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23 septembre 2011

RECİTAL DE FLÛTE DE WİLFRİDO TERRAZAS vendredi 23 septembre 2011 ( 20h ) à la Cité Internationale Universitaire de Paris

paris 14e,lavoixdu14e.info,ciup,cité internationale,cité uProgramme 1. Luis Paul Millán (México, 1984)CO2 (2008)*Flauta bajo
2.Cecilia Arditto (Argentina1966) Música Invisible, Libro Primero (2002-03) Lento Flauta
3. Samuel Cedillo (México, 1981) Injertos de oscuridad (2006-08) Flauta bajo
4. Alejandro Gómez Villagómez (México, 1965)…el crujir de dientes… Mateo 13: 41-42 (2006) Flauta Estreno mundial de la versión acústica
5. Mario Lavista (México, 1943) Lamento Flauta bajo
6. Hiram Navarrete (México, 1976) Nexpa (2006) Flauta WILFRIDO TERRAZAS, flautista Obras escritas para  WILFRIDO TERRAZAS

 A la Maison du Mexique  9 C, boulevard JOURDAN, 75014 Paris
Tél. : 33 (0)1 44 16 18 00

ENTRÉE LİBRE DANS LE LİMİTE DES PLACES DİSPONİBLES

08 mars 2010

Cinéma à la Cité Internationale Universitaire

LES AMANTS DU FLORE Le 10 mars 2010 à 20h30
Film d'Ilan DURAN COHEN, 2005, v.o. fr., 1h45 Avec Lorant DEUTSCH et Anna MOUGLALIS, FIPA d'or du meilleur scénario.

La passion de Simone de BEAUVOIR pour Jean-Paul SARTRE commence en 1929 alors qu'ils préparent l'agrégation de philosophie à la Sorbonne. BEAUVOIR pense pouvoir tout partager avec ce fascinant alter ego. Mais SARTRE, Don Juan insatiable, lui propose un pacte : confesser leurs infidélités. Un duel d'amour commence. Il l'entraîne dans une vie aussi riche que dissolue qui ne la laissera pas intacte. De bonheurs en épreuves, mûrit en BEAUVOIR une œuvre qui va changer la vie des femmes : Le Deuxième Sexe.

Entrée libre dans la mesure des places disponibles à la Fondation Suisse 7 boulevard Jourdan tel 01 44 16 10 16

 

NUAGES DE MAI Le 12 mars 2010 à 20h 30

Film réalisé par Nuri Bilge Ceylan.
Turquie, 2000, 115 min., version originale sous-titrée français

Participation aux frais : 4 €

Un jour de mai, un cinéaste retourne dans son village natal d'Anatolie pour y tourner un film. Pour le réalisateur turc Nuri Bilge Ceylan, il s’agit d’un retour chez ses parents où il raconte une histoire sur l’enfance et la nature. C’est une déclaration d’amour à la simplicité : pas de drame, pas de montage rapide, peu de musique. C’est comme un retour aux débuts du cinématographe. Le regard se concentre sur la lumière dans les feuilles ou sur une tortue en mouvement. Cependant, ce voyage dans le temps ne devient jamais sentimental. Nuages de mai est rempli d’une nostalgie ironique.

Maison Heinrich Heine Cité  Internationale  Universitaire  de  Paris 27 C, Boulevard Jourdan F - 75014 Paris) 01 44 16 13 00

 

 

EN ATTENDANT LE BONHEUR Le 19 mars 2010 20h30
Réalisé par Abderrahmane Sissako (Mauritanie, 2002, 95 min.).
Un jeune Malien retrouve sa mère dans une petite ville mauritanienne, en attendant de partir vers l'Europe.

Participation aux frais : 4 €

Dans ce lieu d'exil aux espoirs fragiles, l’homme, qui ne comprend pas la langue, tente de déchiffrer l'univers qui l'entoure. Un film africain ludique, poétique et décalé, dans la mesure où il ne se focalise ni sur des points de vue traditionnels ou archaïques, ni sur la misère socio-politique. En attendant le bonheur se situe ailleurs, loin des récits linéaires et édifiants sur le tiers-monde.

Maison Heinrich Heine 27 C, Boulevard Jourdan F - 75014 Paris) 01 44 16 13 00

 

 

08 octobre 2009

Cité U - la maison des Etats-Unis

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Cette fondation est construite comme un immeuble, avec ses 275 chambres et son entrée sur le bd Jourdan. L'architecte, Pierre Leprince-Ringuet, à qui l'on doit également la Maison des élèves de l'Ecole Centrale à Paris, les ateliers Michelin à Londres, les musées archéologiques de Beyrouth et plusieurs églises dans le Nord de la France, a mêlé la pierre et la brique afin de briser la monotonie de cette grande bâtisse.

La construction fut décidée en 1925 à l' initiative de Myron T. Herrick, ambassadeur des Etats-Unis à Paris, qui réunit 400 .000 dollars souscrits par M. et Mme Homer Gage des universités américaines, de la Fondation Carnegie, de la Société des Amis de la Légion d'Honneur, du Comité France -Amérique et par des personnalités comme le banquier Morgan.

Elle  fut inaugurée en avril 1930.

A l'intérieur dans le hall, deux fresques aujourd'hui disparues  représentaient Lafayette contemplant l'Amérique nouvelle avec ses tours, et le général Pershing débarquant en France, prononçant les paroles historiques : « Lafayette nous voici  ". D'autres fresques et deux salons d'honneur meublés à l'origine en style Louis XV et Louis XVI donnaient un certain cachet à cette fondation.

S.E.

15 septembre 2009

Cité U : maison des étudiants suédois

paris-cite-universitaire-internationale-29-suede.jpgCompacte, rappelant un peu le style des gentilhommières du XVIIIe siècle, cette Maison de la Suède ne compte que 40 chambres. Ne voulant pas dépayser les étudiants, les fondateurs lui ont donné une ambiance familiale et chaleureuse.

C'est à l'amitié franco-suédoise que cette Maison doit d'avoir été construite. Conçue par les architectes Peder Clason et Germain Debré, elle a quatre niveaux avec un toit percé d'oeils-de-bœuf.

Sa façade en brique enduite de ciment, ses fenêtres placées à la mode nordique à encadrements moulurés et aux volets bleus, en font une construction typiquement suédoise.

Au rez-de-chaussée, une petite salle de réunion ouvre sur une terrasse prolongée par le parc, enfin sur la façade, les armes de la Suède.

Cette jolie résidence fut inaugurée en 1931.Tout près, se trouvent les Maisons du Danemark et de la Norvège : une petite enclave scandinave dans la cité universitaire.

S.E

18 août 2009

la Cité U et la maison de l'Italie

maison-l-italie-305159.jpg

Tardivement construite du fait de la guerre, la maison de l'Italie fut inaugurée en janvier 1958. Sa belle architecture, fidèle aux années 30, est signée Portaluppi et Klein.

Typiques de l'Italie, les arcades du rez-de-chaussée, le fronton qui couronne le corps d'entrée, le porche à pilastres rappellent le style de ce merveilleux pays. Quelques fragments de ruines antiques placés dans le jardin, des pierres sculptées par Mario Nieddu ajoutent à l'ambiance romaine.

C'est à un "comité pour la maison italienne de l'étudiant à Paris" que revient l'initiative de cette construction. Le professeur Quaroni, fondateur de ce comité, réunit en 1953 les fonds en grande partie offerts par le Rotary italien.

Cette maison comporte 70 chambres et a été restaurée en 1981. C'est un peu de l'Italie dans le parc de la Cité.

S.E.

12 août 2009

La résidence Avicenne à la Cité U

Anciennement Maison de l'Iran, la Résidence Avicenne est le dernier bâtiment construit à la Cité Universitaire.

avicennesb_1.jpg
En octobre 1961, le Shah d'Iran posa la première pierre et rappela à cette occasion les liens culturels unissant son pays à la France et comment la diffusion de la langue française, au 19ème siècle, ouvrit son peuple à de vastes connaissances occidentales.

Confiée d'abord à deux architectes iraniens, la réalisation du bâtiment se vit adjoindre un ingénieur-conseil, René Sarger, un plasticien-conseil, André Bloc, et un architecte chargé de l'exécution, Claude Parent.

L'inauguration eut lieu en octobre 1969 par le Shah accompagné de son épouse Farah Dibah qui connaissait bien la Cité pour y avoir séjourné durant ses études en France.

Mais rapidement, la politique, au sein de cette réunion d'étudiants opposés au régime du Shah, obligea la fermeture de la Résidence qui fut alors complètement abandonnée par l'Etat iranien.

Reprise par la Fondation Nationale de la Cité Universitaire, elle fut réouverte en 1972 sous le nom d'Avicenne, en hommage au grand savant persan ( médecin, philosophe, 980 – 1037).

Une cafétéria, une salle de réunion, 100 chambres réparties en deux groupes de quatre étages dans un cadre typique, les étudiants ne se sentent pas dépaysés.

S.E.

 

05 août 2009

Du cirque à la Cité U jusqu'au 9 aout


C’est le cirque au Théâtre de la Cité Internationale avec « Autres pistes » de Kitsou Dubois. La chorégraphe réunit une belle troupe de circassiens pour une série de spectacles de haute voltige : aérien, mât, jonglage, acrobatie, clown !

Mât chinois, diabolo, équilibre, clown, main à main... Formes courtes présentées par la chorégraphe Kitsou DUBOIS dont le travail est marqué par ses recherches en apesanteur.
Un programme cirque qui se reconfigurera au fil de l’été avec des propositions changeantes, en plein air ou dans les salles, en fonction des artistes et de la météo.


Restauration conviviale de rigueur et billet couplé donnant accès à la piscine de la Cité internationale. Une façon de vivre l’été à la Cité. En partenariat avec Paris quartier d’été.

Sur présentation de leur billet pour « Autres pistes », les spectateurs bénéficient d’une entrée gratuite à la piscine et un accès aux terrains de tennis de la Cité Universitaire. De même, les spectateurs bénéficient gratuitement d’ateliers d’initiation aux arts du cirque en famille sur les pelouses de la Cité.

Théâtre de la Cité Internationale 17 boulevard Jourdan. RER ou T3 Cité Internationale.
Tarifs : 18 €, 14 € pour les seniors et habitants du 14e, 10 € pour les moins de 30 ans et 5 € pour les moins de 12 ans. Liens : Théâtre de la Cité Internationale http://www.forumsirius.net/orion/citei.phtml?kld=2

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27 juillet 2009

Léopold Sedar Senghor

Léopold Sedar Senghor a résidé dans le 14e à la Cité Internationale Universitaire de 1931 à 1934 (la Fondation Deutsch de la Meurthe). et à ce titre, il convient de rappeler, pour nos lecteurs,   les différentes  étapes de son passage  dans notre  arrondissement.

senghor.jpgLéopold Sedar Senghor est né le 9 octobre 1906 à JOAL, pittoresque village de la Petite Côte au sud de Dakar (115 km). Un village surprenant avec ses vieilles maisons à étages, ses cocotiers, ses "tanns" (grandes étendues de terre séchée) et des montagnes de coquillages surmontées de baobabs centenaires.

Senghor est issu d’une famille de commerçants catholiques de l'ethnie sérère. Sa première idée est de devenir prêtre pour pouvoir "travailler à l'émancipation de sa race". A 20 ans, il entre au lycée de Dakar, puis prend le bateau pour Paris en 1928.

Seul, exilé, il prépare Normale Supérieure en khâgne à Louis-le-Grand. Il rencontre Georges Pompidou qui restera toujours son ami. Devenu le premier agrégé africain de grammaire, il enseigne le français. «Je déchirerai, écrit-il, le rire Banania sur tous les murs de France» A la même époque, il se lie avec Aimé Césaire et Léon Damas. Avec Aimé Césaire, il lance la revue «L’étudiant Noir». Il y ébauche ses premières définitions de «la négritude». "Objectivement, la négritude est un fait : une culture. C’est l’ensemble des valeurs économiques et politiques, intellectuelles et morales, artistiques et sociales non seulement des peuples d’Afrique Noire, mais aussi des minorités noires d’Amérique et d’Océanie».

Senghor devient Président de la République du Sénégal le 20 août 1960.

Président d’un Sénégal indépendant. Une véritable indépendance avec un Président et un Président du Conseil Mamadou Dia. Cette répartition des tâches n’a duré que jusqu’en décembre 1962. Une nouvelle constitution est déclarée et approuvée le 4 mars 1963. Au terme de 20 années à la tête du Sénégal, Senghor abandonne volontairement le pouvoir le 1er janvier 1981. Conformément à la constitution, c’est Abdou Diouf, le Premier Ministre, qui devient Président. Sept ans après, le 28 janvier 1988, Abdou Diouf est réélu au suffrage universel.

Léopold Sedar Senghor était un grand poète.

«Chants d’Ombre», «Ethiopiques», «Lettres d’hivernage" et beaucoup d’articles parus dans «Présence Africaine». Senghor, quant à la nature de l’être, se réfère explicitement à Teilhard de Chardin "tendre vers le plus être".

Extrait de «Chants d’Ombre» : …«Femme nue, femme noire, gazelle aux attaches célestes, les perles sont des étoiles sur la nuit de ta peau… A l’ombre de ta chevelure s’éclaire mon angoisse aux soleils prochains de tes yeux» …

«Des chants d’oiseaux montent lavés dans le ciel primitif»…

«L’odeur verte de l’herbe monte»….

«Ecoute le bruissement blanc et noir des cigognes à l’extrême de leurs voiles déployées»…

«Ecoute le message de l’Afrique lointaine et le chant de ton sang !»…

Il fut élu à l’Académie Française en 1984, à l’âge de 78 ans.

Léopold Sedar Senghor est mort le 20 décembre 2001 en Normandie où il s’était retiré. Il a été enterré le 29 décembre 2001 à Dakar.

Marie-Chantal Belin

«Œuvres poétiques» Coll. Essais - Ed. Point

«La revue Présence Africaine et Léopold Senghor» Ed. Présence Africaine

04 mai 2009

De tout , un peu... à voir dans nos quartiers

A la Cité U : la Biennale internationale des arts de la marionnette aura du 6 mai au 10 mai. Elle sera consacrée aux formes les plus contemporaines que présenteront des compagnies venues de toute l’Europe. Le programme complet de cette manifestation peut être consulté sur : www.theatredelacite.com

L’association Florimont organisera le 4 juillet prochain un défilé populaire qui aura pour lieu d’expression la rue Raymond Losserand. Place de la Garenne, la journée se terminera par un bal populaire.

La fête des Thermopyles organisée par Urbanisme et Démocratie aura lieu les 19 et 30 juin.

L’atelier Alberto Giacometti : une plaque commémorative a été apposée au 46 rue Hippolyte Maindron. Ce lieu est à la fois symbolique et perpétue la mémoire du grand artiste. L’origine de cette initiative en revient à la Fondation Alberto et Annette Giacometti. La préservation de l’ensemble de ces lieux est à souhaiter car elle marque l’intérêt majeur apporté à la mémoire de ce grand artiste.

Les vendredi 15 et samedi 16 mai, sous l’égide du collectif Malakoff – Paris – Vanves aura ieu un week-end de fête sur le terre-plein de la couverture du périphérique, à la Porte de Vanves. Déjeuner le samedi, animations et stands d’associations ainsi qu’un spectacle sur scène animeront ces journées. Quelques projets et réflexions sur la création d’un jardin sur dalle seront présentés.

Au dessus du périphérique, un peu de vert. Sur plus de 400 mètres, une dalle de béton recouvre le périphérique aux abords de la Porte de Vanves et à la frontière des trois communes de Vanves, Malakoff et Paris. Maintenant il s’agit de faire des propositions pour aménager ce nouvel espace. A partir du 4 mai, des expositions seront organisées dans les mairies des trois communes précitées. Les observations des habitants seront recueillies afin que le comité de pilotage puisse être avisé des remarques des habitants. Il y a trois ans, un collectif MPV (Malakoff Paris Vanves) a été créé, regroupant une vingtaine d’associations. Dès à présent avancer qu’un jardin public, un terrain multi sports et un équipement inter communal sont prévus.

Les 15 et 16 mai aura lieu la Fête des trois communes, afin de favoriser les rencontres entre les riverains de la Porte de Vanves et des deux communes limitrophes précitées.

15 octobre 2008

théâtre à la cité U

DEDANS DEHORS DAVID

D’après le portrait II du roman Closer de Dennis COOPER.
Mise en scène et installation : David BOBEE.

Comme dans les précédents spectacles du groupe RICTUS que nous avons accueillis, Fées et Cannibales, David BOBEE dénonce les pièges qui attendent sa génération : la consommation, le vide caché derrière le trop plein, cette fois le leurre de la célébrité factice. Pour faire entendre le danger, il s’est emparé des mots de Dennis COOPER, l’Américain qui comme Bret EASTON ELLIS, conjugue sexe, drogue et rock and roll dans ses portraits de jeunes gens en quête d’identité. Il a choisi le portrait 2 de Closer, son premier roman, qui donne la parole à David, jeune homme à la beauté artificielle, dont on débusque vite les mensonges sur fond de désir éperdu d’être aimé. Il a confié les mots de David à Fanny CATEL-CHANET, l’une des Fées, Fanny au corps d’enfant/femme qui parle d’elle au masculin, laissant apparaître l’enfant tourmenté, tandis que défilent en lettres rouges sur un écran les phrases de la Star Ac. Un spectacle troublant et fascinant. (Durée 1h)
jeudi 16 octobre et les Lundi, mardi, vendredi, samedi : 20h00, jeudi : 19h (sauf jeudi 2 octobre : 20h) , relâches mercredi, dimanche

L'OPÉRA PAYSAN

Théâtre-musique : Spectacle en hongrois, surtitré en français.

Béla PINTÉR est une des personnalités les plus intéressantes de la scène hongroise d’aujourd’hui. Danseur puis performer, il sait mêler dans ses propres spectacles la tradition hongroise aux tendances les plus actuelles du théâtre. L’Opéra paysan, qui associe acteurs professionnels et non professionnels. a tourné dans le monde entier. Ce spectacle mélange les genres : légendes villageoises et réalité d’aujourd’hui, chansons folkloriques hongroises et musique baroque et pop-rock. Un mariage de campagne est troublé par de sombres révélations venues du passé — passion, meurtre, inceste — qui bousculent le présent. Du théâtre musical extravagant, qui fait se croiser les histoires et les musiques l’humour faisant exploser les drames les plus sombres. Des comédiens / chanteurs époustouflants entraînent les spectateurs dans ce délire.
Écrit et mis en scène par Béla PINTÉR
Musique Benedek DARVAS.

jeudi 16 octobre et tous les jours à 20h30 - relâche dimanche

Théâtre de la Cité internationale 10€ (- de 30 ans et résidents) | 14€ (réduit) | 21€ (plein)

09 juin 2008

La Cité U développe l'accueil des chercheurs étrangers

La Cité internationale joue pleinement son rôle dans l’accueil des chercheurs étrangers en région Ile-de-France. Le Bureau régional d’accueil des chercheurs étrangers à délivré depuis 2007 près de 22 000 services personnalisés .

La qualité de l’accueil est un souci permanent. La Cité Internationale continue pendant la période estivale – de juin à septembre- à soutenir la politique internationale des universités des grandes écoles et des centres de recherche. C’est pourquoi, elle recevra pendant l’été, les universités d’été organisées par Paris I, Paris III et encore les écoles d’été de l’Ecole d’Economie de Paris.

La Cité Internationale a développé une véritable ingénierie de l’accueil. Son pôle d’accueil des publics en mobilité traite tous les problèmes liés à la mobilité et à l’intégration des chercheurs étrangers : logement, formalités administratives, venue en famille. Ce service coordonne les activités du Bureau régional d’Accueil des Chercheurs Etrangers ( BRACE) Quatre centres de mobilité locaux quadrillent l’Ile-de-France pour répondre à tous les besoins des chercheurs en mobilité scientifique. Le BRACE contribue ainsi à favoriser l’attractivité de la région.

 Il faut noter que le nombre de chercheurs accompagnés dans leur mobilité et leur séjour en Ile-de-France n’a cessé de progresser, passant de 270 en 2002 à  2 650 en 2007. 220 chercheurs en moyenne viennent frapper tous les mois à la porte de l’un des quatre bureaux régionaux d’accueil pour s’inscrire.

Les quatre bureaux d’accueil du réseau francilien :

Paris : www.ciup.fr/chercheurs

Paris nord : université de Saint Denis : www.univ-paris8.fr/cmpn

Science accueil orsay : www.science-accueil.org

Polytechnicum de Marne-la-vallée : www.polytechnicum.org/bici

les services rendus : le travail des équipes d’accueil consiste à soulager le chercheur – et le laboratoire d’accueil – des tracas d’installation. L’aide proposée inclut tous les aspects de la vie quotidienne.

L’attractivité de la région : l’action de ses quatre bureaux d’accueil, implantés au cœur des bassins de recherche répond à un véritable besoin. La région Ile-de-France est la première concentration européenne de recherche et de développement. L’accueil exemplaire de ses talents et de ses compétences pourrait dans les années à venir, contribuer à l’attractivité de Paris et de sa région.

Les perspectives 2008 : afin de renforcer son action, le BRACE compte s’implanter sur de nouveaux sites universitaires : Vallée scientifique de la Bièvre, une antenne à Evry et une autre à Créteil.

Pour en savoir plus : bureau d’accueil des chercheurs étrangers (BRACE) : Cité Internationale Universitaire de Paris : 17 boulevard Jourdan, 75014 – Paris – tél : 01 70 08 76 34 – courriel : bace@ciup.fr

07 juin 2008

Le cabaret des utopies au Théâtre à la Cité U

Nous présentons du 2 au 28 juin au Théâtre de la Cité internationale , un spectacle qui a pour titre :  Le cabaret des utopies. Un spectacle tout en musique et en chansons!

 Il s'agit d'un collectif de jeunes acteurs qui interrogent les utopies de notre temps en théâtre et en chansons. Ils sont 15 artistes, ayant tout juste 30 ans, sortis du TNS où ils ont pris goût à la création collective. Ces docteurs "ès Utopie" s’interrogent : « Avons-nous encore de grands rêves ? Pouvons-nous espérer une société meilleure ? ». Mais très vite l’utopie tourne au drame. Cabaret, performance, agit prop : chacun cherche à imposer sa vision du monde et se laisse aller à la confession de ses rêves intimes.

Il pourrait s'agir d'une occasion de proposer aux habitants du 14ème et autres internautes de découvrir ou redécouvrir un Théâtre voisin, dans le parc de la Cité.

Plus d'informations sur ce spectacle, http://www.theatredelacite.com/
 boulevard jourdan - 75 014