26 février 2024
La Porte d’Orléans est un enfer
Quel est le piéton, l’automobiliste, le conducteur de bus ou de tramway qui n’a pas crié haut et fort sa colère, concernant l’impossibilité physique de traverser cette porte, devenue un champ de bataille.
Oui, la Porte d’Orléans « bouchonne » à l’excès. Cela est dû à l’arrivée d’un trafic venant du périphérique, des boulevards des maréchaux, de l’avenue du Général Leclerc et de toutes les rues adjacentes.
Ce trafic est mal régulé par les feux de circulation. Ceux-ci devraient fluidifier l’ensemble des rues et avenues, depuis la place d’Alésia jusqu’à Montrouge, en tenant compte de la proximité d’entrée ou de sortie des véhicules allant et venant de l’autoroute A6.
En conséquence, il est urgent de revoir la synchronisation des feux le long des voies ayant un trafic surdimensionné, incompatible avec le gabarit des rues, avenues et carrefours correspondants au quartier Porte d’Orléans / Alésia.
Souhaitons que les services techniques de la ville de Paris et de la mairie du XIVe puissent un jour prochain proposer des solutions efficaces pour résoudre l’ensemble du problème ! Leur réponse commune et rapide sera la bienvenue pour tous : habitants et automobilistes.
R.R.
13:02 Publié dans 3- Vie des quartiers, Humeur, Voirie et circulation | Lien permanent | Commentaires (1) | Facebook | | Imprimer |
25 janvier 2024
Bonne année 2024 !
18:51 Publié dans 1- Edito, Environnement, Ecologie, Humeur, La Voix ci, La Voix là | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | Imprimer |
02 octobre 2023
Le temps passé
Le temps passe. Chacun de nous est confronté à la mémoire des événements qui ont marqué les étapes de sa vie.
Naissances, mariages, décès sont des jardins secrets dont chacun possède la clé, faisant tourner celle-ci de temps en temps afin de redécouvrir l’essence secrète de ces étapes.
Ceci est particulièrement vrai pour les lieux où nous avons pu déposer quelques miettes de notre vie, quelques pépites de notre passage, qu’il fut heureux ou malheureux.
« Au temps passé » est un café brasserie situé au carrefour Alésia/Plantes qui propose à l’observateur curieux, une panoplie des premières pages des journaux datant d’au moins une soixantaine d’années.
Ces photos, disposées sous le comptoir, évoquent un passé qui ne nous appartient plus, quasi absent de notre mémoire et particulièrement de celle des plus jeunes générations, qui ne peuvent imaginer ce qu’était la vie quotidienne de leurs parents et grands-parents.
« Au temps passé » offre au consommateur attentif, un trait d’union avec le temps qui s’efface. Ce café brasserie est une mémoire, celle qui parcourt toujours le quartier et ses rues, mémoire qui se faufile sur et sous les trottoirs, et pour le passant sachant écouter, fait renaître le ciel passé des souvenirs.
On n’en perçoit plus que de fragiles images, s’effaçant dans la brume discrète et volatile d’un soir d’automne.
Victor Hugo disait : « L’avenir est une porte, le passé en est la clé ».
Souhaitons que notre mémoire résonne toujours à l’infini devant notre porte afin qu’elle nourrisse notre esprit pour toujours.
« Au temps passé » sera toujours une étape pour le promeneur attentif à son avenir.
Raymond Rillot
06:08 Publié dans 3- Vie des quartiers, En flanant dans le 14e, Humeur, La Voix ci, La Voix là | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | Imprimer |
12 septembre 2023
Le Livre Ecarlate
Les livres ont-ils des couleurs ? Sont-ils des êtres vivants ? Leurs visages reflètent-ils les nuances des émotions du lecteur sensible ? Sombrent-ils dans la colère ivre de la folie ? Ont-ils des racines de feu ? L’enfer y allumerait-il des passions orageuses ou des ouragans métaphysiques.
Bref, leurs yeux nous regardent-ils comme nous regardons la fortune convoitée du voisin, l’étoile invisible de l’immortalité, ou la femme disparue qui fut tant aimée ?
Ce « livre écarlate » existe bien, je l’ai rencontré. Il est vivant au sein de mon quartier, là où je suis né. Il ouvre ses pages sur le chemin pavé, près d’un moulin qui fut vert, mais qui n’existe plus, et dont l’ombre se répand encore sur l’étroite rue chantant sa présence invisible.
Oui, ce « livre écarlate » habite une librairie du même nom dont la vitrine est animée par les secrets cachés dans les œuvres présentées ; celles-ci attendent impatientes le lecteur curieux et attentif à tout ce que la vie peut lui révéler : la joie, la tristesse, la poésie, la philosophie, l’histoire ou les faits divers…
Chacun est toujours prêt à ouvrir la porte d’un livre, car le livre sera toujours l’explorateur de l’esprit, ce temple invisible et éternel dont les voûtes s’ouvrent sur l’inconnu.
Ainsi, « LE LIVRE ÉCARLATE » vous tend les bras au 31 rue du Moulin Vert (14e arrondissement).
Raymond Rillot
03:59 Publié dans 4- Métiers et commerces, Humeur, La Voix ci, La Voix là, Livre/BD/Mangas | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : librairie le livre ecarlate 31 rue du moulin vert 75014 | Facebook | | Imprimer |
26 août 2023
Le Bistrot des Plantes
Peut-on imaginer qu’un lieu aussi modeste, puisse encore garder l’empreinte d’un passé si lointain ?
Voici une petite place, située sur le parcours de la rue des Plantes (XIVe)) et qui est cernée de trois beaux arbres apaisant les fièvres douloureuses qu’un soleil ardent disperse sur des tables accueillantes.
Cette petite place a le charme d’une place de village. Oui, un village disparu du paysage buissonnier qui fût. Car ici, nous marchons sur les ruines de ce qui faisait encore la vie de terres maraîchères et horticoles au XIXe siècle.
Hélas ! le XXe siècle et sa modernité de servitude autoritaire a effacé les effluves champêtres et variés de ces terres où s’épanouissaient les légumes et les fruits faisant l’ordinaire du repas des manouvriers ou de la ménagère.
Rappelons que cette rue appelée « des plantes » a emprunté cette appellation au vocabulaire du Moyen Age, à savoir que poussaient ici en abondance des vignes, nommées : « les plants ».
Aussi, ne vous étonnez pas de voir surgir ici un bistrot voisin d’un moulin « vert » lui aussi disparu et qui a légué son nom à une rue devenue celle « du Moulin Vert ».
Cependant, ce bistrot reste toujours à l’écoute de ce moulin, même le dimanche et les jours fériés ! Nos oreilles sensibles peuvent encore recueillir le cliquetis monotone et sonore que faisaient les ailes de ce moulin « vert ». Alors, nos yeux restent impatients de voir l’ombre de celles-ci caresser encore le pavé usé de cette rue.
Oui, le « bistrot des plantes » et sa minuscule place restent les témoins fragiles de ce que fut cette terre, ces jardins, ces « plants » à jamais disparus, cette campagne enfouie sous l’étreinte d’immeubles orgueilleux que l’ère moderne a posée là, en guise de pierres tombales, que le soleil peine à caresser tant leurs visages sont indifférents.
Raymond .Rillot
34, Rue des Plantes, 75014 Paris
16:45 Publié dans 3- Vie des quartiers, 4- Métiers et commerces, En flanant dans le 14e, Histoire du 14ème, Humeur | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | Imprimer |
07 juin 2023
L’imprévu de la Sablière
Quel est l’habitant, amoureux de son village, qui ne serait pas curieux de découvrir au détour d’une rue, une place pittoresque où se réunissent d’habitude quelques copains ou amis pour boire un verre, et bavarder de tout et de n’importe quoi ?
Le quartier de Plaisance est un petit bijou. Il porte encore les empreintes d’un village dont l’axe est toujours la rue de Vanves, aujourd'hui devenue rue Raymond Losserand.
Ainsi, si vous prenez la rue de la Sablière et débouchez place Flora Tristan, où apparaît la rue Didot, vous serez charmé par l’atmosphère villageoise qui se dégage de cet endroit.
Appuyez-vous à une table de « L’Imprévu », l’unique bistro de ce lieu. Il offre à l’ombre de grands arbres, toute l’hospitalité souhaitée et la quiétude bienveillante que vous propose une dizaine de tables accueillantes.
Oui, de ce côté-là de la rue Didot, le village de Plaisance et son quartier deviennent aimables, attachants, à la lumière de ces petits hameaux de campagne, où la paix est le seul credo de la vie, une vie simple et authentique, prête à être partagée entre tous.
Alors n’hésitez plus, venez vous asseoir place Flora Tristan. Lutèce l’agitée devrait suivre cet exemple heureux et bienfaisant.
R.R.
16:22 Publié dans 3- Vie des quartiers, En flanant dans le 14e, Humeur, La Voix ci, La Voix là | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : place flora tristan 75014, rue de la sablière | Facebook | | Imprimer |
23 juin 2022
Festival d'humour de Paris
Le FUP, le Festival d’humour de Paris est de retour pour une nouvelle édition. Le FUP, c’est à nouveau 10 soirées inédites créées spécialement pour l’occasion…
Du mercredi 15 au jeudi 30 juin 2022 Festival d'humour de Paris
Chaque année, c’est plus d’une dizaine de soirées inédites mêlant tous les styles d’humour, et plus de 100 artistes qui se réunissent sur les plus grandes scènes parisiennes, parmi lesquelles le Grand Rex, Bobino ou encore le Théâtre Libre…
Avec le FUP, Paris devient la capitale de l’humour !
Bobino 14-20 Rue de la Gaité, Paris 75014
A partir de 19 euros
Plus d'infos festivaldhumourdeparis.com
Tout public
00:58 Publié dans Humeur, Théâtre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bobino 14-20 rue de la gaité, paris 75014 | Facebook | | Imprimer |
06 février 2022
Les pavés de l'impasse
Les pavés de nos rues nous racontent des histoires. Des histoires cachées car les pavés nous révèlent le passé de nos quartiers.
Ainsi nous voici au début de l'avenue Jean Moulin et nous découvrons " l'impasse du Rouet". Quel joli nom pour un si modeste lieu. Là, les pavés révèlent au promeneur, l'histoire quasi invisible d'un quartier: celui du Petit Montrouge.
Tout d'abord, sait-t-on aujourd'hui ce qu'est un rouet? Les pavés auront retenu eux, l'écho des pas des ouvriers venant travailler à la "Corderie" qui fonctionnait au fond de l'impasse.
Les pavés étant d'époque peuvent évoquer le passage des attelages de chevaux traversant la place d'Alésia. Chacun peut encore entendre les cris des charretiers courant après leurs bêtes qui faisaient résonner leurs pas sur le pavé de l'impasse.
« Toi, le pavé, écoute moi !
Tu portes les stigmates usés du passé
Tu résistes à la pluie, aux griffes aiguës du soleil, au sabre du gel, et à la morsure de la neige !
Étrange pavé, orphelin, solitaire.
Tu attends ta métamorphose en une poussière froide lorsqu'à l'horizon apparaîtra la lune du temps qui se meurt. »
Oui, l'impasse du Rouet est un parchemin où la chanson de ses pavés résonne encore dans la brume matinale et souriante.
Aujourd'hui, revivent silencieux et discrets les fantômes lointains d'un peuple de couleurs. Leurs paroles disparues se sont effacées à jamais.
Mais peut-être que les pavés de l'impasse ont encore des choses à nous dire ?
Alors, chut ! Silence! Écoutons.....
R.R.
04:15 Publié dans 1- Edito, Humeur | Lien permanent | Commentaires (3) | Facebook | | Imprimer |
18 août 2021
À quelques pas de là
C’est une curieuse impression que d’être au mois d’août, à se promener en toute quiétude dans les rues de son quartier, celui de la place d’Alésia, et les autres : Plaisance, Didot, Montsouris, Denfert ou la Tombe-Issoire.
Oui, curieuse solitude des lieux : « Ô visages inanimés des immeubles, avez-vous donc encore une âme » ? C’est ainsi que le trottoir vous salue par un silence têtu, que les vitrines closes vous observent d’un œil froid, que les portes cochères se retiennent de sourire, que l’abribus se tient droit, immobile, et que la terrasse d’un café tremble d’impatience de voir le fantôme d’un amateur de bière, poser son séant sur une chaise orpheline…
Vous qui rêviez de parcourir tous les déserts du monde, vous avez l’impression d’avoir embarqué seul sur un radeau, pour un voyage au long cours, sans escale et sans fin.
Alors, vous redécouvrez avec plaisir les souvenirs épars de votre passé, enfouis par les ombres du temps évanoui.
Ici, des boutiques, des visages ont disparu. La terre a été retournée maintes fois, des bicoques aux toits de maisons villageoises ont été remplacées par des géants muets de dix étages.
D’un faubourg de Montrouge où les classes laborieuses ainsi que bourgeoises avaient posé leurs pas, il ne demeure que de fragiles témoins.
Ainsi, s’offre à votre regard : l’impasse du Rouet, la Villa Mallebay, la rue des Thermopyles, le chemin de la Tour de Vanves, la Villa Duthy, la Villa Deshayes, le jardin du Moulin de la Vierge et un certain Moulin Vert qui regarde la Villa d’Alésia.
Oui, le mois d’août nous entrouvre, en silence, les portes vivantes de la mélancolie, celle que fait revivre un quartier, celui du Petit-Montrouge où les murs livrent leur mémoire encore vivante à celles et à ceux qui savent encore écouter avec patience, l’histoire et le silence de nos rues accueillantes et la poésie du passé.
R.R.
12:54 Publié dans 1- Edito, Humeur | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | Imprimer |
11 mai 2021
Un peu d'humour
-La rumeur est sourde
C’est pourquoi il faut l’amplifier.
*
- Le pied droit n’est pas plus gauche
que le pied gauche.
Il est simplement plus adroit.
*
-Toutes les virgules ne se prennent pas
pour des apostrophes
*
- Etre chauve n’implique pas
que l’on ait le crâne moins garni.
*
- La roue est la plus belle invention de l’homme,
surtout quand elle donne l’accès à la fortune.
*
- Un bouton d’or donne l’illusion d’être riche,
sans avoir à traverser les faillites boursières.
*
- Vider son sac à tout propos,
c’est se priver se priver d’une alimentation saine et régulière.
*
- Ne pas avoir de projets d’avenir
C’est avancer à reculons
R.R.
01:41 Publié dans Humeur | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | Imprimer |
20 avril 2021
Un peu d'humour
Le comble du bonheur, c’est de trouver deux olives dans votre Martini lorsque vous avez faim.
*
Le café, ce n’est pas ma tasse de thé.
*
La chips est la seule contribution de l’empire britannique à l’art culinaire.
*
L’amour platonique est un revolver dont on fait semblant d’ignorer qu’il est chargé.
*
Le fromage, c’est la forme adulte du lait.
*
L’hiver anglais se termine en juillet et recommence en août.
*
L’hippopotame est monogame. Quand on en voit un, on se dit que c’est déjà beaucoup.
*
Si votre chien prend l’habitude d’aller manger chez votre voisin, c’est que vous êtes un mauvais cuisinier.
16:18 Publié dans Humeur | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : humour | Facebook | | Imprimer |
11 avril 2021
Un peu d’humour
Quelques définitions :
- Conducteur de corbillard : pilote décès.
*
- Condescendant : aurait besoin d’un petit remontant.
*
- Concours Miss France : le prix nos belles.
*
- Cuisinier : se targue d’avoir un poil dans la main.
*
- Cor de chasse : tel hautbois dormant.
*
- Cubisme : courant artistique qui rend un peu Braque et avec lequel on finit par tourner en rond. Ce mouvement a connu son pic à Sceaux…
*
18:01 Publié dans Humeur | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | Imprimer |
07 mars 2021
Un peu d'humour
- En géologie, les pierres se cachent
en strates à gemmes
*
- « Ça va faire un malheur » augure pourtant
d’un joli succès.
*
- La mort n’est pas un feu d’artifice,
et pourtant, c’est le bout qu’est final.
*
-J’ai failli être expulsé de mon appartement
car les murs étaient sans papiers.
*
- Il a pris la fuite,
après avoir déposé une main courante.
*
- On apprend de ses erreurs,
sauf quand son parachute n’est pas ouvert.
*
- Un patron manchot a plus que les autres
besoin d’un bras droit pour lui donner un coup de main.
*
- Les illuminés ne sont pas, pour autant,
des lumières.
*
Il m’arrive d’être à sec,
même quand il pleut.
*
02:02 Publié dans Humeur | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : humour | Facebook | | Imprimer |
27 février 2021
Un peu d'humour
- La jambe flottante pourra -t-elle traverser l’ Atlantique
sur un cheval sans queue ni tête ?
*
- Sur quelle peau accueillante
peuvent s’acclimater les poils à gratter ?
*
- Sur la table, une baguette de pain
attendait son chef d’orchestre
*
-J’y suis, j’y reste. Mais où ?
*
- Dramaturge en panne d’inspiration
S’associerait avec pâtissier spécialisé dans les pièces montées.
*
- Pour rétablir la balance en sa faveur,
Quasimodo souhaiterait rencontrer Grosso Modo.
*
-Mourir d’aimer,
c’est tomber dans un coma idyllique.
04:12 Publié dans Humeur | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : humour | Facebook | | Imprimer |
07 février 2021
Un peu d'humour
- L’erreur est humaine, soit, mais il y en a
qui poussent leur humanité un peu trop loin.
- Soyons reconnaissants à celui qui a inventé l’écriture
d’avoir classé les lettres par ordre alphabétique.
- La vie est tellement courte, que s’économiser,
c’est faire un placement à trop long terme.
- Certains croient se battre pour la liberté :
en fait, ils ne font que contester la forme de la cage.
- Tout le monde gagne à être connu, certes,
mais il y a quand même pas mal de gagne-petit.
- Attendre, c’est faire trop d’honneur à l’incertain.
Espérer, c’est lui donner sa chance.
18:17 Publié dans Humeur | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : humour | Facebook | | Imprimer |
24 janvier 2021
Un peu d’humour
-Si on veut faire tout ce qu’on doit,
on n’a plus le temps de faire
ce que l’on aime
*
- Un manchot ambidextre
est aussi invraisemblable
qu’un amnésique rancunier
*
-De quel droit les absents
ont-ils toujours tort ?
*
- Quand on prend un moule à gaufre
pour une photocopieuse,
le résultat est souvent illisible.
*
- A partir d’un certain âge
on peut déjà faire preuve
d’une grande sérénité.
*
- On n’est jamais aussi égoïste
qu’on le croit
*
Ma liberté commence
là où j’arrête celle des autres.
*
La gloire me boude,
elle doit être jalouse de mon bonheur.
00:16 Publié dans Humeur | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : humour | Facebook | | Imprimer |
11 janvier 2021
Un peu d’humour
- Ma notoriété est telle que si je tombe dans l’oubli,
je ne me ferais pas bien mal.
*
- Etre obèse n’est pas un échec.
C’est tout au plus, un bide.
*
- On peut douter de la capacité de travail
de ceux qui vous souhaitent
un bon week-end dès le lundi soir.
*
- La mauvaise foi peut, aussi,
soulever des montagnes
*
- Qui peut le plus, peut le moins
qui, la plupart du temps, suffit largement.
*
- Il est très mal élevé d’être le meilleur en tout.
Là-dessus, j’ai beaucoup de savoir-vivre.
*
- Quand on s’interdit de critiquer
qui que ce soit, on n’est pas loin
d’admirer n’importe qui.
*
02:18 Publié dans Humeur | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : humour | Facebook | | Imprimer |
17 décembre 2020
Un peu d’humour
C’est le comble
-Quel est le comble pour le Père Noël ?
C’est de ne pas croire aux enfants.
-Quel es le comble du paresseux ?
C’est de se lever tôt le matin
pour avoir une longue journée à ne rien faire.
-Quel est le comble pour un professeur de gym ?
C’est de tomber dans les pommes
en faisant le poirier.
-Quel est le comble pour un avion ?
C’est d’avoir un antivol.
-Quel est le comble pour un loup ?
C’est de jouer à saute-mouton.
-Quel est le comble pour un sculpteur ?
C’est d’avoir un bras dans le plâtre.
-Quel est le comble pour un sourd ?
C’est de s’appeler Louis.
13:44 Publié dans Humeur | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : humour | Facebook | | Imprimer |
06 décembre 2020
Un peu d'humour
-Où se posaient les hirondelles
avant l’invention du téléphone ?
*
-On peut être excessif
dans la recherche du juste milieu.
*
-Quoi qu’en pensent les bavards,
le silence n’est pas une langue morte.
*
-Le besoin de musique
c’est l’âme qui veut du son
*
Je suis toujours de l’avis du dernier
qui n’a rien à dire.
*
Le comble de l’anonymat :
voyager incognito
dans un avion de reconnaissance.
*
Un signe d’amitié vaut mieux
que la promesse de jours meilleurs.
12:20 Publié dans Humeur | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : humour | Facebook | | Imprimer |
27 novembre 2020
Un peu d'humour
-Se disent « maîtres à penser » ceux qui veulent nous empêcher de réfléchir.
-Si l’on n’est pas capable de se souvenir, vieillir ne sert à rien.
-Il est plus facile d’éblouir que d’éclairer.
-Le comble du cynisme : demander à un manchot de travailler d’arrache-pied.
-L’avantage, quand on est franchement nul, c’est qu’on ne risque pas de se sous-estimer.
-Les femmes ont un sixième sens, les hommes un don de double vie.
-On sait rarement combien pèse la balance.
12:52 Publié dans Humeur | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : humour | Facebook | | Imprimer |
20 novembre 2020
Un peu d'humour
Quel est le comble
Pour un nain ?
C’est d’être mal élevé.
Pour le président de la Syrie ?
C’est de finir entre quatre planches.
Pour un jockey ?
C’est de faire un régime sans sel.
Pour un amputé des jambes ?
C’est de faire un délit de fuite.
Pour les élus écologistes ?
C’est de recycler leurs idées.
13:07 Publié dans Humeur | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : humour | Facebook | | Imprimer |
13 novembre 2020
Un peu d'humour
A l’école, la maîtresse interroge Toto :
-Toto, lorsque je dis « Je suis belle », quel temps est-ce ?
-« Le passé, madame » lui répond Toto.
*
-Une visite fait toujours plaisir.
Si ce n’est pas en arrivant, c’est en partant.
( Sacha Guitry)
*
-Le général Cambronne ne mâchait pas ses mots.
Heureusement pour lui !
(Jean Yanne)
*
- En politique, on succède à des imbéciles
pour être remplacé par des incapables.
(Georges Clémenceau)
*
Quand une femme fait le premier pas
C’est qu’elle veut avoir le dernier mot.
*
20:15 Publié dans Humeur | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : humour | Facebook | | Imprimer |
09 novembre 2020
Un peu d'humour
- Pour que deux droites soient parallèles, il faut que l'une et l'autre soient consentantes.
- J'adore les gens qui ont le courage de mes opinions.
- L'union fait la force, mais la force ne fait pas l'union, surtout si elle est centrifuge.
- Quand l'horloge est arrêtée, le temps passe quand même.
- Les gens heureux n'ont pas d'histoires, c'est pour cela qu'ils s'ennuient.
- On croit avoir l'âme d'un César bis et l'on n'a que l'âge de César ter.
- Plus on est près du sol, plus on tombe de moins haut.
05:00 Publié dans Humeur | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : humour | Facebook | | Imprimer |
23 octobre 2020
Un peu d'humour
- Il y en a qui abusent de la permission qu'ont les hommes d'être laids. (Madame de Sévigné)
- Se marier, c'est prendre femme. Mais la femme de qui ? ( Alexandre Dumas fils)
- Avec Françoise, nous partageons les tâches ménagères à la maison. J'apporte la poussière, elle nettoie. (Jacques Dutronc).
- Tout ce que vous voyez de moi, je le dois aux spaghetti. ( Sophia Loren)
- Nous sommes tous des vers. Mais moi, je crois que je suis un ver luisant. ( Winston Churchill)
- On ne meurt qu'une fois, et c'est pour longtemps. ( Molière)
06:30 Publié dans Humeur | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | Imprimer |
15 octobre 2020
Un peu d'humour
Le meilleur des gilets pare-balles est celui qui n'est pas sur leur trajectoire.
Le solfège c'est simple : si ça monte tu montes, si ça descend tu descends et s'il y a un bémol, c'est que c'est triste.
La certitude que tout peut arriver est la seule sur laquelle on puisse vraiment compter.
Je suis infaillible... sauf erreur.
On ne meurt pas d'une overdose de rêve
Je ne compte sur personne, même pas sur mes doigts.
Le corset du vocabulaire ne remplacera jamais la colonne vertébrale d'une pensée bien charpentée.
05:30 Publié dans Humeur | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | Imprimer |
10 octobre 2020
Un peu d'humour
- Il est moins grave de mourir pour rien que de ne pas vivre pour quelque chose.
- Faire parler la poudre c'est bien, à condition qu'elle ait quelque chose à dire.
- Un amour sans écho, c'est comme une musique que personne n'écoute ; ça n'existe pas.
- Plus grand n'est par synonyme de meilleur : sur une horloge, c'est la petite aiguille la plus importante.
- Un homme ambitieux met la barre très haut, suffisamment pour pouvoir passer dessous sans avoir à se baisser.
05:00 Publié dans Humeur | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | Imprimer |
09 octobre 2020
Un peu d'humour
- Il n'y a pas de haine platonique.
- Il y a des gens tellement égocentriques que, fermant les yeux, ils croient que le monde s'est éteint.
- En amour comme en musique, une fausse note n'est pas dramatique, pire, c'est dommage.
- Ce qu'on appelle pompeusement son "Passé" n'est en fait, qu'une certaine capacité de mémoire.
- Je veux bien que l'on vive sur un grand pied, à condition que ce ne soit pas le mien.
- Lorsqu'il y a un équilibre dans le trop, l'excès devient supportable.
***
04:00 Publié dans Humeur | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | Imprimer |
26 septembre 2020
Un peu d'humour
- Une infirmière entre dans la chambre d'un malade hospitalisé.
- Bonjour, monsieur. Cela va bien, aujourd'hui... Au fait, un petit conseil : lorsque que le chirurgien viendra vous voir, faites-lui un bon accueil. Souriez-lui... il se fait un tel souci à votre sujet !
*
- Le but de la démocratie n'est pas de s'entendre , mais de savoir se diviser ( Alfred Sauvy)
- C'est bien la première fois que l'on m'a pour 12 balles ( Mata Hari devant le peloton d'exécution).
- Albert Camus vient d'obtenir le pris Nobel de littérature. Jean-Paul Sartre, qui le déteste cordialement, lui envoie ce simple télégramme de trois mots : " C'est bien fait" .
*
- Bientôt, nous serons trois, annonce Martine, toute joyeuse à son mari...
- Mais c'est merveilleux ! Depuis le temps qu'on attendait, qu'on espérait...
- Merci, chéri de le prendre comme çà. Mais il faudra aller la chercher à la gare.
Maman arrive demain par le 11h 18.
05:00 Publié dans Humeur | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | Imprimer |
20 septembre 2020
Un peu d'humour
- Pourquoi dis-tu que les chats sont des égoïstes ? demande Jules à sa femme.
- Parce que c'est vrai mon minet. *
- Le curé d'un petit village a demandé audience à son évêque :
- Monseigneur, je suis très ennuyé. Dans mon église, il y a un vieux à barbe blanche qui prétend être Dieu le Père; Que puis-je faire ?
- Eh bien, évitez de vous asseoir à sa droite, ce serait prétentieux..
-Etre dans le vent est une ambition de feuille morte ! (Gustave Thibon)
- Je ne crois aux statistiques que lorsque je les ai moi-même falsifiées; ( Winston Churchill)
Le père de Toto dit à son fils :
- Tu sais ce qui me ferait plaisir pour mon anniversaire, c'est que tu aies une très bonne note en math et en français.
- Trop tard répond Toto, je t'ai déjà acheté une cravate.
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12 septembre 2020
Un peu d'humour
- Il y a des moments où l'on croit être en plein brouillard, et ce n'est que de la buée sur le pare-brise.
- La colère c'est la violence des faibles.
- A quoi bon s'agiter ? On est toujours plus jeune que l'année prochaine.
- Il y a des moments tellement magiques, qu'ils vous donnent la nostalgie du présent.
- La vie n'a aucun sens, mais elle a une direction : le cimetière.
- Incroyable imprévoyance des oiseaux migrateurs qui s'embarquent pour des vols de 3 000 kilomètres, sans avoir réservé.
- La détente je suis pour, d'ailleurs j'ai toujours le doigt dessus.
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