Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

17 mars 2018

Activités futures de la SHA du 14ème : cycle des femmes illustres (suite)

société historique et archéologique du 14ème.jpegLe lundi 19 mars, à la mairie du 14ème à 19 heures, la Société Historique etBrigitte Poupard.jpg Archéologique du 14ème (SHA), présentera dans le cadre de son partenariat avec l'Académie des Lettres du Québec et soutenue par la délégation générale du Québec à Paris, l'évocation de Brigitte Poupart, comédienne, metteur en scène, cinéaste, à propos de la "générosité de l'audace". Cette séance est organisée par Lise Gauvin, présidente honoraire de l'Académie et Madeleine Monette, membre de l'Académie.

jacqueline Auriol.jpegLe lundi 9 avril à la mairie du 14ème, à 19h, sera présenté un film : "Jacqueline Auriol, ou le ciel interrompu", créé au festival d'Avignon par Pierrette Dupoyet, dramaturge, comédienne et productrice de spectacles dans le monde entier. On y évoquera l'accident dont Jacqueline Auriol sortit victorieuse après vingt quatre opérations, suite à son accident aérien.

10 mars 2018

Concert et soirée littéraire les 11 et 12 mars à la Fondation de l'Allemagne – Maison Heinrich Heine

Parmi les très nombreuses manifestations culturelles de la Cité Internationale Universitaire  nous vous présentons un concert et une soirée littéraire qui sont accessibles à un large public.

maison heinriche Heine concert 11 mars 2018 .jpg1) Dimanche 11 mars, de 17h00 à 19h00,  concert : Kyoko Takezawa, violon / Jorge Garcia Herranz, piano jouent « LEKEU-POULENC-FAURE »

 Après le succès rencontré par le duo avec les sonates de Brahms (juin 2014), avec les compositeurs russes (avril 2015), la Maison Heinrich Heine a l'honneur de recevoir à nouveau la violoniste Kyoko Takezawa et le pianiste Jorge Garcia Herranz avec un programme composé d'œuvres du répertoire français.

Guillaume LEKEU (1870-1894)
Sonate en sol majeur

Francis POULENC (1899-1963)
Sonate

Gabriel FAURE (1845-1924)
Sonate n° 1 en la majeur, op. 13

Sans réservation - participation aux frais - 7 € (plein tarif) / 4 € (tarif étudiant)

https://maison-heinrich-heine.org/manifestations-culturel...

Maison henrich heine  les amnesiques 12 mars 2018.jpg2) Rencontre littéraire  arts et littérature : Les Amnésiques lundi 12 mars 2018  de 19h30 à 21h00

À Mannheim, d'où est originaire son père, Géraldine Schwarz découvre que son grand-père Karl Schwarz a acheté à bas prix en 1938 une entreprise à des Juifs, les Löbmann, qui périrent à Auschwitz. Après la guerre, confronté à un héritier qui réclame réparation, Karl Schwarz nie ses responsabilités de « Mitläufer », ceux qui comme la majorité du peuple allemand ont « marché avec le courant ». C'est le point de départ d'une enquête passionnante au fil de trois générations sur le travail de mémoire qui permit aux Allemands de passer d'une dictature à une démocratie. La rencontre de son père avec sa mère, fille d'un gendarme sous Vichy, est l'occasion pour l'auteure d'aborder aussi les failles mémorielles en France dans lesquelles s'est engouffrée l'extrême droite. En élargissant son enquête à d'autres pays, Géraldine Schwarz montre que cette amnésie menace le consensus moral en Europe. Editeur Flammarion

Sans réservation - entrée libre et gratuite dans la limite des places disponibles

Maison Heinrich Heine Cité internationale universitaire de Paris
27 C, Boulevard Jourdan F – 75014 Paris

tél. + 33 (0)1 44 16 13 00
fax. + 33 (0)1 44 16 13 01
info@maison-heinrich-hei
ne.org

Lire la suite

07 mars 2018

Delphine de Girardin, Muse de la Patrie, 8 mars 19h15 à l’Entrepôt

l'entrepôt journée des femmes 8 mars 2018 delphine de Girardin.jpgJeudi 8 mars, 19h15,  dans la galerie de  l’Entrepôt : Évocation littéraire animée par Simone Hérault.

Delphine de Girardin, Muse de la Patrie

Un siècle avant la création de la Journée Internationale des Femmes issue de l’histoire des luttes féministes du début du 20ème siècle, une femme, poète, dramaturge, romancière, journaliste, reconnue par sa beauté et ses talents d’écriture est gratifiée du surnom de Muse de la Patrie.

Elle fréquente l’élite littéraire et artistique de son époque : Victor Hugo, Alfred de Musset, Alfred de Vigny, Théophile Gautier, Marceline Desbordes-Valmore, Alphonse de Lamartine, Jules Sandeau, Franz Liszt, Alexandre Dumas, George Sand, Honoré de Balzac…

Reine de son époque, elle signe ses Lettres parisiennes sous le pseudonyme de Vicomte de Launay.
Il s’agit à l’origine de chroniques hebdomadaires qui paraissaient dans La Presse, le journal de son mari.

C’est extraordinaire de vie, de spontanéité, d’observation, d’humour…
Avec Delphine de Girardin, on prend le train qui vient de naître, on se promène sur les grands boulevards nouvellement éclairés, on découvre l’homéopathie, on subit les inondations, la grippe, on se moque de la mode et… copieusement des hommes !

Libre participation

La Compagnie Lire AutrementSimone Hérault (Comédienne)

http://www.lentrepot.fr/Journee-internationale-des-femmes...

L’ Entrepôt 7/9 rue Francis de Pressensé 75014 tel 01 45 40 07 50 Metro Pernety

Cycle Femmes illustres du 14ème organisé par la SHA14 : Simone Veil le 8 mars

société historique et archéologique du 14ème.jpegLa Société historique et Archéologique du 14ème consacre un cycle de rencontres aux Femmes illustres du 14ème arrondissement.    Ce cycle est organisé en partenariat avec  Femmes Monde, association qui a pour objet la mise en valeur de la place des femmes dans le monde. 

Jeudi 8 mars,  15h, à la salle des mariages de la mairie du 14ème :simone veil.jpg  "Simone Veil et la cause des femmes"conférence animée par  Annie Richard, présidente de Femmes du Monde, et Georges Viaud président de la Société historique et Archéologique du 14ème.

 Survivante de la Shoah,Simone Veil(1927-2017) a été une femme engagée dans le siècle et grande figure de la lutte pour les droits  des femmes. Madame Simone Veil a habité au 53 rue Dareau.

01 mars 2018

Place Moro-Giafferi

place moro giafferi 75014.jpgPlace Moro-Giafferi, un bien grand nom pour un tout petit espace situé au croisement des rues du Château et Didot dans le 14ème arrondissement. Saluons néanmoins ce geste à la mémoire d’un homme qui fut l’un des plus grands de son siècle.

Xavier Etienne Eugène de Moro-Giafferi naît le 10 juillet 1878, d’une famille originaire d’un petit village corse du nom de Brando.

L’homme, devait marquer le monde judiciaire de la première moitié du 20ème siècle.et y restera, pour longtemps, non pas une référence mais La référence.Eugène Moro- giafferi.jpeg

Humaniste convaincu, au verbe percutant et convaincant,  son credo fut  sa vie durant, et dans tous les domaines, judiciaires ou politiques :   “défendre l’homme, toujours.” De fait il participa à tous les procès criminels qui ont contribué à l’histoire française, de la bande à Bonnot à l’affaire Stavisky, en passant par le procès de Landru.

C’est lui qui, au début d’une de ses plaidoiries, s’adressant aux juges lança la fameuse phrase : « L’opinion publique est parmi nous. Chassez-la, cette intruse. C’est elle qui, au pied de la croix, tendait des clous au bourreau et criait : “ crucifiez-le ....! »

Un tel homme ne pouvait que se passionner pour la chose politique, domaine où il donna également libre cours à son immense talent. Bien que n'épousant aucune idéologie communiste, il n’hésita pas en 1939 à déployer sa grande éloquence au service de Lucien Sampaix alors secrétaire général du journal l’Humanité. Il obtint son acquittement aux côtés de l’avocat du journal, PAUL VIENNEY.

Véritable hymne à la liberté de la presse et au droit à l’information, sa plaidoirie fut qualifiée de “magnifique“ par le célèbre poète Louis Aragon.

Cet ardent défenseur des libertés et de la justice, Maître Moro-Giafferi, meurt le 11 février 1956. Il est inhumé au cimetière de Montmartre.

Elyane Boissière

17 février 2018

Mermoz, ce héros qui habita le 14ème

mermoz.jpg.jpg

On connaît la renommée internationale de Mermoz, ce grand aviateur qui, à partir de 1924 sur les lignes Latécoère, et la compagnie générale Aéropostale, illustra par sa présence et sa témérité, l'histoire de l'aviation française après la guerre de 14-18.

Il était né en 1901 à Aubenton, village de l'Aisne. Il partit à l'armée en 1920, souscrivant un engagement militaire de 4 ans pour devenir pilote. Début 1921, il obtient son brevet à Istres, puis est muté en Syrie et affecté à Palmyre. Il connaît sa première grande épreuve après une marche de 60 kilomètres dans la montagne et le désert. En 1923, il termine sa brève carrière militaire au premier régiment de chasse à Thionville.

Oui, Mermoz habita le 14ème ou à proximité. Ainsi, il vécut avec sa mère au 14 avenue du Maine, puis l'immeuble n° 3 de la rue de la Cité Universitaire (au 4ème étage de celui-ci), face au Parc Montsouris, jusqu'à son ultime départ.

A partir de 1924, affecté aux lignes Latécoère, il parcourt le trajet Barcelone-Alicante-Malaga, puis en 1926, il est sur la ligne Casablanca-Dakar, subissant les épreuves de la traversée du désert, car il fut capturé par les Maures, puis délivré contre rançon. En 1927, il est chef d'escale à Agadir. Il effectue un vol sans escale Toulouse-Saint Louis du Sénégal à bord d'un Laté-26.

Fin 1927, Mermoz est en Amérique du Sud comme chef pilote à Buenos-Aires et est chargé d'assurer l'acheminement du courrier sur le tronçon Natal/Buenos-Aires.

Au printemps 1928, Mermoz expérimente le vol de nuit. Cette aventure est évoquée dans le célèbre "Vol de nuit" de Saint Exupéry. En mars 1929, il traverse la Cordillère des Andes jusqu'à Santiago du Chili. Il réchappe par miracle à un atterrissage forcé à plus de 4000 mètres d'altitude. En avril 1929, il officie la ligne de la Cordillère des Andes le 14 juillet en ouvrant le tronçon Buenos aires/Santiago du Chili.

A partir du 7 décembre 1936, à bord de son Laté-300, "Croix du Sud", équipé de 4 moteurs Hispano-Suiza de 650 chevaux, il entamait son dernier voyage sur l'Atlantique Sud. Une avarie survenue aux moteurs entraîna par vibration ou par projection de pièces la rupture des gouvernes arrière et de leurs commandes, causant la chute de l'hydravion... 

- Documentation extraite du numéro N° 32 de lla S.H.A du XIVe

14 décembre 2017

Une évocation de l’histoire du Protestantisme

Protestantisme.JPGEn cette année 2017, les protestants célèbrent les cinq cents ans de la Réforme de Martin Luther, instaurée par les 95 thèses contre les Indulgences, publiées en octobre 1517 au château de Wittemberg.

La librairie ancienne et moderne, Bernard Faure, consacre une vitrine à cet évènement avec des biographies de Luther et de Calvin et des études historiques. (cliquer sur l'image pour agrandir). D’autres ouvrages sont disponibles sur rayon :

Villatte Robert : « Une paroisse protestante : Plaisance (1855-1955)», 1956

Joutard Philippe : « La Légende des Camisards »,1977

Lagny G : « Le Réveil de 1830 à Paris et les origines des Diaconesses de Reuilly »,1958

Luther : « Récit de la conférence du diable avec Luther », 3è ed, Paris : Coignard,1684,rel.plein cuir.

Rappelons que la librairie possède un fonds important d’ouvrages d’histoire, d’art, de religions comparées, de voyages. …. N’hésitez pas à consulter le libraire qui saura vous dénicher un livre sur la question qui vous intéresse ou vous le commander.

Librairie ancienne et moderne B Faure : 3, rue de l’Abbé Carton 75014 Paris - Tel : 01 45 41 27 39

18 novembre 2017

La Société Historique et Archéologique du 14e : exposition, conférences, colloque

société historique et archéologique du 14ème.jpeg- Du lundi 6 au samedi 25 novembre 2017 La mairie du 14e, en partenariat avec la Société Historique et Archéologique du XIVe, présente «Le chemin de mémoire, le 14e pendant la guerre de 14» avec l’hommage au « Centenaire du Défilé du 14 juillet 1917 »

Sur les grilles du square Ferdinand Brunot Paris 14e

-Le samedi 18 novembre à 15 h  Conférence «L’histoire des rues du quartier de Plaisance»

Dans le cadre du cycle de conférences de la SHA XIV sur L’histoire des rues des quatre quartiers administratifs du 14e, Yvan Belledame expose  « L’histoire des rues du quartier de Plaisance ».

Salle polyvalente de la Mairie du 14e 2 place Ferdinand Brunot

- Le samedi 25 novembre à 15 h Colloque sur les « Commémorations centenaires de 1916, 1917, 1918 et 1919 du Corps Expéditionnaire Portugais en France et à Paris », autour de l’histoire méconnue de la participation à la Grande Guerre du Portugal, l’un des 18 Alliés de la France.

Avec le professeur et docteur en histoire Yves Léonard, l’historien et auteur Manuel Do Nascimento et le président de la Délégation de Paris de la Ligue des Combattants Portugais et le président de la Société Historique et Archéologique du XIVe,Georges Viaud.

Salle des mariages de la Mairie du 14e . 2 place Ferdinand Brunot 75014

23 octobre 2017

La Maison Maternelle Louise Koppe

la maison Maternelle Louise Koppe avenue René Coty.jpegLa fin du 19ème siècle/début du 20ème ont vu se multiplier et se développer les œuvres d'intérêt social dans les faubourgs populaires des grandes villes. Ces entreprises ont dû souvent leur création à des femmes.

Tel est le cas de la "Maison d'enfants de Montsouris", située au n° 41 de l'avenue René Coty. Cette maison a été créée en 1891 par Madame Louise Koppe et reconnue d'utilité publique en 1899. Louise Koppe était née en 1846. Elle était inspirée par une ardente volonté d'apostolat humanitaire, en faveur de la mère et de l'enfant. Il s'agissait pour elle de fournir un asile provisoire d'où le nom de "Maison maternelle à des petits enfants confiés par des mères abandonnées où dans le besoin".

En 1908, la Maison de l'avenue Coty fut inaugurée. Après sa mort survenue en 1900, ce sont ses trois filles, Angèle, Mathilde et Hélène-Victoria (filleule de Victor Hugo) qui lui succédèrent. Il faut signaler qu'à partir de 1914, l'œuvre de Louise Koppe avait émigré en province à travers les "Nids des bois" d'Authon- du-Perche et de Manou (Eure et Loir), ainsi que le préventorium devenu aérium de Glaie dans l'Orne.

La maison d'enfants de Montsouris est agréée par une convention passée avec la Préfecture de Paris sous l'appellation de "Maison d'enfants à caractère social". Cette Maison est ouverte toute l'année 24 heures sur 24. Elle accueille toutes les urgences. elle assure la réception, l'hébergement et la scolarisation de jeunes de 3 à 16 ans qui lui sont confiés par les services de l'Aide Sociale à l'Enfance.

- Documentation extraite du N°33 de la S.H.A. du 14e .

03 octobre 2017

70ème anniversaire de la disparition du Général Leclerc

commémoration du 70ème anniversaire de la mort du général Leclerc.jpgLe dimanche 8 octobre 2017, aura lieu sur l'itinéraire de la porte d'Orléans à la place Denfert Rochereau, la commémoration de la disparition de Philippe Leclerc de Hauteclocque, célèbre général qui, à la tête de la 2ème DB, entra dans Paris le 25 août 1944, confirmant ainsi la libération de notre ville.

C'est L’Association des Commerçants et Artisans de l’avenue du Général Leclerc du 14ème arrondissement de Paris ACAGL14 qui a organisé cet événement.

Deux sites ont été retenus pour cet événement :

Porte d'Orléans  à 14 heures : prise d'armes devant le monument mémorial du Général Philippe Leclerc de Hautecloque et de la 2e DB avec musique des gardiens de la paix. Des enfants du 14ème arrondissement participeront à la lecture de textes.

-A 14 heures 45 : Hommage à la 2ème DB avec défilé de véhicules militaires de collection, depuis la porte d'Orléans jusqu'à Denfert Rochereau dans l'avenue pavoisée.

Projection photographique sur la façade du cinéma Gaumont-Alésia. 

-16 heures 15 Place Denfert Rochereau  : 

Présentation du futur musée Général Leclerc Place Denfert-Rochereau et des Catacombes

A l'issue du défilé, exposition des véhicules militaires. Les gardiens de la paix donneront une aubade à cette occasion et les prix du quizz "Leclerc 2ème DB" seront remis. 

Stands d’exposition de documents et d'objets par le Musée Général Leclerc, la Fondation Leclerc de Hauteclocque, l’Ordre de la Libération, lycée Philippe Leclerc de Hauteclocque, L’UNIVEM présentera ses véhicules militaires, l’association De Bello Collections, l’association des commerçants ACAGL14 et des anciens du 14ème raconteront leurs témoignages.

Stand buvette ambiance Libération

A 17 heures : Bal d'époque « swing » avec musique des gardiens de la paix.

30 septembre 2017

Jean Moncorgé-Gabin, chef de char : Exposition au musée du général Leclerc

Il n'en parlait jamais. Et pourtant, il aurait eu beaucoup à raconter. Jean Gabin, l'un des monstres sacrés du cinéma français a combattu pendant la dernière guerre, avec courage. Après l'invasion allemande de mai 1940, il part dans la sud, dans la zone libre. En février 1941, il part pour les États-Unis. Il y rencontre Marlène Dietrich, avec la quelle il vit une longue aventure, pleine de passion. Avec elle, il milite conte le nazisme. Il tourne alors plusieurs films pour Hollywood.

Jean Gabin chef de char.jpg

Les États-Unis entrent en guerre après Pearl Harbor, en décembre 1941. En avril 1943 (il a alors presque 39 ans), l'acteur juge qu'il ne peut rester spectateur du conflit. Il s'engage dans les Forces françaises libres du général de Gaulle. Il sera fusilier-marin, sous son nom d’État Civil, Jean Moncorgé. Gabin rejoint Alger où il est affecté comme instructeur.

Mais il veut se battre. Jean Moncorgé demande à rejoindre la deuxième DB du général Leclerc. Sur le « Souffleur II », il est le plus vieux chef de char de la division – il dépassé 40 ans. Débarqué à Brest en septembre 1944, il participe à la bataille de la poche de Royan. Puis son unité traverse la France pour prendre part à la campagne d'Allemagne. Avec ses compagnons, il ira en mai 1945 jusqu'à Berchtesgaden, le « nid d'aigle » d'Hitler.

L'exposition du musée Jean-Moulin retrace l'épopée de l'acteur, qui, après 1945, refusera toujours de jouer les rôles de soldat. « La guerre, ce n'est pas du cinéma », rappelait-il. On y retrouve nombre de photographies de documents, de journaux de l'époque, ainsi que des objets militaires ayant appartenu à Jean Gabin.

Musée général Leclerc-Jean Moulin, 23 allée de la 2eme DB. Jardin Atlantique (au dessus de la gare Montparnasse). Jusqu'au 18 février 2018. Entrée gratuite

Gérard Desmedt

N.D.L.R. On peut trouver d'autre information sur cet épisode de la vie de Jean Gabin, en cliquant sur le lien suivant qui renvoie vers un article de la revue "Cols bleus" de la Marine Nationale.

16 septembre 2017

Les journées du patrimoine à la Cité Internationale Universitaire

cite universitaire batiment central.jpgLa Cité internationale universitaire de Paris 

Créée à l'initiative d'un pays, d'une école ou d'un philanthrope et propriété par donation des universités de Paris, la Cité Internationale est édifiée dans un parc de 34 hectares dans le sud de Paris. Elle accueille près de 12 000 étudiants, chercheurs et artistes issus de quelques 140 nationalités. La quarantaine de maisons dans lesquelles ils séjournent, construites entre 1925 et 1969, sont emblématiques des principaux courants architecturaux du XXe siècle et abritent des chefs-d'œuvre artistiques remarquables. La Cité internationale, dédiée à la vie résidente, poursuit son développement; elle accueillera 10 nouvelles maisons à l'horizon 2017-2020.
Type de lieu : Espace naturel, parc, jardin - Lieu de spectacles, sports et loisirs - Musée, salle d'exposition - Édifice scolaire et éducatif

Adresse : 17 boulevard Jourdan, Paris, 75014

Accès : RER B : Cité Universitaire Métro : Porte d'Orléans Tramway T3 : Cité Universitaire Bus 21, 88, 67 Périphérique : sortie porte d'Orléans ou porte de Gentilly (Parking public CHARLETY à proximité) Point Vélib devant la Cité internationale : Du Samedi 16 septembre 2017 au dimanche 17 septembre 2017

LIEU : Cité Internationale Universitaire de Paris (Paris 75014)

HORAIRE : Divers horaires selon les animations

PRIX : GRATUIT

Lire la suite

22 juillet 2017

Le grand regard de l'Observatoire et la maison du fontainier

la Maison du Fontainier Facade_fontainier.jpgLe 27ème regard de l'aqueduc de Marie de Médicis avait un rôle particulier. C'est là, à deux pas de l'Observatoire de Paris, qu'était répartie à l'intention de la population de la rive gauche de Paris, l'eau provenant de l'aqueduc. La maison du fontainier fut construite de 1619 à 1623 sur les terrains sud du Faubourg Saint Jacques, terrains constitués d'espaces en friche, de quelques fermes et de deux moulins à vent. Des établissements religieux y prospéraient : les Chartreux au Jardin du Luxembourg, les Oratoriens (Hôpital Saint Vincent de Paul), les Carmélites 19 rue Henri Barbusse, les religieuses de Port-Royal, les Capucins (Hôpital Cochin), les Bénédictines du Val de Grâce.la maison du fontainier sous-sol.jpg

La maison du fontainier était la demeure de l'Intendant général des eaux et fontaines du Roi. Ce fut Thomas Francini (Francine) et ses descendants qui l'occupèrent jusqu'en 1784.

Photo 1 : la Maison du Fontainier (façade)

photo 2 : la Maison du Fontainier (sous-sol)

18 juillet 2017

L'Aqueduc Médicis (II)-

Aqueduc Médicis Paris 14e rue de l'Empereur Valentinien 3 aqueduc_Médicis.JPGL'aqueduc terminé (1623), il convenait d'accorder les concessions et leurs dérivations vers la population. Les premières furent accordées aux communautés religieuses situées sur le parcours. Ainsi : les Carmélites et les Capucines du Faubourg Saint Jacques, le Val-de-Grâce, les Chartreux et les Célestins ; également le chancelier de Sillery, le Président du Parlement Séguier, le Surintendant des finances Marillac. Il faut noter que la fraude existait par la vente de surplus.

Treize fontaines furent construites entre 1624 et 1628 : Notre Dame des Champs, porte Saint Michel, place Maubert, pont Saint Michel, parvis Notre Dame, Saint Séverin, place de Grève, place Royale, rue de Buci, etc...

Seulement  trois "regards" sur les sept construits sont encore visibles dans Paris Aqueduc Medicis regard 25 dit de Saux.jpgintra-muros : le 26ème dans les jardins de l'Observatoire, le 25ème avenue René Coty (Hôpital La Rochefoucauld). Le 27ème regard - celui de l'Observatoire- permettait la répartition des eaux. En 1623 on construisit sur celui-ci la fameuse maison du fontainier, de style Louis XIII.

Photo:  1 Paris 14e, rue de l'Empereur-Valentinien, restes de l'aqueduc Médicis mis à jour lors des travaux d'aménagement de la ZAC Alésia-Montsouris.

Photo 2 Le regard n°25, dit regard de Saux, de l'aqueduc Médicis, dans l'enceinte de l'hôpital La Rochefoucauld (Paris 14e, France)

14 juillet 2017

Le 14 juillet 2017 à Paris et Ile-de France

défilé du 14 juillet 2017.jpg

http://www.leparisien.fr/culture-loisirs/feux-d-artifice-...

concert 14-juillet paris-tour-eiffel-champs-de-mars.jpgGrand concert de Musique classique du 14 juillet au Champ de Mars

HORAIRE : 21h00 - durée 90 minutes

PRIX : GRATUIT

L’Orchestre national de France, le Chœur et la Maîtrise de Radio France proposent un concert particulièrement original en introduction du grand feu d'artifice parisien.

Retransmis en direct du Champs-de-Mars sur France 2 - vendredi 14 juillet dès 20h55

C’est désormais une tradition bien établie : chaque année, le 14 juillet, l’Orchestre national de France clôt sa saison parisienne par un grand rassemblement musical et populaire au pied de la tour Eiffel. En compagnie du Chœur et de la Maîtrise de Radio France, il convie des milliers de personne à partager un grand moment en compagnie de prestigieux solistes. C’est Valery Gergiev en personne qui dirigera cette année ce Concert de Paris.

Le Programme complet du concert du 14 juillet de la tour Eiffel / champ de Mars

http://www.parisetudiant.com/etudiant/sortie/grand-concer...

Feu d'artifice du 14 juillet Paris 2017

LIEU : La Tour Eiffel (Paris 75007)

HORAIRE : de 23h00 à 23h35

PRIX : GRATUIT

Lire la suite

12 juillet 2017

L'aqueduc Médicis et la maison du Fontainier

      Marie de Médicis voulait alimenter son palais du Luxembourg et à cet effet, effectua de 1613 à 1623 des travaux d’adduction d’eau  qui pour l’époque furent importants. Ainsi, en 1613 et en présence du roi Louis XIII et de toute la cour, la première pierre du grand regard de Rungis où aboutissent les sources principales fut posée. Les autres sources captées en 1651 comprenaient deux ensembles : celui de Rungis et celui du Long-Boyau qui récoltaient les eaux entre L’Haÿ  et Arcueil.              

aqueduc Médicis La_limite_entre_Cachan_et_Arcueil.jpgL’aqueduc fut construit par Jean Coing et son gendre Jean Gobelin. Il mesure 13 kilomètres entre le départ des sources et le grand regard de l’Observatoire. Sa hauteur au dessus des deux banquettes bordant la cunette est de 1,75 mètre, sa largeur est d’un mètre et la pente moyenne de 1,4 %. Afin de traverser la Bièvre entre ces deux rives, un pont aqueduc long de 379 mètres fut construit au niveau du village d’Arcueil. Il faut signaler que lors de la construction de l’aqueduc de la Vanne par Belgrand sous le Second Empire, celui-ci utilisera comme soubassement les 77 contreforts de l’aqueduc Médicis.              

Le parcours est marqué par 27 regards qui avaient plusieurs fonctions : entretenir la canalisation, par un escalier largement dimensionné qui établissait un courant d’air naturel entre eux. La distance moyenne entre deux regards allait de 598 mètres à 406 mètres. La présence de carrières nécessitait une surveillance accrue. 258 cheminées accessibles par une échelle permettaient l’entretien. La distance moyenne entre ces ouvertures était de 52,10 mètres.              

On prévoyait que l’aqueduc fournirait à sa construction 600 mètres cubes d’eau en 24 heures. Or, en 1651, par les nouvelles captations faites à Long-Boyau, ce furent 1050 mètres cubes qui approvisionnèrent l’aqueduc. Mais, mal entretenu et construit sur d’anciennes carrières provoquant de nombreux éboulis, l’aqueduc ne donnait plus en 1669 que 410 mètres cubes et 240 en 1869. 

Photo: L'aqueduc Médicis entre Arcueil et Cachan, supportant les piles de l'aqueduc Belgrand

Documentation extraite du Bulletin de l’Association pour la Sauvegarde du Paris Historique. 

08 juillet 2017

L'aqueduc romain du IIIe siècle au service de Lutèce

aqueduc romain de lutèce regard avenue reille.jpgC'est vers l'an 300, alors que Paris se développait sur le flanc de la Montagne Sainte Geneviève et sur l'axe de la voie d'Orléans, qu'un aqueduc fut construit pour desservir le Palais des Empereurs ainsi que les établissements publics de la Lutèce d'alors.

Sur la rive gauche de la Seine, il n'y avait pas de source, sinon à 13 kilomètres de la cité, aux environs de Rungis, mais  il  faut noter que la vallée de la Bièvre  ajoutait une difficulté pour acheminer cette eau. 

L'emplacement des thermes fut choisi en fonction de l'approvisionnement des eaux que l'on pouvait rassembler du côté de Rungis et de Wissous (65 mètres, 30 d'altitude). La tête de l'aqueduc était constitué par un bassin de 4 mètres de côté et de 1,70 mètre de haut. Ensuite, sur près de 16 kilomètres et avec une pente de 1,6 %, l'eau était acheminée dans un aqueduc souterrain de dimensions très modestes (50 cm x 50 cm). Ses qualités d'étanchéité étaient parfaites : le canal en maçonnerie était un ouvrage fait en béton de cailloux, recouvert de dalles de pierres, le tout enterré à faible profondeur, en suivant les courbes de niveaux, afin de conduire l'eau par gravité jusqu'aux thermes et ceci avec une pente régulière de 45 centimètres par kilomètre.

Il empruntait le flanc sud de la vallée, puis à Fresnes virait au nord. A Cachan, il absorbait quelques sources supplémentaires et franchissait la vallée de la Bièvre sur le fameux  aqueduc de 330 mètres qui donnera son nom à Arcueil. Puis après avoir atteint Gentilly et la butte de Montsouris,  il suivait le tracé de la rue saint Jacques. 1500 à 2000 mètres cubes d'eau parvenaient ainsi aux thermes de Lutèce.

Suite à un manque d'entretien consécutif aux invasions barbares, l'aqueduc finit par ne plus être capable d'apporter l'eau aux Parisiens. Son tracé s'effaça peu à peu des mémoires. En 1860, deux piles existaient encore mais disparurent par la suite.

Photo: débris de l'aqueduc gallo-romain de Lutèce , retrouvé au moment de l'aménagement de la ZAC Montsouris.  regard de l'avenue Reille.

- Informations extraites  du bulletin de l'Association  de sauvegarde du Paris Historique.

12 juin 2017

Edouard Couche - un grand ingénieur du 19ème siècle

edouardcouche.jpgLa rue Couche en notre 14ème arrondissement est modeste par sa longueur (75 mètres), mais évoque le souvenir d’un ingénieur prénommé Edouard Couche, qui œuvra pendant 22 ans dans l’arrondissement et qui est à l’origine de travaux plus qu’importants concernant l’adduction et la distribution de l’eau dans la ville de Paris.              

Edouard Couche est né le 20 mai 1832. Il était le fils d’un colonel de génie qui a commandé l’Ecole Militaire de Saint Cyr. Né dans cette localité près de Versailles, il fit de brillantes études au collège de cette ville, puis entra à l’Ecole Polytechnique en 1849 à l’âge de 17 ans. Il en sortit en 1851 puis entra à l’Ecole des Ponts et Chaussées.              

Résidant à Bayonne, il eut à reconstruire le pont de la Nive sur la route nationale n° 10 allant de Paris vers l’Espagne. Il faut remarquer ici que l’ouvrage présenta de grandes difficultés de fondations, car il comportait trois arches en maçonnerie, chacune d’elles ayant une ouverture d’environ 18 mètres.  Ensuite, il fut attaché au port du Havre où il resta six ans. De nombreux travaux portent sa signature : reconstruction des portes d’écluse de Vauban et de la Barre, un pont-levis de 16 mètres de portée pour l’écluse de l’Eure, approfondissement du chenal d’entrée, construction d’un grand brise-lames de l’estacade du nord, et commencement de l’élargissement du chenal d’entrée. 

Documentation extraite du n° 30 de la SHA – (à suivre)-  

27 avril 2017

La Société Historique et Archéologique du 14ème annonce

boulevard raspail place Denfert rochereau.jpg- Samedi 29 avril 15 h :

« Le  boulevard Raspail  Repérages » , conférence par Georges Grand.

A la mairie du 14ème salle Saillard 2 place Ferdinand Brunot

- Samedi 10 juin :

Dans le cadre du 350ème anniversaire de l’Observatoire, "promenade urbaine de la rue Cassini" par Georges Viaud

RV à 15 h devant les grilles de l’Observatoire à l’angle rues de l’Observatoire et Cassini  

31 mars 2017

Université populaire du 14e : L’Union européenne construction et incertitudes (fin) samedi 1er avril

Le  nouveau cycle de l' Université Populaire du 14ème a pour thème :"L'Union européenne, construction et incertitudes" . Il a commencé le samedi 4 mars et se terminera le 1er avril. Cette série de conférences est particulièrement intéressante  car elle colle vraiment à l'actualité !

université populaire du 14ème,gérard bossuat,fabienne péraldi-leneuf,jérôme creel,maxime lefebvre,philippe herzog,sandrine kott
université populaire du 14ème,gérard bossuat,fabienne péraldi-leneuf,jérôme creel,maxime lefebvre,philippe herzog,sandrine kott

 

 

 

 

 

Le cycle se termine : Dernière conférence  samedi 1er avril 10h30:

Une culture commune ? Être européen aujourd'hui, débat avec Philippe Herzog, président d'honneur de Confrontations Europe et Sandrine Kott, professeure d'histoire contemporaine, Université de Genève.

Au centre socioculturel Maurice Noguès, 5 avenue de la porte de Vanves  Métro ligne 13- Tramway T3 porte de Vanves. Entrée libre et gratuite, dans la limite des places disponibles.( Vous trouverez le programme complet en cliquant sur lire la suite ou sur le site www.up14.fr)

Lire la suite

27 mars 2017

Le boulevard Raspail et ses écrivains (II)

Nous continuons notre promenade le long du boulevard Raspail ou ses environs, afin d’évoquer les domiciles où vécurent certaines figures célèbres de la littérature française. Ainsi :

Victor Hugo by_Étienne_Carjat_1876_-_full3.jpgHugo (1802-1885) habita 31 rue du Cherche-Midi avec son épouse Adèle dans l’appartement de fonction du père de celle-ci. Ils y ont un fils qui meurt prématurément. Victor Hugo écrit Han Islande. Le couple déménage ensuite au 90 rue de Vaugirard. De 1827 à 1830, ils habitent au 11 rue Notre Dame des Champs. Ici naîtront des œuvres importantes : Cromwell et sa fameuse Préface, les Odes et Ballades, les Orientales, Le dernier jour d’un condamné, Marion Delorme et Hernani. Sainte-Beuve, Nerval, Musset et Gautier participeront à un cénacle. On y verra aussi Balzac, Vigny, Dumas, Sainte-Beuve, Mérimée, Delacroix et Berlioz.arthur rimbaud.jpg

Rimbaud (1854-1891) -A l’angle nord fait par la rue Campagne-Première et le 
boulevard Raspail, Rimbaud loge ici en 1872 dans une chambre éclairée par un vasistas. Verlaine qui habite alors Montmartre prévient son épouse qu’il « rentrera tard car il va dans un quartier éloigné ». Au rez-de-chaussée se trouvait un marchand de vin où se réunissaient les cochers d’omnibus.

montherlant.jpgMontherlant (1895-1972) – Dans son adolescence, il fréquenta les académies de dessin Calarossi et Castelucho-Diana situées rue de la Grande Chaumière.

Céline (1894-1961) – Il habita au 225 boulevard Raspail, hôtel de la Paix, enCéline  3.jpg décembre 1926. C’est là qu’il écrit : L’Eglise, publié en 1933 et joué en 1936. Cet hôtel fait à peu près face au futur numéro 222, où habitera plus tard Jean-Paul Sartre. 

Documentation extraite du n° 54-55 de la SHA du 14ème -

13 mars 2017

Hommage à Rémy Dumoncel 15 mars à 11h30

Rémy Dumoncel.jpgMercredi 15 mars à 11 h 30 :  Dépôt de gerbe au 17 rue Rémy Dumoncel, devant la plaque qui rend hommage à Rémy Dumoncel.

Résistant en 1940, cet éditeur français a trouvé la mort dans le camp de Neuengamme le 15 mars 1945. La rue du 14e où se situaient les éditions Tallandier et dont Rémy Dumoncel était le directeur littéraire, porte désormais son nom.

En 1913, après des études de droit à l'université, Rémy Dumoncel entre aux éditions Tallandier dont il devient directeur littéraire.

En 1935, il est maire de la commune d'Avon (Seine-et-Marne), près de Fontainebleau. À partir du 16 juin 1940, Avon est occupée par les Allemands.

Rémy Dumoncel entre dans la résistance dans le réseau Vélite-Thermopyles. Par son action, il aide notamment des écrivains juifs en organisant leur fuite vers le Sud de la France.

Il est arrêté par la Gestapo le 4 mai 1944 et déporté au camp de Neuengamme, où il meurt d'épuisement le 15 mars 1945.

Extrait du site Wikipédia

28 février 2017

La Société Historique et Archéologique du XIV annonce

La Société Historique et Archéologique du 14ème présentera un cycle de conférences qui auront lieu à la mairie du 14ème aux dates suivantes :

le samedi 4 mars 15h : Le Paris assiégé, par Claire Tissot assistée d'Yvan Belledame pour les illustrations.

le samedi 25 mars : Aragon, Sartre et le 14ème, par Jean-Louis Robert.

le samedi 29 avril : Nouvelles approches du boulevard Raspail, par Georges Grand.

Paris assiége 1870-1871 Claire Tissot.jpgEn ce qui concerne la prochaine conférence ayant pour sujet le Paris assiégé (1870), le 4 mars, c'est Madame Claire Tissot archiviste paléographe, qui viendra parler de la vie d'une famille habitant le 14ème pendant le siège de Paris par les Prussiens en 1870. Madame Tissot qui a fait sa carrière à la BNF et à l'Institut National d'Histoire de l'Art, a étudié une importante correspondance sur le sujet. C'est à travers l'échange de lettres et correspondances diverses recueillies parmi les familles Fouqué et Lecoeur que Madame Tissot a pu relater la vie quotidienne des Parisiens pendant 132 jours de blocus. Madame Tissot a édité par ailleurs un livre paru aux Editions de l'Harmattan : "Paris assiégé 1870-1871".

Horaires et lieu : à la mairie du 14ème à 15 heures, à la salle polyvalente.

18 novembre 2016

Conférences de la Société historique et archéologique du 14ème : 19 novembre, 3 décembre

Gare Denfert-Rochereau de la ligne de  Sceaux Place Denfert Rochereau.JPGLe samedi 19 novembre 15h : « Le 170e anniversaire de la ligne de Sceaux » par René Ricroch assisté d’Yvan Belledame pour les illustrations.

Le samedi 3 décembre 15h : « L’Opération Maine-Vercingétorix » histoire et représentations, des origines à nos jours par Frédéric Salmon.

Salle Polyvalente de la Mairie du 14e arrondissement : 2 place Ferdinand Brunot.

Photo : La gare de la place Denfert-Rochereau, à l'époque où elle était le terminus de la ligne.Conçue du temps de la voie large du système Arnoux, la forme courbe des bâtiments permettait aux trains de desservir le terminus en tournant le long de la façade intérieure. Extrait du site Wikipédia

04 novembre 2016

La SHA du 14ème annonce :

Bataille de Verdun Bombardement allemand.jpgDu 4 au 24  novembre 2016 la Mairie du 14ème et la SHA du 14 présenteront dans le hall de la mairie et sur les grilles du square Ferdinand Brunot une exposition : "Le chemin de mémoire, le 14ème pendant la guerre de 14". Y sera également honoré "Le centenaire de la bataille de Verdun".

(Voulue par la maire Carine Petit, vous y verrez les 11 panneaux affichés en 2014 auxquels il y a été rajouté les 3 présentant le Centenaire de la Bataille de Verdun) Les dits panneaux  évoquent : « 12 – Centenaire de la Bataille de Verdun, L’enfer et l’héroïsme de la bataille de Verdun » ; « 13 – Histoire et mythe de la Bataille de Verdun, Les trois « Sauveurs » de Verdun, les généraux de Curières de Castelnau, Pétain, 4 – Le Livre d’or des Morts Parisiens et « Quatorziens », Les Morts pour la France du XIVe arrondissement ».

Le 5 novembre, à partir de 14h30, une conférence présentera :"Les trois sauveurs de Verdun, les généraux de Castelnau, Pétain et Nivelle", avec la participation de Régis de Castelnau, arrière-petit fils du général de Currières de Castelnau et de Patrick de Gmeline, historien.

 Mairie du 14ème Salle Polyvalente 2 place Ferdinand Brunot 75014

Photos : Bombardement allemand sur Verdun, le général Currières de Castelnau, le général Philippe Pétain, le général Robert Nivelle.

le général Currières de Castelnau.jpg

le général philippe Pétain.jpg

le général Robert Nivelle.jpg

Lire la suite

12 octobre 2016

Paris aujourd’hui et demain, conférence de Renaud Le Goix, mardi 18 octobre 19h30 à la mairie du 14ème

université populaire du 14ème histoire de paris.jpgMardi 18 octobre à 19h30 : Paris aujourd’hui et demain, par Renaud Le Goix, géographe, professeur Université Paris 7. C’est  la dernière conférence du cycle: « Histoire de Paris et de l’agglomération parisienne » organisé par l’Université Populaire du 14ème.

Mairie du 14e arrondissement, salle des Mariages 2 place Ferdinand Brunot

 universite.populaire14@laposte.net / 06 25 10 09 39 / site internet : www.up14.fr / 8 avenue Villemain 75014-Paris

 

04 octobre 2016

Université populaire du 14ème : Histoire de Paris et de l’agglomération parisienne de 1789 à nos jours (suite)

université populaire du 14ème,laurence croq,christophe charle,emmanuel bellanger,jean-louis robert,renaud le goixL’Université populaire du 14ème propose un nouveau cycle de conférences sur l’histoire de Paris et de l’agglomération parisienne de 1789 à nos jours.

Les mardis 19H30-21H30 du 20 septembre au 18 octobre 2016

Mairie du 14e arrondissement, salle des Mariages 2 place Ferdinand Brunot

Entrée libre et gratuite dans la limite des places disponibles                      

"Paris sera toujours Paris » dit la chanson. Est-ce bien vrai ? Le cycle vise à mieux comprendre les continuités et les ruptures sur deux siècles d’histoire de la capitale. Il concernera autant Paris-ville que toute l’agglomération, en débouchant sur la question actuelle du « grand Paris ». Dans ce but le cycle s’organise avec deux séances, point de départ et point d’arrivée, encadrant trois séances sur le temps long."

Voici le programme à venir  : 

- Mardi 4 octobre, Paris la ville (croissance et politiques urbaines à Paris et en banlieue XIXe-XXIe siècles), par Emmanuel Bellanger, chargé de recherches, CNRS, Centre d’histoire sociale du XXe siècle.

- Mardi 11 octobre, Vivre et travailler à Paris et en banlieue, XIXe-XXe siècles, par Jean-Louis Robert, professeur émérite, Université Paris 1.

- Mardi 18 octobre, Paris aujourd’hui et demain, par Renaud Le Goix, géographe, professeur Université Paris 7.

 universite.populaire14@laposte.net / 06 25 10 09 39 / site internet : www.up14.fr / 8 avenue Villemain 75014-Paris

24 septembre 2016

Nouvelle promenade nocturne à la Cité internationale vendredi 30 septembre

Cité internationale Universitaire Promenade-nocturne-originale le 16 septembre 2016.jpgVendredi 30 septembre à 20h00, participez à la nouvelle promenade nocturne organisée par L/OBLIQUE à la Cité internationale Universitaire de Paris. 

À la faveur de l’obscurité, des projections réalisées sur les façades de certaines maisons vous invitent à découvrir l’histoire d’artistes renommés, anciens résidents ou non, dont l’œuvre nourrit encore et toujours l’esprit humaniste du lieu.
Rencontre avec Senghor, Salgado,  Cortázar ou encore le peintre japonais Foujita.
Organisée un vendredi par mois, cette visite guidée vous invite à explorer la richesse du patrimoine de la Cité internationale.

Réservation obligatoire dans la limite des places disponibles : visites@ciup.fr ou 01 76 21 26 96 (Plein tarif : 12 euros. Pour en savoir plus : http://www.ciup.fr/oblique/)

Départ de L/OBLIQUE – Centre de valorisation du patrimoine (Fondation AVICENNE) 

Cité internationale universitaire de Paris 17 Boulevard Jourdan Paris 75014

23 septembre 2016

"L’image : un langage-signe des premières communautés chrétiennes"conférence Art Culture et Foi le 26 septembre à Saint Pierre de Montrouge

conférence saint pierre de montrouge 26.09.2016-MF Baslez.jpg Lundi 26 septembre, 20h30, Conférence par Madame Marie-Françoise Baslez, proposée par le groupe Art, Culture et Foi, sur le thème : "L’image : un langage-signe des premières communautés chrétiennes (IIe-IIIe siècle". Conférence avec projections par Marie-Françoise Baslez, historienne des religions de l’Antiquité, professeur émérite à l’Université de Paris-Sorbonne, professeur invité au Centre Sèvres, facultés jésuites de Paris.

"L’introduction des images dans les lieux de culte chrétiens ne constitue pas une rupture avec le judaïsme synagogal, qui participe du même mouvement, mais révèle l’importance du visuel dans le processus de transmission de la foi. Le répertoire le plus ancien est significatif. On représente d’abord des miracles, illustrant les Recueils de signes qui ont servi de source aux évangiles et privilégient le témoignage oculaire. A travers l’apparition des portraits, l’image fonctionne aussi, à la manière grecque, comme une pièce de fondation de la communauté qu’elle situe dans une tradition mémorielle. En est issue l’idée d’un archétype "non fait de main d’homme", qui est à la base de l’art de l’icône dans les Eglises d’Orient".

Lundi 26 septembre 2016 à 20h30 au centre paroissial de Saint-Pierre-de-Montrouge, 9 passage Rimbaut, Paris 14e. M° Alésia.

Entrée libre, libre participation aux frais.

22 septembre 2016

Les conférences de la Société Historique et Archéologique du 14ème

société historique et archéologique du 14ème.jpegRetrouvez les conférences de la Société Historique et Archéologie du 14e arrondissement aux dates indiquées, à 15 h, en salle Polyvalente de la Mairie du 14e arrondissement : 2 place Ferdinand Brunot.

Le samedi 24 septembre : « L’Histoire littéraire des Catacombes » par Gilles Thomas.

Le samedi 15 octobre : « La véritable Histoire du Petit-Montrouge, ou les mystères du Clos des Catacombes » par Francis Mandin.

Le samedi 19 novembre : « Le 170e anniversaire de la ligne de Sceaux » par René Ricroch assisté d’Yvan Belledame pour les illustrations.

Le samedi 3 décembre : « L’Opération Maine-Vercingétorix » par Pierre-Frédéric Salmon.