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17 octobre 2013

Fête de Saint Luc, patron des personnels de santé

saint luc,lazare,cochin,hopital,maurice denisPour marquer l’arrivée à Port-Royal d’un tableau de la "Résurrection de Lazare" de Maurice Denis (offert en 1945 pour la chapelle de l’hôpital Cochin), l’aumônerie catholique invite à sa présentation le vendredi 18 octobre à partir de 18h à la chapelle de Port-Royal de Paris (123 Bd de l’hôpital, 75014)

(Cliquer sur l'image pour l'agrandir)

Intervention de Mme F. Stahl, docteur en histoire de l’art & conférence du Dr J.-L. BAVOUX : «’Résurrection de Lazare… ou réanimation,  Le regard d’un médecin’.

Messe à 19h15 célébrée par Mgr R. de DINECHIN, évêque auxiliaire.
Cette manifestation s’adresse à tous, mais aussi particulièrement aux membres des professions de santé.

Renseignements sur : www.aumoneriecochin.net

14 octobre 2012

UN ECOQUARTIER SUR LE SITE DE L'HÔPITAL SAINT-VINCENT-DE-PAUL (II)

Peu d’informations ont été données sur l’avenir du site de l’hôpital Saint Vincent de Paul. Gérard Desmedt, journaliste, a enquêté pour nous. La Voix du 14ème publie son reportage en deux parties, la 2ème aujourd'hui. Lire la première

ap,mairie 14,75014,paris 14e,saint vincent de paul,hopitalPour penser le nouveau quartier, (voir le site, cliquez pour agrandir) les études sont en cours. Une agence d'urbanisme travaille sur le projet, sous la tutelle d'un comité de pilotage composé des services techniques de l'Hôtel de Ville, de la mairie du 14e, de l'APHP. Les élus de l'arrondissement quartier veulent bâtir là un écoquartier exemplaire et novateur, avec des bâtiments à énergie positive (qui produisent plus d'énergie qu'ils n'en consomment), de la verdure, peu de voitures.

Celia Blauel, la jeune conseillère d'arrondissement écologiste (EELV) du 14e, chargée de la téléphonie mobile, des jardins partagés et de la collecte sélective, s'est beaucoup investie dans le projet. Elle n'a pas tout à fait la même conception du futur écoquartier que le maire et ses adjoints socialistes. « Un écoquartier, ce n'est pas seulement des maisons bien isolées, des panneaux solaires sur les toits et de la verdure, explique-t-elle. C'est une construction collective, qui doit rassembler la Mairie, les futurs bailleurs, les futurs habitants, les acteurs économiques et culturels qui s'y implanteront.

Un programme précis devrait se bâtir dans la concertation, avec ensuite des directives précises. Par exemple : il est prévu une pépinière d'entreprises. Nous pensons qu'il faudrait surtout y accueillir des artisans, qui ne parviennent plus à rester à Paris, et des entreprises d'économie sociale et solidaires. Beaucoup de travail reste à faire, pour discuter ensemble de l'habitat (combien de logements vraiment sociaux?) des transports, de l'empreinte écologique, des déchets etc. »

Côté opposition, Marie-Claire Carrère-Gée (UMP), tout en approuvant les grandes lignes du projet, trouve la pépinière d'entreprises prévue trop petite, et elle insiste sur la nécessaire implantation, sur les lieux, de commerces de proximité.

Alors les habitants du 14e auront-ils leur mot à dire ? « La Mairie a bien promis l'ouverture d'une concertation avec les habitants, mais la date est reculée de mois en mois, regrette Martine Scrive, l'une des responsables de l'association HESP'ère 21 (Habitat Écologique Solidaire Parisien pour le 21e siècle), qui veut « promouvoir, accompagner et réaliser des projets exemplaires d’habitats écologiques et coopératifs » sur Paris. Notre dossier est prêt. Nous travaillons avec un collectif d'associations du quartier. Nous voulons faire connaître le détails de nos propositions. ».

L'association souhaite pour ce nouveau quartier de l' « habitat participatif ». C'est à dire des ensembles de logements pensés en amont par les futurs occupants, avec des services partagés, des salles de réunion, des activités ouvertes sur l'environnement. Ces logements seraient non spéculatifs, afin que les premiers occupants ne puissent pas revendre en partant avec une grosse plus-value... Une optique que partage Célia Blauer. « Certains trouve cette proposition irréalisable et nous traitent d'utopistes, affirme l'élue. Pourtant il n'est pas normal que lorsque beaucoup d'argent public est dépensé pour rendre un quartier beau, agréable, des propriétaires privés en tirent un avantage en réalisant d'énormes plus-values.

On attend donc maintenant l'ouverture des discussions, promises aussi par Anne Hidalgo, première adjointe au maire de Paris, chargée de l'urbanisme. Quand ? Mystère ! Cette valse-hésitation risque de retarder le calendrier initial. La livraison du nouveau quartier est prévue en 2017. Il y a fort à parier que la date ne sera pas respectée.

Gérard Desmedt

13 octobre 2012

UN ECOQUARTIER SUR LE SITE DE L'HÔPITAL SAINT-VINCENT-DE-PAUL (I)

Peu d’informations ont été données sur l’avenir du site de l’hôpital Saint Vincent de Paul. Gérard Desmedt, journaliste, a enquêté pour nous. La Voix du 14ème publie son reportage en deux parties, aujourd’hui et demain.

Toutes les activités de soin ont cessé à l'hôpital Saint-Vincent-de-Paul depuis presque un an. La Mairie du 14e veut transformer le site en « écoquartier ». Les études ont commencé. Mais la concertation avec les habitants promise sur l'avenir du nouveau quartier tarde à venir.

Que va devenir l'ancien hôpital Saint-Vincent-de-Paul ? Depuis deux ans déjà, les parents ne se pressent plus avenue Denfert-Rochereau pour conduire leurs enfants aux urgences, transférées à l'hôpital Necker. La maternité a fermé fin 2011, pour rejoindre celle, très moderne, de Port-Royal. Dans les murs de l'ancien hospice des enfants trouvés, fondé en 1802, ne subsiste plus qu'une antenne de l'Etablissement français du sang, et l'école de sages-femmes de Paris-Baudeloque, qui devrait quitter les lieux en 2013.

saint Vincent de Paul.JPG

3,2 hectares de terrain sont donc disponibles, pour une opération d'urbanisme importante. La mairie de Paris a établi un cahier des charges précis. Elle veut construire environ 400 logements (50 % sociaux, 50 % privés) dont des appartements spécialement équipés pour des personnes handicapées, une crèche, un gymnase, un espace vert avec des aires de jeux pour les enfants, une pépinière d'entreprises, une cité d'artistes. L'îlot formé par l'ancien hôpital serait désenclavé avec le percement d'une nouvelle rue entre l'avenue Denfert-Rochereau et la rue Boissonade.

Déjà, des divergences ont surgi. L'Assistance Publique Hôpitaux de Paris (APHP), propriétaire du site, souhaite faire une bonne opération financière en se séparant de ce beau terrain au cœur de Paris. L'APHP, qui traîne comme un boulet une dette gigantesque (218 millions d'euros début 2012...) veut en retirer 130 millions d'euros. Pour y parvenir, il faudrait construire un plus grand nombre de logements privés, ce que refuse la municipalité. La Mairie de Paris tient à ses logements sociaux et souhaite limiter sa dépense à 80 millions...

Les élus ont cependant un atout dans leur manche. Le Plan local d'urbanisme (PLU) devra être modifié par la Mairie. Actuellement, le site est administrativement destiné à accueillir des établissements de santé. Le nouveau plan donnera des orientations différentes, qu'il faudra suivre. La Mairie du 14e souhaite se mettre d'accord avec l'APHP avant toute révision du PLU. (à suivre - cliquez ici)

G.D.

26 novembre 2009

Santé : Jeudi 26 novembre, Journée nationale de dépistage gratuit de l’hôpital saint Joseph à l'AOMI

Journée nationale de dépistage gratuit de l'AOMI (Artériopathie oblitérante des membres inférieurs). Hôpital St Joseph; 185, rue Raymond Losserand. M° Plaisance ou Porte de Vanves. www.despaspourlavie.com

09 octobre 2009

HOPITAL BELLAN : QUEL AVENIR ?

Transformations ou fermeture ? Conférence de presse lundi 12 octobre à 11h.

Certains services de rééducation neurologique et de maladie de Parkison, de proctologie... connus pour leur excellence, et leur rareté dans l'offre hospitalière doivent être fermés sur le site de l'hôpital Bellan. Seront-ils réellement accueillis dans d'autres structures ou supprimés ? Beaucoup de questions se posent au sujet des transformations envisagées dans l'hôpital Bellan.

Lundi 12 octobre à 11 heures, une conférence de presse se tiendra dans la salle rue du Moulin des Lapins, sur les transformations de l'hôpital Bellan (métro Pernety)

Voici le texte qui introduit une pétition d'associations habitants du 14ème, Attac 14ème, des sections syndicales, le parti socialiste, parti communiste :

Projet de fermeture de l'hôpital Léopold-Bellan dans le 14e arrondissement

Situé rue Vercingétorix, près de Montparnasse, l'hôpital Léopold-Bellan, à but non lucratif participant au service public hospitalier, et les activités médicales et chirurgicales qui s'y déroulent se trouvent aujourd'hui menacés de disparition pure et simple.

L'agence régionale de l'hospitalisation (ARH) prévoit de fermer à la mi-octobre 2009...

1. Le service de soins de suite et de réadaptation de neurologie et ses 14 lits. Il prend en charge, avec une équipe spécialisée, des dizaines de malades atteints de la sclérose en plaque. Ce service est considéré comme un service de référence. Les malades privés de soins seront-ils renvoyés chez eux?

2. Même sort pour les malades opérés dans le service spécialisé en proctologie avec 33 lits d'hospitalisation dont la fermeture est envisagée, avec seulement 15 lits transférés à l'hôpital Saint-Joseph. Où iront les autres, alors que l'école de Bellan, depuis cinquante ans, a formé la plupart des spécialistes de la proctologie?

3. Pour des raisons financières, le service de neurologie, avec l'unité spécialisée dans la maladie de Parkinson, le bloc opératoire et le service de chirurgie orthopédique spécialisé dans le pied, ainsi que les urgences sont aussi sur la liste. Que vont devenir les activités?

Dans deux à trois ans, c'est la fermeture complète prévue de la médecine, du laboratoire d'analyses médicales et de la radiologie. Ce sont pourtant des services qui contribuent à la prise en charge de proximité des habitants du quartier. Enfin, à l'heure actuelle, c'est 133 salariés de l'hôpital sur 460, professionnels de santé, qui se voient menacer de licenciements d'ici la fin de l'année 2009 ! De vagues promesses de reprise partielle ont été envisagées, mais elles sont très partielles, et rien n'est ferme à l'heure actuelle.

23 février 2007

Un hospice du 18ème siècle, la Rochefoucauld

Est-ce la demeure orpheline d'une noble famille dont la descendance se serait éteinte, la résidence oubliée d'un riche bourgeois ou le château de la Belle au Bois dormant que des promoteurs distraits auraient écarté de leurs projets ? Le promeneur curieux ayant traversé la barrière d'Enfer puis remontant l'avenue du Général Leclerc, côté des numéros impairs, découvre soudain au n° 15, un espace fait de jardins qui, en avant-scène, livrent à la vue, la façade imposante d'un bâtiment dont la facture est d'un classicisme sobre et équilibré.medium_facade_larochefoucauld.jpg
Nous voici devant la Maison de retraite La Rochefoucauld, actuellement unité de gériatrie de l'AP -HP, toujours en activité. Mais cette Maison a une histoire singulière. Ainsi…
Le 3 août 1781, aidés par la duchesse de La Rochefoucauld-Liancourt, les Pères de la Charité - ordre religieux institué en 1617 pour soigner les malades - signèrent devant notaire, un acte d'acquisition d'un terrain de 22126 m2, appartenant au sieur Du Lion de Boissy, afin d'y établir un hospice. La duchesse y investit 36352 livres pour sa fondation. Louis XVI offrit 10000 livres de rentes constituées sur les aides et gabelles pour l'entretien des religieux et la création de douze lits. D'autre part, 100 000 livres furent allouées par l'Assemblée du Clergé tandis que les prévôts des marchands et échevins de Paris y affectèrent 1800 livres de rente… D'autres dons affluèrent et c'est ainsi qu'en 1783, fut ouvert l'"Hospice" ou "Maison royale de santé". Il y avait alors seize lits de disponible "destinés aux prêtres et aux personnes de qualité tombées dans l'infortune".
Et la Révolution 
La tourmente révolutionnaire transforma cette Maison en"Hospice national", réservé aux malades du district de Bourg-la-Reine, devenu Bourg-Egalité. En 1796, l'hospice devint :"Succursale des Incurables, hommes et femmes", et en 1798 :  "Hospice de Mont-Rouge". Puis en 1801, fut créé le Conseil général des Hospices qui dura jusqu'en 1849. Il fit de cette Maison :"La Maison de retraite de Montrouge".
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Il faut préciser que les bâtiments actuels que nous voyons de l'avenue du Général Leclerc ont été construits en 1801-1802 par Jacques-Denis Antoine, grand architecte du 18ème siècle qui construisit la Monnaie de Paris. Signalons qu'après cet agrandissement, la capacité de l'établissement permit d'accueillir jusqu'à 250 vieillards.
Hospice de la Rochefoucauld
Après la Révolution et l'Empire - nous sommes en 1816 - le duc de la Rochefoucauld-Liancourt, descendant de  la duchesse, fut nommé membre du Conseil général des Hospices. Le 11 janvier 1822, le nom "d'Hospice de la Rochefoucauld" fut définitivement arrêté, tandis que les Pères de la Charité furent remplacés par les Sœurs grises ou Filles de la charité. Ce n'est qu'en 1884 que l'Hospice fut définitivement laïcisé.    
Témoin de  l'Histoire et de l'assistance auprès de la vieillesse, cet établissement, dorénavant voué à la gériatrie, donne aujourd'hui encore à notre 14ème, une image bienveillante et vivante au service des ultimes années de la vie.

R. Rillot

N.D.L.R. : documentation extraite du n° 27 de la S.H.A. du 14ème

 

29 décembre 2006

Le bénévolat à l'hopital Saint Joseph (2)

Suite de l'article précédent du 27 Décembre 2006 

Comment devenir bénévole de l'hôpital ?

Toute personne peut devenir bénévole de l'hôpital. Il est cependant nécessaire de suivre une formation pour assurer sa mission d'accueil et d'information. Cette formation est dispensée par l'hôpital et est assurée par un tuteur (i.e un bénévole expérimenté qui prend en charge le nouvel arrivant). Sa durée varie de 3 à 6 mois.   La formation regroupe 3 phases :

 1ère phase : la connaissance de l'hôpital.
Le bénévole doit se repérer dans l'espace et comprendre le fonctionnement de l'hôpital pour mieux maîtriser les différents parcours hospitaliers des patients (hospitalisations, consultations externes, enregistrements des entrées et sorties... Il doit savoir différencier les personnels de soins et savoir lire les documents remis au patient pour mieux l'orienter.

2ème phase : l'aide au patient

Le bénévole doit apporter au patient un service personnalisé et adapté à ses besoins ou son niveau de dépendance. Il doit connaître les différents services mis à la disposition du patient et, le cas échéant, les mettre en œuvre lui-même (fauteuil roulant, télévision, bibliothèque…).

3ème phase : la gestion de sa mission
En milieu hospitalier, le bénévole doit être attentif aux règles de fonctionnement et d'hygiène inhérents à son action auprès du patient. La charte du bénévole du groupe hospitalier Paris Saint-Joseph est un document qu'il doit signer et respecter tout au long de sa mission. Le respect des règles de confidentialité et de discrétion est un point majeur de cette charte. Par ailleurs, le bénévole doit connaître et observer les règles d'hygiène minimales, afin de ne pas prendre et faire prendre de risques inutiles. Cet aspect de la formation est pris en charge par les personnels soignants de l'hôpital.   Cette formation est le gage d'une collaboration efficace et enrichissante entre l'hôpital et le bénévole au service du patient.


Le Groupe hospitalier Paris Saint-Joseph c'est :

  • un hôpital privé sans but lucratif, participant au service public hospitalier
  • dirigé par Yves Barrault
  • accrédité par la Haute Autorité de Santé (HAS)en 2000 et en 2006
  • un hôpital qui réunit 2100 personnes, plus de 700 lits
  • organisé en 9 pôles cliniques et médico-techniques,depuis 2004
  • une offre de soins large : du nouveau-né à la personneâgée et un service d'urgences
  • 43550 entrées d'hospitalisation et 192 800 consultations, réparties sur 3 sites de l'hôpital: st Michel(15e), st Joseph(14e) et Notre-Dame de Bon Secours(14e).
Contacts presse : Guénola de La Seiglière : 06 64 39 30 56 / Caroline de Poix : 06 11 70 83 57

28 décembre 2006

Le bénévolat à l'hôpital St Joseph (1)

L'action bénévole au sein du Groupe hospitalier Paris Saint -Joseph ?

En 2003, il a été créé un poste de coordonnateur du bénévolat directement rattaché au directeur de l'hôpital. Ce poste n'est pas rémunéré. Il a également été mis en place un bureau d'accueil et d'information permanent au sein de l'hôpital. Son fonctionnement est assuré 7j/7 par une équipe de 8 à 10 bénévoles, encadrés par le coordonnateur.  

Aux côtés des équipes bénévoles de l'hôpital, un certain nombre d'associations de bénévoles interviennent, chaque jour, pour apporter une aide précise aux patients : Association de lutte contre le sida (AIDES), Animation loisirs à l'hôpital (les blouses roses), Association pour le développement des Soins Palliatifs, Aumônerie, Bibliothèque pour tous, Ecole à l'hôpital, Visite des Malades dans les Etablissements Hospitaliers (VMEH).


Quelle est la mission des bénévoles de l'hôpital ?  
La mission générale des bénévoles du Groupe hospitalier Paris Saint-Joseph est :

  • d'accueillir et d'aider les patients et leurs familles lors de leur entrée, de leur séjour et de leur sortie de l'hôpital.
  • d'apporter concrètement le service utile au patient, à sa demande ou bien à la demande de la famille ou des soignants (expliquer le fonctionnement de l'hôpital, transmettre un message, apporter un journal, déclencher l'intervention d'une association,…).

L'action bénévole est une composante essentielle de la politique d'accueil et de soins de l'hôpital. Elle propose au patient une écoute à la fois différente et complémentaire de celle que pratiquent les professionnels de santé. Elle vise à rendre service au patient et contribue activement à donner une image positive, rassurante et efficace de l'hôpital.   Le regard des bénévoles, par sa différence même, est recherché par les équipes soignantes. A titre d'exemple, lors de la démarche de certification de l'hôpital en 2005, l'équipe de bénévoles a participé, aux côtés du personnel, à l'auto-évaluation des pratiques et du fonctionnement de l'hôpital. Les bénévoles sont régulièrement associés aux travaux du groupe d'amélioration de la qualité, notamment au regard de l'élaboration, de la distribution et du recueil de " l'enquête satisfaction auprès des patients ".

 

Deuxième partie (Comment devenir bénévole), demain 28 Décembre 2006. 

Contacts presse : Guénola de La Seiglière : 06 64 39 30 56 / Caroline de Poix : 06 11 70 83 57