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15 avril 2011

La semaine Sainte, à Saint-Pierre de Montrouge

- 19 avril, mardi Saint - Journée du pardon. Messes 8h, 12h 15, 18h 30 à la crypte. Confessions, écoute, journée de prières: entre 7h et 22h.

A la chapelle St Paul : mercredi saint, le 20 avril : confessions de 16h à 17h 30.

21 avril : Jeudi Saint - Sainte  Cène à 20h ( messe unique) suivie de l'adoration eucharistique jusqu'à minuit. Confessions entre 16h et 20h.

A la chapelle Notre-Dame de Bon Secours :  Sainte Cène à 16h 30.

22 avril : Vendredi Saint : Chemin de Croix à 15h et confessions jusqu'à 20h. Office de la Croix à 20h, célébration de la Passion du Seigneur. A la chapelle St Paul à 18h, la Passion du Seigneur. A la chapelle Notre-Dame de Bon-Secours : Chemin de Croix ( chapelle des soeurs) à 14h 30. Célébration de la Passion à 16h 30.

23 avril : Samedi Saint. Confessions : 10h 12h et de 15h à 19h. Vigile Pascale à 21h : baptême, 1ère communion et confirmation de 7 adultes.

24 avril : Dimanche de Pâques. Messes solennelles à 9h 30, 11h et 18h 30. A la chapelle St Paul : messes à 10h. A la chapelle Notre-Dame de Bon Secours : messe à 10h 30.

14 avril 2011

Le tabac des catacombes

Sans doute, l’avenue du Général Leclerc est-elle peu propice à l’exercice du grand art que devrait être tout flânerie, tant est oppressant cette agitation exsudant de toute part : piétons stressés, voitures hoquetantes, motos-fumigènes, etc…

L’enfer est à porté de nos yeux, de nos oreilles et de nos esprits assiégés ! Nous titubons presque lorsque, glissant notre regard – et sans y prêter attention - notre esprit est surpris par l’inscription portée au-dessus de la vitrine d’une boutique où se présente une annonce bien curieuse : « Le tabac des Catacombes » ! Qu’est-ce donc ? Doit-on comprendre que le tabac proposé ici est issu de souterrains mystérieux et tout proches, où l’empire de la nuit règne sans partage sur un paysage fait de zombis et d’ombres spectrales ? Devons-nous écouter la mélancolique mélopée  chantée par un visiteur malchanceux de ces lieux et, qui égaré à tout jamais, continue d’espérer de revoir la lumière, en fumant une pipe débonnaire et consolatrice ? Ainsi, le  tabac consommé accompagnerait-il  les propres cendres de l’étourdi flâneur cataphile, qui au fil des kilomètres parcourus en souterrain, aurait semé les petits cailloux de la distraction, ou ceux plus mystiques,  d’une éternité bien mal engagée ?

Mais ne soyons pas trop assujettis à nos hypothèses, gardons les pieds sur la terre, à défaut de laisser leurs traces en dessous… Nous sommes bien avenue du Général Leclerc, à Paris, dans le 14e, et si l’envie nous prend, nous pouvons pousser la porte de cette boutique pour nous y approvisionner de cigares et autre calumets, tirer sur une Gauloise, s’amouracher d’une Gitane, sucer le culot d’une bouffarde, ou s’envoler sur des nuages de tabac, en craquant une allumette. Cela nous mettra sur les routes de Cuba, du Brésil ou de la Virginie ! A cet instant précis, il ne sera plus question de Catacombes, mais de savoir apprivoiser, sans qu’elle nous tue, l’herbe à Nicot !   R.R

26 mars 2011

William Shakespeare au théâtre 14

Theatre14.JPG Le théâtre 14 présente jusqu’au 30 avril la célèbre comédie de W Shakespeare : Tout est bien qui finit bien ». Nous sommes ici devant une pièce où la fantaisie, la bouffonnerie, souvent le grotesque et l’invraisemblance l’emportent sur l’action qui se voudrait dramatique ; le tragique  ou plus réellement  les circonstances croisées d’une intrigue qui voudrait rejoindre la tradition d’une histoire d’amour et de mariage contrarié, accompagnées par une caricature de la réalité décalée d’un pouvoir royal passablement étrillé par les « clowneries » du four du roi, font de cette pièce  une parodie de la comédie humaine : amour, pouvoir, luttes d’influences, dérisions de l'ego. tragi-comédie de nos petites existecnces.

La langue, d’autre part, est portée à sa plus haute incandescence : un feu d’artifice  où se télescopent dithyrambes, métaphores débridées, poésie, et logique pure ; une gymnastique verbale, où souvent l’absurdité des propos provoquent une constante rupture de l’action et du rythme.  On est proche du théâtre de Ionesco… Si l’intrigue pend sa source dans la tradition romanesque, elle finit par flirter  avec les canons traditionnels du vaudeville !  Une comédie certes, mais une comédie qui en filigrane nous reporte à la source de toutes les actions humaines : les intrigues de tous les pouvoirs, liés à l’intérêt. Quant à la verve, à la nervosité et au rythme, Shakespeare est toujours un maître incontesté.

Pierre Beffeyte a su transcrire dans un langage contemporain, le texte original, et cela pour notre plus grand plaisir. Toute la troupe est excellente dans ses différents interprétations de personnages. Saluons au passage Romain Bouteille, Julia Duchaussoy, Sébastien Finck, et Chantal Trichet. Une excellent soirée à ne pas manquer.  R.R

Théâtre 14 Jean-Marie Serreau : 20, avenue Marc Sangnier – 75 014- Locations : 01 45 45 49 77, du lundi au samedi de 14h à 18h.

Prochain spectacle : Festival Littéraire  « Paris en toutes lettres »,  le 6 mai 2011: Les mémoires d’outre tombe de Chateaubriand. Une adaptation de Jean-paul Farré et Jean-Luc Tardieu.

25 mars 2011

Paroisse Saint Dominique : Dimanche 27 mars – Assemblée Paroissiale

Mgr André Vingt Trois célébrera la messe de 10h30

  • 10h00 Café et accueil de vos plats pour le buffet
  • 10h30 Messe
  • 12h00 Verre de l’amitié
  • 12h30 Déjeuner convivial (les Pères apportent le pain et le vin)
  • 14h00 Temps de réflexion et d’échanges en petits groupes
  • 15h30 Mini-enseignement
  • 16h00 Goûter

Les enfants seront pris en charge pendant les temps de réflexion

 Attention ! Messe unique à 10h30 (pas de messes à 18h30 le samedi ni à 09h00 et 18h30 le dimanche, pas de messes à St Yves).

Un Monastère invisible a ouvert ses portes à Saint-Dominique pour le temps de Carême : vous pouvez y « rentrer » chez vous par une méditation quotidienne à 7h, 15h ou 21h, à votre convenance, en vous aidant de la proposition « Vers Dimanche » que vous trouverez au fond de l’église. Un groupe de partage et de prière, chaque mercredi de 18h00 à 19h00, chez les Frères Maristes – 21 bis rue Dareau.

24 mars 2011

La Voix-ci....La Voix-là .... dans le 14ème du 24 au 26 mars 2011

 Exposition « La Commune et les femmes », Concert du groupe LIPO, « chansons françaises », Concert FOLKOM,  Vide-greniers sur la place Jacques Demy, Petites Z’Escapades (à partir de 3 ans) à l'Entrepôt , Pose d'une plaque au nom des élus ayant fait fonction de maire du 14e pendant la Commune, Lecture-débat autour du roman de Vincent Borel «Antoine et Isabelle»... voici quelques propositions faites aux habitants du 14ème, petits et grands !

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Du 26 mars au 2 avril 2011, se déroulera le 8e Printemps de Démocratie locale à Paris. 1er avril soirée spéciale dans le 14ème avec Vanves et Malakoff.

Urgent ! Inscriptions à la journée du 2 avril à l' hôtel de Ville avant le 25 mars

Tous les acteurs des instances participatives et associatives y sont conviés : conseils de quartier, de la jeunesse, de parisiens extra-communautaires, étudiants, militants associatifs, CICA, élus, citoyens... Vous aussi, prenez part à cette effervescence démocratique !

L’accent sera mis cette année sur les thèmes suivants :
 la participation "de l’immeuble à la métropole" parisienne
 les pratiques innovantes pour la participation des publics éloignés
 la formation des citoyens

Inscrivez-vous sans attendre à la journée du samedi 2 avril, qui se déroulera à l’Hôtel de Ville à partir de 9h avec la participation amicale de Stéphane Hessel.
 Inscriptions avant le 25 mars : cliquez ici

Le  programme  général est à la fin de cet article

Dans le 14ème une soirée spéciale : 18h30-20h Exposition et débat : « Malakoff, Paris, Vanves : de la ‘‘zone’’ à Paris Métropole ». Centre Maurice Noguès –

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21 mars 2011

Loisirs pour les enfants mercredi 23 mars

Ateliers d'expériences scientifiques autour de l'électricité : Mercredi 23 mars, 14h30 à la bibliothèque Georges Brassens

Ateliers animés par l'association « Les Petits débrouillards » qui propose aux enfants de découvrir la science en s'amusant, par des défis, des énigmes et questions insolites que chacun peut résoudre par sa propre expérimentation.

Entrée libre sur inscription auprès des bibliothécaires. Tél. : 01 53 90 30 30. Bibliothèque Georges Brassens, 38 rue Gassendi.

Petites Z’Escapades (à partir de 3 ans)  à 10h et 14 h (Suite du Cycle « l'écran animé »)
Programme de 6 courts-métrages  à l' Entrepôt

Univers enchanté décliné en chansons (Jean de la lune, Meunier tu dors..), magie burlesque et dépaysante du Bout du monde, et Petites Z’Escapades, conte subtil et philosophique de Pierre-Luc Granjon.. : Mercredi 23 mars 10h et 14h

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15 novembre 2010

Une pensée par jour, de l'abbé Pierre

La foi est un acte d’Amour. Il arrive un moment où l’on dit «  je crois » et on plonge.

Il ne s’agit pas de renoncer à la joie, mais de savoir ne la chercher que dans le service de la joie de tous. De tous, à commencer par les plus proches, puis, tendu, de proche en proche, vers la joie universelle.

S’appliquer à vivre de telle manière que cette évidence se révèle à tous, seul vrai « mode d’emploi de la vie » : vouloir apprendre à aimer, dans la miséricorde et la faim de justice vécue.

Que tu sois à un niveau très élevé ou très modeste de la société, peu importe. Mais sois de cette honnêteté du cordonnier qui répare bien les souliers ou de l’avocat qui défend bien ses clients. Le partage présuppose l’honnêteté.

On peut construire, au nom des idées, de belles cathédrales, mais si les idées ne vivent pas pour chacun, par chacun, les idées sont trahies ; les belles cathédrales deviennent coquilles vides.

On n’obtiendra jamais le respect des droits que l’on déclare tant qu’on ne verra pas, qu’on n’enseignera pas que l’être humain qui naît n’a d’autre raison que d’exister que [pour] son accomplissement personnel.

Ce n’est pas le travail qui donne une dignité à l’homme. C’est l’homme qui donne sa dignité  au travail par le but qu’il y met. Le travail n’est rien d’autre que l’accomplissement du devoir, pour chacun, d’utiliser ses capacités au service des autres et spécialement des plus souffrants.

20 décembre 2008

Rencontre de Sœur Emmanuelle avec les jeunes de l’aumônerie de Saint Pierre en avril 1996

Sœur Emmanuelle est venue deux fois à la paroisse Saint Pierre, une première dans le cadre des Jeudis de Saint Pierre et la deuxième pour rencontrer les jeunes des collèges et lycées.

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Mireille Albertini, était alors responsable de l’aumônerie et déléguée de secteur. Elle participait à des réunions de l’ensemble des délégués du diocèse de Paris et a appris que sœur Emmanuelle, rentrée en France depuis 1993, acceptait de venir dans les paroisses rencontrer des jeunes. Quelle occasion extraordinaire d’avoir le témoignage de cette femme qui avait su s’engager aussi radicalement au service de chiffonniers du Caire puis soutenir d’autres causes au Soudan, Sénégal, au Liban, dans les Philippines, au Burkina Faso, au Brésil… Et cette action, elle l’avait menée au nom de sa foi chrétienne.
Les jeune de l’aumônerie des lycées étaient conscients de l’importance de cette rencontre : ils s’étaient documentés et avaient soigneusement préparé leurs questions.

L’échange a été un grand moment, les jeunes ont été captivés et enthousiasmés, ils n’étaient pas les seuls, les adultes qui étaient présents en gardent un souvenir magnifique !
Son apparence frêle a été vite démentie par son regard malicieux et ses réparties, très percutantes et son large sourire. Le naturel et la franchise de Sœur Emmanuelle ont impressionné chacun. A 88 ans, elle était assise sur une table, chaussée de baskets, (comme ses jeunes interlocuteurs). Elle a écouté avec attention les questions. Elle allée à l’essentiel, avec simplicité. De sa voix claire, elle a parlé de l’amour de Dieu, et de son prochain en prenant des exemples concrets dans son action et celle de son entourage au Caire mais aussi en France. Elle a su évoquer la joie du partage, son admiration pour le courage et le dynamisme des personnes qui vivaient dans des conditions si difficiles. Son discours était authentique car il plongeait dans sa vie. Et cela, tous y étaient sensibles ! Elle a su, aussi, mettre son public au pied du mur en posant des questions directes, en bousculant nos faux-fuyants et nos peurs.
Figure claire, joyeuse, son enthousiasme était contagieux.

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La Voix du 14ème avait assisté à cette assemblée et en avait fait un compte-rendu, dont voici la reproduction du début

Monique Garrigue-Viney

31 décembre 2007

Bonne année

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