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27 juillet 2006

La prison de la Santé en sursis

                                            La Prison de la Santé est-elle en sursis ?

Une rumeur persistante, relayée par la presse  (le Parisien du 22 juin) fait état d'un projet de reconstruction totale sur le site. En son état actuel, la vétusté de cette prison est flagrante et ne correspond plus aux normes modernes d'incarcération des prisonniers.

Mais rappelons brièvement son histoire. Inaugurée le 20 août 1867. elle est à l'époque remarquable par ses éléments de "confort", salubrité, propreté et aération. On y remarque que chaque détenu y possède un "lit",et qu'il peut se "laver". Les bâtiments sont chauffés : 12° dans les galeries et les dortoirs, 14° dans les cellules et ateliers, 18° à l'infirmerie. L'intégralité du tout-à-l'égout est effective ( à  Paris, seulement à partir de 1889).

Aujourd'hui, le temps a fait son oeuvre : plâtre des plafonds effondré, les blocs Cet D sont fermés depuis mars 2006, obligeant le transfert de 450 détenus. Citons que l'architecte de cette prison est Emile Vaudremer – Prix de Rome – et qu'il fut à l'origine  du  projet et de la réalisation de l'église Saint-Pierre de Montrouge.

Alors, quel futur pour ce site ? Le nouveau PLU de Paris le dira peut-être, mais du projet à sa réalisation, les décennies ont parfois raison des meilleures intentions.                                                                                                                                                                                      R.R.

20 juillet 2006

Yves Klein, un peintre de Montparnasse

                                           Yves Klein, rue Campagne Première

Les 10 et 11 juin, plus de 4000 personnes sont venues fêter ce peintre qui hanta le quartier Montparnasse et qui fut à l'origine de la "monochromie bleue".

Il est reconnu comme ayant été un des plus grands de la peinture contemporaine en créant des "états de peinture immatérielle à travers  des monochromies blanches, noires, vertes, orangées, rouges et jaunes". Sculptant l'eau et le feu, il est l'inventeur des "Anthropométries" – pinceaux vivants donnant lieu à des "happenings". Il affirmera : "mon but est de renouer avec la légende du Paradis perdu". A la recherche de l'absolu, toute sa quête fut celle de retrouver l'état antérieur au péché originel. Il devint Chevalier de l'ordre des Archers de Saint Sébastien, dépendant de l'évêché de Soissons.

Jusqu'au 4 février 2007,une exposition lui est consacrée, à la Coupole, boulevard Montparnasse.                        R.R.

 

16 juillet 2006

VOLVER de Pedro Amodovar

 

 Dans l'Espagne d'aujourd'hui, deux soeurs, peut-être trois, font l'expérience de la solidarité féminine face à l'irresponsabilité des hommes.

 

C'est au sein de la famille qu'Almodovar situe son dernier film primé au festival de Cannes2006 pour ses merveilleuses interprètes féminines :trois générations de femmes au caractère affirmé et prêtes à tout découvrent que la cruauté du présent se lit souvent dans le passé ."Volver"signifie "revenir", en espagnol. Le sujet, grave, est traité avec humour, santé, et...sens du mystère. On a parfois l'impression de se trouver dans un film d' Hitchcock!

 

Almodovar connaît ses classiques et c'est un plaisir de suivre ses modernes Antigones filant le long des routes d'Espagne bordées d'éoliennes qui nous confirment que, même si parfois on se frotte les yeux, on se trouve bien au XXIè siècle.

 

A voir toutes affaires cessantes.

 

Marie-Josée Carita

13 juillet 2006

Un "titi" de Paris

  On s'interroge parfois sur l'origine des noms de rues,  portés sur les plaques identifiant celles-ci. Ainsi, à l'intersection des rues Hallé et Ducouëdic, la place Michel Audiard, d'ailleurs très modeste par sa superficie, retient l'attention. 

Elle nous évoque l'histoire de ce "tonton flingueur" que fut Michel Audiard. Celui-ci était  né dans le 14ème au 2, rue Brézin, le 15 mai 1920. Il a vécu longtemps dans nos quartiers, puisqu'on le retrouve habitant chez un oncle au 27bis de l'avenue du Parc Montsouris ( Av. Coty de nos jours). 

Quand on sait qu'il obtint un C.A.P.  de soudeur à l'autogène, on peut se demander par quel hasard, il put approcher le milieu du journalisme  et plus tard celui du cinéma en tant que dialoguiste en 1949. Sa rencontre avec Jean Gabin en 1955 fut déterminante, ainsi que celle avec J.P. Belmondo.

  Pour se fixer un des aspects du personnage que fut ce "titi", le plus parisien de tous, on se rappellera quelques répliques savoureuse qui font flores parmi tant d'autres, ainsi : " Un intellectuel assis va moins loin qu'un con qui marche" - "Il vaut mieux aller la tête basse que les pieds devant" - "Une minute d'écart, ça peut se transformer en une année de placard". La liste de ces aphorismes n'est pas exhaustive, chacun pouvant aller à la pêche et en ramener  une merveilleuse "friture" de formules savoureuses.  

10 juillet 2006

Bonnes vacances ...

 Chers lecteurs,

 Le temps des vacances est venu. Nous allons mettre nos activités en veilleuse pendant un certain temps et nous reprendrons toutes nos activités à la fin du mois d'août.  D'ici là, nous essaierons de maintenir un minimum de parutions.

Nous vous remercions de votre fidèlité et nous serions heureux de vous retrouver pour la rentrée, au début du mois de septembre. Alors, à bientôt, et à vous aussi, nous vous souhaitons de bonnes vacances.

La Rédaction

La Cité Internationale

1933 La Maison des Provinces de France, dessinée par l'architecte Armand Guéritte, en forme de U, offre en façade, des frontons ovales aux armes des 36 anciennes provinces françaises. Cette Maison a été financée grâce aux dons d'un citoyen anonyme de Mulhouse et d'un citoyen américain, Murray Guggenheim. Quatre chambres, tapissées avec le papier dessiné par Ruhlmann et meublées avec le mobilier d'origine, créé par Printz, Jallot, Vinay, Ruhlmann ont été remises en place lors de la rénovation du bâtiment en 2004. 1935 Le Collège d'Espagne, financé par le gouvernement espagnol a été conçu par l'architecte Modesto Lopez Otero, secondé par Eugène Boby et Jean-Nicolas Warin. Ce bâtiment se réfère dans sa conception à la tradition universitaire espagnole des 16ème et 17ème siècles. Le couronnement de ces quatre tours illustre pleinement cette référence. Le pourtour de ce collège est agrémenté de sculptures d'artistes espagnols contemporains (dépôt du musée de la reine Sophia de Madrid). 1936 La Maison Internationale, construite par Jens-Fredrick Larson et Lucien Bechmannfut d'emblée destinée à accueillir les services communs à tous les étudiants de la Cité. Financée par John D.Rockfeller Junior, elle abrite le théâtre de la Cité, citéculture, la bibliothèque centrale, plusieurs restaurants… ses treize salons lieux privilégiés d'accueil des manifestations interculturelles, portent le nom d'un fondateur ou d'un mécène de la cité internationale. (A suivre)

09 juillet 2006

Près de 7000 places nouvelles en maison de retraite

Pour la période 2004-2005, l'Etat dans le cadre du plan "Vieillissement et solidarités" avait annoncé la création de 10.000 places nouvelles en maison de retraite. Les crédits correspondants devaient être versés aux régions, qui en sont maintenant chargées.  En fait, le financement de 9.300 places a bien été attribué, sur lesquels 70% a été construit. Le déficit de 30% est dû essentiellement aux délais de construction, selon la CNSA, Caisse Nationale de Solidarité pour l'Autonomie.

08 juillet 2006

Transports en Ile de France: quelques timides avancées

Le STIF, syndicat des transports en Ile de France, qui dépend maintenant de la région a décidé de quelques améliorations, pour un montant annuel de 200 millions d'euros.

Métro:

medium_passy_s.jpgA partir de la fin de l'année,  jusqu'à 2h15 le samedi soir et les veilles de fêtes, une rame toutes les 10 minutes.

Ligne 13, meilleure fréquence le matin (24 rames de plus) et le reste de la journée

Ligne 11 meilleure fréquence de 19h40 à 22h50 en semaine et les samedis et dimanches après-midi 

Prolongation de la ligne 4 à Mairie de Montrouge, en 2011!! 

Ligne 12 nouvelle station Proudhon Gardinouxen 2010 et début des travaux de prolongation  à Mairie d'Aubervilliers.

Bus:

medium_logo_urbiel.jpgProlongation d'une heure le samedi soir et veilles de fêtes des bus de correspondance avec le métro.

Huit nouvelles lignes de Noctilien en plus des 35 éxistantes 

Liaison par bus en site propre Massy RER - Plateau de Saclay

Jean-Paul Planchou, élu PS du Conseil Régional a déclaré: "Le réseau de nuit (Noctilien, métro de week-end) sera étendu concomitamment au réseau de bus de jour". Si vous avez compris, écrivez nous, merdi d'avance. 

Trains et RER:

Plus de trains sur les lignes C et D

Liaison en 28 minutes Ermont-Eaubonne Saint-Lazare à la fin de l'année

Rénovation de 127 trains sur le RER C et D et Saint-Lazare et Est.

Remplacement des automoteurs transiliens, appelés "petits gris ", à raison de 30 par an (180 au total)

 

Navigo:

Générallisé, il remplace la carte orange 

 

 Tout ça, n'est pas une révolution!

Et si les automobilistes quittaient leurs véhicules, on ne les remplacerait pas avec ça.

A.C. 

07 juillet 2006

Quand la petite reine divague

Quand la petite reine expulse des trottoirs le piéton, que fait-on des piétons qui ne peuvent plus circuler sur les trottoirs, ou presque ?
Sans être vélocipèdophobe, il faut être honnête et constater que les cyclistes et maintenant les motocyclistes de tout poil en prennent bien à leur aise. Ceux-là sont-ils si nombreux pour ne plus savoir utiliser l'asphalte des rues ou bien, craignant d'oublier leur identité d'anciens piétons, rêvent-ils de mettre en "selle" la cohorte survivante des piétons décimés ? Ces derniers connaissent l'angoisse d'être persécutés par les vélocipèdes véloces et les motocyclistes casqués, portant armure et heaume de chevalier, toujours prêts à en découdre avec ces "vilains" piétons anachroniques, espèce en voie de disparition… Ces derniers, pour se déplacer, rappelons-le, n'ont que leurs pieds attachés à leurs jambes !
Je pose cette question à nos édiles et à nos élus mandatés pour préserver l'intérêt de tous : le piéton a-t-il encore un avenir, s'il ne peut plus partager avec les oiseaux,  les enfants, les mères de famille, les vieillards vertueux, ces quelques mètres carrés qu'on appelait autrefois trottoirs, et qui aujourd'hui s'apparentent plus au boulevard périphérique ? Est-ce là un progrès pour l'urbanité de nos quartiers, déjà mise à mal par la disparition des commerces de proximité ?
Si la réponse est négative, je me verrais dans l'obligation de marcher sur la tête, cela au moins clouera sur place ceux qui venant d'en face, pédalent à contre sens et à tombeau ouvert. A moins que la solution soit dans la création sur les trottoirs de "pistes piétonnes" parallèles au flux des cyclistes mufles, indisciplinés et ignorant la présence d'autrui. Ces pistes seraient infranchissables par l'établissement d'un muret en béton ! Les deux espèces mises en "apartheid" pourraient ainsi cohabiter… pacifiquement !
Gageons que cette utopie ne se réalisera pas tant qu'il y aura des citoyens lucides pour dire leur fait aux "envahisseurs" et exprimer aux responsables qui organisent et conduisent la "fluidité des circulations douces" dans le cadre des "quartiers verts et tranquilles" leur ras-le-bol de piétons floués.
En conclusion, ceux-ci pourraient traduire leur état d'âme, à chaque fois que l'urne républicaine leur proposera de recueillir leurs pensées secrètes, par un signe d'agacement mûrement réfléchi.
R.R. (un piéton terrassé)

06 juillet 2006

Un beau rétablissement à la barre fixe

On vient de nous distribuer la dernière production du "Le journal du tramway", dont la lecture peut à la rigueur présenter un intérêt au 2ème degré, Au premier, il est assez creux.

On y apprend, tout de même, dans un édito de Pierre Mansat, adjoint au Maire de Paris, chargé des relations avec les collectivités territoriales d'Ile de France, que les déplacements de banlieue à banlieue, représentent 2/3 des déplacements d'Ile de France. Mais, alors que les déplacements concernant Paris se font à 64% par les transports en commun, ceux de banlieue à banlieue ne se font qu'à 24% par les transports en commun. Cette situation est, bien entendu, préoccupante, d'autant plus que ces trajets de banlieue à banlieue vont augmenter rapidement de plus de un million.Le réseau ferré en étoile montre ses limites.

Mais, comme écrit Pierre Mansat, le tramway "renforce les transports en rocade et contribue à estomper progressivelment la frontière entre Paris et le reste de l'agglomération". C'est magique, on vous dit! Il faut quant même une certaine dose  d'optimisme, pour penser qu'un tramway entièrement dans Paris intra-muros renforce les liaisons de banlieue à banlieue.

Maintenant, si vous voulez connaître les dépassements de budget de l'opération ( de 20 à 25%), ne cherchez pas dans "Le journal du tramway". Pas plus, d'ailleurs, que dans le site tramway.paris.fr.

A.C. 

05 juillet 2006

immobilier à Paris: stabilisation des loyers

Depuis mai, les loyers se sont stabilisés à Paris, au niveau d'un loyer mensuel de 24€ du m2. Cette stabilisation se retrouve dans la région parisienne, avec par exemple 16,50€ dans les Yvelines ou 15,80€ en Seine Saint Denis. On observe un phénomène comparable dans les grandes villes de France avec 10,25€ à Lyon ou 13,30€ à Marseille. Les villes moyennes ont, elles, vu une légère baisse, avec par exemple 11,20€ à Bordeaux et Montpellier, c'est-à-dire moins de la moitié de Paris!

Une stabilisation vaut mieux qu'une hausse, bien entendu. On est peut-être arrivé à la limite de ce que les gens peuvent payer. Mais 24€ du m2, ça fait 1560€ pour une 3 pièces de 65m2, ce qui n'est pas grand pour une famille! La part du logement dans les budgets reste très importante.

Par ailleurs, l'indice INSEE de référence des loyers était, en fin 2005, égal à 103,78, ce qui correspond à une hausse de 2,30% pour un an, valeur voisine de la hausse des prix à la consommation, qui s'élève à 2,20%. La limite de hausse annuelle des loyers est donc fixée à 2,30%.

A.C. 

03 juillet 2006

Je vivais au Paradis et je le savais pas!

M. Jean-Paul Huchon, président de notre région, vient de nous envoyer le journal de la région Ile de France. J'y ai trouvé le "baromètre", réalisé par l'Institut Louis Harris.

 

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Ca va à merveille, voyez plutôt:

85% des habitants de la région sont heureux d'y vivre, 56% trouvent le climat économique dynamique, 80% trouvent bonnes les relations entre les gens et 63% sont satisfaits de l'environnement. Seule ombre -modeste- à ce tableau, 65%, surtout des jeunes, trouvent qu'il est difficile de trouver du travail.

Des grincheux diront qu'on évite prudemment de parler des transports, de leurs coût, durée et confort ainsi que de la distance domicile-travail (si on en a un). Ils diront aussi qu'ne sage prudence a conduit  à ne pas évoquer lu sujet du logement, et de son prix qui grève souvent si lourdement les budgets familiaux. 

Finalement, en dehors de tout ça, tout va bien, non? 

A.C. 

 

02 juillet 2006

La Cité Internationale

1931 La Maison des étudiants suédois exprime dès le premier regard son appartenance nordique. Ses architectes, Peder Clason et Germain Debré ont souhaité lui donner l'allure d'une gentilhommière du 18ème siècle. Erigée grâce à des fonds provenant des amitiés franco-suédoises, son financement fut complété par le gouvernement suédois. Le mobilier de la maison en bouleau et en érable a été spécialement fabriqué en Suède. 1932 La Fondation danoise a été construite grâce à Benny Dessau, président des brasseries Tuborg, et à Helge Wanbert, conseillers culturels auprès de l'ambassade du Danemark à Paris qui lancèrent une collecte de fonds privés. L'état danois s'associa pleinement à cet effort. Son architecte, Kaj Gottlob misa sur la rigueur et la sobriété de la composition. Dans la salle de réunion, les murs sont ornés de fresques de Kraesten Iversen finalisées après son décès par Joh. Vihl Andersen. 1932 La Fondation hellénique a été conçue par l'architecte Nicolas Zahos qui s'attacha à respecter les traditions architecturales grecques. C'est pourquoi le porche d'entrée est doté d'une colonnade ionique évoquant les temples de la Grèce antique. A l'intérieur, un hall à colonnes est pavé de mosaïques. Les fonds nécessaires à la construction de cette maison ont été réunis grâce à une souscription pan hellénique complétée par le gouvernement grec. 1933 La Fondation Abreu de Grancher, conçue par Albert Laprade a vu le jour grâce à une donation de Rosa Abreu, cubaine, et de son mari Joseph Grancher,  médecin chercheur français. Cette bâtisse dispose d'un toit terrasse, calqué sur ceux de La Havane. Les deux avant-corps sont ornés de six médaillons représentant les provinces de l'île. 1933 La Fondation suisse est l'une des premières habitations collectives conçues par Le Corbusier et Pierre Jeanneret. Le salon comporte un mural peint ultérieurement par Le Corbusier (1948) qui a également dessiné des banquettes dotées de panneaux émaillés. Le mobilier, signé Le Corbusier, Pierre Jeanneret et Charlotte Perriand, est conservé dans le salon courbe et la chambre-témoin. La Fondation suisse est classé monument historique depuis 1986 (ainsi que la fresque et les banquettes). (à suivre)

01 juillet 2006

Prolongation de la ligne 4 : patience, patience , patience

Première étape courant 2011, la nouvelle station de Mairie de Montrouge !

L’ensemble du projet, dont on peut se demander si on en verra la fin un jour, n’est pourtant pas pharaonique : 3 nouvelles stations Mairie de Montrouge, Verdun–sud et Bagneux. Un prolongement de 3,2 km dont 2,7 km pour le transport des voyageurs, le reste pour les servitudes.

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La première étape ; Porte d’Orléans-Mairie de Montrouge sera entièrement en souterrain (1,47 km : 820 m de ligne voyageurs et 650 m à fin de garage et de centre de dépannage). La station Porte d'Orléans sera rendue accessible aux PMR (entendez personnes à mobilité réduite) et adaptée pour devenir une station de passage et non plus une station de terminus. On ne sait pas si les voyageurs avec bagages pourront accéder au métro mieux que dans les autres stations du métro, et sans entraînement préalable aux poids et haltères. On annonce des voitures modernes mises en services dès l'ouverture.

Coût de l'avant-projet,169,62 M€ (C.E. janvier 2004).

A.C.