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26 août 2016

Visite « Architectures sans frontières » à la Cité Internationale Universitaire le 4 septembre 14h30

maison des étudiants de l'asie du sud-est  intérieur.jpgDimanche 4 septembre à partir de 14h30, explorez un monde d’architectures !

Comme chaque premier dimanche du mois, L/OBLIQUE, le centre du patrimoine de la Cité, vous propose de découvrir 3 nouvelles identités architecturales.

La visite débute par la première résidence inaugurée sur le site en 1925 : la Fondation Deutsch de la Meurthe. Cet ensemble architectural composé de sept pavillons regroupés autour d’un jardin rectangulaire s’inspire du modèle des cités-jardins. Lieu d’expérimentation des théories hygiénistes et de l’idéal humaniste des pères fondateurs, elle fait figure de cellule mère de la Cité internationale.

Le parcours se poursuit avec l’exotique Fondation Abreu de Grancher (Cuba). Financée grâce à une coopération franco-cubaine, inaugurée en 1933, elle correspond à la première réalisation de l’architecte Albert Laprade sur le site. Cette résidence s’inspire de la cathédrale de La Havane et reprend quelques particularités de l’architecture cubaine comme les pylônes en forme de « bonnet de coton » bordant le toit-terrasse.

Enfin, la Maison des Étudiants de l’Asie du Sud-Est illustre le mélange des genres avec une composition plutôt à l’occidentale et un décor oriental. Elle possède l’un des plus beau salons de la Cité dans lequel ont été tournées des scènes du film Indochine.

Réservation obligatoire par mail : visites@ciup.fr ou par téléphone 01 76 21 26 96

Départ de L/OBLIQUE – Centre de valorisation du patrimoine (Fondation AVICENNE) à 14h30 : 17 Boulevard Jourdan, 75014 Paris, France

12 € (plein tarif) -6 € (demandeurs d’emploi et personnes à mobilité réduite) -5 € (étudiants)- Gratuit pour les résidents de la Cité internationale et pour les moins de 15 ans

20 juin 2016

L'Arpajonnais un chemin de fer sur route de Paris à Arpajon

 Arpajonnais MONTROUGE les installations de  La Porte d'Orléans.JPG     Le 19 janvier 1881, une concession pour l’exploitation d’une ligne de tramway entre Paris et Arpajon fut demandée. Ce chemin de fer – mais c’était plutôt un tramway – suivait la route nationale 20 sur la plus grande partie de son trajet, mais s’en écartait pour desservir Wissous, Morangis, Sceaux-les-Chartreux, Leuville.               

La compagnie avait son siège 68 rue Beaunier et fut constituée au capital de deux millions de francs, porté  en 1909 à 6 millions 207 200 francs. Cette compagnie était constituée pour une durée de 90 ans (1979) mais fut dissoute en 1936 après être entrée en liquidation en 1922.              

La ligne fut inaugurée le 10 mai 1894. L’horaire du train d’inauguration précise le départ de Paris Porte d’Orléans à 10 heures 40 et de son arrivée à Arpajon à 12 heures 18. Ce train desservait les Halles de Paris et apportait à la Capitale tous les produits maraîchers récoltés le long du parcours. La distance des Halles à Arpajon était de 37 kilomètres environ, dont cinq kilomètres dans Paris. Les trains de denrées alimentaires ne circulaient dans Paris que de une heure à quatre heures du matin. Cela facilitait énormément le travail des maraîchers dont les charrettes jusqu’alors, s’acheminaient péniblement la nuit par la route  d’Orléans.              

La section de Paris à Antony fut électrifiée en 1901. Le matériel roulant comportait des locomotives à vapeur, à air comprimé, à accumulateur électrique et des automotrices électriques. Après la guerre de 14, le département de la Seine acheta à la compagnie de Paris Arpajon la concession que l’Etat lui avait consentie en 1891. Cet achat fit l’objet d’un décret du 20 novembre 1922, tandis-que l’exploitation était affermée à la Société des Transports en Commun de la Région Parisienne (STCRP), ancêtre de la RATP. L’exploitation prit fin le 5 octobre 1936, offrant aux Parisiens le dernier visage d’un « Arpajonnais » qui effectua là, sa dernière et ultime apparition aux Halles de Paris 

 -Documentation extraite du N° 27 de la S.H.A du XIVe

photo:  installations de la ligne de tramway Paris - Arpajon  à la Porte d' orléans

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14 juin 2016

Commémoration du 18 juin 1940

commémoration du 19 mars 1962.jpegSamedi 18 juin à 11h30, commémoration de l’appel historique du général de Gaulle à refuser la défaite e à poursuivre le combat contre l’ennemi.

Monument aux morts, sur le parvis de la Mairie du 14e. Place Ferdinand Brunot 75014

24 mai 2016

La génération perdue

la génération perdue de vincent Bouvet.jpgLa librairie Ithaque, 73 rue d'Alésia, 75014 (métro : Alésia), recevra le vendredi 3 juin 2016 à partir de 19 heures, Vincent Bouvet qui dédicacera son livre : "La génération perdue" Des Américains à Paris : 1917-1939. (éd. Cohen & Cohen, 300 p., 65 €.) 

Un ouvrage sur la génération d'écrivains américains ayant vécu et travaillé à Paris entre les deux guerres : Ernest Hemingway, Gertrude Stein ou encore Francis Scott Fitzgerald.180 photos, signées Atget, Brassaï, Cartier-Bresson ou Gisèle Freund, accompagnent le texte érudit de Vincent Bouvet.

La dédicace de son livre sera suivie d'un drink.

10 mai 2016

Cité internationale universitaire de Paris 10 mai

Cité Inernationale Universitaire Léopold Sédar Senghor et Aimé Césaire.jpg« Nègre je suis et nègre je resterai… mais Senghor et moi, nous nous sommes toujours gardés de tomber dans le racisme noir » Aimé Césaire

En cette journée nationale des mémoires de la traite, de l'esclavage et de leurs abolitions du #10mai, la Cité Internationale Universitaire rend hommage à deux de ses anciens résidents, pères fondateurs du mouvement de la négriture, Aimé Césaire et Léopold Sédar Senghor.

Cliquez sur la photo pour la voir en plus grand

08 mai 2016

Cérémonie en hommage à Olga Bancic

Olga_Bancic Plaque commemorative 114_rue_du_Chateau_Paris_14_.pngMardi 10 mai 2016 à 11h30. Cérémonie en hommage à Olga Bancic, devant la plaque apposée en sa mémoire sur l’immeuble qui fut son dernier domicile. 114, rue du Château.

Cette immigrée roumaine juive et communiste, seule femme membre du groupe Manouchian, fut décapitée à l’âge de 32 ans le 10 mai 1944 pour ses actions de résistance face au régime collaborationniste.

07 mai 2016

Commémoration du 8 mai 1945

commémoration du 19 mars 1962.jpegDans le 14ème

71e anniversaire de la victoire du 8 mai 1945 qui marque la fin de la Seconde guerre mondiale par la capitulation de l’Allemagne nazie.

Dimanche 8 mai 2016 à 11h30.

Monument aux Morts - Parvis de la Mairie du 14e, 2 place Ferdinand Brunot

Dimanche 8 mai 2016, la cérémonie-anniversaire de la victoire de 1945 à Parisl-arc-de-triomphe.jpg

Cette cérémonie devrait débuter à 10h30 à Paris. Le président de la République se rend traditionnellement sur la tombe du soldat inconnu, sous l’Arc de Triomphe. Il réunit également les survivants de la génération 39-45, à qui il remet la Légion d’honneur.

8 mai1945 capitulation de l'allemagne.jpgUn peu d’histoire : le 8 mai 1945, à 15h, les cloches des églises de France sonnent la fin de la Seconde Guerre mondiale. Si la célébration de l’armistice fut instaurée dès 1946, c’est seulement en 1981 qu’un consensus a été trouvé pour que seul le 8 mai reste férié.
À Paris, chaque année, deux cérémonies sont organisées : le président de la République dépose une gerbe au pied de la statue du général de Gaulle, place Clemenceau (8e) puis ravive la flamme du soldat inconnu sous l’Arc de Triomphe (8e).

13 avril 2016

Université populaire du 14ème :"Religions et laïcités" conférence samedi 16 avril 10h30

 Université Populaire du 14ème ,centre socioculturel Maurice Noguès,Michel KAPLAN Jean-Paul WILLAIME ,Christian  LOCHON, Philippe GAUDINLe  cycle de l’ Université Populaire du 14ème "Religions et sociétés - hier et aujourd'hui"  se termine par la  conférence "Religions et laïcités"  par Philippe GAUDIN, EPHE ,   le samedi 16 avril de 10H30 à 12H30  au Centre socioculturel Maurice Noguès, 5 avenue de la Porte de Vanves.

La question de la laïcité doit être examinée car elle reconfigure, plus récemment, les rapports des religions à l'Etat.

Et c'est gratuit, en entrée libre , sans inscription, dans la limite des places disponibles.

Centre socioculturel Maurice Noguès, 5 avenue de la Porte de Vanves (métro-tramway : Porte de Vanves Bus 58-95)

Universite.populaire14@laposte.net  0625100939 /site : www.up14.fr

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Les astronomes de l'Observatoire entre 1795 et 1843 (IV)

Alexis BouvardAlexis Bouvard, 1822 à 1843

  Alexis Bouvard est né le 27 juin 1767 aux Houches (Maison de Savoie sous l’Ancien Régime). Après l’Empire, sous la première Restauration la Savoie fut détachée de la France, et Bouvard dut se faire naturaliser français.

A 18 ans, il va à Paris comme domestique et on ignore comment il parvient à être nommé à l’Observatoire de Paris en 1793. Adjoint au Bureau des Longitudes en 1795, il devient membre du Bureau en 1805. Il découvrit alors à travers ses observations huit comètes, calculant leurs éléments. Ses relations avec Laplace lui permirent de développer son intérêt pour la mécanique céleste. Laplace le prit comme collaborateur pour de nombreux calculs nécessaires à son traité de mécanique céleste.

En 1808, Bouvard fit paraître les nouvelles tables des planètes Jupiter et Saturne et en 1821, celles relatives à la planète Uranus. Ses observations d’Uranus lui permirent d’envisager, compte tenu des perturbations que les autres planètes provoquaient, qu’il y eût une autre planète perturbatrice mais non encore identifiée. Ce fut Le Verrier qui reprit cette idée et avec un outillage analytique plus poussé, découvrit la planète Neptune. A l’époque, l’hypothèse de Bouvard était tenue comme non crédible. Doué d’une excessive modestie, Bouvard collabora à des travaux publiés par ses collègues ; Laplace reconnut ses services et le fit entrer à l’Académie des Sciences en 1803. Bouvard mourut le 7 juin 1843 à l’Observatoire où il demeurait depuis 1793.

 - Documentation extraite du N° 26 de la S.H.A. du XIVe 

06 avril 2016

Les astronomes de l'Observatoire entre 1795 et 1843 (III)

Jean Baptiste Joseph Delambre.pngJean-Baptiste Joseph Delambre, 1804 à 1822  

Né à Amiens le 19 septembre 1749, il est boursier dans un collège à Paris jusqu’en 1768. Il traduit des ouvrages latins, grecs anglais italiens. Appelé à Paris en 1771, il participe à l’éducation du fils de Geoffroy d’Assy, receveur général des Finances. Il peut alors perfectionner sa culture scientifique, son protecteur lui bâtissant un observatoire privé dans le Marais près des Archives Nationales.

En 1780, il suit les cours de Lalande au Collège de France. Celui-ci le prend comme assistant et dira de lui qu’il est « sa meilleure œuvre ». Accomplissant d’importants travaux de mécanique céleste, il est admis à l’Académie des Sciences et en 1803, il sera premier secrétaire de la « classe des sciences » de l’Institut. Chargé de la révision de la Méridienne, il participera à cette lourde entreprise jusqu'en 1799, après plusieurs interruptions dues à la Révolution et à l’absence entre 1793 et 1795 de toute autorité scientifique. Delambre a fait faire des progrès considérables à la géodésie théorique et pratique. De ses nombreuses publications, il faut noter la Grandeur et Figure de la Terre, éditée seulement en 1912. Il écrira en outre une histoire de l’Astronomie ancienne en 1817, du Moyen Age en 1819 et Moderne en 1821. Il succédera à Lalande au Collège de France en 1807. Sous le Consulat et l’Empire, il sera Inspecteur général des Etudes, Trésorier de l’Université et sous la Restauration, membre du Conseil Royal d’instruction publique. Il recevra de Louis XVIII le grade d’officier de la Légion d’Honneur et celui de chevalier de Saint Michel. Il est mort à Paris le 19 août 1822.

 - Documentation extraite du N° 26 de la S.H.A. du XIVe . 

29 mars 2016

Les astronomes de l'Observatoire entre 1795 et 1843 (II)

Pierre Méchain.jpgPierre  Méchain, 1801 à 1804

 Il est né à Laon le 16 août 1744 dans un milieu très modeste. Son père était ouvrier du bâtiment. Achevant ses études à Paris, Lalande le remarque et le fait entrer au Dépôt des Cartes de la Marine à Versailles.

Menant de front son travail et des observations astronomiques, il découvrira douze comètes. Il sera un des premiers astronomes à calculer l’orbite de l’astre découvert en 1781 par Herschell et qui plus tard sera dénommé Uranus.

Nommé à l’Académie des Sciences en 1782, il est chargé à partir de 1788 d’établir les éphémérides jusqu’en 1794. En 1792, il participe à la mission géodésique du prolongement de la méridienne jusqu’à Barcelone. En 1793, après avoir été gravement blessé par une pompe hydraulique (deux mois d’immobilisation), il reprend sa triangulation mais lors de la guerre entre l’Espagne et la France, il est fait prisonnier. Autorisé à se rendre en Italie, il reste à Gênes jusqu’en 1795. N’ayant pu « fermer » exactement sa triangulation, Méchain refera vainement ses calculs et refusera à son retour en France de communiquer ses dossiers. Il obtiendra une nouvelle mission concernant la triangulation jusqu’aux Baléares. Parti le 26 avril 1803, il succombera à la fièvre jaune le 20 septembre 1804 à Castellon de la Plana au nord de Valence.  -

Documentation extraite du N° 26 de la S.H.A. du XIVe . 

23 mars 2016

Les astronomes de l'Observatoire entre 1795 et 1843 (I)

 Lalande, de 1795 à 1801 

Lalande Joseph Jérôme Lefrançois de Lalande.jpgJoseph Jérôme Le Français de La Lande (dit Lalande)  est né à Bourg en Bresse le 11 juillet 1732. Il fait son droit à Paris et rencontre l’astronome Delisle, tout en suivant les cours du Collège de France. La campagne astronomique de 1751 va lui permettre de participer à une réunion scientifique internationale destinée aux observations coordonnées nécessaires pour évaluer les distances de la Lune et de Mars. Sept stations s’étendront du Cap à Stockholm. Lalande occupera la station de Berlin, ce qui par la suite lui ouvrira les portes de l’Académie des Sciences. Il s’intéresse spécialement au système solaire et contribue à l’amélioration des théories relatives aux planètes et aux comètes. En 1761 et 1769, il joue un rôle important dans l’observation du passage de Vénus devant le Soleil. Pour les périodes 1760 -1775 et 1794-1807, il introduit de nombreuses et utiles modifications des éphémérides. Dès 1761, il forme au Collège de France les astronomes Delambre et Méchain et son traité d’astronomie de 1764 a longtemps fait autorité. En 1785, il publie « l’astronomie des Dames », modèle de vulgarisation scientifique pour l’époque. Sa « bibliographie astronomique », important ouvrage d’érudition, demeurera d’une grande utilité. En 1803 il entre en conflit ouvert avec le Premier Consul et meurt de tuberculose le 4 avril 1807. -

Documentation extraite du N° 26 de la S.H.A. du XIVe .

22 mars 2016

Exposition de la Fnaca « Les Palettes d’Argent » du 21 mars au 25 mars à la mairie-annexe du 14ème

La Fédération Nationale des Anciens Combattants en Algérie, Maroc et Tunisie (FNACA) présente la 7ème édition de l’exposition « Les Palettes d’Argent ».

La première partie de l’exposition, basée sur la mémoire, retrace par des portraits et des moments de la vie des jeunes appelés, ce que fut leur quotidien pendant leur séjour en Algérie de 1954 à 1962.
Ils avaient vingt ans, n’étaient pas encore majeurs, et sortaient de l’autorité paternelle pour tomber sous celle de l’Armée. Leur mérite et peut être leur satisfaction aura été durant ce conflit d’avoir pu se rendre utile. Cette grande fresque est dédiée à ceux qui n’en sont pas revenus, cette période enregistrant près de 300 000 morts pour la France.

exposition FNACA jusqu'au 25 mars 2016.jpgLa seconde partie donne aux artistes de la FNACA de Paris la possibilité d’exposer leurs œuvres.

Cette exposition est organisée par le Comité FNACA 14, avec le soutien de la Mairie du 14e arrondissement, sous l'égide de la commission Loisirs, Arts et Culture de la FNACA Départementale de Paris et avec le concours des Artistes de la FNACA "Les Palettes d'Argent".

Vernissage de l'exposition le samedi 19 mars à 12h30, ouvert jusqu'à 18h.
Exposition du lundi 21 mars au vendredi 25 mars de 11h à 18h à la
* Mairie annexe, 12 rue Pierre Castagnou 75014

(Tableau d'illustration : M. Michel Dussart, peintre du 14e)

21 mars 2016

Arago, directeur de l'Observatoire de Paris

 François_Arago.jpgAprès la période dite des Cassini et celle relative à la Révolution (1793 – 1795), effectuée par Nouet, Perny et Ruelle, tous élèves de Cassini, une nouvelle équipe apparaît avec Lalande (de 1795 à 1801), Méchain (1801 à 1804), Delambre (1804 à 1822), Bouvard (1822 à 1843), et enfin Arago, de 1843 à 1853.

Il nous paraît intéressant de présenter Arago comme personnalité importante dans le domaine de l’astronomie et en général de la vie civile et politiqueArago est né le 26 février 1786 à Estagel près de Perpignan. Reçu premier à l’Ecole Polytechnique à 17 ans, il fut nommé secrétaire bibliothécaire du Bureau des Longitudes en 1805 et promu astronome adjoint en 1807. A la mort de Méchain, il contribua à la triangulation des Baléares (mise au point de la méridienne jusqu’à Barcelone).

En 1809, il est nommé à l’Académie des sciences, dont il deviendra secrétaire perpétuel jusqu’en 1830. Il étudie l’électro-magnétisme et découvre ainsi la possibilité d’aimanter un barreau d’acier en le plaçant au cœur d’un circuit électrique. Ampère en tirera l’invention de l’électro-aimant. Il ouvre un cours public d’astronomie en février 1813 à l’Observatoire. Le succès est immédiat et dépasse les espérances, nécessitant le transfert de ce cours au Collège de France.

Depuis 1830, Arago est député, extrême gauche ; il sera ministre de la guerre et de la marine du gouvernement provisoire de 1848. En 1834 il publie Astronomie Populaire, devenant la même année directeur des observations à l’Observatoire. En dépit de son refus de porter serment à Napoléon III, il conserve cependant sa charge de directeur. Il meurt quasiment aveugle le 2 octobre 1853.Après sa disparition, l’Observatoire de Paris change de régime : le Bureau des Longitudes en est dessaisi et ce sera le règne de Le Verrier…

- Documentation extraite du n° 26 de la revue de la SHA du 14ème.

13 mars 2016

Dévoilement de la plaque commémorative hommage à Rémy Dumoncel le 15 mars

Rémy_Dumoncel.jpgLe 15 mars à 11h30 : Dévoilement de la plaque commémorative hommage à Rémy Dumoncel 17 rue Rémy Dumoncel.

Rémy Dumoncel, né le 28 octobre 1888 à Romorantin (Loir-et-Cher), et mort le 15 mars 1945 à Neuengamme (Allemagne), est un éditeur français. Il s’est engagé dans la Résitance dans le réseau Vélite-Thermopyles,. Il  a aidé notamment des écrivains juifs en organisant leur fuite vers le Sud de la France .

Biographie : lire la suite

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08 mars 2016

Le Paris des écrivains

Une petite maison d’édition située dans le 14e, – les Alexandrines -, s’attache à faire découvrir un écrivain à travers les lieux où il a vécu et produit ses œuvres ; ceci à travers de nombreuses promenades que le lecteur curieux est invité à parcourir dans Paris.

 Ainsi, défilent les rues, les quartiers, les domiciles divers que chaque écrivain ou poète a fréquentés. Une sorte de géographie vivante se met en place. En outre le catalogue de cette Maison d’édition comporte d’autres voyages, mais ceux-ci-ci se rapportent à des écrivains ayant vécu en province. 

En ce qui concerne Paris, plusieurs livres sont déjà parus, à savoir sur Prévert, Proust, Cocteau, Modiano, Duras. Paraîtront en 2016, le Paris de Balzac, et celui de Rimbaud et Verlaine. 

C’est une belle collection à suivre pour l’amoureux de la littérature, jointe à la flânerie intelligente que peuvent susciter des promenades inspirées par le fleuron de nos meilleurs auteurs.      R. Rillot -

Les Alexandrines – 31, rue du Couëdic – 75 014. Tél : 01 45 44 21 40 www.alexandrines.fr  

04 mars 2016

Mars 2016 dans le 14ème : mois de l’égalité entre les femmes et les hommes

centre socio-culturel maurice noguès,atelier gustave,cinéma les 7 parnassiens,compagnie lire autrementPlongez durant un mois au cœur des luttes pour l'égalité entre les femmes et les hommes, pour vous informer, comprendre et apporter votre soutien ! Pour l'édition 2016 du 8 mars, journée internationale des droits des femmes, la Ville de Paris a choisi de mettre à l'honneur les luttes féministes à travers le monde.

Carine Petit, Maire du 14e arrondissement, Danièle Pourtaud, conseillère déléguée au patrimoine, aux métiers d'art, aux manifestations culturelles et à l'égalité femmes-hommes, ainsi que leurs partenaires, avec notamment le centre socioculturel Maurice Noguès, vous proposent de plonger durant un mois au cœur de ces luttes pour vous informer, comprendre et apporter votre soutien !

Au programme des expositions,des lectures publiques, des projections, des débats, …

-AU CENTRE SOCIOCULTUREL MAURICE NOGUES :
Du 01 au 30 mars :
Expositions sur l'égalité femmes-hommes

Vendredi 04 mars à 15h00 :
Projection-débat autour du film « We want sex equality » (Nigel Cole 2010) Cette excellente comédie à la fois drôle et touchante est un  excellent point de départ pour le débat.

Mardi 08, jeudi 10, mardi 15, jeudi 17 mars de 10h00 à 12h00 :
Matinées débats (Public adulte).

Centre socioculturel Maurice Noguès, 1- 7 avenue de la Porte de Vanves

-A la MAIRIE du 14ème arrondissement

Mardi 08 mars à 19h :
SPECTACLE «VOIX DE FEMMES POUR LE DROIT DE VIVRE LIBRE»
La Compagnie Lire Autrement propose une lecture en images et musiques suivie d'un débat autour des luttes pour les droits des femmes à travers le monde. Débat en présence d'Amnesty International. Suivi d'un verre de l'amitié.
Salle des Mariages de la Mairie du 14e 2 place Ferdinand Brunot

Du 29 février au 10 mars :
EXPOSITION « LA PARITE ILLUSTREE » par Paule GECILS
L’artiste sera présente à 17h00 le 8 mars pour rencontrer le public
Hall de la Mairie du 14ème 2 place Ferdinand Brunot.

-Dans divers lieux du 14ème

Du 29 février au 04 mars :
Micros-trottoirs proposés par les Jardins Numériques autour des luttes féministes dans le monde.

Jeudi 10 mars à 18h :
FILM : LES SUFFRAGETTES, de Sarah Gavron (2015).
Cinéma les 7 Parnassiens, 98 boulevard du Montparnasse.
Gratuit, sur inscription via citoyennetemairie14@paris.fr, ou entrée libre dans la limite des places disponibles.

Du 08 au 20 mars, du lundi au samedi de 14h à 19h :
Exposition « Marses Amazones Contemporaines »
Atelier Gustave - 36 rue Boissonade 75014

Vendredi 01 avril de 18 h30 à 21 h00 :
Soirée de clôture du mois de l'égalité femmes-hommes :
Spectacle de SLAM avec Laureline KUNT, projection des témoignages du micro-trottoir et d'autres surprises. Tout public.
Au gymnase Elisabeth, 7 avenue Paul Appell

20 février 2016

Commémoration de Missak Manouchian 21 février, rue de Plaisance

commémoration Missak Manouchian 21 février 2016.jpegLa mairie du 14e commémorera Missak Manouchian (1906-1944), poète et résistant français d'origine arménienne, commissaire militaire pour la région parisienne des Francs-Tireurs et Partisans - Main­d'Oeuvre Immigrée (FTP-MOI). Après de nombreux actes de résistance et d'attentats contre le régime collaborationniste, Manouchian et 21 de ses camarades furent fusillés par les nazis le 21 février 1944 au Mont-Valérien, en refusant d'avoir les yeux bandés.

Dimanche 21 février 2016 à 11h30, devant la plaque apposée en sa mémoire sur l’immeuble qui fut son dernier domicile, 11 rue de Plaisance.

09 février 2016

Le 14ème arrondissement : le plus "hospitalier" de Paris, conférence le 13 février

L’histoire des hôpitaux de notre 14ème est à intégrer à l’histoire religieuse et médicale des hôpitaux de Paris. Ainsi, l’Hôtel-Dieu est fondé au 2ème siècle par saint Landry évêque de Paris et est situé à partir du 9ème siècle au sud de l’ancienne cathédrale précédant la Notre Dame actuelle (12ème siècle). Les Sœurs Augustines sont en charge de cette hôpital et y resteront jusqu’au 19ème siècle.              

Au 13ème siècle, le roi Saint Louis fonde les Quinze-Vingts, deuxième de la capitale. A Paris, les premières hospitalières sont des femmes pieuses mais elles n’étaient pas des religieuses. Elles étaient des femmes volontaires destinées à aider les pauvres et les malades. En 1651, l’Hôtel-Dieu est sur l’île de la Cité en sa partie sud et face à la cathédrale gothique qui a remplacé l’ancienne cathédrale Saint Etienne.              

Un premier renouveau hospitalier se distingue au milieu du 17ème siècle, grâce à Saint Vincent de Paul et la création des Dames et des Filles de la Charité, avec Louise de Marignac et l’œuvre des Enfants Trouvés.               

Le 19ème siècle va fonder l’hôpital moderne grâce à Pasteur, Lister (Joseph Lister, l'un des premiers à utiliser les techniques préconisées par Pasteur) et aux premiers chirurgiens. Un progrès sensible apparaît au début du 19ème siècle : le malade est seul dans son lit et les contagieux sont séparés des autres.  

Une conférence de Roland Berman sur l’histoire des hôpitaux du 14ème aura lieu le samedi 13 février à 15 heures, à la mairie du 14ème, salle polyvalente.

2 place Ferdinand Brunot 75014 Métro Mouton- Duvernet- Bus 28

01 février 2016

Une famille d'astronomes : les Cassini (suite) (IV)

Jean- Dominique Cassini IV 1748-1845.jpg Jean-Dominique, comte de Cassini, est né à l’Observatoire de Paris le 30 juin 1748. Il fit ses études secondaires au collège du Plessis à Paris, puis chez les Oratoriens à Juilly.

En 1768, il est nommé commissaire pour « l’épreuve des montres marines » et à cet effet, il voyage en Atlantique, entre l’Amérique et les côtes d’Afrique. En 1770, il est élu à l’Académie des Sciences et devient membre associé en 1785. L’académie le charge de la rédaction du « voyage en Californie », de l’abbé Chappe. Il assume graduellement les responsabilités de directeur de l’Observatoire, lorsque la maladie tient Cassini III éloigné de ses responsabilités.

Officiellement directeur en 1784, il persuade Louis XVI de l’urgence qu’il y a à restaurer le bâtiment qui ne l’a pas été depuis sa construction. Il renonce peu à peu à son travail scientifique et se consacre à des écrits visant à défendre le prestige scientifique de sa famille.

En 1810, il publie ses mémoires « pour servir à l’histoire des sciences et à celle de l’Observatoire royal de Paris ». Ces documents sont précieux, notamment en ce qui concerne la période dite révolutionnaire.cassini carte de paris.png

Maire de Thury et juge de paix, il se consacre à ses administrés. Il sera pensionné et décoré par Napoléon, puis par Louis XVIII. Il meurt le 18 octobre 1845, à 97 ans.

Les Cassini participèrent pour l’essentiel à la création des cartes de France. Colbert s’adressa naturellement à cette illustre famille. Une carte spéciale des environs de Paris fut ainsi gravée de 1671 à 1678, mais n’était pas graduée en coordonnées géographiques (longitude et latitude), l’Académie n’ayant pas voulu cautionner un méridien imparfait.

- Documentation extraite du n° 25 de la revue de la Sha du 14ème.

25 janvier 2016

Une famille d'astronomes : les Cassini (suite) (III)

César-François_Cassini miniature de Jean-Marc Nattier.jpgCésar-François Cassini était le second fils de Jacques Cassini. Il était né à Thury (Oise) le 17 juin 1714. Il étudie en famille à l’Observatoire de Paris et montre très tôt des dons pour l’astronomie. Sa carrière scientifique prend part au débat qui oppose cartésiens et newtoniens à propos de la forme de la Terre. Cassini II décida d’entreprendre la mesure de la perpendiculaire à la méridienne, de Brest à Strasbourg, mesure de grande importance pour l’établissement de la carte de France. Il fut aidé dans cette opération par son fils César-François qui se familiarisa ainsi avec les opérations géodésiques.

L’Académie décide d’organiser deux expéditions, l’une au Pérou en 1735 et l’autre en Laponie en 1736, pour mesurer un arc de méridien sous des latitudes différentes. Les premières opérations géodésiques établies par Cassini II ont paru à César-François comme étant douteuses. En conséquence, on revérifia la méridienne de Paris en 1739 et 1740, l’arc Dunkerque-Collioure n’était pas assez étendu pour permettre de déterminer une courbure significative, compte-tenu des erreurs de mesure.

César-François épousa en 1747 Charlotte Drouin de Vandeuil et eut deux enfants : Jean-Dominique, qui lui succéda à l’Observatoire sous le nom de Cassini IV, et une fille, Françoise-Elisabeth. Il fut par ailleurs membre étranger de la Royal Society et de l’Académie de Berlin et renoua des liens avec la ville de Bologne.
En 1771, Louis XV créa pour lui le poste de directeur général de l’Observatoire. Ainsi, il obtenait le droit héréditaire d’être logé à l’Observatoire avec survivance pour ses héritiers. Cassini III fut surtout un grand géodésien et un cartographe de talent. On peut lui attribuer la qualité du travail qui accompagna l’établissement de la première carte moderne de la France.

- Documentation extraite du N° 25 de la S.H.A du XIVe

 

18 janvier 2016

Une famille d'astronomes : les Cassini (suite) (II)

 Nous avons traité dans un précédent article l’histoire de Jean-Dominique Cassini (1624-1712).

Cassini Jacques  dit Cassini II portrait hypothétique.jpgNous traitons aujourd’hui le parcours de Jacques Cassini, fils du précédent (1677-1756). Il est né à l’Observatoire et commence ses études à l’Observatoire même, avant d’entrer au Collège Mazarin. Elève à l’Académie des Sciences en 1694, il succède à son père comme pensionnaire en 1712. Il est associé à ses travaux tout en traversant l’Europe avec lui. Il prend part à de nombreuses opérations géodésiques et astronomiques et se lie d’amitié avec Newton, Halley, Flamsteed. Il est admis à la Royal Society, ainsi qu’à l’Académie de Berlin.

C’est lui qui effectue en grande partie les opérations géodésiques sur la méridienne qui va de Dunkerque à Collioure. Ses travaux astronomiques ne sont pas aussi importants que ceux de son père, mais cependant, il établit la première détermination significative du mouvement des étoiles : il est établi que l’univers stellaire n’est pas immuable et que les « étoiles fixes » ne méritent pas cette affirmation rigoureuse.

En 1740, il abandonne progressivement son activité scientifique, laissant à son fils César-François le soin de poursuivre le travail familial, à savoir la charge de l’Observatoire et l’établissement de la carte de France.

Il assura par ailleurs d’importantes charges administratives : maître ordinaire de la Chambre des Comptes, Magistrat à la Chambre de Justice en 1716 et Conseiller d’Etat en 1722. Il mourut le 15 avril 1756, des suites d’un accident survenu sur le chemin de sa propriété de Thury.

- Documentation extraite de la revue de la SHA n° 25 du 14ème. 

24 novembre 2015

La librairie Ithaque : Rencontre avec Michel Colaciuri pour son livre « Opération Coucou » vendredi 27 novembre 19h

Librairie Ithaque 26 novembre 2015 opération Coucou.jpgLa librairie Ithaque et les Editions Cohen & Cohen vous prient d'assister à une soirée dédicace autour du livre "Opération Coucou" de Michel Colaciuri. Venez vendredi 27 novembre à partir de 19h !
"1938. L'Allemagne promet la paix et prépare la guerre, la France et la Grande-Bretagne prêchent la fermeté mais s'enferrent dans la lâcheté, les Etats Unis s'isolent en se croyant loin de toute tempête, la Russie bolchévique panse ses plaies au sortir de purges meurtrières. Le IIIe Reich a enfin les mains libres pour se tailler un empire en Europe.
Churchill ronge son frein. Indomptable, il fustige la complaisance de la Couronne envers les nazis. Roosevelt disait de lui : "Winston a cent idées par jour, dont 4 seulement sont bonnes ... Mais il ne sait jamais lesquelles !"
Devenu Prime Minister, aidé par le brillantissime Stephenson , il conduira la plus invraisemblable opération de toute la Seconde Guerre mondiale, restée secrète jusqu'à aujourd'hui. Voici l'histoire de l'Opération Coucou."

Librairie Ithaque 73 rue d'Alésia 75014 ( Métro Alésia) Tel 0143 22 85 51

15 novembre 2015

Une histoire de la Cité Universitaire de Paris - VI-

Naissance et croissance, de 1920 à 1939

andré honoratOuverture à l’automne 1936 de la Maison Internationale et de la Maison de Monaco en mai 1937 ont marqué la clôture des chantiers qui ne seront réouverts que dix ans plus tard.

andré honorat

 

1937 – 1938 – 1939 –

Les menaces de guerre européennes contraignent les fondateurs de la Cité à remettre à plus tard la poursuite des projets en cours. Les étudiants des pays balkaniques, de la Pologne, de l’Autriche, de la Tchécoslovaquie ne pourront accéder à un hébergement au sein de la cité. L’étude de projet de nouvelles maisons est provisoirement suspendue. André Honorat ayant reçu la visite de l’architecte conseil d’Adolphe Hitler, et convaincu que la guerre était imminente, ne voulut à aucun prix voir édifiée une maison de l’Allemagne hitlérienne. Il gela ainsi tous les pourparlers concernant d’autres constructions de maisons.

A l’été 1938, les maisons commencèrent à se vider de leurs résidents mais en septembre 1939 , après un répit de quelques mois, la déclaration de guerre vidait à peu près totalement la Cité Universitaire.

300 étudiants que la fermeture des frontières empêchaient de rentrer dans leurs pays d’origine, furent regroupés à la Maison des Provinces de France. Ils apprécièrent ce refuge qui leur était offert et le secours matériel et moral qu’on leur apportait. Ils furent l’embryon des groupements d’anciens résidents qui devaient naître ultérieurement.

Quelques maisons réquisitionnées reçurent les services hospitaliers ou d’intendance de l’armée. Les autres furent fermées. La Fondation nationale entreprenait un effort d’aide sociale que la défaite de juin 1940 devait rendre de plus en plus nécessaire.

Documentation extraite du n° 24 de la SHA du 14ème-

Photos:1) la fondation internationale 2) la Fondation de Monaco

09 novembre 2015

Commémoration du 11 novembre 1918 dans le 14ème

commémoration du 11 novembre.jpegNous invitons tous les citoyens de toutes les générations à participer aux commémorations le Mercredi 11 novembre à 11h30 devant le Monument aux Morts, Place Ferdinand Brunot

Cette journée nous permet de célébrer à la fois l’Armistice du 11 novembre 1918, ainsi que la Commémoration de la Victoire et de la Paix et l’Hommage à tous les morts pour la France. 

Les commémorations du 11 novembre 1918

Le 11 novembre 1918, est signée à Rethondes l’armistice qui met fin à la Première Guerre mondiale. Le 11 novembre 1920, la dépouille d’un soldat inconnu est inhumée sous l’Arc de Triomphe à Paris. Une loi du 24 octobre 1922 fait du 11 novembre un jour férié consacré à la commémoration de la victoire et de la Paix. Depuis, chaque année, le 11 novembre donne lieu à des cérémonies devant les monuments aux morts.

Avec la disparition du dernier Poilu, Lazare Ponticelli, le 12 mars 2008, le sens de la commémoration tend à évoluer. Il ne s’agit pas de célébrer la victoire de 1918 mais plutôt la fin de la guerre et l’amorce du rapprochement européen. La loi du 28 février 2012 a fait du 11 novembre le jour anniversaire de l’armistice de 1918 mais aussi de la commémoration annuelle de la victoire et de la paix. Ce jour là, il est rendu hommage à tous les morts pour la France.

Rencontre avec Anny Romand, auteure de "Ma Grand'mère d'Arménie" à la mairie du 14ème, le 13 novembre 18h30

ma grand-mère d'arménie Anny Romand.jpgVendredi 13 Novembre 2015 à partir de 18h30, dans le cadre du Festival La Fureur des mots « Femmes en Lettres » est organisée une :

Soirée lecture et rencontre avec Anny Romand, auteure du livre "Ma Grand'mère d'Arménie"

La présentation sera faite par par Marc Bressant, romancier, avec Claire Mouradian, professeure à l'Ecole des Hautes Etudes Sociales, et Hélène Piralian- Simonyan, psychanalyste.

Claire Mouradian, professeure à l’EHESS développera les raisons du Génocide des Arméniens et Hélène Piralian-Simonyan, nous parlera des effets psychiques de destruction qu'un génocide mais aussi son déni, entraînent, en particulier en ce qui concerne le deuil et la transmission, pour les héritiers des survivants comme pour ceux des bourreaux.

Entrée libre

Salle des Mariages de la Mairie du 14ème 2 Place Ferdinand Brunot 75014

(Avec la librairie Le Livre écarlate)

02 novembre 2015

Rencontre avec Lindsay Armstrong mercredi 4 novembre à partir de 19h au Livre Ecarlate

Le livre Ecarlate invit armstrong 4 novembre 2015.jpg

01 novembre 2015

Exposition Louis Pergaud du 26 octobre au 16 novembre à la mairie du 14ème

Louis Pergaud.jpegExposition sur l’auteur de « La Guerre des boutons » du 26 octobre au 16 novembre 2015 à la mairie du 14ème.
Vernissage de l’exposition mercredi 4 novembre à 18h00 dans le hall de la mairie du 14e (Un pot sera servi en salle polyvalente)

Exposition Louis Pergaud

Bernard Piccoli, Président de l’association des Amis de Louis Pergaud et Georges Viaud, Président de la Société Historique et Archéologique du 14e en partenariat avec la Mairie du 14e vous proposent une exposition retraçant la vie et les oeuvres de Louis Pergaud
Découvrez ou redécouvrez l’auteur, entre autres, de « La Guerre des boutons » à travers cette exposition située dans le hall d'honneur de la Mairie.

Assistez au vernissage de l’exposition le mercredi 4 novembre à 18h dans le hall de la mairie du 14e (Un pot sera servi en salle polyvalente)

Une conférence aura lieu le samedi 7 novembre 15h, à la salle polyvalente de la mairie du 14ème.

Société Historique et Archéologique du XIVe arrondissement
2, place Ferdinand Brunot, 75014, Paris,
A la mairie de l’arrondissement

Pour en savoir plus sur Louis Pergaud consultez : Site internet : www.http:/sha14.asso.fr

22 octobre 2015

Ici et là, la Voix-ci la Voix-là

Les soirées nomades à la Fondation Cartier

galerie camera obscura,bernard plosssuVENDREDI 23 OCTOBRE À 20H30
Carte blanche à Faustin Linyekula
[Jam session et danse]

SAMEDI 24 OCTOBRE À 16h00 DANS LE JARDIN
Faustin Linyekula et Studios Kabako présentent :
Fanfare Funérailles de Papy Ebotani
PERFORMANCE MUSICALE ET DÉAMBULATOIRE

LUNDI 26 OCTOBRE À 20H
Carte blanche musicale aux interprètes de la pièce Coup Fatal
de Serge Kakudji, Rodriguez Vangama,
Fabrizio Cassol et Alain Platel
CONCERTS

RESERVATION Tél. 01 42 18 56 72
(tous les jours de 11 h à 20 h) Plein tarif : 10,50 € / Tarif réduit : 7 € (Étudiants, moins de 25 ans, carte senior, demandeurs d'emploi et bénéficiaires des minima sociaux, Maison des Artistes, Institutions partenaires, Ministère de la Culture, Amis des musées)

Beauté Congo 1926-2015 - Congo Kitoko

Exposition jusqu'au 15 novembre 2015

Théâtre d'une extraordinaire vitalité culturelle, la République Démocratique du Congo est mise à l'honneur dans l'exposition "Beauté Congo 1926-2015 Congo Kitoko". Présentée à la Fondation par André Magnin commissaire général.

On y trouvera : la peinture moderne au Congo dans les années 1920 - les artistes précurseurs - les artistes populaires - les années 1980 à 2000 - la photographie - la musique : le jazz, la soul, le rap et la musique populaire.

Fondation Cartier pour l'art contemporain 261, boulevard Raspail 75014 Paris Tél. +33 (0)1 42 18 56 50

galerie camera obscura,bernard plosssu 

 Déménagement du Mémorial Leclerc

Le Mémorial du Général Leclerc de Hauteclocque -et de la Libération de Paris-, implanté au musée Jean Moulin (15ème) et situé au dessus de la gare Montparnasse, sera déplacé dans les Pavillons Ledoux de la Place Denfert Rochereau (14ème). Ce mémorial était trop peu fréquenté. Le maire du 15ème souhaite que les travaux soient terminés avant le 25 août 2019, date du 75ème anniversaire de la Libération de Paris. L'avenir du site de la gare Montparnasse est donc incertain.

La Galerie Camera Obscura présentera du 30 octobre au 5 décembre 2015 :

galerie camera obscura,bernard plosssuBernard Descamps : Où sont passés nos rêves ?

Vernissage le jeudi 29 octobre, de 18 heures à 20 heures, en présence de l'artiste.

Galerie Camera Obscura : 268 boulevard Raspail - 75014, Paris - Mardi à vendredi : 12 h à 19 h. Samedi : 11 h à 19 h.

 www.galeriecameraobscura.fr     - Tél : 01 45 45 67 08 

19 septembre 2015

Conférence Le Père Corentin, franciscain et résistant

Conférence de Jean-Louis Paumier 26 septembre 15h 

galerie camera obscura,bernard plosssuJean-Marie Cloarec est plus connu sous le nom de Père Corentin, franciscain résistant.

Jean-Marie Cloarec est venu au monde dans le village de Saint Sauveur (Finistère), en plein coeur du Pays des enclos paroissiaux. Il sollicita en 1913 son admission au Grand Séminaire de Quimper.

Résistant de la première heure, il eut des liens avec le groupe de résistance de Maurice Ripoche. On sait qu'il fut abattu par la Gestapo en son couvent en juillet 1944. Une conférence du frère Jean-Louis Paumier sur le Père Corentin se tiendra le samedi 26 septembre à 15 heures au couvent Saint François, 7 rue Marie Rose 75014.