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26 décembre 2014

Réveillon solidaire pour les personnes de la rue par les conférences Saint-Vincent de Paul jeunes de Paris.

vincent de paul,conférences,reveillon,rueCette année, à St Pierre de Montrouge, un réveillon solidaire est offert le 31 décembre aux personnes de la rue par les conférences Saint-Vincent de Paul jeunes de Paris.
Soirée en 4 temps, de 19h30 à 02h, proposée aux accueillis et aux bénévoles :
- un petit apéritif d’accueil,
- le temps du repas simplement et soigneusement préparé, ponctué de diverses animations mêlant accueillis et bénévoles,
- la messe, vers 22h à la crypte de l'église,
- le temps des jeux et de la danse.
Un autre réveillon identique est proposé également à St Jean-Baptiste de La Salle. Plus d'informations et des rappels des années précédentes dans le site web ci-dessous.
http://www.paris.catholique.fr/reveillon-solidaire-le-31-...

 (Cliquez sur l'image pour l'agrandir)

12 mars 2014

Quatre personnes de la rue décédées en 2013 dans le 14ème, 453 dans toute la France!

Le collectif "Les Morts de la rue" publie dans "La Croix" la liste des 453 personnes mortes dans la rue, dont on leur a signalé la mort en France en 2013. Compte-tenu des incertitudes, la liste complète est sans doute plus longue. L'âge moyen de ces décès est 50 ans.
Au moins quatre de ces décès ont eu lieu dans le 14ème arrondissement :
    * Jean-Paul Prudhomme,
    * Serge Cipière,
    * Eric Mitterand
    * Dariusz Jablonski.
Leurs noms, lorsqu’ils sont connus, seront retranscrits dans le « livre des morts de la rue », disponible sur la-croix.com, le site du collectif et sur le lieu de "l’hommage" (qui leur sera rendu mardi 18 mars 2014, place de la République à Paris à partir de 13 heures).
D'autre part, ce 18 mars, jour de la mémoire des "Morts de la Rue", place de la République, la messe de 18h30 de Saint Pierre de Montrouge sera célébrée aux intentions des quatre personnes de la rue identifiées comme décédées en 2013 dans les rues de l'arrondissement.
Adéodat de Maistre

10 octobre 2009

Une bretelle utile : la rue Hyacinthe Vincent

Les habitants du 14e connaissent bien la rue du Professeur Hyacinthe Vincent, sans avoir sans doute jamais prononcé son nom. C'est la rue qui longe le jardin de la Cité universitaire lorsque l'on sort de l'autoroute A6, et qui permet ensuite de continuer soit jusqu'au boulevard Jourdan, soit de tourner avenue Paul Appell. Depuis plusieurs années, cette sortie est fermée aux automobiles, tout en restant accessible aux taxis et aux autobus. Elle était pourtant bien pratique, cette bretelle de sortie, pour éviter les embouteillages de la Porte d'Orléans !

Devant l'augmentation des encombrements dus aux travaux du métro, la mairie songe à rouvrir la rue du Professeur Hyacinthe Vincent à tous, pour désengorger la Porte d'Orléans. Début septembre, un questionnaire à été adressé à plusieurs centaines de riverains. Trois questions ont été posées : « Souhaitez-vous maintenir la situation actuelle ? » « Souhaitez-vous que l'on réserve cette sortie aux seuls riverains du quartier ? » « Souhaitez-vous que cette sortie soit ouverte à tous ? »

Suite à ce sondage, la mairie prendra une décision dans les semaines qui viennent.

Gérard Desmedt

12 avril 2007

Un foyer après le canal (Saint Martin)

La Voix vous en a déjà parlé -voir la note-, l'OPAC met à la disposition d'Emmaüs pour 6 mois un hébergement sur 3 étages, 61 boulevard Saint Jacques, dans un bâtiment qui a des allures d'hôtel en brique et pierre.
Emmaûs met le 3ème étage à la disposition de l'association "les enfants du canal" pour y pratiquer une politique d'accueil innovante et expérimentale, avec 30 hébergements. Les 60 places d'Emmaüs sont au 1er et 2ème étage, gérées par Emmaüs. Les 60 personnes hébergées sont suivies et orientées par l'association "Le coeur des haltes", qui suit également les personnes restant dans les terntes du canal.
Une population jeune
Les hébergés sont en majorité jeunes, de 18 à 30 ans, mais, ce qui est plus rare, il y a une dizaine de couples. Cet hébergement nécessite l'emploi d'un responsable, de 8 permanents de nuit, d'un travailleur social et de 5 compagnons, auquel s'ajoute la visite hebdomadaire d'un infirmier psychiatrique de Ste Anne. Le but est de trouver pour chacun une solution adaptée en moins de 6 mois.
Pas la moitié!
Les problèmes fondamentaux à régler sont, on le sait bien, l'emploi et le logement. Les partenaires en matière d'emploi sont notamment l'ANPE et l'AFPA, et pour le logement, les structures associatives en relation avec l'Etat.
La Voix a rencontré un hébergé, auparavant personne de la rue dans le 14ème: "La question est de montrer sur 6 mois qu'on est capable de gerer un logement et de travailler".
Et à la question: "Beaucoup le peuvent?", sa réponse est:  "Pas la moitié!".
A.C.