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18 juin 2014

L'Association des Peintres et Sculpteurs Témoins du 14e expose

Asptt.JPGDu 16 au 29 juin 2014 : 27ème Salon de l’association des Peintres et Sculpteurs Témoins du 14e sur le thème du cinéma. Vernissage le jeudi 19 juin à 18h30.

L'association permet aux artistes amoureux du 14ème arrondissement:

- de se connaître et se rencontre chaque mois lors de réunions amicales où ils peuvent échanger leurs idées, leurs savoirs, parler de leurs réalisations et projets.

- de se regrouper pour peindre dans et hors Paris, lors des journées de "plein air".

- de rassembler techniques, styles, et talents divers (dessin, pastel, encre de Chine, peinture, gravure, aquarelle, icône, gouache, collage, sculpture, céramique) pour exprimer leurs visions personnelles des quartiers des ce "village" parisien riche d'une vie culturelle et d'un patrimoine reconnu.

- faire connaître au public l'ensemble de ces travaux au cours du Salon annuel, à la Galerie " 55, rue du Montparnasse".

Galerie du Montparnasse tous les jours de 11h30 à 20h
55 rue du Montparnasse 75014 Paris

06 janvier 2011

Attention derniers jours ! « France 1500 » au Grand Palais jusqu'au 10 janvier !

L'exposition porte sur la période des règnes de Charles VIII (1493-1498) et de Louis XII (1498-1515). La guerre de Cent Ans s'est achevée en 1453 et la France, en pleine reconstruction, connaît une période de prospérité favorable aux arts.
Expo France 1500 Charles_II_d_Amboise.jpgDans les années 1490 et 1500, une foule de commanditaires fait travailler les artistes. Souverains, nobles, prélats, villes, confréries leur font produire des objets, des édifices. L'exposition explore un certain nombre de foyers où ils s'épanouissent.

C'est une magnifique exposition au Grand Palais " France 1500" avec des sculptures, vitraux, tapisseries, peintures,  enluminures, pièces de monnaie, émaux et même du mobilier...(Cliquer sur les photos pour les agrandir)

L'accès à cette exposition est beaucoup plus aisé qu'à celle de Monet. Le seul problème c'est qu'il y a tout de même des visiteurs nombreux  dans les salles et qu'il faut être patient pour voir les objets qui sont  dans les vitrines.

Expo 1500 Vitrail Saint_Adrien.jpgMais on peut contempler à loisir les oeuvres de plus grand format : la  Vierge de Toulouse avec  l' Enfant Jésus tous deux ravissants, des piétas très touchantes, une  sainte Marthe, un saint Jacques en pierre, terre cuite ou bois polychrome, de très beaux triptyques peints ou sculptés.

Les oeuvres sont disposées à hauteur des regards, si bien qu'on peut découvrir des détails habituellement invisibles.  Les vitraux sont très bien éclairés.

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19 juin 2010

Vos prêtres ont du talent

Le Père Philippe Maire, maintenant aumônier de La Rochefoucaud, expose ses aquarelles à la galerie Bansard, avec d'autres prêtres ou religieux du diocèse, qui présentent leurs œuvres.

La Galerie Bansard accueille du 16 au 29 juin les peintures, sculptures, icônes, dessins, croquis d'une quinzaine de prêtres et religieux.

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16 mars 2010

"L'impossible photographie, prisons parisiennes (1851-2010)"

Le musée Carnavalet présente, une exposition de 340 photographies réalisées dans les prisons de la capitale, de 1851 à aujourd'hui.

Depot Palais de justice.JPGUne exposition qui se penche et qui traite en profondeur l'ensemble des photographies réalisées dans l'univers carcéral parisien (19 prisons au début du siècle). 3800 images, ont été inventoriées par les commissaires de l'exposition auprès d'institutions et de collectionneurs privés. L'exposition livre les multiples visages des prisons, Les photographies sont présentées à côté de textes et de films d'archives, mais aussi prolongées par des créations contemporaines réalisées à l'initiative du musée.Cellule2.JPG

Effectués entre 2008 et 2009 à la prison de la Santé, trois reportages photographiques, de Jacqueline Salmon, Michel Séméniako et Mathieu Pernot, sont présentés en exclusivité dans l'exposition.

 

 

Rendez-vous autour de l'exposition au musée Carnavalet

Très intéressantes conférences, entrée libre, 99 places assises, salle de conférence du musée Carnavalet, escalier de Luynes.
Samedi 27 mars 2010 : Carte blanche à l'Observatoire International des Prisons (OIP)
Samedi 10 avril 2010 : « Regards croisés sur la prison »
Samedi 29 mai 2010 : « La prison habitée »
Samedi 5 juin 2009 : Carte blanche à l'Association française pour l'histoire de la justice
Samedi 19 juin 2009 : « Histoire pénitentiaire / Histoire des prisons »

Cellule.JPGHôtel Carnavalet, 23, rue de Sévigné 75003 Paris - Entrée au musée gratuite, mais accès à l'exposition payant : 7€, 5€ ou 3,50€

 

Consulter le programme des rendez-vous

23 février 2010

« Sur les traces d'un bâtisseur, André Honnorat » exposition photographique du 27 janvier au 17 décembre 2010

honnorat André.JPGUne carrière républicaine
André HONNORAT a été une figure politique importante, bien que méconnue, de la IIIème République. Ardent  dreyfusard, réformateur de la politique familiale française, pionnier de la lutte contre la tuberculose, promoteur  de l'hygiène scolaire, à l'origine du transfert des cendres de Gambetta au Panthéon... Journaliste de formation, conseiller général du canton de Lauzet (1907-1950), député, puis sénateur des Basses-Alpes, ministre de l'Instruction Publique, il joue un rôle actif dans la vie politique française jusqu'à la période de l'Occupation.

Des réalisations diverses

Les projets réalisés par André HONNORAT frappent par leur diversité : fervent pacifiste, il eut l'idée d'inhumer le Soldat Inconnu sous l'Arc de Triomphe. Il fut, bien avant son application en France dans les années 1970, un défenseur de l'Heure d'Eté. En 1940, il fit partie des députés qui refusèrent de voter les pleins pouvoirs au Maréchal PETAIN. Surtout, des années 1920 à sa mort, il fut l'un des artisans de la création de la Cité internationale universitaire de Paris, aux côtés de mécènes privés comme Emile DEUTSCH DE LA MEURTHE, et d'acteurs académiques comme Paul APPELL, recteur des Universités de Paris. Utopie menée à bien, consistant à faire cohabiter dans la paix des jeunes du monde entier, elle résume la carrière de cet humaniste.

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19 janvier 2010

“Réflexions” parisiennes et brasiliennes du photographe Marcus Brandao jusqu’au 30 janvier 2010 au FIAP Jean Monnet.

brandao-expo.jpgAu travers une cinquantaine de photographies réunies en diptyques et triptyques, l'exposition invite à une contemplation poétique et inédite de sites architecturaux connus de Paris et de Brasilia.

A la prise de vue, Marcus Brandao associe subtilement chaque édifice à son environnement, naturel ou urbain, le situant dans un espace quasi intemporel.

Le visiteur, curieux, s'amuse à capter et observer les détails qui se fondent dans les superpositions d'une manière surréaliste. Il est ainsi invité à découvrir ou redécouvrir l'œuvre architecturale mise en scène.

http://www.marcusbrandao.fr/

FIAP Jean Monnet-30 rue Cabanis 75014 Paris  http://www.fiap.asso.fr/blog/?language=fr

14 janvier 2010

Lieux communs et autres clichés... Du côté de la porte de Vanves

Exposition de photographies, du 11 au 22 janvier 2010 au Centre Maurice Noguès, 5 avenue de la Porte de Vanves

Florimont présente à nouveau son exposition de photographies par Marie-Ange Claeys-Vincent et Danièle Mottet « ... du côté de la Porte de Vanves » du 11 au 22 janvier 2010 au Pôle d'activités Maurice Noguès,  5 Avenue de la Porte de Vanves 75014 Paris -du lundi au vendredi 9h30 à 12h30 et 13h30 à 18h.

Après une exposition en novembre 2008 sur le Château ouvrier et ses habitants, Marie-Ange Claeys-Vincent, Danièle Mottet, Dominique Bernard et Isabelle Ferté Armour ont repris une démarche similaire tout en interviewant douze habitants du quartier de Vanves. Les portraits et les éléments de ces entretiens constituent cette exposition.

Les thèmes directeurs des entretiens sont ceux du projet « Mémoires... et Avenir de mon quartier » : l'engagement et notamment le premier engagement ; puis l'apport des nouveaux arrivants dans la construction d'un pays, d'un quartier ; et dans le cadre de cette exposition s'est ajoutée la dimension des changements urbains, le paysage du quartier ayant fortement changé.

Ce travail ne fait l'apologie ni de la nostalgie, ni du changement, mais souhaite démontrer que si il y a changement dans le quartier, il faut qu'il soit au bénéfice des habitants. Une rénovation réussie est une rénovation qui favorise les lieux de vie, c'est-à-dire les lieux investis par les habitants et permettant un « rapprochement entre espace, mémoire, culture et identité » et non pas des non-lieux, des lieux de passage et anonymes.

L'exposition présente le travail de deux photographes :

Marie-Ange Claeys-Vincent est à l'origine du projet initial et a participé à la première exposition sur le château ouvrier. Son travail de photographies argentiques, en noir et blanc, est construit autour de dyptiques : portraits et lieux correspondant auxquels elle intègre les éléments d'entretiens

Danièle Mottet est nouvellement impliquée sur ce projet. Elle présente son travail d'une part sur un support de photographies numériques en couleurs prises sur le vif des entretiens, d'autre part sur un support diaporama et vidéo.

Extraits du texte écrit par Isabelle http://www.chateau-ouvrier.fr/

09 novembre 2009

La mode sous l’Occupation : Accessoires et objets, témoignages de vies de femmes à Paris 1940-1944»

Jusqu'au 15 novembre au Mémorial Leclerc - Musée Jean Moulin

Jusqu'au 15 novembre 2009, le Mémorial Leclerc - Musée Jean Moulin organise une exposition consacrée aux accessoires de mode sous l'Occupation, à partir d'un ensemble de 300 objets issus des collections de Galliera, musée de la mode de la Ville de Paris, enrichi de prêts publics et privés.

Chapeaux, sacs, chaussures... : objets témoins du Paris des « Années noires » qui allient débrouillardise et coquetterie, ces accessoires de mode sont situés dans le contexte de l'époque par des photographies, journaux de mode, affiches, partitions de chansons et actualités cinématographiques.
Mémorial Leclerc - Musée Jean Moulin, Jardin Atlantique (au-dessus de la gare Montparnasse), 23, allée de la 2ème DB. Tarifs : 4 € / 3 € / 2 € / gratuit pour les moins de 14 ans. Tél. : 01 40 64 39 44.
http://www.ml-leclerc-moulin.paris.fr/http://www.paris.fr/portail/Culture/Portjean moulin,leclercal.lut?page_id=6923

30 septembre 2009

LE CAFE-SIGNES ET L’EXPOSITION « DIVER(SES) CITE(ES) ».

Nous avions présenté en octobre 2006 le Café Signes, ce lieu chaleureux du 14ème arrondissement. Situé au 33 avenue Jean Moulin,  ouvert de 8 à 19h, du lundi au vendredi, on peut y prendre une consommation, ou déjeuner. On peut aussi y consulter Internet. L'accueil et la cuisine sont assurés pour moitié par des personnes sourdes du CATC Jean Moulin  Entièrement conçu autour du thème de l'échange et de la communication, notamment par le langage des signes, le Café Signes est l'aboutissement d'une action menée pendant plusieurs années par le Centre d'Aide par le Travail et la Communication Jean-Moulin (installé en face au 40 avenue Jean Moulin).

La cuisine est très soignée et variée, et l'on se sent bien dans ce lieu qui accueille des habitués et des gens de passage attirés par la convivialité du Café-Signes. La salle est confortable et attrayante.

Vous avez une raison supplémentaire d'y aller avant le 9 octobre c'est qu'il y a une belle exposition de photos. Ne vous laissez pas dissuader par les échafaudages qui cachent en partie la façade de l'immeuble, l'ambiance du Café-Signes reste très agréable ! Si vous voulez y prendre un repas, il est prudent de réserver votre table. Tel. : 01 45 39 37 40.

EXPOSITION PHOTOGRAPHIQUE DU COLLECTIF 127 DU 14 SEPTEMBRE AU 9 OCTOBRE « DIVER(SES) CITE(ES) »

café des signes.jpgLe Collectif 127 bis propose une approche très libre et diversifiée de la Cité. Ces interprétations sont mises en scène par Emmanuelle Fèvre. Les points de vue défendus par les photographes de ce collectif sur le Cité sont aussi différents que les personnalités des membres de ce collectif. Leur aventure commune les entraîne autour de thèmes communs qu'ils traitent avec des sensibilités différentes. Des angles de vue différents, des sensibilités particulières : tout est prêt pour un voyage dans les Diver(ses) Cité(es).

Les photos sont très intéressantes : on y voit les villes de jour et de nuit avec leurs architectures, les industries, les transports, les graffitis... Ces documents révèlent souvent des aspects inconnus ou insolites des cités.

Pour en savoir plus http://www.127bis.com/expo/index.php

M. Garrigue-Viney

05 juin 2009

17 artistes exposent des oeuvres sur papier (petits et moyens formats) à la Galerie Expression Libre, jusqu’au 7 juin 2009, du mercredi au dimanche de 12h à 19h30

Cette exposition est très intéressante car elle permet d’avoir un panorama de ces artistes qui ont déjà exposé dans la galerie. Vous pourrez découvrir les œuvres exposées en consultant la page Internet : http://artexpressionlibre.free.fr/sitepage1.html
Galerie internationale Expression Libre, 41 rue Hippolyte Maindron 75014 PARIS. Tél : 0145423699 http://artexpressionlibre.free.fr/

02 mai 2009

Titus-Carmel : étonnante et belle exposition aux Bernardins

Suite Grünewald est une série de 159 dessins réalisée de juin 1994 à juin 1996, inspirée de la Crucifixion, panneau central du célèbre retable Issenheim à Colmar, peint par Mathias Grünewald, au début du 16ème siècle.

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Titus-Carmel s’est livré à une véritable étude et une interprétation, élément par élément, de l’œuvre, en explorant dans le détail tous les fragments de la scène de la Crucifixion. Il emploie différentes techniques de dessin : fusain, mine de plomb, encre, pastel, craie, aquarelle ou acrylique, et quelque fois du papier collé. Titus-Carmel  propose cette série comme une méditation. Elle devient une sorte de chemin initiatique des enjeux de la représentation.titus calmel2.jpg
Plus précisément, il a abordé le panneau central du retable en présentant les personnages, titus-calmel3.jpgcomme dans une mise en scène, Marie-Madeleine, la Vierge Marie, saint Jean, saint Jean-Baptiste et enfin le Christ., terminant par le centre du tableau. Tous les dessins sont au même format 70x60, choisi.
Ancien élève de l’école Boulle, Titus-Carmel travaille par séries, a réalisé une œuvre riche, présente dans une centaine de musées, et a publié une quarantaine de livres, de poésies ou d’essais sur l’art et la littérature.
Une bonne raison de se rendre au Collège des Bernardins !
Jusqu’au 7 juin 2009. Tous les jours 10 à 18h, dimanche 14 à 18 h et mardi jusqu’à 22h. Entrée libre

27 janvier 2009

Exposition des œuvres de Samiran Boruah jusqu’au 9 février.

 

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Cet artiste peintre est surtout connu en Inde : Ses œuvres reprennent le souvenir visuel de sa région natale, le nord-est indien. Ses images, dont l’intensité des couleurs est saisissante, explorent aussi l’inconscient des mythes et des légendes humaines. Elles expriment le réel avec poésie.
Pour avoir une approche de ses œuvres consulter : http://www.samiran-boruah.odexpo.com/page2.asp

Exposition jusqu’au 9 février, du lundi au vendredi de 17h à 19h à la Galerie Lithovic, 119 rue du Château. Entrée libre

01 janvier 2009

Exposition Dufy : Urgent jusqu’au 11 janvier ! Une explosion de couleurs pleine grâce et de joie.

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Le musée d’Art Moderne de la Ville de Paris présente une importante rétrospective de l’œuvre de Raoul Dufy. Cet artiste, largement représenté dans les collections du musée grâce au legs de madame Dufy, et par la monumentale « Fée Electricité » (réalisée pour l'exposition internationale des Arts et Techniques à Paris de 1937), n'avait pas été montré dans une institution publique parisienne depuis la mort de l'artiste en 1953.
La trajectoire artistique de Dufy, qui accompagne les avant-gardes parisiennes du début du siècle, en fait un peintre très original. Très tôt, ses recherches l'accent sur la couleur / lumière, sur son goût pour l'arabesque ainsi que sur les nouveaux procédés chimiques empruntés à la technique picturale et textile. L'exposition mettra particulièrement en évidence ses séries (bords de mer, rues pavoisées, ateliers, cargos noirs…), et la conjonction de son œuvre décorative avec sa peinture.

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Ne manquez pas d’aller voir cette exposition avec vos enfants et petits-enfants, c’est un enchantement. Nous entrons presque tout de suite dans un univers de vacances sur les plages ou au bord des rivières : bateaux, scènes de pêche à la ligne, fêtes populaires, tout est prétexte à une explosion de couleurs, les bleus intenses côtoient, les jaunes, oranges, rouges, roses tendres, verts acidulés. Les compositions apparemment légères et désordonnées sont savamment étudiées et équilibrées de manière à évoquer un jardin abandonné, la vue d’une fenêtre, une chambre au réveil, un atelier d’artiste, les drapeaux déployés le 14 juillet : visions fugaces qu’il fixe avec joie et grâce.

Ce sont des instants de bonheur ou de beauté qui intéressent Dufy, par exemple, dans ses compositions florales il choisira des fleurs dans leur plein épanouissement comme des tulipes qui déploient leurs pétales et courbent leurs tiges juste avant de flétrir. L’exposition se termine par la grande salle entièrement décorée par l’éclatante fresque de la fée Electricité.

Dufy est un peintre de son temps qui s’émerveille des progrès techniques de son époque. Il participe aux courants artistiques contemporains. Il utilise les techniques impressionnistes, cubistes avec fantaisie, en insistant sur la féerie des couleurs et les compositions foisonnantes. Il travaille sur différents supports : la céramique, les tissus, la gravure sur bois….il illustre les poèmes d’Apollinaire. Sa virtuosité technique est toujours au service de son plaisir et du nôtre.

Monique Garrigue-Viney

De 4,50 à 9 euros - Du mardi au dimanche de 10h à 18h, le jeudi jusqu'à 22h - Musée d'Art moderne de la ville de Paris, 11 avenue du Président Wilson, 75016 Paris - Renseignements : 01.53.67.40.00

09 décembre 2008

Exposition Séverine Pineaux à l’atelier Karidwen, 118 rue du Château, du 2 au 21 décembre

A l’occasion de la parution aux éditions Tournon du tome 2 de la série Ysambre : “La Femme Graine”, Séverine Pineaux présente huiles, aquarelles et dessins originaux tirés du livre.

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Voilà comment l’artiste présente son œuvre : « Mes peintures se promènent entre le merveilleux et le fantastique. Elles parlent de nature et d’écologie, d’unité spirituelle du monde et des liens qui unissent les êtres humains. Leur vocation est de faire rêver en racontant des histoires silencieuses et immobiles… »

Ces peintures et dessins pleins d’imagination  sont des œuvres réalisées avec un dessin précis, nerveux. Elles mélangent les genres, les styles, les univers, la nature et le merveilleux. On y perçoit aussi une note d’humour.

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Outre la galerie d’exposition, l’atelier Karidwen est un lieu où travaillent plusieurs artistes céramistes et aussi un lieu qui accueille des enfants pour des stages de poterie.

M.G.V.

 

30 octobre 2008

la Galerie Obscura présente Sarah Moon

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Depuis le 24 octobre, la Galerie Camera Obscura présente au 268 , boulevard Raspail - 75 014 - un ensemble photos créées par Sarah Moon,  présentées  sous la forme d'un livre : 12345. Aujourd'hui 30 octobre une rencontre avec l'artiste aura lieu de 18h à 20h.  Cette expostion pourra être visitée jusqu'au 6 décembre 2008.

Galerie Obscura :mardi au samedi, de 13h à 19h, 268, bvd Raspail

tél : 01 45 45 67 08. www.galeriecameraobscura.fr

26 juin 2008

Expositions de peintures fin juin 2008

Du 1er au 29 juin, du mardi au samedi de 14h à 19h
Exposition des peintures de Nathalie Froment, Jean-Claude Apert et Michel Allard à la Galerie Jardin de Communic’Art, 18 rue de Gergovie. Pernety. www.communic-art.com

Jusqu’au 29 juin, du mercredi au dimanche de 12h à 19h30
Exposition des peintures de Françoise Blondel (acrylique sur toile) et Aurélie Jeannin (huile sur toile) à la Galerie Expression Libre, 41 rue Hippolyte Maindron. M° Alésia ou Pernety. http://artexpressionlibre.free.fr. Entrée libre

Pour voir les images, cliquez sur "Lire la suite" 

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25 mai 2008

Exposition des peintres Jean-Claude Bernard et Marie Deloume

du 14 mai au 1er juin à la galerie Expression Libre.

6dad685bc97f102246efa71395e3b350.jpgJean-Claude Bernard

Les peintres Jean-Claude Bernard et Marie Deloume exposent leurs œuvres à la Galerie Expression Libre, 41 rue Hippolyte Maindron. M° Alésia ou Pernety.Du mercredi au dimanche de 12h à 19h30.

f216a803b6a7f72f2dc440d13f170f75.jpgMarie Delourme

Les œuvres de Jean-Claude Bernard sont réalisées en acrylique sur toile, celles de Marie Deloume sont des peintures sur zinc. http://artexpressionlibre.free.fr

Voir les albums en colonne de droite 

17 mai 2008

« Signes des temps, signes de la main »

Jusqu’au 1er juin à la Cité Universitaire

7de0654cba2febd8e1a45b996ca2f256.jpgExposition du peintre Jacques V. Lemaire à la Fondation Biermans Lapôtre, 9A boulevard Jourdan. RER et T Cité Universitaire. Entrée libre. www.bellux.org

Jacques V. Lemaire est un peintre belge, amateur d’art depuis l’enfance, vivant dans un coin reculé de l’Ardenne…Sa peinture est toujours à l’huile : Carrés de neuf toiles qu’il peint ensemble ou séparément, les déstructure, les réassemble et poursuit son travail jusqu’à ce que l’équilibre – continu ou discontinu - s’exprime de tous côtés, dans tous le sensLes toiles présentées ici à la Fondation

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Biermans-Lapôtre du 1er mai eu 1er juin 2008 représentent une partie du travail de ces derniers mois, au cours desquels le peintre a parallèlement poursuivi son exploration, livresque et pratique, de la peinture pariétale paléolithique ainsi que ses pérégrinations aux sources de l’humain. Site officiel: http://www.jacquesvlemaire.be

 

16 mai 2008

Saul Steinberg : Illuminations, à la Fondation Henri Cartier Bresson

6 mai – 27 juillet 2008

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Pendant 60 ans, Saul Steinberg (1914-1999), artiste américain d'origine roumaine, a illustré les pages et couvertures du New Yorker . En plus de son travail de dessinateur, Saul Steinberg fut également un immense propagandiste, caricaturiste, illustrateur, graphiste, muraliste, dessinateur de mode et de publicité, scénographe, créateur infatigable de livres d'images, et artiste de galerie. Steinberg fait aujourd'hui l'objet d'une rétrospective majeure dont la Fondation HCB est la première étape de la tournée européenne. L'exposition est organisée par le Frances Lehman Loeb Art Center, Vassar College, et conçue par Joel Smith.

Steinberg et Cartier-Bresson
Henri Cartier-Bresson, dont la passion première était la peinture, disait souvent « dessiner est un dur plaisir ». Dans l'ouvrage Ombres et reflets, son ami Steinberg prolongeait ainsi sa réflexion : « Il est difficile de reproduire la nature dans toute sa réalité substantielle, d'en saisir la vérité intrinsèque ; cela exige beaucoup d'effort, un engagement auquel on se soustrait par paresse – il est tellement plus commode, moins fatiguant, d'inventer ». Cartier-Bresson et Steinberg s'étaient rencontrés en 1947. À la mort de Steinberg, en 1999, Cartier-Bresson écrivait : « We had an invisible link ».

7f68fefc8fbcb1aa45d3cdd10a3cdcff.jpgLe génie pluriel de Steinberg
Saul Steinberg: Illuminations présente une centaine de dessins, collages et assemblages réalisés des années 1930 aux années 1990. Esprit de génie, Steinberg est également connu comme l'un des plus grands dessinateurs de l'époque moderne. Sont dévoilés pour la première fois tous les éléments de sa carrière - de ses dessins méconnus des années 1930 aux créations des dix dernières années de sa vie

Un écrivain qui dessine

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Son trait élégant, incisif et inventif a été vu et imité dans les journaux intellectuels autant que dans les cartes de vœux, apprécié par un vaste public - sensible à son style moderne et à son esprit inclassable - entre humour, caricature et fable politique. Steinberg disait de lui-même qu'il était « un écrivain qui dessine », décrivant ses dessins comme des « leurres fascinants ».

Alain Constans 

HCB, 2, impasse Lebouis 75014

6€, réduit 3€, fermé le lundi nocturne mercredi 18h30-20h30 (gratuit)

15 mai 2008

Exposition Personimages : du 12 au 17 mai, de 11h à 20h à la Mairie du 14ème

Exposition des œuvres des participants aux ateliers de l’association Personimages à la mairie, 2 place Ferdinand Brunot. M° Denfert Rochereau ou Mouton Duvernet. Il ne faut manquer d’aller voir cette exposition, l’association Personimages présente toujours des œuvres d’une exceptionnelle qualité.

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Dès l'origine, PERSONIMAGES, créé par  Denise Merle d'Aubigné, s'est donné pour mission de mettre la création artistique à la portée des personnes handicapées pour leur offrir l'occasion de s'exprimer, de communiquer leur différence et leur richesse intérieure qu'elles ne peuvent souvent transmettre par les mots ou le discours.

Depuis plus de 30 ans, dans nos ateliers, ils créent ; leurs oeuvres font le tour du monde, certaines d'entre elles décorent le siège d'entreprises internationales ou illustrent leurs cartes, d'autres participent à des expositions tant en France que dans d'autres pays du monde.

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Ces ateliers sont animés par des artistes formés par nos soins : l'animation confiée à des artistes et non à des thérapeutes correspond au désir de PERSONIMAGES d'insister sur l'aspect culturel et artistique des différentes pratiques d'expression.

L’association Personimages 91 rue Vercingétorix - 75014 Paris - tel : 01 45 41 34 44 - fax : 01 45 45 40 23e-mail : courriel@personimages.org et site Internet : http://personimages2.free.fr

17 février 2008

Exposition Anne Lambert : « Peintures et pastels » du 16 février au 29 février

Galerie 55 rue du Montparnasse 75014 : de 13h à 20h.

Anne Lambert

ca6697f4da081d9037a151271f64c5d7.jpgAnne Lambert est née en 1940 dans le Pas de Calais. Après des études secondaires à Lille elle prépare le professorat d'arts plastiques à Paris. Elle fréquente, une fois prof au lycée Condorcet de Lens, l'atelier de peinture de Daniel Sénélar aux Beaux Arts de Lille où elle passe le diplôme de peinture, avec un mémoire sur le pays de Montreuil-sur-mer.

"Marronnier", (pastel) 

Professeur successivement à Lens, Arras, Vitry sur Seine, elle termine sa carrière en 2000 au lycée Paul Bert de Paris XIV°.

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"Dunes", (huile) 

Parallèlement elle expose à Montreuil s/mer, Brecey, Stella-Plage, le Touquet, Paris (atelier 75, puis avec les Mariannes), la Plagne, Champagny, Bourg en Bresse, et à nouveau à Paris (hôtel des Voyageurs, Maine-Café...)

A Paris elle participe à des animations de rues (rue Daguerre, rue Vignon) avec les "Choux Voyageurs" et accroche ses toiles au Salon des Peintres Témoins du XIV° et en mairie au Salon du XIV°.

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Signalons aussi qu’ Anne Lambert est très active dans la vie associative des quartiers Porte de Vanves  et Pernety!

11 février 2008

Un photographe : Saul Leiter

La photographie n’est pas un art de la reproduction objective de la réalité. Saul Leiter le prouve. De ses photos en noir et blanc et de ses autochromes, il se dégage une « impression » insaisissable, une fluidité, une caresse , quelque chose d’impalpable, de fugitif, où l’instant soudain figé mais cependant éphémère, prend une place essentielle.

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 Né à Pittsburg en 1923, il se consacre tout d’abord à la peinture, puis à partir de 1947, et après avoir vu une exposition d’Henri Cartier Bresson, il commence à photographier les rues de New-York. Il surprend à l’insu du sujet saisi dans l’objectif de son Leica, l’émotion, l’instantané du détail vu, pris au piège, qu’il s’agisse d’une jupe de femme, d’une simple chaussure, d’un chapeau ou d’une épaule, pour en extraire immédiatement la quintessence de la vision, « sa » vision, c’est-à-dire celle que la vie et le quotidien ne retiennent jamais dans leur globalité, parce que trop éphémère. L’intercession de l’œil de l’artiste bouleverse ainsi celui du spectateur, et devient par la magie du regard, une œuvre d’art.

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 Ces photos qui nous sont présentées sont des sortes de failles, d’anfractuosités d’où s’échappent le mystère de la lumière révélée, la beauté simple du jour et des personnages tous empreints de cette sorte de mélancolie, d’abandon et de solitude. Tout flâneur « éveillé » ressentira cette impression, surtout lorsqu’il parcourt les rues d’une ville, a fortiori celles de New-York, cité secrète, mais cependant onirique par sa démesure, capable de cultiver à la fois le secret, l’intimité mais aussi le désordre, la folie, et l’inachevé. Les photos de Saul Leiter  sont des instants de grâce poétique, où la douceur apparente nous enveloppe d’une musique indicible, souterraine, mais où apparaissent parfois, d’une manière furtive, la douleur pudique, la tristesse retenue, la pesanteur de vies qui n’ont pas été touchées par l’aile du bonheur. Nous en sommes d’autant plus impressionnés.

 R.Rillot

Fondation Henri Cartier Bresson : 2, impasse Lebouis – 75 014 -  Exposition jusqu’au 13 avril . Tel 33 1 56 80 27 00

contact@henricartierbresson.org

24 septembre 2007

Exposition: Helen Lewitt à la Fondation Henri Cartier-Bresson

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"Les photographies d’Helen Levitt n’étaient pas censées raconter une histoire ou étayer une thèse sociale. Elle travaillait dans des quartiers pauvres parce qu’ils regorgeaient de monde, et que la vie de la rue était socialement riche et visuellement intéressante. Ses images ne témoignent d’aucun événement hors-du-commun; la plupart montrent des jeux d’enfants, les conversations et les allervenues de ménagères de plus de cinquante ans, la posture attentive des plus âgés.

Ce qui est remarquable dans ses photographies, c’est que ces actes de vie anodins et routiniers, pratiqués n’importe où et en tout temps, y sont révélés pleins de grâce,de drame, d’humour, de pathos et de surprise. Elles sont emplies des attributs de l’art, comme si la rue était une scène, et ses habitants étaient des acteurs et desactrices, des mimes, des orateurs et des danseurs.

Des légions de photographes new yorkais sérieux ont rendu hommage à Helen Levitt en l’imitant."

John Szarkowski (dossier de presse de la Fondation Henri Cartier-Bresson


Jusqu'au 23 décembre 2007
Du mardi au dimanche de 13h00 à 18h30, le samedi de 11h00 à 18h45

Nocturne le mercredi jusqu’à 20h30
Fermé lundi et jours fériés 

Tarif: 6€, réduit 3€, gratuit en nocturne 

17 septembre 2007

Salon des Arts du 14ème

b6a10afab409e5bed37e7af3b9bfc717.jpgPendant 10 jours, quelques 300 peintres, sculpteurs et graphistes du 14e exposeront leurs oeuvres. Un rendez-vous, organisé par la Mairie du 14e, pour découvrir la création contemporaine d’un arrondissement où l’esprit des Montparnos, qui dans les années 20 en firent le coeur des arts parisiens, est toujours présent !
Entrée libre du lundi au dimanche, 10h-17h. Jeudi, 19h.  Mairie annexe. 12 rue Durouchoux.

 

02 juillet 2007

Le rock'nroll s'expose

La Fondation Cartier présente jusqu'au 28 octobre 2007, une exposition qui fera date. Volontairement limitée  aux années 39 – 59, elle rappelle d'une part, le  trentenaire de la disparition de Elvis Presley et d'autre part se rapporte à une forme de musique qui après s'être révélée aux U.S.A. en 1954 a débarqué en Europe et y a fait flores.

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L'exposition rassemble ici tous les éléments constitutifs de cette musique, depuis ses origines, dont la base s'apparente au "boogie-woogie et au "rythm and blues" apparus  à partir  de la Seconde guerre mondiale. On y voit ainsi différents juke boxes, un studio d'enregistrement,  et même une "Cadillac", voiture symbole de cette époque. On entend aussi de nombreuses chansons de cette période. Les photos d'Elvis Presley, de Marlon Brandon et de James Dean rythment la visite, accompagnée par les bornes d'écoute narratives.

En arrière plan du contexte historique, on peut suivre l'évolution sociale qui se rattache à cette époque : discrimination raciale, état des banlieues, apparition de la société de consommation, et par voie de conséquence la contestation de cette société marchande et consumériste.

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Elvis Presley et B.B.King (ph E.C.Withers) 

Des centaines de pièces, des clichés photos nous permettent de mieux apprécier et de comprendre cette musique qui fut  révolutionnaire en son temps. Elle est toujours un modèle pour ceux qui s'intéressent à ce phénomène de société, incontournable aujourd'hui. Les jeunes générations s'y retrouveront à l'aise. Mais au-delà des modes, l'apprentissage  et la revendication de la liberté, l'abolissement des barrières sociales, raciales et conservatrices sont toujours à l'ordre du jour et continuent de porter témoignage d'une certaine "fureur de vivre ", née à cette époque. Les nostalgique seront comblés…

Fondation Cartier : 261, boulevard Raspail - 75 014 - Tél : 01 42 18 56 50 .                                                      R.R

03 avril 2007

"Les chemins de Pâques", d'Yoshio OGAWA à Saint Pierre de Montrouge

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Venez nombreux au vernissage, mercredi 4 Avril, 20h30, à Saint Pierre de Montrouge, Chapelle Saint Paul

07 mars 2007

« L'ECHAPPEE BELLE » Exposition au Café-Signes


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Marie-Laure Pascal aime avant tout la dérision… Elle a pour père spirituel JacquesTati… Elle adore Tom Sharpe, écrivain anglais à l’humour corrosif…mais aussi Armistead Maupin et ses “Chroniques de San Francisco” et bien d’autres encore…Elle tire son inspiration à travers tous ces personnages ; elle les aime décalés, vivants et drôles et parfois déjantés… Elle se raconte des histoires et à sa façon elle les transcrit sur ses toiles. Ses dernières compositions tournent souvent autour de la nourriture et d’un endroit stratégique : la cuisine…Pour elle,"peindre c'est comme faire la cuisine"! Inventer des recettes pour y incorporer les ingrédients qu'on aime, car la peinture est semblable à la préparation d'un bon petit plat: ça se mijote, ça se délaye, ça prend forme... Et puis, on savoure si on aime et ce n'est pas grave si on n'aime pas...Marie-Laure Pascal

 

Café-Signes : 33 avenue Jean Moulin, Café-Restaurant ouvert de 8hà 19h-Tel 01 45 39 37 40 http:/www.cafesignes.com/

25 février 2007

Home, sweet home

Cycle de manifestations : "HOME, SWEET HOME"

2 EXILS

Exposition "Vieillir en exil"
du mardi 27 février au dimanche 18 mars 2007

ouverte de 10h à 20h

Exposition photographique de Philippe Revelli

En partenariat avec le Collectif Couleur d'Orange

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Ils sont algériens, marocains, sénégalais, maliens...
Aujourd'hui qu'ils ont atteint l'âge de la retraite, les minuscules chambres du foyer de travailleurs émigrés de Fives (Lille), ses cuisines collectives, sa cour, sa mosquée, constituent tout leur quotidien, parfois ponctué de voyages au pays.

Vernissage le mardi 27 février 2007 à 19h
Suivi d'une rencontre avec le photographe, Philippe Revelli, à 20h30

Pour en savoir plus : http://www.fiap.asso.fr/

FIAP JEAN MONNET - 30 rue Cabanis 75014 Paris - FRANCE - Tél. 33 1 43 13 17 00
Réservation : 33 1 43 13 17 17 - Fax : 33 1 45 81 63 91 - Mel : fiap@fiap.asso.f

16 février 2007

Exposition de peintures au Café-Signes

Encore une invitation à un vernissage au Café-Signes, avenue Jean Moulin ! j'y vais: cela me permet de retrouver l'ambiance chaleureuse habituelle.

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Là, on est reconnu, ce qui à Paris n'est pas si fréquent et pourtant il y passe du monde dans ce lieu ! Ah ! voici l'artiste : une jolie  blonde tout en sourire ; mon regard est tout de suite attiré par des énormes fleurs : Annie-Claire m'explique qu'avant, elle faisait exclusivement de la photo, et qu'elle en a gardé les cadrages gros plan, très gros plans. Ah, à présent des corps de femmes nues, noires puis blanches : ''j'ai commencé par la femme africaine dont la nudité est plus naturelle et maintenant j'ose la couleur blanche et même la peinture bleue… Mais  un acheteur attend son tour : il opte pour une enfant indienne drapée dans un sari orange, il a déjà acheté un tableau à une autre expo d'Annie-Claire : ce qu'il aime chez elle ce sont  les  couleurs vives…et les cadrages. Et vous ?vous avez encore quinze jours pour manger et boire tout en rêvant un peu.

B.Barthélémy

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Et le courrier d'Annie Claire

Bonjour à l équipe,

      "Après la plume qui m a permis d'exprimer mes émotions, j ai toujours exploré les arts sous différentes facettes, la chanson (piano-bar), la comédie, les arts décoratifs, la photographie, qui a été pour moi une sorte de respiration, je vivais en osmose avec mon vieux Nikkon EL2, inséparables, nous avons fait lui et moi quelques expositions, portraits, nus, toujours un plaisir.

Depuis quelques années, je lui fais des petites infidélités, pour moi, la peinture était la suite logique, de toutes ces expériences. En photo, j avais beaucoup pratiqué le noir et blanc, je me suis lancé dans la couleur, sur la toile, avec délectation et toujours en autodidacte...
Mon pinceau me mène là où il veut, je ne suis pas toujours la maîtresse, il n'a aucune contrainte, il n obéit à aucun style précis, mais il garde quand même toujours cette sensualité, des formes et des couleurs, mon pinceau et moi, on va continuer la route encore un grand bout de temps, on a encore plein de choses à faire"

Amicalement ANNIE CLAIRE

Café Signes 8h-19h, du lundi au vendredi

33, avenue Jean Moulin 

04 février 2007

Le photographe Bruce Davidson expose à la Fondation Henri Cartier-Bresson

Riche d'une centaine de clichés en noir et blanc, l'exposition dévoile deux séries majeures:

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"100e rue" et "Time of change". Elles racontent le combat des militants noirs des droits civiques et celui du Harlem espagnol de New-York. Deux thèmes que B. Davidson a développé pour montrer la vie des communautés noires et hispaniques dans une Amérique des années 60, une Amérique qui voulait ignorer les luttes pour l'émancipation des minorités.

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Témoignage vivant où la réalité se dévoile sans détour, sans intervention d'une quelconque "retouche artistique". Huit années de travail ( 1961 - 1968) pendant lesquelles B.D. a parcouru le Sud, Chicago et le New York de Manhattan, quartier le plus déshérité et le plus malfamé de la ville : "Je regardais les gens dans les yeux. Ils étaient calmes, tranquilles, retirés en eux-mêmes…" . A partir de là, ont émergé ces images montrant les combats de Martin Luther King, les mobilisations de Malcom X (La marche de Selma). B.D. a partagé sa vie avec les travailleurs saisonniers, cueilleurs de coton. Il fut témoin de la violence ségrégationniste, et du désir d'émancipation des Noirs. Il fit aussi des portraits intimistes, des scènes de rue ( la 100e) où transparaît la souffrance au quotidien de ces populations hispaniques et métissées.

Le visiteur appréciera le témoignage émouvant et la sensibilité aiguë du regard. Ces éléments donnent matière à réflexion sur la destinée douloureuse d'hommes et de femmes dont la seule tare indélébile est la couleur de leur peau… et leur misère.
                                                                                                                                                            R. Rillot
Fondation H-C-B : 2, impasse Lebouis - 75 014 Paris - Tél : 01 56 80 27 00
Exposition jusqu'au 22 avril 2007, du mardi au dimanche de 13h 00 à 18h 30, le samedi de 11h00 à 18h 45, nocturne le mercredi jusqu'à 20h 30.