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30 décembre 2014

La Fondation Henri Cartier Bresson présente :

Du 14 janvier au 26 avril 2015, la Fondation Henri Cartier-Bresson présente Kin (l’intime), le dernier projet du photographe sud-africain Pieter Hugo.

À travers des portraits, des paysages et des natures mortes exposés pour la première fois en France, le photographe propose une réflexion sur la complexité de l’identité sud-africaine postapartheid. L’exposition, accompagnée d’un livre publié par Aperture, est coproduite avec la Fondation Foto Colectania, Barcelone et la Galerie Stevenson, Le Cap/Johannesburg. Jessica Retailleau https://gallery.mailchimp.com/cbf4a35da2323804af8f5109f/f... Fondation Henri Cartier-Bresson / 2, impasse Lebouis 75014 Paris / T.+33 1 56 80 27 00

Ouvert du mardi au dimanche de 13h à 18h30, le mercredi jusqu'à 20h30 et le samedi de 11h à 18h45

09 septembre 2014

William Eggleston à la Fondation HCB

hcb,cartier bresson,william egglestonDu 9 septembre au 21 décembre 2014, la Fondation Henri Cartier-Bresson consacre une exposition au photographe américain William Eggleston.

À travers une centaine d'épreuves en noir et blanc et en couleur, empruntées à différentes collections et au fonds de l'artiste, l'exposition propose de montrer l'évolution, les hcb,cartier bresson,william egglestonruptures et surtout la radicalité qui peu à peu apparaît dans l'œuvre du photographe américain, alors qu'il aborde la photographie en couleur à la fin des années soixante.

L'exposition, accompagnée d'un catalogue publié par STEIDL, est coproduite avec le musée de l'Elysée, Lausanne. 

Fondation Henri Cartier-Bresson 2, impasse Lebouis 75014 Paris +33 1 56 80 27 03 - 7 €, 4 € tarif réduit, nocturne le mercredi (18h30 – 20h30) Métro Gaité - Pernety- Bus 28- 58

12 avril 2014

Guido Guidi à la Fondation Henri Cartier-Bresson jusqu'au 27 avril

hcb,cartier bresson,henri cartier-bresson,guido guidiDu 16 janvier au 27 avril 2014, la Fondation Henri Cartier-Bresson présente une importante exposition de Guido Guidi, figure majeure de la photographie contemporaine italienne, qui considère la photographie comme un prolongement du regard, une manière de vivre.

Pour la première fois en France, les quarante ans de carrière du photographe, pionnier du renouveau de la photographie du territoire, sont retracés.
Sur deux étages, les expérimentations en noir et blanc des années soixante-dix côtoient les séries couleur emblématiques telles que In between cities, New map of Italy ou Preganziol.

Fondation Henri Cartier-Bresson 2, impasse Lebouis, 75014 Paris, tel 33 1 56 80 27 03

17 janvier 2013

"Le bon tirage de la bonne image trouvé au bon moment": Howard Greenberg

Du 16 janvier au 21 avril 2013, la Fondation Henri Cartier Bresson expose la remarquable collection privée du galeriste new yorkais Howard Greenberg. Une centaine de chefs d’oeuvre, caractéristiques des choix avisés du « galeriste-collectionneur », sont pour la première fois dévoilés au public.

Howard Greenberg,HCB,henri cartier bresson

Des modernistes de l’école tchèque (Drtikol, Rössler, Funke) aux photographes de la FSA (Lange, Evans) en passant par les humanistes (Hine, Seymour) ou les maîtres américains (Callahan, Frank, Winogrand), c’est une histoire personnelle de la photographie qui est racontée. Parmi la sélection, sont présentés des tirages d’une qualité exceptionnelle et des photographes majeurs, parfois méconnus comme Roy DeCarava, Leon Levinstein ou Ralph Eugene Meatyard ou Dorothea Lange (dont ici la célèbre photo Migrant mother, cliquez pour agrandir ).

Howard Greenberg se passionne pour la photographie au début des années 1970. C’est ainsi qu’il crée le centre de la photographie de Woodstock puis sa galerie, pour s’affirmer très vite comme l’un des piliers de la scène photographique new yorkaise. En tant que galeriste, Howard Greenberg expose ce qui lui tient à coeur, sans tenir compte de l’aspect commercial, le travail des grands maîtres aidant à financer le reste. Il utilise le même principe pour sa collection qu’il complète au gré de ses coups de coeur, de sa sensibilité.

Fondation Henri Cartier Bresson 2, impasse Lebouis
75014 Paris
+33 1 56 80 27 03
www.henricartierbresson.org

Du mardi au dimanche de 13h00 à 18h30, samedi de 11h00 à 18h45, nocturne mercredi jusqu’à 20h30.
6 € , 4 € tarif réduit (chômeurs -justificatif de -  de 3 mois-, moins de 26 ans, plus de 60 ans)
Gratuit handicapés, presse, Amis de la Fondation et en nocturne le mercredi (18h30 – 20h30)

05 juin 2012

Yutaka Takanashi à la Fondation HCB jusqu'au 29 juillet 2012

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"Pour la première fois à Paris, la Fondation Henri Cartier-Bresson consacre une exposition au photographe japonais Yutaka Takanashi. A travers des séries en noir et blanc et en couleur, le co-fondateur du magazine Provoke nous donne à voir la ville de près comme de loin."

Depuis toujours, Yutaka Takanashi photographie la ville: de près, de loin, voire de très loin ; tantôt «à l’affut» d’une image chargée de poésie, tantôt « ramasseur » d’un morceau de réel. Né en 1935 à Tokyo, Takanashi a travaillé dans la publicité avant de devenir enseignant à l’université Zokei. Il est membre fondateur en 1968 du fameux mouvement Provoke qui publia brièvement la revue éponyme. L’aspect provocateur de ce court phénomène cachait une réaction profonde à l’establishment photographique. Toshi-e (vers la ville), son premier livre en noir et blanc à la maquette sophistiquée, marque la distance du photographe, qui a su affirmer son style en ne cédant pas aux sirènes du moment. Takanashi cherche l’invisible, une poétique différente dans des espaces urbains improbables en pleine mutation. Machi (la ville), son deuxième ouvrage, est tout le contraire de Toshi-e : avec Machi, j’ai tenté de me débarrasser du poétique, explique le photographe, qui a su trouver une modernité dans cette approche calme et pensée de la ville de l’intérieur, en couleur.

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07 janvier 2012

La Fondation H.C.B. rend hommage à Henri Cartier-Bresson et Paul Strand...

 

Henri Cartier Bresson Santa Clara Mexique 1934.jpgDu 11 janvier au 22 avril 2012, la Fondation HCB rendra hommage à deux grands maîtres de la photographie : Henri Cartier-Bresson et Paul Strand. La mise en perspective de leurs travaux sur le Mexique entre 1932 et 1934 sera l’occasion pour le public de découvrir deux approches de la photographie.hcb,henri cartier bresson,paul strand,paris 14e

Les convergences sont nombreuses mais les styles varient profondément. À la fluidité du Français s'oppose l'immobilité de l'Américain. Tous deux voyagent au Mexique à la même époque, tous deux se croisent à New York en 1935, alors qu'ils rejoignent le groupe de cinéastes engagés Nykino, pour tenter une expérience cinématographique dans une phase clé de leurs deux carrières.
 
L'exposition présente 90 tirages en noir et blanc : les œuvres de Paul Strand proviennent de collections espagnole, américaine et mexicaine ; celles de Cartier-Bresson, dont certaines inédites, sont issues de la collection de la Fondation HCB.

Renseignements: http://www.henricartierbresson.org/prog/PROG_expos_fr.htm#

Fondation  Henri Cartier -Bresson 2 Impasse Lebouis  75014 Paris 01 56 80 27 00
Jessica Retailleau 2, impasse Lebouis 75014 Paris -0 1 56 80 27 03
www.henricartierbresson.org

08 octobre 2011

Lewis Hine expose à fa Fondation HCB

Ici, la photo devient le témoignage vivant de la réalité sociale, terrible, oppressante.

Lewis Hine l'ascension vers l'Amérique Ellis Island 1905.jpgIl s’agit des immigrants venus de l’Europe, qui se retrouvent abandonnée, vivant dans les taudis d’Ellis Island à New-York en 1905. On y voit le travail des enfants, la maladie, la misère, le dénuement total. Nous croisons les mendiants, les chômeurs faisant la queue devant un bureau d’embauche, le travailleur estropié, la veuve et ses dix enfants, les noirs américains dans leur ghetto, les réfugiés de guerre, le ramasseur de coton, le cireur de chaussures… Une humanité souffrante, désespérée.

La démonstration de l’exploitation de l’homme par l’homme éclate ici au grand jour, sans le pouvoir des mots, car ceux-ci sont inutiles, hors « champ » ; seule l’accablante misère humaine  est omniprésente.

Nous sommes au tout début de la photographie documentaire, du reportage objectif. L. Hine dit : « je veux créer une image plus réelle que la réalité elle-mêmeil faut de la lumière, une image directe, sans effets de clairs obscurs ».

Plus tard , de 1933 à 1938, plusieurs clichés se rapportant au « New Deal » initié par Franklin Roosevelt nous rappellent la politique interventionniste mise en place pour lutter contre les effets de la Grande Dépression de 1929. Voir les clichés se rapportant à la construction de l’Empire State Building !Lewis Hine fileuse dans une usine de Nouvelle  Angleterre 2004.jpg

Photographe humaniste, épris de justice sociale, "J'ai voulu montrer ce qui devait être corrigé ; J'ai voulu montrer ce qui devait être apprécié. Il faut de la lumière, de la lumière à flots... " Lewis Hine cherche à démontrer l’asservissement des hommes à la production industrielle pour le profit de quelques uns. Il bataillera contre le travail des enfants au sein de la N.C.L.C. ( National Child Labor Committee ). A ce titre, il est pour nous un miroir dans lequel se reflète les aspirations de l’homme : bien-être, éducation, justice, critères essentiels  et nécessaires pour la libération de l’humanité.

R.R

-  Lewis Hine à la Fondation Henri Cartier Bresson : 2, impasse Lebouis – 75014 - 01 56 80 27 00 - www.henricartierbresson.org

--Exposition jusqu’au 18 décembre du mardi au dimanche de 13h à 18h 30, le samedi de 11h à 18h 45

03 septembre 2011

La Fondation HCB expose Lewis Hine

exposition Lewis Hine.jpgLa Fondation HCB exposera du 7 septembre au 18 décembre 2011, le travail du photographe américain Lewis Hine.
 
Armé de sa lourde chambre photographique, Lewis Wickes Hine (1874-1940) fut un combattant acharné pour la justice sociale.
 
L’exposition de la Fondation HCB rassemble environ 150 tirages originaux en noir et blanc provenant de la George Eastman House, International Museum of Photography and Film de Rochester. Cette rétrospective couvre l’ensemble de la carrière de Hine : portraits d’immigrants débarquant à Ellis Island, enfants au travail, construction de l’Empire State Building, reportages en Europe à la fin de la première guerre mondiale. Des documents inédits, récemment acquis par Rochester seront également présentés. Coproduite avec la Fundación MAPFRE de Madrid et le Nederlands Fotomuseum de Rotterdam, cette exposition a reçu le soutien de la Terra Foundation for American Art.
2, impasse Lebouis 75014 Paris tel+33 1 56 80 27 03
www.henricartierbresson.org

30 janvier 2010

Doisneau: Du métier à l'oeuvre

Robert Doisneau

Poète de l'instant privilégié, du quotidien éphémère, soudain projeté dans le ciel de l'universel, Robert Doisneau a toujours eu la réputation d'un chasseur des atmosphères dîtes populaires, que nous retrouvons ici, à travers une centaine d'œuvres reprenant les thèmes chers à l'auteur : le Paris des années 30/60, la banlieue, particulièrement celle du sud : Montrouge, Arcueil, Gentilly, mais aussi Saint Denis et son canal, Billancourt ou la Courneuve...expophoto Robert Doisneau à la fondation Henri Cartier Bresson bidonville à Ivry.jpg

Le réalisme est le fil conducteur de son œuvre, mais un réalisme transcendé par la poésie du regard. Et quel regard ! Une poésie à fleur de pupille, où le pavé des rues nous offre en retour, le reflet d'une lumière cachée, musique des choses simples que nous percevons avec tendresse et sensibilité : les bouchers mélomanes semblent répondre à la façade lépreuse d'une bistrot vers lequel s'achemine un couple seul, de jeunes mariés...expophoto Robert Doisneau à la fondation Henri Cartier Bresson le nez au carreau.jpg

Subtile alchimie que révèlent ces photographies, toutes empreintes d'une humanisme à fleur de peau, où le corps à corps de la lumière et des ombres compose un univers répondant à nos mémoires : tendresse, mélancolie, plaintes sourdes, enfance retrouvée, grâce, élan profond, sourire d'une certaine innocence, celle que le naturel n'efface jamais et qui ne demande qu'à refaire surface.

Une exposition où le témoignage du photographe se révèle par une pure sincérité sans détour, celle que porte la musique du cœur.  R.R

- HCB : 2, impasse Lebouis - 75 014-  contact@henricartierbresson.org

- Exposition jusqu'au 18 avril 2010.

01 février 2006

Le silence intérieur


Exposition de portraits à la Fondation H.C.B.

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Voici une sélection de portraits réalisés par Henri-Cartier Bresson, tout au long de sa vie. Sont rassemblée en ce lieu, une centaine de photographies réalisées entre 1931 et 1999. Emblématiques, ces portraits nous montrent J.P. Sartre. E. Piaf, Marylin Monroe, Samuel Beckett, François Mauriac, les peintres Bonnard, Matisse, Braque, et bien d'autres artistes et intellectuels qui ont marqué le 20° siècle.

Henri Cartier Bresson disait : "Je cherche à traduire la personnalité et non une expression. Je cherche surtout un silence intérieur".
Ainsi, chaque portrait se définit par sa relation intime entre un regard et une présence, l'un et l'autre se renvoyant dans un contrepoint silencieux les éléments d'un dialogue où le photographe et le modèle n'ont jamais fini de poser le point final d'une rencontre exclusive.

Pierre et Marie CURIE

Fondation H.C.B : 2, impasse Lebouis – 75014 - Exposition jusqu'au 9 avril 2006. Tél : 01 56 80 27 00