Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

12 février 2016

La galerie Camera Obscura présente

Camera obscura du 11 février au 27 mars 2016 Ingar Krauss.jpgDu 11 février au 26 mars, deux artistes : Ingar Krauss et Alexei Titarenko présenteront chacun dans leur domaine leurs oeuvres respectives.

Le premier oriente ses recherches sur les effets de verre dans une présentation intitulée :" GLAS".

Le second présentera des photos sous le titre :" La ville est un roman".Camera obscura fév-mars 2016  Alexey Titarenko la ville est un roman.jpg

Une rencontre avec Alexei Titarenko est prévue le jeudi 3 mars de 17 heures à 20 heures à la galerie.

Galerie Camera Obscura : 268 boulevard Raspail - 75014 Paris - Tél : 01 45 45 67 08

www.galeriecameraobscura.fr

mardi - vendredi 12h - 19h / samedi 11h - 19h

Photo 1 de Ingar Krauss (serie Glas)

Photo 2 "Sideway, New York, 2011" de Alexei Titarenko 

25 janvier 2016

La petite leçon d'art de Pierre Baqué : Mercredi 27 janvier, 20h30, au Moulin à Café

piere baqué,le moulin à café café associatif paris 14èmeComme tous les derniers mercredis de chaque mois, Pierre Baqué, professeur à la Sorbonne intéressé par les thématiques d'éducation populaire, passe au Moulin à café donner une conférence sur le sujet de son choix.

Le 27 janvier, Pierre Baqué abordera le thème de la couleur vue sous trois angles différents : scientifique, artistique et culturel. Il soutiendra et illustrera son propos en projetant une soixantaine d'images. Il montrera également comment des peintres tels que Rembrandt, Bonnard, Van Gogh, Chagall, Ingres, Delacroix, Soutine, Klein ou Kandinski ont trouvé des réponses personnelles aux problèmes généraux posés aux artistes par l'utilisation de la couleur.

Pierre Baqué est professeur à la Sorbonne et artiste. Un documentaire retraçant son parcours "Pierre Baqué. Une histoire d'arts à contre-courant" a été réalisé en 2010 par Natacha Mottart, un extrait est disponible ici.

Prochains rendez-vous : mercredi 24 février - mercredi 30 mars - mercredi 27 avril

http://www.moulin-cafe.net/

Le Moulin à Café - 8 rue Sainte Léonie 75014 Paris - contact@moulin-cafe.org – 01 40 44 87 55

19 janvier 2016

Patrick Modiano et le 14ème

le paris de modiano.jpgLes Editions Alexandrines publient sous la signature de Béatrice Commangé un petit livre intitulé :Le Paris de Modiano". L’écrivain a pérégriné dans de nombreux arrondissements et tout particulièrement dans le 14ème. Ainsi, de 1956 à 1960, Modiano accompagné de son père attendait devant le café de la Rotonde situé Porte d’Orléans, le car qui devait l’emmener le lundi matin à son pensionnat situé à Jouy- en- Josas. La « Rotonde » revient souvent dans les livres de Modiano. Ainsi dans : « Accident nocturne », «  si lugubre les matins d’hiver ».

Le quartier Montsouris est également cité. Modiano parle « des prairies ensoleillées de Montsouris ». Entre le parc Montsouris et la Cité Universitaire, " on pouvait presque oublier la ville. Ce quartier était à classer parmi ces zones neutres, où l’on pouvait se sentir à l’abri de tout. Dans le grand hall lambrissé du restaurant de la Cité Universitaire, on aurait pu se croire dans un des hôtels de stations de sport d’hiver à Saint Moritz ou à Cimiez". La rue Gazan est également indiquée, là où Jean Mermoz a séjourné avant son dernier envol.

Documentation extraite du Bulletin 218 de la S.H.A du 14ème.
Editions Alexandrines : 31 rue Ducouédic. 75014. « Le Paris de Modiano »

09 janvier 2016

Coluche en haut des marches de la rue Lemaignan (XIV e)

Coluche en haut des marches rue lemaignan visuel d'artistes.jpgDeux artistes spécialistes du "Street Art" réalisent rue Lemaignan, près du parc Montsouris, (dans l'axe de l'avenue Reille) un portrait de l'humoriste Coluche. Leur initiative a été saluée par l'ex- épouse de Coluche. Le duo Zag  et Sia veulent rendre ainsi  hommage au créateur des Restos du Coeur. Ils expliquent : "Coluche était un homme plein de convictions qui nous touche beaucoup. Nous avons donc proposé aux maires du 13ème et 14ème de réaliser ce portrait gratuitement".

Il faut préciser que Coluche vivait dans le quartier. L'oeuvre sera protégée par un vernis.

Le Parisien du 4 janvier 2016

Photo : projet de la fresque qui sera réalisée par anamorphose.  

23 décembre 2015

La Fondation de l'Observatoire de Paris (II)

l'observatoire de Paris.jpgDepuis sa construction, l’Observatoire a subi peu de changements. Seules, les sculptures ornant le fronton triangulaire de la tour carrée nord ont disparu. Au 19ème siècle, de chaque côté du bâtiment principal furent adjointes deux ailes supplémentaires et la terrasse sud fut dallée en 1843.

Le domaine fut agrandi en 1884 par l’adjonction de jardins privés provenant d’anciennes maisons situées sur le lieudit Longue Avoine. Cet agrandissement s’arrêta à la tranchée effectuée en 1866 pour le percement du boulevard Arago. La partie sud de ce terrain qui est en pente jusqu’au niveau du boulevard, est ouverte au public l’après-midi.l'observatoire de  paris site.jpg

Lors de l’annexion de ces terrains, l’amiral Mouchez, alors directeur de l’Observatoire, fit combler les fossés sud de la terrasse. A cet endroit, existait une mare qui servait de trop-plein aux eaux de l’aqueduc de Rungis et d’Arcueil et qui alimentait un lavoir public situé sur le grand chemin du Faubourg Saint Jacques.

En 1970, le domaine de l’Observatoire s’est encore agrandi par l’acquisition de terrains situés sur l’avenue Denfert-Rochereau (au 77). Ces terrains comportaient au 18ème siècle une propriété disparue à ce jour. Depuis, deux immeubles ont été construits. L’un abrite les services techniques et administratifs de l’Institut National d’Astronomie et de Géophysique (INAG), et le service des calculs et de mécanique céleste du Bureau des Longitudes. Sont installés également les laboratoires de recherche de l’Observatoire, et notamment le Bureau International de l’Heure.

L’Observatoire de Paris marque une date dans l’organisation de la recherche ; il s’agit là du premier observatoire national. L’Observatoire de Greenwich sera fondé huit ans plus tard.

Documentation extraite du n° 25 de la revue de la SHA du 14ème.

19 décembre 2015

Les tapisseries de Dom Robert à Notre-Dame de Paris : un extraordinaire hommage à la nature

tapisseries de dom robert,notre- dame de paris

Depuis le 21 novembre, six tapisseries emblématiques de l’œuvre du peintre cartonnier Dom Robert sont exposées dans la nef de la cathédrale parisienne.

Alors que s’est achevée hasardeusement la COP21, la cathédrale Notre-Dame de Paris nous propose de renouveler notre regard sur la Création en accueillant six éblouissantes tapisseries du moine bénédictin Dom Robert (1907-1997). Une manière pour l’Église de donner à réfléchir autrement aux enjeux climatiques contemporains, à travers la contemplation de la nature « nue », dans la lignée de Laudato Si’.

Les six tapisseries exposées font partie des œuvres grand format de l’artiste, et témoignent de son souci de magnifier la nature et de plonger le spectateur dans un émerveillement quasi-mystique. Dom Robert glorifie la nature telle que Dieu l’a faite, dépourvue de toute industrie humaine, foisonnante, pleinement habitée par la faune et la flore.

Un œuvre à la gloire de la création

En 1930, le jeune Guy de Chaunac-Lanzac entre à l’abbaye bénédictine d’En Calcat, à Dourgne, dans le Tarn. Deux événements marquants vont nourrir sa vocation d’artiste : en 1940, à son retour de la guerre, il reçoit une véritable illumination devant une cour de ferme qui lui dévoile son univers pictural ; un an plus tard, il rencontre le peintre Jean Lurçat, qui l’encourage à devenir peintre cartonnier.

Lire la suite

16 décembre 2015

La Fondation de l'Observatoire de Paris (I)

 En 1666, l’Académie des Sciences appelée aussi Nouvelle Académie venait d’être créée. Elle était installée rue Vivien, dans des bâtiments appartenant à l’un des fils de Colbert. Les astronomes de l’époque s’y trouvèrent très vite à l’étroit.

Observatoire de Paris HenriColbert présente à LouisXIV les membres de l'académie royale des Sciences on voit au fond l'observatoire de paris en construction peinture de Testelin.jpgDès 1665, Adrien Auzout se fit l’interprète auprès du roi pour demander la construction d’un grand observatoire. Il intéressa Colbert au projet, qui accueillit favorablement la suggestion. L’acte de vente d’un grand terrain fut signé le 7 mars 1667.
Le domaine était d’une superficie de 2,5 hectares, situé hors de Paris, au lieu-dit le Grand Regard (il s’agit du regard de l’aqueduc des eaux de Rungis et d’Arcueil, construit en 1613) . On érigea un mur de clôture. L’entrée principale se fit par le chemin du Faubourg Saint Jacques, l’actuelle avenue de l’Observatoire n’étant réalisée qu’en 1811, et dont le  projet était prévu depuis 1796.

L’emplacement fut particulièrement bien choisi, car ici c’était la campagne avec des moulins à vent. L’horizon était dégagé de tous côtés.

Le 21 juin 1667, les astronomes de l’Académie vinrent tracer la méridienne qui devait servir à orienterObservatoire de  Paris-meridienne.jpg
le bâtiment
. L’architecte Claude Perrault (frère du conteur) dressa les plans du bâtiments. La construction fut rapidement menée, en dépit des travaux de consolidation exécutés dans les sous-sols. Le gros œuvre fut terminé en 1672, tandis que les travaux d’aménagement se poursuivirent jusqu’en 1683. On profita de la présence des carrières souterraines pour aménager un puits de 28 mètres. Ce puits devait servir à des observations zénithales. En fait, il n’a servi qu’à des expériences sur la chute des corps et sur le pendule.   (à suivre).

Documentation extraite du n° 25 de la SHA du 14ème.

Photo 1:Colbert présente au Roi Louis XIV les membres de l'Académie royale des Sciences. L'observatoire en construction est visible à l'arrière plan. (Peinture de Henri Testelin d'après Charles le Brun conservée au Château de Versailles)

Photo 2: Salle méridienne, dite salle Cassini : sur la ligne de laiton, longue de près de 32 mètres, vient se projeter l’image elliptique du Soleil produite par un gnomon situé à une hauteur de 9,9377 m7. (Un gnomon est un instrument astronomique servant à établir la hauteur du soleil. Celle-ci est déterminée par la longueur de l'ombre projetée par l'instrument sur une table le plus souvent plane).Le méridien de Paris est défini le 21 juin 1667 par les mathématiciens de l'Académie. En ce jour de solstice d'été ceux-ci tracèrent sur le sol le méridien puis les autres directions nécessaires à l’implantation exacte du futur Observatoire de Paris.

Hommage à Robert Marchand le 19 décembre 9h30

robert marchand,paris 14eLe dévoilement de la plaque en hommage à Robert Marchand, à l'initiative du Conseil de Quartier Montparnasse-Raspail, aura lieu  le 19 décembre à 9h30, sur le mur de l'Ecole des Beaux-Arts au 80 Bd Montparnasse, Paris 14e.

Cette cérémonie aura lieu en présence de M. Claude Frescura, représentant sa famille, et de M. le Colonel (h) Fred Moore, Chancelier de l'Ordre de la Libération, Délégué national du Conseil national des communes «Compagnon de la  Libération, Sophie JOSPIN Chargée de Mission Affaires scolaires et périscolaires, Politique de la Ville, Citoyenneté et Vie associative, Cabinet de Carine PETIT, Maire du 14ème.

Lien vers la page de l'Ordre de la Libération qui lui est consacrée. (cliquer)

14 décembre 2015

La Galerie Camera Obscura présente Denis Brihat

Camera Obscura Denis Brihat coquelicot expo du 10 déc 2015 au 31 janvier 2016.jpgDu 10 décembre 2015 jusqu'au 30 janvier 2016, la Galerie Camera Obscura présentera des photos de Denis Brihat  A l'occasion de la publication d'une monographie aux éditions Le bec en l'air"Denis Brihat / Photographies 1955-2012", la galerie vous invite à découvrir 31 tirages exceptionnels de Denis Brihat.

Une rencontre sera organisée avec l'auteur le jeudi 17 décembre de 17h à 20h.

Camera Obscura : 268 boulevard Raspail - 75014, Paris. Ouverture du mardi au vendredi, de 12h à 19h et le samedi de 11h à 19h.

www.galeriecameraobscura.fr   Tél : 01 45 45 67 08

Fermeture annuelle du 24 décembre au 4 janvier inclus

29 novembre 2015

Visage de Saint Jean-Baptiste dans l'art, conférence le 30 novembre à Saint Pierre de Montrouge

AfficheConference-JeanBaptiste.30-11-2015-Moderne.jpgConférence d'Éliane Gondinet-Wallstein, lundi 30 novembre 2015 à 20h30 au Centre paroissial de Saint Pierre de Montrouge, 9 Passage Rimbaut, dans le cadre du mouvement   Art, Culture et Foi.

Saint Jean Baptiste, "la voix qui crie dans le désert", est à la charnière entre l’Ancien et le Nouveau Testament. Le dernier prophète à préparer la venue du Messie est aussi le premier à rendre témoignage au Christ, en l’annonçant et en le baptisant dans le Jourdain. Peintres et mosaïstes lui ont rendu hommage par de multiples représentations, certaines devenues traditionnelles et très connues, d’autres plus inattendues.

Historienne d’art, Eliane Gondinet-Wallstein s’est spécialisée dans le langage de l’iconographie chrétienne et dans la manière dont il a évolué au cours des siècles.

Entrée libre, participation volontaire

09 novembre 2015

Bach Cantus: prochain concert le 15 novembre

BachCantus-15nov2015.JPGCantate BWV 42, "AB ABEND ABER DESSELBIGEN SABBATS", 15 novembre à 16h45 dans l’église Saint Pierre de Montrouge, Place Victor et Hélène Bash, Paris 14e. (métro Alésia)

Pour ceux qui ne connaissent pas Bach Cantus, les concerts-cantates ont lieu un dimanche après-midi deux fois par an et proposent chaque fois de nouvelles cantates, un nouveau chef et son chœur. La partition est distribuée à l'entrée, et ceux qui se sont inscrits la reçoivent par courrier électronique.

La répétition des musiciens est publique à partir de 15h45. A 16h45 exactement, le chef vous apprend le choral! Le concert se termine vers 18 heures. Vous pourrez chanter le choral final avec les musiciens et les Chœurs.

Ensemble instrumental Bach Cantus, direction Florence Bellon. Entrée libre, participation volontaire. (Cliquez sur l'image pour l'agrandir)

30 octobre 2015

L'avenir du théâtre de la Cité U

Le Parisien du 24 octobre précise la situation du théâtre de la Cité U.

théâtre de la Cité Internationale Universitaire.jpg

Son existence menacée par des coupes budgétaires, le théâtre de la Cité U tente de prendre un nouveau départ. Le conseil d'administration souhaite mettre en place les mesures nécessaires afin de pérenniser l'activité du théâtre et recruter un nouveau directeur.

Pour mettre en oeuvre ces nouvelles ambitions, un appel à projet et à candidature sera lancé dans les semaines à venir, afin de sélectionner la personne qui aura pour mission de conduire ce projet dès le début de l'année 2016.

Depuis plus d'un an, le théâtre est privé de son directeur. Des divergences entre les principaux financeurs sont apparues : la fondation de la Cité U, l'Etat, la Ville de Paris et la Région. La Fondation de la cité U a fait part de son intention de baisser sa dotation actuelle (880 000 €) qui sera ramenée à 650 000 € en 2017 et à 400 000 € à partir de 2018. Le Conseil d'administration souhaite maintenir la programmation et poursuivre l'activité jusqu'au 30 juin 2016. Il précise que le projet à venir : "intégrera désormais une mission de formation et d'insertion professionnelle des jeunes artistes".

Photo : Théâtre de Cité internationale de la Cité Internationale la salle de la Coupole

Lire la suite

28 octobre 2015

Psilocybine , exposition au musée Singer- Polignac jusqu’au 29 novembre

Psilocybine Expo au musée Singer- polignac du 19 sept au 29 novembre 2015.jpgAvec cette exposition présentée du 19 septembre au 29 novembre, le Musée Singer-Polignac revisite les années 60 à Sainte-Anne et propose un voyage inédit dans l’histoire de la psychiatrie et dans les arcanes des processus de création.

Psilocybine

Le Centre d’Etude de l’expression organise depuis plusieurs années des expositions thématiques, réunissant des œuvres de la Collection Sainte-Anne, mais aussi des œuvres d'artistes contemporains et des œuvres de collections particulières.

Le thème choisi pour l’exposition qui a été inaugurée à l'occasion des "Journées Européennes du patrimoine" s’inscrit directement dans une triple histoire : l’histoire des années 1960 à l'hôpital Sainte-Anne, l’histoire de l’art contemporain et l’histoire de la recherche sur les processus de pensée et de création.

Cette exposition est fondée sur les travaux et la thèse de René Robert qui rend compte de l’expérimentation en 1960, d’une substance hallucinogène pour des artistes. L'un d'entre eux, Jean-Jacques Lebel a mis ses souvenirs et ses œuvres à notre disposition. C'est ainsi qu'il a été possible de rassembler un ensemble d’œuvres très essentielles liées aux expériences de création sous psychodysleptiques, à savoir la psilocybine.

Ce voyage dans l’histoire de la psychiatrie et dans les arcanes des processus de création n’aurait pas pu se faire sans les documents et les œuvres que Liliane Robert avait soigneusement conservés.

Artistes exposés : Jacques Breton, Jean-Martin Charcot, Philippe Hiquily, Pierre-Xavier Laffite, Jean-Jacques lebel, Sam Mandel, Henri Michaux, Frédéric Pardo, Vida Parme, Daniel Pommereulle, Bernard Saby, Nathalie Waag...

Musée Singer-Polignac
1, rue Cabanis - Accès libre

www.centre-etude-expression.com
www.facebook.com/centre.etude.expression

22 octobre 2015

Ici et là, la Voix-ci la Voix-là

Les soirées nomades à la Fondation Cartier

galerie camera obscura,bernard plosssuVENDREDI 23 OCTOBRE À 20H30
Carte blanche à Faustin Linyekula
[Jam session et danse]

SAMEDI 24 OCTOBRE À 16h00 DANS LE JARDIN
Faustin Linyekula et Studios Kabako présentent :
Fanfare Funérailles de Papy Ebotani
PERFORMANCE MUSICALE ET DÉAMBULATOIRE

LUNDI 26 OCTOBRE À 20H
Carte blanche musicale aux interprètes de la pièce Coup Fatal
de Serge Kakudji, Rodriguez Vangama,
Fabrizio Cassol et Alain Platel
CONCERTS

RESERVATION Tél. 01 42 18 56 72
(tous les jours de 11 h à 20 h) Plein tarif : 10,50 € / Tarif réduit : 7 € (Étudiants, moins de 25 ans, carte senior, demandeurs d'emploi et bénéficiaires des minima sociaux, Maison des Artistes, Institutions partenaires, Ministère de la Culture, Amis des musées)

Beauté Congo 1926-2015 - Congo Kitoko

Exposition jusqu'au 15 novembre 2015

Théâtre d'une extraordinaire vitalité culturelle, la République Démocratique du Congo est mise à l'honneur dans l'exposition "Beauté Congo 1926-2015 Congo Kitoko". Présentée à la Fondation par André Magnin commissaire général.

On y trouvera : la peinture moderne au Congo dans les années 1920 - les artistes précurseurs - les artistes populaires - les années 1980 à 2000 - la photographie - la musique : le jazz, la soul, le rap et la musique populaire.

Fondation Cartier pour l'art contemporain 261, boulevard Raspail 75014 Paris Tél. +33 (0)1 42 18 56 50

galerie camera obscura,bernard plosssu 

 Déménagement du Mémorial Leclerc

Le Mémorial du Général Leclerc de Hauteclocque -et de la Libération de Paris-, implanté au musée Jean Moulin (15ème) et situé au dessus de la gare Montparnasse, sera déplacé dans les Pavillons Ledoux de la Place Denfert Rochereau (14ème). Ce mémorial était trop peu fréquenté. Le maire du 15ème souhaite que les travaux soient terminés avant le 25 août 2019, date du 75ème anniversaire de la Libération de Paris. L'avenir du site de la gare Montparnasse est donc incertain.

La Galerie Camera Obscura présentera du 30 octobre au 5 décembre 2015 :

galerie camera obscura,bernard plosssuBernard Descamps : Où sont passés nos rêves ?

Vernissage le jeudi 29 octobre, de 18 heures à 20 heures, en présence de l'artiste.

Galerie Camera Obscura : 268 boulevard Raspail - 75014, Paris - Mardi à vendredi : 12 h à 19 h. Samedi : 11 h à 19 h.

 www.galeriecameraobscura.fr     - Tél : 01 45 45 67 08 

21 octobre 2015

Week-end d’ouverture des Grands Voisins du 23 au 25 octobre sur le site de l’ancien hôpital Saint Vincent de Paul

les grands voisins,   yes we camp, hôpital saint vincent de paulL’association Yes We Camp a le plaisir de vous convier au week-end d’ouverture des Grands Voisins du vendredi 23  au dimanche 25 octobre.

 « Les Grands Voisins », c’est le projet porté par « Yes We Camp » d’investir et d’ouvrir au public les espaces temporairement vacants du site de l’ancien hôpital Saint-Vincent de-Paul dans le 14e arrondissement de Paris. 82 avenue Denfert-Rocherau

Pour mieux vous accueillir, «  Yes We Camp » a transformé l’ancienne lingerie de l'hôpital en foyer chaleureux, un café-bar-restaurant et lieu de diffusion culturelle.
Vous êtes les bienvenus pour déambuler dans les allées du site, goûter nos plats de jour, vous installer confortablement pour lire ou faire semblant de travailler, prendre l’apéro autour d'un fromage au son d’un concert et surtout, sympathiser avec les Voisins.

 Vous trouverez ci-dessous toutes les informations relatives à cet évènement (cliquez sur lire la suite)

Lire la suite

20 octobre 2015

La Galerie Camera Obscura présente Michael Kenna, Maxime Huriez et Bernard Plossu

Camera obscura Michael Kenna forms of Japan.jpgSamedi 24 octobre rencontre avec  Michael Kenna

Les responsables de la Galerie Camera Obscura vous invitent à rencontrer Michael Kenna le samedi 24 octobre, de 11h à 13h, pour une signature de son nouveau livre "Forms of Japan" (Ed. Prestel, 304 pages. 68 €)
Également disponible (quantité très limitée) « Kussharo Lake Tree » (Nazraeli Press. One Picture Book #92) : 100 €

« Méditation » de Maxime HuriezCamera obscura oeuves de Maxime Huriez.jpg

Vous pouvez voir en ce moment à la galerie une présentation succincte du travail de Maxime Huriez, lauréat du prix Chall'angel, sélectionné par Camera Obscura : trois photographies de la série "Méditation"

Et, jusqu'au 24 octobre,  "Couleur" de Bernard PLOSSU

Galerie Camera Obscura Couleur plossu(4).jpg

 

268, boulevard Raspail 75014 Paris • Tél : 01 45 45 67 08
Du mardi au vendredi : 12h à 19h, samedi : 11h à 19h 

www.galeriecameraobscura.fr

15 octobre 2015

Une nuit aux Catacombes

Un article paru dans le Parisien du 13 octobre nous informe que les Catacombes ont été louées par la Ville de Paris à une plateforme de location de logements entre particuliers (AIRBNB) pour une somme de 350 000 €. Cette location a pour but de permettre à AIRBNB de proposer une nuit dans les Catacombes aux gagnants d'un concours proposé par cet organisme. Il s'agit de fêter le 31 octobre, fête d'Halloween.

On peut s'étonner à juste titre de cette opération. La Mairie de Paris indique que le montant de la location servira à financer les travaux prévus dans l'ossuaire : réfection de la ventilation, des éclairages, création d'une nouvelle sortie etc. D'aucuns pourront s'étonner de l'usage de cet ossuaire bien connu des touristes qui sont plus de 300 000 par an à le visiter. Sans doute la recherche de fonds pour boucler un budget peut paraître souhaitable, mais les Catacombes ont-elles vocation à vouloir compléter le budget de la Ville de Paris ?

30 septembre 2015

Nuit blanche 3 octobre 2015

nuit blanche.jpegLe climat s’invite à la Nuit Blanche

Le samedi 3 octobre, les amateurs d’art contemporain pourront plonger dans l’édition 2015 de Nuit Blanche, placée cette année sous le signe de la Conférence sur le Climat.

A côté des grands parcours, Nuit Blanche c’est aussi le OFF, avec les projets émanant de mairies d’arrondissement, musées, galeries, lieux associatifs ou particuliers. Voici les principaux rendez-vous qui vous sont proposés dans le 14e :

Le programme dans le 14ème cliquez sur lire la suite

Lire la suite

29 septembre 2015

Chez Brassens

Chez Brassens légende d'un poète éternel.jpeg

Jean-Claude Lamy et Philippe Lorin dédicaceront leur livre : "CHEZ BRASSENS, LEGENDE D'UN POETE ETERNEL", Edition Le Rocher

Le samedi 3 octobre 2015, de 17 heures à 21 heures, à la boutique "Quand j'étais petit garçon", située 1 rue Marguerin, 75014.

Contact : 09 53 29 91 00.quand j'étais petit garçon magasin jouets, livres occasion.jpg

Il y aura une vitrine d'exposition autour de Georges Brassens et une animation musicale.

Cette manifestation se fera en partenariat avec la librairie ITHAQUE, 75 rue d'Alésia.

Un domaine disparu, le "Château du Maine"

 La veritable histoire du-chateau du maine couverture.jpgLe territoire du quartier de Plaisance Thermopyles avait au 18ème siècle un environnement campagnard et champêtre. C’était la Plaine de Montrouge. Sur ce territoire, une fort belle  «Folie »  avait été construite et attribuée à tort à Louis Auguste de Bourbon, duc du Maine, légitimé par son géniteur, le Roi Soleil…. Ce n’était qu’une légende. Le domaine de « Fantaisie » avait été acquis par  le critique Fréron. La propriété comportait un parc de 4 hectares entouré de fermes et de nombreux moulins, ainsi que des roues des puits d’extraction de carrières de Montrouge.

 Cette folie construite dans les années 1725-1730 fut ensuite la propriété de Pierre Sauvage, notable parisien. En 1766, le critique Fréron en devint propriétaire. Après une lutte homérique qui l’opposait à Voltaire et aux philosophes, Fréron finira ruiné en sa « Fantaisie » (1776).

Sous la Restauration, à partir de 1818, le domaine fut acquis par le marquis Louis-Justin-Marie de Talaru qui fit embellir le domaine, lui donnant un aspect de château. Il était également propriétaire du château de Chamarande. Après la révolution de 1830, le marquis se vit confisqué le domaine pour y avoir abrité des ministres du gouvernement Polignac.

Un lotisseur, Couesnon, se porta en 1842 acquéreur du domaine. A partir de cette date et après l’arrivée du chemin de fer, l’industrialisation et la croissance continue de la capitale allaient sonner le glas du domaine. Associé à un autre lotisseur – Chauvelot - Couesnon loua la pelouse du domaine au géographe Jean-Léon Sanis qui établit un géorama, qui disparut fin 1844 dans un incendie. Les opérations de lotissement grignotèrent le parc qui à l’origine était de quatre hectares.  Il devint un terrain vague ramené à deux hectares. Le 1er juin 1898, la Compagnie Générale des Tramways fit l’acquisition du domaine et rasa le dernier bâtiment, tout en y construisant ses ateliers et entrepôts.

Aujourd’hui, la ZAC Didot située au carrefour de la rue Didot et du Château peut sembler par ses maigres jardins rappeler les fastes d’un domaine disparu.

Documentation extraite de « La Page » - L’auteur ,Francis Mandin a écrit : « La véritable histoire du « Château du Maine », ou les mystères d’un domaine disparu au cœur du quartier de Plaisance.

L’ouvrage peut être consulté en version numérique sur : numilog.com, ou dans sa version papier : autoédition (Je publie), disponible dans les principales librairies du 14ème.

16 septembre 2015

Journées du Patrimoine dans le 14e : Demandez le programme !

Les journées-du-patrimoine permettent de visiter des lieux inaccessibles le reste de l'année. Mais aussi des bâtiments que l'on côtoie, que l'on utilise habituellement (bâtiments publics, églises...) sans y prêter vraiment attention. Cette année, les samedi 19 et dimanche 20 septembre, l'offre est riche pour le 14e. Il y en a pour tous les goûts ! Bonnes visites...

journées européennes du patrimoine 2015.jpg

MAIRIE DU XIVE ARRONDISSEMENT ET TRIBUNAL D'INSTANCE

Pour  découvrir l'architecture originale des ces deux lieux, l'un marqué par la période art déco et cubiste, l'autre reflétant l'histoire du Moyen-âge par ses œuvres d'art et son architecture.

2 place Ferdinand Brunot. Samedi 19 et dimanche 20: 14h00 à 17h00.

MAISON DU FONTAINIER

Appelée également grand regard de l’Observatoire, la maison du Fontainier est construite à la demande d’Henri IV puis de Marie de Médicis pour améliorer l’alimentation de la rive gauche de Paris. Elle sert, jusqu’à la Révolution, de logement de fonction à l’intendant général des Eaux et Fontaines du roi.

42, av. de l'Observatoire. Samedi 19 : 14h00 à 17h30. Dimanche 20 : 10h30 à 12h30 et 14h00 à 17h30

Hôtel de Massa.jpgHOTEL DE MASSA, SOCIETE DES GENS DE LETTRES

Jadis rue de la Boétie, l’hôtel de Massa a été transféré pierre à pierre dans une parcelle du jardin de l’Observatoire en 1927-1928. L’hôtel de Massa abrite actuellement la Société des Gens de Lettres, fondée en 1838 par des écrivains célèbres, Balzac, Hugo, Dumas, Sand...

 Visite commentée à travers les salons de l'Hôtel de Massa qui abritent du mobilier art déco et des collections de bustes d'écrivains. Visites guidées de 50 minutes, départ tous les quarts d'heure par groupe de 25 personnes.

8 rue du Faubourg-Saint-Jacques. Samedi 19, 14h00-18h30

SIEGE DE LA CROIX-ROUGE FRANCAISE

Situé dans l'ancien hôpital Broussais. Le siège de la Croix-Rouge française est installé depuis 2005 dans les bâtiments de l’ancien hôpital Broussais, réhabilités par les architectes-urbanistes Reichen et Robert. Des initiations aux premiers secours seront animées gratuitement. Une exposition retrace l'histoire de la création de la Croix-Rouge française en 1864, et l'histoire du mouvement international de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge.

Samedi et dimanche, de 10h à 17h (dès 10 ans)

98 rue Didot. Samedi 19 et Dimanche 20 Septembre 2015, hôpital Broussais, 10h-18h.

HOPITAL SAINTE ANNEHôpital sainte Anne Pavillon Magnan.JPG

L’hôpital a été inauguré en 1867.Conférences, expositions... Visite de la bibliothèque médicale Henri Ey, du pavillon de l’horloge, du musée d’histoire de la psychiatrie et des neurosciences, de l'exposition des oeuvres de la Collection Sainte-Anne et d’artistes contemporain, des jardins de l’hôpital.

1, rue Cabanis. Visites libres de 14h00 à 18h00 

CITÉ INTERNATIONALE UNIVERSITAIRE DE PARISLa Cité internationale universitaire bat central avec le parterre de buis.jpg

17 bd Jourdan

La Cité Internationale accueille près de 12 000 étudiants, chercheurs et artistes i

ssus de quelques 140 nationalités. La quarantaine de maisons dans lesquelles ils séjournent, construites entre 1925 et 1969, sont emblématiques des principaux courants architecturaux du XXe siècle et abritent des chefs-d’œuvre artistiques remarquables.

Un campus du futur - Samedi : 15h

La visite « Un campus du futur » met en avant la troisième phase de développement que va connaître la Cité internationale universitaire de Paris à l’horizon 2020.

Le style moderniste norvégien - Samedi : 16h
La maison de Norvège accueille Bjørn Vidar Johansen, historien de l’art, Musée de l’Université d’Oslo, qui interviendra, en anglais, sur le thème Simplicity in bricks – Maison de Norvège, a piece of Norwegian post-war architecture in Paris. 

Pour découvrir les autres visites , promenades... cliquez sur lire la suite.

Lire la suite

Les journées du Patrimoine dans les édifices religieux du 14ème

Notre-Dame du Travail.jpgNotre-Dame-du-Travail de Plaisance 
Construite en 1899 par Astruc, son style néo-roman dissimule un étonnant vaisseau de 135 tonnes de fer et d’acier. Deux galeries latérales rappellent les églises du Pays-Basque, patrie du premier curé. Le travail est au cœur des fresques bibliques de Jean Huberti. On remarquera des sculptures de Jean-Jacques Bris, Charles Correia, Henri Proszynski, Michel Serraz et le baptistère des époux Taillefert.
Samedi 19 et dimanche 20 septembre, de 14h à 16h visites guidées
59 rue Vercingétorix - Paris 14e / 01 44 10 72 92
M° Pernety-Gaîté / Bus 28 – 58 – 88 - 91

Saint-Pierre de Montrouge 
Eglise construite entre 1863 et 1872 par Vaudremer en style paléochrétien et romano-byzantin selon la volonté de Napoléon III de marquer les carrefours par des monuments emblématiques. Bel équilibre entre forme, fonction et matériaux.
Dimanche 20 septembre, 16h visite guidée
82 avenue du Général-Leclerc - Paris 14e / 01 43 95 41 00
M° Alésia / Bus 28 - 38 - 62 - 68

Église_Notre-Dame-du-Rosaire_(Paris 14).jpgNotre-Dame-du-Rosaire 
Sardou s’est inspiré du roman florentin pour cet édifice construit en brique jaune en 1911. La statue de Notre Dame du Rosaire de Serraz orne la façade. Les vitraux, le chemin de croix et le triptyque sont de Magne. L’oratoire (N. Prével), le vitrail des Noces de Cana (J.-L. Lambert), l’armoire des huiles saintes et la statue de Notre-Dame-des-Nations sont des apports plus récents.
Dimanche 20 septembre, 17h30 visite guidée de l’église et de l’orgue
194 rue Raymond-Losserand - Paris 14e / 01 45 43 13 16
M° Porte-de-Vanves / Bus 58 – 95, T3

Chapelle Saint-François chapelle des franciscains _nef_restauree_2.jpg

Le Couvent des Franciscains de Paris a été construit entre 1934 et 1936 en brique. Caractérisée par de grandes arcatures de briques, et décorée de pierre rose de Bourgogne, la chapelle est éclairée de grands vitraux. Ceux du choeur évoquent les trois ordres fondés par saint François d’Assise et ceux de la nef le Cantique des créatures rédigé en 1225. Les vitraux des chapelles latérales sont dédiés à des saints franciscains.

Exposition photos de Philippe Joudiou, photographe et aventurier

Samedi 19 septembre, de 10h à 12h visites libres, de 14h30 à 18h visites guidées
Dimanche 20 septembre, de 14h30 à 17h visites guidées
7 rue Marie-Rose - Paris 14e / 01 40 52 12 70 - M° Alésia / Bus 62, T3

abbaye de port Royal.jpgAbbaye de Port-Royal – Hôpital Cochin

L’abbaye de Port-Royal de Paris connait au XVIIe s. un fort rayonnement spirituel et intellectuel. La chapelle du Très-Saint-Sacrement de Port-Royal à été édifiée à l’époque classique entre 1646 et 1648, en style très sobre et est caractérisée par une disposition originale du choeur des religieuses. De l’abbaye en partie détruite en 1710 sont préservés la chapelle, le cloître et son jardin, les bâtiments conventuels, la salle capitulaire.
Samedi 19 septembre, de 14h à 18h, visite guidée de la chapelle.
123 boulevard de Port-Royal – Paris 14 / 01 58 41 41 41 / 01 48 87 74 71
RER Port-Royal / Bus 38 – 83 –91

Institut Protestant de Théologie

Visite de l’Espace documentaire du Fonds Ricoeur, intermèdes musicaux et une exposition sur la vie et  l’oeuvre de Paul Ricoeur ainsi qu’une exposition de livres anciens.

Samedi 10h-18h 83 boulevard Arago

12 septembre 2015

Jeunes artistes, exposez-vous à l’EXPO ! Candidature à envoyer avant le 20 septembre

Expo jeunes artistes dossier avant le 10 septembre 2015 expo du 17 au 31 octobre.jpgLa Mairie du 14e, en partenariat avec Paris Habitat et l’association art sous x  (association pour  promouvoir la création artistique) organise un événement dans la galerie L’EXPO du 17 au 31 octobre 2015  consacré à de jeunes artistes, relevant de toute expression artistique, de 16 à 30 ans.  Il s’agira non seulement  d’exposer des œuvres mais aussi de créer sur place, durant le temps de l’événement, une œuvre originale avec  pour titre, cette année,  « quartier(s) » et, ainsi, de donner à voir aux visiteurs et passants des artistes au travail  et de s’entretenir éventuellement avec eux. Un prix, par les appréciations conjointes du jury et du public, sera attribué à l’issue de l’événement.  Vous pouvez retirer le dossier de candidature directement à la Mairie du 14e arrondissement ou le télécharger  ci-dessous. Les artistes intéressés sont invités à envoyer  leur dossier de candidature à la mairie du 14e au service de la Culture, jeunesse et sports avant le 20 septembre 2015.  Le jury se réunira le vendredi 25 septembre 2015.

http://www.mairie14.paris.fr/mairie14/images/local/skin/plugins/document/filetypes/file.pngDossier d’inscription  - 0.04 Mo

28 août 2015

Parcours culturel et solidaire (jeu de piste) spécial familles le 5 septembre 2015

decouvrons-paris-autrement.pngVous rêvez de découvrir Paris différemment, en parcourant les lieux atypiques, solidaires, culturels et des lieux engagés de la capitale, en évitant les points touristiques, dans un esprit convivial, ludique, dans un esprit d'équipe et en famille.. ?

Ce jeu de piste vous permet de découvrir tous ces aspects-là ! Pour les enfants à partir de 6 ans accompagnés de leurs parents, et convient tout à fait aux ados !

RDV Porte de Vanves pour (re)découvrir le 14e arrondissement de Paris, samedi 5 septembre  à partir de 15h, pour voir les choses différemment et par la même occasion rencontrer des familles qui habitent peut-être proches de chez vous... Qui sait !?

Dépaysement garanti !

Ce parcours vous emmènera dans des endroits que vous ne connaissez pas encore, ou que vous connaissez mais dans lesquels vous n'êtes jamais passés parce que vous n'avez pas osé ou que vous n'avez pas eu le temps de découvrir encore...

C'est l'occasion, c'est le moment de franchir le pas, pour s'étonner en famille... En repartant vous aurez découvert des lieux atypiques, après 2h passées ensemble !

  •  le 05/09/2015 à 15:00
  •  RDV Porte de Vanves ! - Paris 14e
  •  6 euros par personne
  •  Durée : 2h environ

Prévoir quelques euros en plus pour boire un verre ensemble à la fin du parcours dans un café pas comme les autres, pour faire connaissance ! 

RDV Porte de Vanves, Boulevard Brune, à l'angle, devant la Société Générale.

Réservations obligatoires ici !
En savoir plus sur http://www.parisolidari-the.com/agenda/parcours-culturel-...

18 août 2015

Alberto Giacometti, rue Hippolyte Maindron

alberto giacometti.jpg Il était né en Suisse à Stampa en 1905 et était issu d’une famille d’artistes.  Dès le début de ses activités artistiques, il pratique la sculpture, la peinture et le dessin et manifeste aussi un talent de poète. Son originalité est absolue. Agé de treize ans, il modèle ses premiers portraits. En 1919, il fréquente l’Ecole des Arts et Métiers de Genève. De 1920 à 1921, il est à Venise, devant les Tintoret, puis à Rome où il s’enthousiasme des anciennes mosaïques chrétiennes. En 1922, il s’établit à Paris et travaille à la Grande Chaumière chez Bourdelle,chez qui il entreprend des sculptures colorées. Son problème esthétique est : « saisir l’ensemble d’une figure, car si on part d’un détail, il n’y a aucun espoir de jamais arriver à un ensemble… ». Pendant quelque temps, il se détournera de tout modèle pour avoir recours au souvenir. Naquirent alors des objets insolites et des constructions magiques dans lesquels les Surréalistes ne tardèrent pas à voir l’expression décisive du monde des rêves et de l’irrationnel. Par delà la vie énigmatique de ses sculptures, c’est surtout les rapports spatiaux que les objets entretiennent entre eux qui l’intéresse ( « le Palais à 4 heures du matin »– 1932-1933).

De 1935 à 1945, Giacometti connaît l’époque la plus riche et la plus critique de sa vie. A la recherchealberto giacometti peinture l'atelier de l'artiste dit de  jean genet.png d’une totalité, visant l’étude du modèle et la vision intérieure, il expérimente  des proportions et des déformations de toutes sortes. Le problème du mouvement requiert toute son attention à travers l’image de la marche, le geste d’un bras, ou d’une main tendue. Le primitif et le temps présent semblent se rencontrer lorsque le passé s’unit au présent. Si la forme extérieure des choses ne l’intéresse guère, homme_qui_marche_i_1960_-r_succession_giacometti_fondation_giacometti_adagp_paris_2015.jpgl’abstraction ne le tente pas davantage. Chez lui, l’art et la vie s’enchevêtrent continuellement. En cherchant à concilier la réalité de l’existence et la liberté artistique, Giacometti a matérialisé une relation toute nouvelle de la sculpture dans ses rapports avec l’espace. Elle oblige le spectateur à considérer l’œuvre à distance et ainsi offre-t-elle des formes qui excitent le regard et non le sens du toucher.

En dehors des cinq années de la Seconde guerre mondiale (1940-1945)Plaque_Alberto_Giacometti,_46_rue_Hippolyte-Maindron,_Paris_14.jpg qu’il a passées à Genève, il a toujours habité à Paris dans son atelier de la rue Hippolyte Maindron. Le succès qu’il a connu et l’influence qu’il a eue sur toute une génération d’artistes n’impressionnait guère Giacometti. Il a toujours été à la recherche de l’absolu.

Documentation extraite du n° 19 de la Revue de la SHA.

Cliquez sur les images pour les voir en plus grand

1 Alberto Giacometti

Alberto Giacometti : Portrait de Jean Genet, 1954-1955   

3 Alberto Giacometti :L'homme qui marche

15 août 2015

La Fondation Cartier Bresson présente une exposition de Jeff Wall à partir du 9 septembre

Du 9 septembre au 20 décembre 2015, la Fondation Henri Cartier-Bresson a l’honneur de présenter Smaller Pictures, une exposition de l’artiste canadien Jeff Wall (né en 1946). Grand connaisseur de l’histoire des arts et de la littérature, Jeff Wall est l’un des artistes les plus influents de l’art contemporain. Célèbre pour ses caissons lumineux de grandes dimensions, il a sélectionné pour cette exposition un ensemble de 34 tirages et caissons conçus à l’origine en petit format et provenant, pour la plupart, de sa collection personnelle.

L’exposition est accompagnée d’un catalogue coproduit avec les Éditions Xavier Barral. Il est enrichi d’une introduction de Jean-François Chevrier et d’un entretien avec l’artiste. ========================================================

Fondation Henri Cartier-Bresson / 2, impasse Lebouis 75014 Paris / T.+33 1 56 80 27 00 Ouvert du mardi au dimanche de 13h à 18h30, le mercredi jusqu'à 20h30 et le samedi de 11h à 18h45

25 juillet 2015

Ferme de Montsouris : le dossier traîne encore

Juridiquement, l'affaire est close depuis fin 2014. La mairie du 14e va transformer la grange de l'ancienne ferme en centre « culturel, citoyen et artistique » et créera une crèche. Le promoteur, la Soferim, construira des appartements. Et pourtant, tout semble encore bloqué...

la ferme de Montsouris en 2014.JPG Mais où en est donc le dossier de la ferme de Montsouris. Voilà plus de trente ans qu'un promoteur immobilier a acheté le terrain de la seule ferme qui reste sur Paris intra muros, située au 26 rue de le Tombe-Issoire. Pendant des années, tout projet de construction a été bloqué par un collectif d'amoureux du vieux Paris regroupés sein du « Collectif de Port-Mahon et de la ferme de Montsouris .Motif : sous le terrain se trouve une carrière de pierres d'époque médiévale, dite du chemin de Port-Mahon, en très bon état de conservation . Un site classé interdisant toute construction qui risquerait de l'endommager. Le terrain est racheté en 2003 par la Soferim, un second promoteur.

 Après des années de procès, la situation s'est décantée.En novembre 2013, la Ville de Paris a racheté à la Soferim, (cher : 6 millions d'euros !) le terrain de 710 m2 (sur 2730 m2) comportant la grange de la ferme – le seul bâtiment restant du domaine initial – et un bâtiment connexe le « pavillon troubadour » construit au XIXe siècle. Au même moment, le ministère de la Culture accordait au promoteur un permis de construire pour des bâtiments qui évitent les secteurs protégés.Le ministère prévoyait cependant des travaux de consolidation des carrières. Des travaux réalisés ensuite par la Soferim, à la fureur des associations, qui parlent de saccage du site, et attaquent auprès du Tribunal administratif. Mais en octobre 2014, le Tribunal administratif de Paris déboute le Collectif.

 La Soferim dispose donc de plus de deux-tiers du terrain donnant sur la rue de la Tombe Issoire. Elle doit y construire des immeubles d'habitation comportant 25 % de logements sociaux autour de l'ancienne cour de la ferme, qui sera plantée. Au total, 6000 m2 de logements,des commerces. Or, en 2015, il ne se passe toujours rien ! Une solide palissade isole le terrain.

Gérard Desmedt

Photo : La ferme de Montsouris début 2014 (extrait du site du collectif de Port Mahon et de la ferme de Montsouris)

Lire la suite

12 juillet 2015

Hommage à Daniel Vacher

hommage à Daniel Vacher.jpg« Je peins le monde tel qu’il est, en espérant qu’on ne va pas trop le démolir.

Je cherche surtout ce qui est beau. Et ce qui est beau, ce n’est pas forcément ce qui est riche…. quand tu peins, tu peux trouver un sujet qui est simple mais qui est beau, par exemple une petite cabane sous la neige.

J’ai essayé de peindre dans Paris ce qui va disparaître. Je ne fais pas ce que tout le monde connaît : Notre-Dame, la Place du Tertre…. J’aime bien le Paris populaire, des faubourgs du dix-neuvième siècle, de Montmartre, de Belleville, la rue Mouffetard et les 13ème,14ème et 15ème arrondissements, des choses et des coins moins connus. J’aime les rues, les boutiques, les marchés. Les toits de Paris offrent aussi une mosaïque pittoresque de formes et de couleurs. La végétation donne des taches colorées dans cet univers minéral »

Ce vrai parisien, décédé le 25 juin dernier, aimait arpenter les rues de « sa » ville. S’il peignait rarement sur place, craignant le association des peintres et sculpteurs témoins du 14èmebruit, les intempéries, la circulation et les gêneurs, il ne sortait jamais sans avoir dans sa sacoche un carnet de croquis.  Il dessinait le sujet choisi en notant avec précision les couleurs, et la lumière avant de les reporter sur la toile dans son atelier : " En me promenant dans Paris, quand je trouve un sujet de tableau, je me dis : « tiens… il faut que je revienne très vite…. ». Rien que pour le 14ème arrondissement, j’ai fait une quarantaine de tableaux. C’est un quartier a priori pas particulièrement pittoresque mais quand on se promène, d’un seul coup, dans la journée, on découvre un point de vue." 

Mon père était un passionné de voyages lointains, il préférait peindre dans les régions qu’il affectionnait comme la Provence ou le Vexin normand. En dehors de son travail de paysagiste, Daniel Vacher a dirigé ou participé aux travaux de plusieurs ateliers d’artistes. Il a été pendant de nombreuses années vice-président de l’Association des Peintres et Sculpteurs Témoins du 14e arrondissement.

Agnès Vacher-Zerwetz

22 juin 2015

Derniers jours de l'exposition des Peintres et Sculpteurs Témoins du 14ème jusqu'au 28 juin

Salon des peintres et sculpteurs témoins du 14ème 19- 26 juin  2015.jpg

L’APST14 regroupe des artistes amoureux de la diversité de leurs quartiers et conscients de la richesse du patrimoine bâti et humain de leur arrondissement, le 14e !

Un patrimoine vivant que Marie-Lize Gall, présidente de l’APST-14, et Aline du Beux, créatrice de l’affiche 2015, vous invitent à découvrir lors de la 28e exposition annuelle de l’association, du 19 au 28 juin 2015 à la galerie Montparnasse.

Lors des précédentes éditions, divers thèmes liés au 14e ont été traités, tels Louis Daguerre, Brassens, le sport, l’écriture et la lecture, le cinéma etc. Celui de 2015 s’intéresse à la musique et à la danse, avec ses cours, manifestations, spectacles, associations…
Un accent particulier est donné à l’anniversaire de notre Conservatoire, créé en 1955 et où certains des artistes de l’APST ont pu suivre des cours.
Un hommage sera rendu au vice- président de l’APST-14, Daniel Vacher, qui avait la passion de l’arrondissement et a si bien su la transmettre sur ses toiles et gouaches.

Exposition à la galerie Montparnasse. 
55, rue du Montparnasse.
Du 19 au 28 juin inclus, tous les jours de 12h à 20h. 
Nocturnes les vendredis 19 et 26 juin jusqu’à minuit.
Découvrez le travail des artistes sur le site de l’association : www.apst14-asso.fr/

Vernissage du salon le Vendredi 19 juin 18h30 cliquez sur lire la suite

Lire la suite

09 juin 2015

Villa Mallebay, Jean Cardot un sculpteur

Cardot-sculpteur.jpgArrivé à Paris en 1949, Jean Cardot habita tout d’abord 18 rue Ledion, une chambre « Villa des Lyonnais ». En 1961, il s’établit Villa Mallebay dans un atelier rustique qu’il agrandit en acquérant des garages situés à proximité. Son grand-père était tonnelier à Saint Etienne. Son père, cheminot au PLM s’adonnait à la sculpture sur bois. En 1943, à l’âge de 13 ans,  son lycée ferma, ses parents alors l’orientèrent vers l’école de dessin des Beaux-Arts de Saint Etienne.

Il fut élu en 1983 membre de l’Académie des Beaux-Arts de l’Institut de France et devint de 1992 à 1997, président de cette même académie. Il a réalisé de grandes commandes publiques à travers les effigies monumentales de personnages publics importants : de Gaulle sur les Champs Elysées, puis celles de Winston Churchill, Chaban Delmas et la Grande Duchesse Charlotte de Luxembourg.

affiche annonçant le permis de construire du centre jean Cardot.jpgUn projet « Espace culturel Jean Cardot » est à l’étude. Il aura pour but lavilla mallebay à gauche les hangars qui seront remplacés par le centre jean cardot.jpg protection, la diffusion et le rayonnement de son œuvre ainsi que l’encouragement à la création artistique.

Ainsi la Villa Mallebay située sur le parcours de la rue Didot deviendra un lieu préservé au service de la sculpture et participera ainsi à perpétuer la présence d’un artiste de Montparnasse.

-         Documentation extraite du numéro 50 de Monts 14.

Photos 2 et 3  la Villa Mallebay où l'on découvre l'affiche placardée sur les hangars qui seront transformés pour réaliser le  centre Jean Cardot.( M.G.V.) Cliquez dessus pour les voir en plus grand.