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10 juin 2017

La Page accueillie à la bibliothèque Georges Brassens

La Page-14 re dimensionnée.jpgDurant tout le mois de juin, la bibliothèque municipale Georges Brassens exposera les "Unes" anciennes et récentes  du journal La Page du 14ème.

Le samedi 10 juin, de 15 à 17h, invitation à découvrir le site et les archives de La Page dans un atelier d'exploration au 2ème étage de la bibliothèque.

Jeudi 15 juin,  de  19h à 20h, soirée débat " Histoire de La Page  et transformation du quartier "   et pot des lecteurs exceptionnel.  

Bibliothèque Georges Brassens 38 rue Gassendi 75014

03 octobre 2013

« De Plaisance à Malakoff », promenade samedi 5 octobre dès 12h30

malakoff-ancien-tramway.JPG"De Plaisance à Malakoff, le destin urbain de banlieues jumelles". Promenade pilotée par Denis Moreau, auteur de banlieuedeparis. Une coproduction avec le journal La Page du 14ème et de l'association A Travers

Du côté parisien des fortifications, Plaisance, au début, n'est pas un village, ni même un faubourg mais plutôt une banlieue à l'écart. Née sans planification (au grand désespoir des urbanistes !?) soit l'inverse de Vaugirard ou Montparnasse, l'inverse du dogme de "la ville continue" ? Il y fait pourtant bon vivre aujourd'hui. 

A Malakoff, s'est développé un "hyper centre" entre la place du marché et les environs de la fameuse route départementale 50. Cette petite commune atypique n'a vu le jour que très récemment grâce à l'action par exemple d'un chansonnier rôtisseur sans fortune, Alexandre Chauvelot. On le trouve actif comme promoteur immobilier tout d'abord à Plaisance, puis sur des terrains de la commune de Vanves, en lotissant des jardins ouvriers (plus ou moins constructibles). Sur ces derniers, il créé un parc d'attraction dominé par la célèbre Tour Malakoff sur le site dit de la Nouvelle-Californie. D'où le dicton très samsuffi, "J'y suis, j'y reste", d'abord attribué à tort ou à raison au général Mac-Mahon "vainqueur" en Crimée.malakoff-plan.JPG

La Page du 14ème et l'association A Travers proposent une balade d'observation pour découvrir ou redécouvrir le charme de ces endroits et ce qui fait leur qualité de vie. On s'interrogera sur ce que les habitants de ces différents quartiers peuvent ou non partager au sein du Grand Paris et sur la nature de ce qui les relie. La consultation de cartes anciennes alimentera notre compréhension. 

Cette promenade s'inscrit dans la suite du dossier "Escapade à Malakoff" réalisé par La Page du 14ème (n° 99) et de la promenade organisée en janvier dernier par les associations A Travers et Promenades urbaines à la demande du Pavillon de l'Arsenal, autour du réaménagement de la Porte de Vanves.

Pour qui le voudra, elle se prolongera le mercredi 16 octobre à 20h30 au Moulin à Café, lors d'une soirée débat et atelier de démonstration, intitulée "Quels sont les enjeux d'une appropriation citoyenne de la cartographie numérique et du web géolocalisé, également appelé web 3.0 ?"

Cliquez sur les images pour les agrandir . Pour connaître le programme cliquez sur lire la suite,

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05 juin 2013

Ciné 14 "Les moissons du Ciel" jeudi 6 juin, 20h30, au Chaplin- Denfert

Ciné 14 jeudi 6 juin 20h30.jpg

30 avril 2013

Ciné 14 "Je ne suis pas là pour être aimé" jeudi 2 mai, 20h30, au Chaplin - Denfert

CINE14 2 mai 2013 je ne suis pas là pour être aimé.jpgLe premier jeudi du mois, Ciné14 et le journal de quartier La Page,  programment au cinéma le Chaplin Denfert, 24 place Denfert-Rochereau Paris 14e,  un cycle de films," Le cinéma du jeudi".(cliquez sur l'image pour la voir en grand)

Cette fois-ci, le film choisi pour la séance du 2 mai à 20h30 est «Je ne suis pas là pour être aimé» de  Stéphane Brizé (sorti en 2005) peut illustrer plusieurs thèmes : la solitude, la vie et le travail non choisis, et la danse, tout particulièrement le tango, qui permet sans mot , par les gestes seuls, l'échange et l'écoute entre deux personnes.

« 50 ans, huissier de justice, le coeur et le sourire fatigués, Jean-Claude Delsart a depuis longtemps abandonné l'idée que la vie pouvait lui offrir des cadeaux. Jusqu'au jour où il s'autorise à pousser la porte d'un cours de tango... »

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Patrick Chesnais incarne à merveille cet homme lassé par une vie professionnelle usante et ingrate, et  en pleine solitude affective. Sa seule famille est un père malade et acariâtre (Georges Wilson, odieux et poignant) et un fils complexé qui compense son besoin de tendresse par la passion des plantes (Cyril Couton, très juste).

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