,  puis le jardin Anna  Marly  des pauses musicales auront lieu !

Animations : Musiques avec l’accordéoniste M. Rambaud, le violoniste G. Drossart et le groupe de Djembé «Tam Tam Soussou». Chants avec la Chorale Joie du Rosaie et la Chorale «Chantons ensemble»

Buvette et dégustation sur place

Informations et renseignements Centre Socioculturel Maurice Noguès 1-7 avenue de la Porte de Vanves 75014 Tel 01 45 42 46 46 (Métro – T3, bus 95-58 porte de Vanves)

27 juin 2009

Tranquille le 14ème ? Deux accidents graves en quelques jours autour d’Alésia.

Un homme renversé par une voiture avenue Jean Moulin, et peu après une femme a été heurtée par un deux roues, rue d'Alésia.

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Chaque année la préfecture de police publie la carte et la liste des endroits les plus « accidentogènes » de la capitale. La quatorzième bat un record en la matière : il est le seul des vingt arrondissements à y figurer deux fois, avec l'avenue du général Leclerc et l'avenue Denfert-Rochereau. Le carrefour le plus dangereux est celui du boulevard Brune et de l'avenue jean Moulin.

En 2008, 51 personnes ont perdu la vie dans les accidents de la circulation à Paris, et parmi eux, 29 piétons et 5 cyclistes. Dans le quatorzième, il y a eu en 2008 quatre accidents mortels, rue d'Alésia, avenue du général Leclerc, avenue du Maine et rue Daguerre.

Les statistiques de la Préfecture dénombrent les accidents dans des petites portions de voies, ce qui évite à l'avenue du général Leclerc de battre des records. Si l'on totalise l'avenue du Général Leclerc  sud d'Alésia (25 accidents, un mort et 33 blessés),,  nord d'Alésia (12 accidents  et 13 blessés) et l'avenue du général Leclerc à Denfert-Rochereau (17 accidents et 17 blessés), on arrive à 54 accidents, un mort et 63 blessés en trois ans pour une seule avenue !

A.C.

28 avril 2009

Une rue pas si discrète, la rue Didot

Rue Didot … passé le boulevard, elle s’offre aux regards pour tracer une voie rectiligne et profonde qui invite à pousser jusqu’au cœur de la ville . Dès l’abord, une discrète cour annonce le programme. Le square Alice dévoile des merveilles qu’il faudra découvrir une fois dépassée la voie ferrée ou le verrou d’un ancien hôpital, centre de nombreux services : médical ou d’accueil, social ou culturel et sujet d’innombrables débats. … Ici court un parfum de province. De passages en villas, d’impasses en courettes, l’atmosphère est marquée du sceau indélébile d’un passé qui s’accroche aux murs comme au humeurs.

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Le voyageur curieux, aurait tout le loisir de flâner jusqu’aux terres brûlantes de G. Bruno l’hérétique, ou de s’émerveiller des richesses cachées de la rue de l’Abbé Carton. La « rue » l’aura déjà happé pour l’engloutir dans le tourbillon des ses échoppes et boutiques traditionnelles ou exotiques : cafés « branchés » ou non, restaurants qui distillent de multiples saveurs cosmopolites … et les soldeurs du bout de rue qui l’assimileraient à sa grande voisine si elle n’y prenait garde. Mais elle ne cesse de surprendre par ses lumières et sa chaleur et combien plus encore lorsqu’elle s’embrase des feux, scintillements et illuminations de fin d’année. Une foule dense et joyeuse s’y presse encore aux jours de ses braderies et animations locales...

Il y a de la vie dans cette rue où les initiatives se succèdent, comme celle conviant les résidents à fleurir les balcons. On aura vite compris que tout ceci résulte de la volonté et de l’engagement des riverains et commerçants. Des comités d’animation, de sauvegarde ou de développement en associations locales qui se mobilisent pour la défense de leurs intérêts ou celui de projets ambitieux, c’est tout le tissu citoyen et humain qui s’exprime. Alors, on ne s’étonnera pas de rencontrer au détour de la Villa Duthy ou de la rue Ledion, de fortes personnalités qui mènent ces combats et font vivre une rue offrant au promeneur des merveilles cachées qui nous retiennent encore, avant de plonger au delà d’Alésia, dans la ville anonyme.