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30 mai 2020

Un peu d'humour

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Ceux  qui exigent la vérité ne devraient pas s'en plaindre.

Le papillon bat des ailes comme pour applaudir au printemps.

Les conservateurs sont des plombiers qui cherchent à colmater la fuite en avant.

Faire un régime me pèse.

Quand on n'a plus rien à se dire, on parle de communication.

La coexistence d'avis contraires n'exclut pas l'existence d'une vérité.

Photo:Le monarque est un papillon très large caractérisé par des ailes orange veinées de noir. Son pourtour noir est orné d’une double rangée de points blancs. Les monarques sont présents en Amérique du nord, en Australie, et dans certaines iles du Pacifique.

27 mai 2020

A la recherche des œuvres perdues de Giacometti

L’Institut Giacometti est l’un des « petits musées » autorisé à rouvrir après la sortie du confinement. Une occasion pour les habitants du 14e de découvrir (ou de redécouvrir) ce petit espace (350 m²) dédiés à l’artiste qui habita et travailla dans l’arrondissement. L’occasion surtout de voir une exposition temporaire étonnante, « A la recherche des œuvres disparues »

Atelier Giacometti.jpg

Entre 1920 et 1935, Alberto Giacometti se cherche. Il est influencé par le cubisme, puis par le surréalisme. Mais on connaît peu d’œuvres de cette période. L’artiste produit, mais détruit beaucoup ensuite. Il reste heureusement des dessins, des croquis, quelques photos de ses compositions, présentes dans l’exposition.

Grâce à ces documents, des artistes contemporains ont pu recréer, au plus près, plusieurs sculptures du maître. Notamment « l’Objet surréaliste », une séduisante œuvre de bois et de fer, qui mêle roue, sphères et triangles. Et aussi « Mannequin », une première étude qui se transformera plus tard en « la Femme qui marche », une sculpture exposée en permanence à la Fondation. Et encore « Composition », une pierre taillée, une des seules connues de Giacometti.

La visite permet aussi de voir, dès l’entrée, derrière une vitre, le petit atelier de Giacometti (20m2) reconstitué en taille réelle, avec ébauches d’œuvres, matériel de peinture et de sculpture – y compris les graffitis sur le mur!  L’Institut Giacometti, rue Victor-Schœlcher, n’est pas le lieu où travaillait le sculpteur. Il vivait et œuvrait non loin, rue Hippolyte Maindron. L’hôtel particulier Art Nouveau de la rue Victor Schœlcher était l’atelier d’un autre artiste-décorateur, Paul Follot, qui réalisa notamment le pavillon « Pomone », pour le magasin Le Bon Marché, à l’exposition universelle de  1925.

« À la recherche des œuvres disparues », prolongation jusqu’au 21 juin 2020, 
Institut Giacometti, 5, rue Victor Schœlcher.
Ouvert du jeudi au dimanche, de 11h à 17h,
uniquement sur réservation, par créneaux de vingt minutes.
Visite : 8,5 € et 3 € (tarif réduit).


Gérard Desmedt

Histoire du 14ème : la Mairie-

C'est en 1852 que fut édifié le bâtiment actuel. En mai 1845 et en mai 1847, le Conseil Municipal de la commune de Montrouge vota la construction d'un bâtiment communal, rue Brézin, sur un terrain possédé par les Hospices de Paris. Mai s il n'y eut aucune suite au projet. Par contre, le 28 mars 1849, un espace situé entre la Chaussé du Maine, la rue Boulard et la rue Mouton-Duvernet fut choisi. La surface acquise était de 16793 mètres carrés. La première pierre fut posée en 1852 par le Préfet de la Seine et bénite par le curé de la paroisse Saint Pierre du Petit Montrouge.

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Il faut souligner qu'à cette époque, la commune de Montrouge était divisée en deux parties, celle correspondant au territoire extra muros et celle correspondant au territoire intra muros, les fortifications édifiées sous Louis-Philippe coupant le territoire de Montrouge en deux parties distinctes.(photo: la mairie en mars 1939)

En novembre 1855, les édiles de Montrouge prirent possession du bâtiment. Quatre ans plus tard, en 1859, l'annexion à Paris du quartier du Petit-Montrouge (intra muros) déposséda les édiles de Montrouge de leur mairie qui ainsi, devenait par division, mairie du 14ème du Paris intra muros.

L'édifice fut construit par l'architecte Naissant et la décoration intérieure fut attribuée à Maurice Chabas élève de Bouguereau. 

Un agrandissement fut vite nécessaire en ajoutant deux ailes dont on raccorda les nouvelles façades avec l'ancienne. Ce travail fut achevé en 1888.

Depuis, l'édifice n'a pas été bouleversé par des transformations majeures.

23 mai 2020

Petite histoire de nos quartiers : l’eau

Une ville comme Paris, a toujours eu un problème, quant à son approvisionnement en eau potable.

Au moyen-âge, on puisait l’eau directement dans la Seine. Puis, vinrent les porteurs d’eau, sans compter que les eaux dites « usées » posaient de grands problèmes d’évacuation. En 1861, les Parisiens ne disposaient que de 160.000 m3 par jour. Le Second empire, avec le baron Haussmann, conçut un vaste projet ; capter les sources de la Somme-Sonde dans les environs d’Epernay, puis celles de la Dhuis près de Château-Thierry, celles de la Vanne vers Villeneuve-L’archevêque. Les sommes engagées étaient considérables. Le 4 mars 1862. les crédits furent votés, et en 1867, les eaux de la Dhuis remplissaient les réservoirs de Ménilmontant.

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Puis, ce fut les sources de la Vanne, affluent de l’Yonne, (image, le Loing à Moret, tableau d'Alfred Sisley) qui furent mises à contribution. A partir de Theil, l’eau s’élève dans un canal qui la conduit à Marly-le-Roi, entre dans la Vallée de l’Yonne, la franchit par un aqueduc de 162 arches, traverse le Loing à Moret, la forêt de Fontainebleau, surplombe l’Orge et l’Yvette, arrive sur le plateau de Villejuif, atteint Chevilly-Larue, puis l’aqueduc d’Arcueil de Marie de Médicis, traversant la Vallée de la Bièvre sur un aqueduc de 77 arcades. A partir de là, l’aqueduc (qui a fêté, il y a sept ans, son 400ième anniversaire), . au niveau du sol, passe à la Vache Noire jusqu’à Montsouris.

Ainsi,, 83.800 m3 d’eau, depuis 1875 , arrivent par cet itinéraire, auxquels il faut ajouter 40.000 m3 provenant de l’aqueduc du Loing et du Lumain traversant la Bièvre à Cachan, au moyen d’un siphon.

Signalons qu’en 1671, des sources de Cachan avaient été captées pour les parisiens.

Ainsi, lorsque le promeneur descend l’avenue Reille le long du Parc Montsouris, il peut voir sur sa gauche les « Réservoirs de la Vanne », œuvre monumentale du second Empire.

R.R.

18 mai 2020

Un peu d'humour

Elever très haut le débat est une façon élégante de le perdre de vue.

Il n'y a qu'en criant juste qu'on peut faire taire ceux qui chantent faux.

Le futur n'existe pas, il n'y a qu'une succession d'"aujourd'hui".

La stratégie est à la tactique ce que le haut- de- forme est à la casquette.

Moins on en sait, mieux on colporte. 

16 mai 2020

Le 14e plein de gouaille de Michel Audiard

L’Institut National de l’Audiovisuel (INA) regorge d’archives cinématographiques et télévisuelles sur les grands événements, des portraits et interviews de personnes célèbres, mais aussi de reportages sur la vie quotidienne des Français.

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l’INA vient de mettre en ligne une rencontre avec Michel Audiard, un natif du 14e (au 2 rue Brezin) et un amoureux du quartier. Retrouvez Audiard pour un peu plus de cinq minutes de promenades en voiture dans le quartier, en 1970, avec en prime la gouaille et l’accent titi parisien de l’auteur de dialogues cultes du cinéma français dans « Un singe en hiver, « Les tontons flingueurs », « le cave se rebiffe », « Cent mille dollars au soleil » etc. 

Cliquez ici pour un voyage en noir et blanc, mais riche des couleurs du parler direct du célèbre dialoguiste.

G.D.

14 mai 2020

Le Parc Montsouris

Une enquête de 1864 fut discutée par le Conseil Municipal de Paris. Un décret impérial du 22 février 1865  décida de la naissance du Parc Montsouris.

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Ce fut Adolphe Alphand (1817 – 1891) qui fut désigné. Celui-ci avait déjà aménagé  le Parc des Buttes Chaumont. Il y eut peu de démolitions à effectuer : quatre carrières, une pépinière, quelques jardins, une fabrique de cartons. La Société des glacières fut expropriée. Ainsi, 16 hectares furent prêts pour un nouvel aménagement. Les travaux commencèrent, mais furent interrompus par la guerre de 1870, et c’est en 1878 que fut achevé le Parc.

Chacun aujourd’hui, peut apprécier  l’harmonie de ce parc « à l’anglaise » que diverses sculptures animent de leur présence. Celle de la « Mission Flatters », « La lavandière », « Les naufragés». Il faut signaler la disparition du « Palais du Bardo », (vestige de l’exposition universelle de 1867, le Pavillon de Tunisie) il y a quelques années, sous la mandature de Bertrand Delanoë. En lisière du Boulevard Jourdan, on peut voir la mire de l’Observatoire de Paris », qui indique la position du méridien de Paris (repérée au sol par une marque en cuivre à l’entrée Nord).

Témoin du XIXème siècle, le Parc Montsouris continue de charmer le promeneur, par son caractère naturel et dépaysant.

R.R.

08 mai 2020

Silence! ça se voit!

- Chacun a pu remarquer de sa fenêtre que le silence avait envahi nos rues, et que notre esprit en était transformé.

- C’est le coté positif de la présence du »VIRUS »

- Ainsi, on peut descendre puis remonter les trottoirs, et découvrir, lorsque l’œil est curieux, attentif, des façades d’immeubles, de bâtiments qui d’habitude, passent inaperçues.

- Au hasard, citons ceux de la Villa d’Alesia, de l’impasse du Moulin Vert, la Villa Duthy (photo ci-dessous), les villas Deshayes, Mallebay, le square Chatillon.

VillaDuthy-dsc03248.jpg

Je ne voudrais pas toutes les nommer, car le « petit Montrouge », a, en dépit des restructurations urbaines et constructions nouvelles de l’après guerre, su conserver, cachés mais présents, de beaux témoignages de son passé, à la fois de faubourgs et d’espaces horticoles disparus, mais soudain ressuscités à travers la façade insolite et pittoresque d’une maison d’un autre âge.

- Oui, le silence qui nous avait conduit à devenir des explorateurs de notre petite « patrie » a été bénéfique en définitive, car c’est le cœur paisible que nous avons pu reconquérir l’espace intérieur de nos émotions, certes modestes, mais réchauffées à l’aune de notre curiosité.

- Bonne promenade.

R.R.

06 mai 2020

Le pain et le moineau

Cette fois-ci, le piaf se sert directement sur le pain photoMarie Belin mai 2020.jpgCette fois-ci le piaf se sert directement sur le beau pain doré...

Photo Marie Belin mai 2020

Moulin à Café , semaine 8 du confinement

Le Moulin à Café logo.pngChers usagers,

Le Moulin à Café est un espace de vie sociale avant tout, et tentera de l'être même à distance. Malgré la crise sanitaire que nous traversons, nous nous devons de rester solidaires !

Vous avez été très nombreux.ses à nous apporter votre soutien depuis la newsletter de la semaine dernière, en renouvelant votre adhésion et/ou en faisant un don, et nous vous en remercions très chaleureusement ! N'hésitez pas à parler de nous autour de vous !)

Renouvelez votre adhésion 2020

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Comment s'occuper au mieux pendant ce confinement ?

  • Le journal associatif La Page du 14e est lui aussi confiné, ainsi que tous ses rédacteurs, qui continuent cependant à travailler pour offrir un n° 126-127 augmenté avant la mi-juin, si possible. En attendant, des articles déjà prêts sont offerts en ligne sur le site et vous pouvez profiter de votre temps libre pour découvrir sur ce même site les archives de 30 ans du journal, ainsi que celles de son ancêtre, Le 14e village.
  • A défaut de scène ouverte de contes au Moulin à Café, certains conteurs et conteuses, qui participent à la Scène ouverte, ont créé une chaîne Youtube au nom de l'association L'Age d'Or de France. Ils enregistrent des contes audio dans lesquels vous y trouverez des contes très variés, traditionnels, de sagesse, fantastiques, des nouvelles, etc. Vous pourrez y entendre les voix de Lynn, Gérard et Danièle. Malheureusement, pas celle de Janine, la conteuse aux cheveux blancs, si pleine de vie, si feu-follet, qui nous a quittés juste au début du confinement. Nous avons une pensée pour elle et ses proches. 
  • Virginie Seba, slameuse performeuse qui se produit régulièrement au café associatif, propose de partager son nouveau titre avec vous, à retrouver ici
  • Conception et utilisation des masques : ce que dit l’AFNOR : Afin d’accompagner les particuliers à fabriquer leur masque, l’AFNOR a mis en ligne gratuitement un référentiel qui explique le mode opératoire pour fabriquer son masque, l’entretenir correctement et utiliser les bons matériaux. Pour un bon usage du port du masque et afin qu’il soit le plus efficace possible, celui-ci ne doit pas être porté plus de 4 heures. Lorsque vous le mettez, évitez le contact avec les mains (utilisez les élastiques) et pensez à vous laver les mains auparavant. Après chaque utilisation, le masque doit être lavé en machine (programme coton à 60°C). Il est également recommandé de bien le sécher et d’utiliser un fer à repasser avant le port (à 110°C, ou fonction "acrylique" sur un fer ménager

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05 mai 2020

L'actualité dans le 14ème, lettre de la Mairie du 4 mai

ACTUS

Masques aux commerçants :

Afin d’aider à programmer la réouverture des commerces, la Mairie du 14ème prévoit une distribution de masques à usage unique aux commerçants de proximité de l’arrondissement. Ces masques proviennent d’une livraison offerte par le Conseil Régional d’Ile-de-France.

Combien :
Nous savons que la demande est importante et le nombre de commerce nombreux dans le 14ème. Il s’agit donc d’une aide ponctuelle pour vous aider à la réouverture.
1 boite de 50 masques par commerce vous sera remise en attendant la réception de vos propres commandes ou la possibilité d’organiser dans les prochaines semaines une nouvelle distribution.
 
Conditions de la distribution :
Distinction à l’adresse
Le numéro de la voie où se situe votre commerce est un chiffre impair : Rdv en Mairie du 14ème, Salle Polyvalente située au RdC, Mercredi 6 ou Jeudi 7 Mai de 10h à 12h.
Le numéro de la voie où se situe votre commerce est un chiffre pair : Rdv en Mairie du 14ème, Salle Polyvalente située au RdC, Mercredi 6 ou Jeudi 7 Mai de 14h à 16h;
Justificatif
Merci de vous munir d’un extrait de Kbis ou d’une carte professionnelle prouvant la domiciliation de votre commerce dans l’arrondissement.
Commerçants concernés
Sont concernés uniquement les commerces de proximité recevant du public et dont le gouvernement a autorisé la réouverture à compter du 11 Mai 2020.
Ne sont pas concernés : la grande distribution ou les commerces commercialisant d’ores et déjà des masques, les professions médicales ou paramédicales dont les besoins en masques sont couverts par L’État.
 

Masques au grand public :

Après compilation et réception des circulaires précises que nous devrions recevoir dans les prochains jours, nous adresserons une newsletter spécifique sur ce sujet.
Aujourd’hui, nous partageons ce que nous savons :
-Sur les masques en tissus pour chaque parisien : A partir de jeudi 7 mai, les parisiens pourront s’inscrire sur paris.fr ou au 3975 pour réserver leur masque à aller chercher en pharmacie en échange d’une contremarque.
-Masques « grande précarité » de L’État : le gouvernement a annoncé la distribution de masques pour les personnes les plus vulnérables organisée en lien avec les Mairies. Nous attendons d’avoir des informations précises sur l’organisation et les critères de cette distribution.

Vente des paniers « d’essentiels »

 La mairie du 14e et la ville de Paris complètent l’offre alimentaire gratuite ou à prix réduit en cette période de confinement qui a vu la situation financière de nombreux parisiens fragilisée. Les paniers essentiels comprennent des fruits et légumes frais qui sont vendus à prix coutant : 20 euros les 10 kilos ! Une 1ère distribution a eu lieu le samedi 25 avril avec 2000 paniers mis en vente à Paris dont 500 dans le 14e, au gymnase  Jules-Noël.
La prochaine distribution s’effectuera par livraison à vélo le jeudi 7 mai. Si vous êtes intéressés, inscrivez-vous avant mercredi 6 mai à 8h sur monpanier14@paris.fr en indiquant votre nom, prénom, téléphone, adresse.
La livraison s’effectuera le jeudi 7 mai entre 8h30 et 19H par un livreur OLVO. Un texto préviendra le client 20 minutes avant la livraison, en précisant les gestes barrières à respecter. Le paiement se fera seulement en espèce et le client devra avoir fait l’appoint (paiement en billet de 5€, 10€, 20€ et en pièces). Attention le livreur n’aura pas de monnaie.
 

École

 A la suite des annonces du Premier ministre du 28 avril, la Ville de Paris se prépare à rouvrir ses crèches et ses écoles. Un travail conjoint entre les inspecteurs d’académie, la direction des affaires scolaires et la direction de la caisse des écoles est en cours afin d’identifier pour chaque école la capacité d’accueil tant en terme de bâtiment que d’effectif disponible. Nous sommes également en contact avec les représentants des parents d’élèves afin de les tenir informés des conditions de la rentrée scolaire. À ce jour, la date et les conditions ne sont pas arrêtées. Nous travaillons à une information de tous avant la fin de la semaine.

Commission crèche

 La commission d’attribution de places en crèche se réunit 4 à 5 fois par an, en fonction des places disponibles et statue collégialement sur les dossiers. La prochaine commission se réunira dans le mois suivant la fin du confinement.
Toute demande doit être actualisée tous les 6 mois, pour ne pas être considérée comme caduque. Pour prendre rendez-vous à la permanence des directrices de crèches, vous avez la possibilité de prendre rendez-vous en ligne. Durant la période de confinement les rendez-vous sont uniquement téléphoniques. Vous serez contacté-e par une directrice de crèche au numéro que vous aurez alors renseigné. Vous devez impérativement vous rendre disponible à l’heure de l’appel.
Pour plus d’information sur les différents modes de garde, nous vous invitons à consulter notre guide de la petite enfance ou la page Faire garder mon enfant sur Paris.fr

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04 mai 2020

L'actualité dans le 14ème. Lettre de la mairie du 4 mai : initiatives solidaires

Initiatives solidaires

SOS Confinement (0 800 19 00 00) : du réconfort au bout du fil :

Personnalité généreuse du 14e, médecin urgentiste et fondateur du Samu social, Xavier Emmanuelli est l’initiateur de la plateforme téléphonique SOS Confinement qui a été lancée le 6 avril. Mise en place par le Samu social International et l’association les Transmetteurs, cette plateforme gratuite propose une écoute experte et bienveillante. Elle vise à rompre l’isolement social et permettre à chacun d’exprimer les émotions ressenties avec le confinement. À l'autre bout du fil, 150 bénévoles dynamiques- acteurs sociaux et médecins - qui écoutent, informent, apaisent et orientent les personnes les plus fragilisées dans cette situation de confinement, période de stress et d’anxiété.  
SOS Confinement est accessible 7 jours/7 de 9h à 21h
0 800 19 00 00, numéro d’appel gratuit
.

Prométhée Humanitaire recherche des bénévoles

L’association Prométhée Humanitaire, installée au 223 rue Vercingétorix, mobilise les couturiers et couturières bénévoles pour confectionner des masques grands publics. Elle assure leur distribution et tous les bénéfices reviennent aux bénéficiaires des actions humanitaires de l’association. Si vous savez coudre et avez un peu de temps à consacrer à l’association, vous pouvez prendre directement contact avec elle sur sa page Facebook.

Culture/Que faire à la maison ?

Paris Culture en quelques clics

Retrouvez et savourez sans modération la sélection de ressources en ligne proposés par les acteurs culturels et les partenaires de la Ville de Paris

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03 mai 2020

Un peu d’humour

Comment combler ses trous de mémoire,

Sinon en n’ayant aucune mémoire ?

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Etre bon c’est avoir le cœur sur la main, dit-on.

 Cette malformation physique n’est-elle pas

en définitive dangereuse ?

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Ne rien faire, c’est encore faire quelque chose.

 C’est permettre au temps de nous dire :

« Ne fais rien, car il sera toujours temps de ne rien faire

pour n’avoir rien à dire . »

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L’homme est un virus qui a réussi.

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Le poète est l’image,

Ce que la coccinelle est à l’éléphant.

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Les souvenirs sont comme les ruines romaines ;

Ils ont le parfum des visites guidées par la mémoire.

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L’homme est au sommet de l’évolution.

Oui mais c’est un sommet dangereux lors de la descente.

Les fleurs et l'escargot

un petit escargot s'invite dans mes fleurs.jpgUn petit escargot se promène dans mes fleurs

photo Marie Belin avril 2020

02 mai 2020

Montsouris, un quartier, un parc

De nombreuses et contradictoires informations ont été formulées par le passé pour expliquer la naissance du vocable actuel s’appliquant au territoire du quartier de Montsouris, aujourd’hui intégré au XIVème arrondissement de Paris et au parc dont la conception et la réalisation ont  commencé sous le Second Empire.

geant-isore-guillaume-orange.jpgCe qui est établi, c’est la localisation d’un lieu-dit : la Tombe-Issoire, dont une rue – prolongement de la rue Saint Jacques (via Superior à l’époque romaine)- rappelle le combat singulier de Guillaume d’Orange avec le géant Isoré. Ce combat fut relaté dans la chanson de geste du Moniage Guillaume. On était au Moyen-Age…

Ce point d’histoire a donné lieu à diverses interprétations, celle d’une légende moyenâgeuse ( 1)  qui aurait donné, après diverses déformations l’apparition du terme MONT SOURIS.

Tout d’abord en 1533, dans le livre  « la Fleur des Antiquités » de Gilles Corrozet on trouve la forme ISOERE. Puis en 1551, dans les annales de Nicole Gilles, c’est YSORE, puis ISOIRE qui apparaît. Mais, à cette époque, le français évoluait. Phonétiquement, on peut conjecturer que sous l’influence populaire, le nom précédent serait devenu MONTYSORI, puis peu à peu MONTSOURIS, sans vouloir évincer la possibilité, parfois suggérée, de MOQUE-SOURIS !

Voilà pour la petite histoire du mot Montsouris

Combat de Guillaume d'Orange contre le Géant Isoré aux portes de Paris.(photo Wikipédia)

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