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27 mars 2012

Aménagement de la place Moro-Giafferi : réunion publique jeudi 29 mars,19h, à la mairie du 14e arrondissement

Pascal CHERKI, Maire du 14e arrondissement, Conseiller de Paris et Etienne MERCIER, Conseiller d’arrondissement délégué auprès du Maire, chargé des transports, des déplacements et de l’espace publicPlace de_Moro-Giafferi en grand.JPGconvient à une réunion publique sur l’aménagement de la place Moro-Giafferi le JEUDI 29 MARS 2012 DE 19h à 20hà la mairie du 14e arrondissement Salle des mariage, 2, place Ferdinand Brunot 75014 Paris.

04 mars 2010

Porte d’Orléans, où en est-t-on ?

Le moins que l'on puisse dire, est que la Porte d'Orléans est en plein chantier, au sens propre comme au figuré. Le chantier est actuellement sous les voies du périphérique et l'heure est maintenant au rebouchage des trous, et c'est à la RATP que revient cette charge.

Cette remise à l'identique avait été (sous)estimée dans la convention ville-RATP à 500.000 euros. On s'aperçoit maintenant que ces travaux de remise en état, avoisinent  en réalité les 4,5 millions d'euros. . Il s'agit de la réfection des sols, de la « gare Optile  (Organisation professionnelle des Transports d'Ile-de-France)», des jardinières, de l'alimentation des feux rouges et de l'éclairage, etc.

En plus, la mairie souhaiterait profiter de cette remise en état pour effectuer quelques aménagements de voirie, estimés à 1,5 millions d'euros, qu'elle prendrait à sa charge. Soit un total de 5 à 6 millions dont l'essentiel est à trouver. Pascal Cherki, maire du 14ème, a expliqué la difficulté à obtenir une rallonge budgétaire de la RATP. Un vœu unanime du conseil d'arrondissement a été déposé.

Un groupe de travail a été constitué comprenant la RATP, la ville, la mairie du 14ème et les conseils de quartier, travaille sur ce dossier pour débloquer la situation.

A.C.

18 novembre 2009

Quoi de neuf Porte d’Orléans ?

La Porte d'Orléans bat certainement des records en matière de travaux de voirie et de gène pour les riverains et tous ceux qui la traversent jour et nuit. Après l'interminable chantier du tramway T3 qui a duré plusieurs années, on est passé à la prolongation de la ligne 4 du métro, qui, depuis 2006, et jusqu'en 2013, parsème le quartier de panneaux bleus  et verts, marque de fabrique des travaux parisiens. Il s'ensuit un embouteillage permanent, qui s'ajoute à ceux créés par les sens et contresens concoctés par nos fins stratèges écologistes et leurs amis de la mairie.

le_chantier_5sites.Article.0006.Image.gif.jpgEntre le square du Serment de Koufra et la mairie de Montrouge, on procède au percement de 460 mètres du tunnel voûté du prolongement. Les travaux se font en souterrain depuis l'emprise située dans le square. (Ci-contre, le schéma de raccordement des voies existantes en violet avec les nouvelles en jaune)

La station de métro Porte d'Orléans, qui accueille près de 30.000 voyageurs entrants par jour, en liaison avec les 14 lignes de bus qui y passent, va recevoir à cette occasion quelques aménagements. Terminus historique de la ligne 4 depuis sa mise en service en 1901, Porte d'Orléans devient l'avant-dernière station, avant le nouveau terminus, Mairie de Montrouge. Au nord, avenue du général Leclerc, en face de la rue Poirier de Narçay, devant le terminus des bus 28 et 36,une nouvelle entrée piétons va être aménagée. Deux ascenseurs pour handicapés vont être installés, l'un à l'angle du boulevard Jourdan et de la place du 25 août 1944, pour l'ascenseur desservant le quai direction Porte de Clignancourt, et à l'angle du boulevard Brune et de l'avenue du Général Leclerc pour l'ascenseur desservant le quai direction Mairie de Montrouge.

A.C.

10 octobre 2009

Une bretelle utile : la rue Hyacinthe Vincent

Les habitants du 14e connaissent bien la rue du Professeur Hyacinthe Vincent, sans avoir sans doute jamais prononcé son nom. C'est la rue qui longe le jardin de la Cité universitaire lorsque l'on sort de l'autoroute A6, et qui permet ensuite de continuer soit jusqu'au boulevard Jourdan, soit de tourner avenue Paul Appell. Depuis plusieurs années, cette sortie est fermée aux automobiles, tout en restant accessible aux taxis et aux autobus. Elle était pourtant bien pratique, cette bretelle de sortie, pour éviter les embouteillages de la Porte d'Orléans !

Devant l'augmentation des encombrements dus aux travaux du métro, la mairie songe à rouvrir la rue du Professeur Hyacinthe Vincent à tous, pour désengorger la Porte d'Orléans. Début septembre, un questionnaire à été adressé à plusieurs centaines de riverains. Trois questions ont été posées : « Souhaitez-vous maintenir la situation actuelle ? » « Souhaitez-vous que l'on réserve cette sortie aux seuls riverains du quartier ? » « Souhaitez-vous que cette sortie soit ouverte à tous ? »

Suite à ce sondage, la mairie prendra une décision dans les semaines qui viennent.

Gérard Desmedt

19 avril 2008

Peut-on encore rêver ?

Flâneur impénitent, vous l’êtes. Et vous observez tout : le spectacle de la rue, la vitrine des commerces, les détails d’architecture. Vous aimez Paris, votre quartier, ses rues, son ambiance, et brusquement… vous tombez en arrêt devant l’aspect peu attrayant constaté à propos de l’état de l’avenue du Général Leclerc, plus précisément entre la Porte d’Orléans et la place d’Alésia ( Victor Basch).

Vous êtes agacé pour le moins, parfois à la limite de la colère contenue en constatant que cette artère majeure parisienne, est livrée à toutes sortes de disgrâces d’ordre esthétique, d’où l’harmonie est absente, et que le laisser-aller général  a laissé place à quelques « verrues » de mauvais goût.

Ainsi, vous n’appréciez plus les bazars débordant de fournitures de médiocre qualité, ainsi que les  « fast foods » de restauration où la reine de la frite et son dauphin le sandwich vous font fuir. Vous constatez que la façade de la gare du chemin de fer de Petite Ceinture est aveuglée par un magasin proposant des produits importés de Chine ou d’ailleurs . En face de cette même gare, des bâtiments sont abandonnés et livrés aux tags débiles et aux squatters.

Bref, ces visions vous dépriment et sont complétées par cet aspect irritant que prend l’avenue, à savoir celui d’une autoroute urbaine saturée, que vous n’osez plus traverser, tant les feux rouges ont peu d’effet sur la nervosité et la muflerie des motards et autres «  pétroleuse charrettes » ! Et si vous ajoutez à cela, la saleté chronique et la défonce de certaines parties de trottoir, alors là, vous voyez rouge !

Ne parlons pas de l’abandon et de l’anémie des contenus de certaines jardinières, sortes de radeaux de la Méduse, dérivant sur l’océan hostile  de l’espace réservé aux piétons….

Bref, votre quotidien se transforme insidieusement en un « enfer », au mieux en un « purgatoire » irritants. Vos facultés se décomposent. Votre sang-froid devient de plus en plus chaud…  C’est alors que nous pouvons faire ici un rêve : disposer sur la chaussée de vastes plates-bandes fleuries, implanter des tonnelles et des gloriettes pimpantes, construire cascades et bassins, diffuser des chants d’oiseaux exotiques, repeindre les façades des immeubles et des devantures en bleu ciel tandis que le ciel lui-même subirait  une rénovation en bleu outre-mer !

 Rêvons … Sous les pavés il y a toujours la plage ! Utopie ? Non,  le rêve a parfois l’allure d’une porte ouverte sur la réalité, qui elle, peut être améliorée. Il suffit de le vouloir.

R . Rillot