Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

02 février 2007

A voir: Exposition "Les Rives de la parité"

Une dizaine de jeunes françaises, de 18 à 25 ans, mais originaires des pays de la vallée du fleuve Sénégal (Mali, Sénégal, Mauritanie) sont photographiées par Stéphane Lagoutte. Le but est de présenter leurs portraits sous forme de photographies et de textes personnels, témoignant de leur émancipation dans la société française.

medium_Salamataweb-fiap.jpg

Cette exposition est le premier volet, « Racines », d’un cycle de manifestations intitulé : « Home, sweet home » sur l’apport de l’immigration dans la construction de l’histoire de France prévu jusqu’en avril 2007 au FIAP Jean Monnet.

du 18 janvier au mercredi 7 février 2007 de 10h à 20h

FIAP Jean Monnet 30 rue Cabanis 75014 Paris. Site Internet : www.fiap.asso.fr

28 novembre 2006

Exposition de Marie Belin à la bibliothèque Vandamme à Montparnasse jusqu’à la fin novembre

medium_photoexpomarie02.2.jpg

Marie Belin est une passionnée de la mer  qu’elle sillonne volontiers à voile. Les paysages marins, la faune et la flore des pays côtiers sont des thèmes favoris de ses photos. Habitante du quartier Montparnasse, proche du jardin Atlantique qui est entièrement inspiré par l’Océan, elle a su y photographier d’immenses couchers de soleil, ou au contraire des détails qui évoquent les bateaux, la plage. L’exposition est installée sur des cordes dans la bibliothèque Vandamme, 80 avenue du Maine , jusqu’au 1er décembre 2006 : « Vagues végétales, inserts marins, des indices allant vers la mer…et vers Mouchotte,  les immeubles ou le jardin sont presque toujours visibles… » Il y a aussi, placée à l’entrée, une vitrine, comportant  une petite « déco » atlantique qui donne des indices sur l’inspiration de la photographe. Et, comme une signature ou plutôt une « une griffe » : Le Chat …Les lecteurs de La Voix du 14ème se souviennent certainement des photos de Marie Belin qui ont si bien illustré ses articles et dossiers.

Voir l'album, en haut de la colonne de droite
Monique Garrigue

28 octobre 2006

le mois de la photo dans le 14e

Depuis sa création en 1980, le Mois de la Photo a fortement contribué à faire de Paris une des grandes capitales de la photographie. Il a lieu en novembre, tous les deux ans, les années paires, et s'appuie sur une importante mobilisation des institutions culturelles et des galeries parisiennes.Chacune des éditions du Mois de la Photo, consacrée à une thématique spécifique, est ainsi l'occasion de présenter entre 70 et 80 expositions et d'organiser des projections, des rencontres et des débats. Cette année, c'est autour des rapports entre photographie et page imprimée que s'organise le festival.

Dans le 14e, trois établissements y participent

medium_cartier_bresson01_Clarke.jpg

La Fondation Henri Cartier-Bresson

21 septembre - 23 décembre 2006

"Le Scrapbook d'Henri Cartier-Bresson"

medium_16-MarthaRosler_yammamoto.jpg

La Galerie Camera Obscura (14e arr.)
10 novembre - 23 décembre 2006
"Masao Yamamoto. Nakazora, entre la terre et le ciel"

medium_daniel_simon02-penson1.jpg

La Galerie du Montparnasse (14e arr.)
1er novembre - 15 novembre 2006
"Daniel Simon. Impressions"

A.C. 

26 octobre 2006

La photographie humaniste (1945-1968) à la Bnf

 C'est un courant, chez les photographes, qui privilégie la personne humaine et sa relation avec son milieu, en dehors du portrait classique, évidemment. Il a débuté dans la période 1945-1950 et a duré une bonne dizaine d'années. Il est illustré par des noms célèbres comme Boubat, Doisneau, Izis, Ronis, Niepce (Jeanine), ou Sabine Weiss, mais aussi par de très nombreux artistes moins onnus.
medium_BNFexposition_601_1.jpg Consacrée à la photographie dite « humaniste » et à la phase la plus féconde de ce courant, cette exposition présente des tirages de photographes célèbres et d'auteurs moins connus tout aussi représentatifs de ce courant comme Marcel Bovis, René-Jacques, Jean Dieuzaide, Jean Marquis, Jean-Philippe Charbonnier ou encore Eric Schwab. Tous ont en commun d'avoir été des « reporters illustrateurs » et d'avoir nourri de leurs images le paysage visuel des Français de l'après-guerre à travers revues, ouvrages, calendriers, agendas ou affiches, présents dans les fonds de la BnF. Par leurs illustrations, ces photographes « humanistes » animés d'une foi délibérée dans le genre humain et son avenir, ont contribué à construire une imagerie nationale faite de lieux pittoresques et d'archétypes sociaux.
Bnf, site François Mittérand
31 octobre-28 janvier 2007
mardi-samedi de 10 h à 19 h, dimanche de 12 h à 19 h
fermé lundi et jours fériés
tarif: 7.00 euros, réduit : 5.00 euros

20 octobre 2006

les globes de Coronelli à la Bnf

medium_coronelli-2.jpg
Ces deux globes mythiques sont de retour à la Bnf après une histoire à épisodes et à rebondisements, comme seule sait nous concocter notre  (très) chère adminstration. Mais qui est Coronelli? Interrogeons Wikipedia:
Coronelli est un religieux franciscain et docteur théologie au Collegium San Bonaventura à Rome. Ce sont les globes qu'il a créés qui ont fait sa renommée. En 1678, Coronelli crée deux globes pour le duc de Parme. Ces globes avaient un diamètre de 1,75 m et étaient délicatement réalisés. Le cardinal d'Estrées, ambassadeur français de Louis XIV à la cour de Rome lui passe commande de 2 globes, pour les offrir au roi. Coronelli s'installe alors à Paris en 1681, où il résidera deux ans. Réalisées de 1681 à 1683, ces deux sphères, l'une terrestre et l'autre céleste mesurent 3,82 m de diamètre et pèsent environ 2 tonnes chacune.

    * globe terrestre: il présente l'état des connaissances géographiques alors connues
    * globe céleste: il représente l'état du ciel à la naissance de Louis XIV. Peint et enluminé par Jean-Baptiste Corneille, y sont représentés les constellations sous forme d'animaux fantastiques, les étoiles et les planètes, le tout dans un camaïeu de bleu
.
medium_coronelli-1.jpg Ces globes sont donc "mis en majesté", dixit Bnf, par l'architecte JJ Bravo au fonds du Hall ouest, dans un décor spécialement installé. Une courte expo animée indique l'état des connaissances de l'époque et compare avec les moyens actuels. Ces beaux globes sont assez fascinants, par l'imbrication de peintures et de tracés scientifiques et par l'étonnante connaissance de l'époque de la terre, pourtant explorée avec des bateaux lents et peu sûrs et avec des moyens de navigation et d'observation rustiques.
Cette visite vaut le coup, car elle permet à ceux qui n'y sont jamais entrés de visiter une partie de l'édIfice de la Bnf, (entrer par l'OUEST, et descendre au Hall Ouest, l'entrée est libre).
medium_passerelle-Bnf.jpg
Après la visite, on peut déambuler sur l'esplanade  supérieure et gagner le Parc de Bercy en traversant la Seine sur la nouvelle passerelle (dessinée par l’architecte Dietmar Feichtinger, elle forme un arc élancé de 270 mètres de long, avec de deux entrelacs), en remarquant au passage la nouvelle piscine flottante sur la rive gauche.
ouvert tous les jours sauf jours fériés de 9h à 19h
dimanche 13-19h, lundi 14-19h
A.C.

28 septembre 2006

Claire Dominique Laurent expose à Notre Dame du Travail

medium_herbe41FCLaurent.jpg
Exposition sous le parrainage de Art, Culture et Foi
 Inauguration dimanche 1er octobre, à 15h, église Notre Dame du travail
rue Guilleminot Paris 14e

11 septembre 2006

Thermes et Hôtel de Cluny

Le Musée du Moyen Age, situé dans ces lieux présente une soixantaine d’œuvres nouvelles, acquises sous l’impulsion de la directrice Viviane Huchard, malheureusement trop tôt disparue : acquisitions réalisées à titre onéreux ou dans le cadre de mécénat. Il s’agit d’œuvres du Xe au XVIe siècle, dans des matériaux et des techniques les plus variés, sculptures de pierre, albâtre, bois ou ivoire, tissus et tapisseries, peinture sur parchemin, bois ou verre, orfèvrerie, email.

Jusqu’au 6 novembre, Place Paul Painlevé, 75005 Paris

A.C.

31 mai 2006

Le douanier Rousseau, « bonhomme de Plaisance »

Né à Laval, mais installé dans le quatorzième, rue Daguerre puis rue Perrel – ne la cherchez pas, elle n’existe plus – Henri Rousseau est exposé au Grand Palais, jusqu’au 19 juin.

Son emploi à l’octroi à Paris, d’où lui vient son surnom de douanier, lui a donné une grande connaissance de Paris et des environs, des fortifications et des barrières d’octroi, qu’il revenait peindre. Il ne quittait pas Paris, et a peint Paris et ses environs, comme cette vue de l’Oise.

medium_rousseau-oise.jpg
Plus tard, ses « jungles » seront inspirées du grand vent de nouveautés, des récits des conquêtes d’Afrique ou d’Asie. L’étiquette de « naïf », qui lui a été donnée, lui colle à la peau et ne donne qu’une idée restreinte de son art. Autodidacte, il se présentait "élève de moi-même". Ses toiles ne se sont bien vendues qu’après sa mort, malgré le soutien de Valatton (Félix), Apollinaire ou Picasso. L’exposition montre l’œuvre dans un ordre chronologique, depuis ses premiers tableaux naïfs jusqu’à ses fameuses jungles, où dans une végétation luxuriante un jaguar attaque sauvagement un cheval.
medium_rousseau-jungle.jpg
Les dernières, montrées en fin de parcours, sont particulièrement poétiques L’exposition explique ses sources d’inspiration et présente d’intéressants documents, comme des films extraits des archives Gaumont.

Une belle et intéressante exposition, qui révèle de nombreux aspects de ce peintre, dont le violon d’Ingres était …le violon.

Alain Constans

Galeries nationales du Grand Palais. «Le Douanier Rousseau, jungles à Paris», tous les jours de 10 heures à 20 heures, sauf mardi. Jusqu'au 19 juin

23 janvier 2006

La bataille du rail

Cette exposition présentée au Mémorial du Maréchal Leclerc (situé à la gare Montparnasse), intéressera le visiteur toujours curieux de connaître la présence des cheminots dans la Résistance, et ceci durant l'occupation des troupes allemandes de 1939 à 1945. Ainsi, on apprendra toutes les actions ayant eu pour but de retarder les mouvements de l'ennemi surtout après le débarquement allié du 6 juin 1944.
Cette exposition présente sept étapes successives : - la SNCF dans la France en guerre - S'engager - Des formes d'actions multiples - Les cheminots et la Résistance organisée - Les cheminots dans la Libération - Les cheminots face à la répression - La mémoire.
Une exposition qui pérennise et réactive la mémoire d'une période malheureuse de notre histoire.
NB : l'exposition est ouverte jusqu'au 15 avril (23 allée de la 2ème DB - sur le jardin Atlantique). Tél : 01 40 64 39 44