04 septembre 2008
Le plus ancien site préhistorique de Paris, voisin du 14ème
Datant de 9000 à 5000 ans avant Jésus Christ, situé dans le 15ème rue Henry Farman, ce site a été fouillé par l'INRAP (Institut national de recherches archéologiques préventives), dont le rôle est de profiter du début de chantiers pour fouiller tant qu'il en est encore temps. Il s'agit ici du futur centre de tri de collectes sélectives.
Les derniers chasseurs cueilleurs nomades
Le site de la rue Farman, à Paris, apparait comme une découverte majeure car c'est la première fois qu'un gisement de chasseurs-cueilleurs est mis au jour et fouillé sur les bords de Seine à Paris.
La principale occupation du site concerne la période Mésolithique (9000-5000 avant J.-C.) qui caractérise les derniers chasseurs-cueilleurs nomades issus du Paléolithique supérieur, avant la révolution Néolithique. Les groupes mésolithiques font suite au réchauffement Holocène qui provoque, outre une "modification des lignes de rivage et des systèmes fluviatiles", une évolution du paysage végétal (apparition de forêts : pins, noisetiers, ormes, chênes) et de la faune (apparition d'espèces comme : sanglier, cerf, chevreuil, aurochs).
Nouvelles techniques de chasse
Ces changements environnementaux coïncident avec une mutation dans les techniques de chasse. On voit notamment une intensification de l'utilisation de l'arc, bien adapté à une végétation plus dense. Cette technique de chasse, est apparue vraisemblablement il y a 12 000 ans.
Chasseurs-cueilleurs nomades, les hommes du Mésolithique ont établi sur ces berges leurs haltes de chasse à plusieurs reprises. Ils y ont abandonné des silex taillés et des fragments d'os d'animaux probablement consommés sur place. Ces vestiges mais aussi un foyer laissent présumer des bivouacs de quelques jours à plusieurs semaines.
Boucherie, grattage des peaux pour la confection de vêtements ou de tentures ont été pratiqués sur place à l'aide de grattoirs et d'éclats.
De nombreux déchets de silex révèlent que les hommes y ont surtout renouvelé leur panoplie de pointes de flèches. Caractéristiques de cette période, ces minuscules pointes aux formes géométriques étaient fixées à l'aide d'une résine à une hampe de bois.
Le site de la rue Farman est situé sur un ancien bras de la Seine, qui avait déjà été repéré sous l'héliport de Paris.
Alain Constans
07:00 Publié dans 6- Art, Culture, Patrimoine | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : neolithique, Paris, archéologie, INRAP, fouilles | Facebook | |
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03 septembre 2008
La Voix-ci….. La Voix-là septembre 2008
2 au 6 septembre, de 17h30 à 21h30 : Représentations théâtrales gratuites place de Garenne
Dans le cadre du Festival Itinérant des Arènes de Montmartre, les jeunes compagnies investissent la Place de la Garenne pour y donner des représentations théâtrales gratuites. 8 rue Sainte Léonie. M° Pernety. Renseignements : festival.arenes.montmartre@wanadoo.fr ou 01 48 40 62 49
Samedi 6 septembre, de 14h à 18h : Forum de rentrée à la Mairie du 14ème
La mairie du 14e organise un Forum de rentrée pour tout savoir sur les services publics, les activités sportives, culturelles et de loisirs et participer à la vie de votre arrondissement. Parvis de la mairie – Place Jacques Demy. M° Denfert Rochereau, Mouton Duvernet. Bus 28 et 58 arrêt mairie du 14e.
Mardi 9 septembre, 19h15 : Lectures des extraits de « Mes soldats de papier » et « Cellule 89 » de Victor Klemperer, organisés par la Compagnie Pérédelkino. Entrée libre. L’Entrepôt, 7 rue Francis de Pressensé. M° Pernety. http://peredelkino.free.fr
Samedi 13 septembre, de 14h à 18h Animations gratuites au Garef océanographique
Dans le cadre de sa journée portes ouvertes, le centre d’animation Garef océanographique convie jeunes et adultes à un après-midi d’animations interactives gratuites autour de l’environnement et du monde marin. 26, allée du Chef d’Escadron de Guillebon, Jardin Atlantique. M° Montparnasse. Entrée libre. www.garef.com/oceano
Dimanche 14 septembre, 12h30 : Repas de quartier participatif
(Chacun apporte un plat) suivi d’une conférence - débat sur le thème "un projet culturel: quelle place pour les habitants ?". RDV sur la dalle de l'ancien hôpital Broussais. Organisé par le collectif redessinons Broussais
Jeudi 18 septembre, 15h Promenade de Denfert à Montparnasse
En passant par les rues Daguerre, Raymond Losserand, Lebouis, la Place Constantin Brancusi et le Jardin Atlantique. Promenade gratuite organisée par l’association Balades et patrimoine. RDV à la sortie principale du métro Denfert Rochereau. Réservation obligatoire : 01 43 27 10 37.
Lundi 22 septembre, 19h Conseil d’arrondissement. Séance publique. Mairie, 2 place Ferdinand Brunot, M° Mouton Duvernet.
Jeudi 25 septembre, 19h Comité d’initiative et de consultation d’arrondissement. Séance publique. Mairie, 2 place Ferdinand Brunot, M° Mouton Duvernet.
Samedi 27 septembre de 14h30 à 20h et dimanche 28 septembre de 11h à 19h Journées portes ouvertes des ateliers d’artistes : 300 artistes du marché de la création et des 150 ateliers de l’arrondissement sont à découvrir lors de ces journées.
Samedi 27 et dimanche 28 septembre : découverte des métiers du jardin
Dans le cadre de la fête des jardins, le parc Montsouris, les squares du Serment de Koufra, Ferdinand Brunot et de l’Aspirant Dunand vous accueillent pour vous faire découvrir tous les métiers du jardin. Au programme : information, animations, visites guidées. Parc Montsouris, RER et T3 Cité Universitaire. Square du Serment de Koufra, 30 avenue Ernest Reyer, M° Porte d’Orléans. Square Ferdinand Brunot et de l’Aspirant Dunant, Place Ferdinand Brunot, M° Mouton Duvernet.
Dimanche 28 septembre, 11h : brunch et vide-bibliothèque
Brunch citoyen et participatif et vide bibliothèque organisés par le Conseil de quartier Pernety. Inscriptions pour le vide bibliothèque sur panneau.pernety@laposte.net
06.85.61.37.94. Gratuit et ouvert à tous. Place Brancusi. M° Gaîté.
Des précisions complémentaires seront données par la suite pour certains de ces événements
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02 septembre 2008
César à la Fondation Cartier
Depuis la nuit des temps, l’art est exploration, tentative de l’homme de débusquer la lumière au détour des chemins de l’inconnu, et ce, quelles que soient les formes ou les choix retenus. Les fresques de Lascaux sont autant de points d’interrogation forgés dans la nuit de l’histoire humaine, que celles figurant au plafond de la chapelle Sixtine. L’art n’explique pas, il donne à voir l’invisible.
Et César est de ces artistes qui extraient du temps éphémère, les rares pépites de soleil sur lesquelles l’homme accroche son regard et remet en cause le dogme de ses certitudes artistique ou autres.
César réorganise les relations entre la matière et le geste qui transformeras cette matière : masses d’acier concentrées, densifiées, enchevêtrées, pliées, où la contrainte joue avec le passé utilitaire du matériau d’origine. Il libère la présence du travail de l’homme, depuis que celui-ci a découvert l’outil, et par conséquent l’empreinte quasi indélébile qu’il laisse dans le temps, de son passage sur Terre.
Le corps humain est aussi l’autre référence « césarienne », à travers l’expansion de poings, de mains, de doigts, et de seins. César nous présente à travers son kaléidoscope anatomique, la spécificité ontologique propre à l’unicité de toute l’espèce humaine. Par là-même, il décrypte et résume le monde si diversifié, si abondant du vivant.
Enfin, il y a cette fascination pour la matière "molle", oublieuse de la forme telle que la pratiquait les sculpteurs dits « classiques », à partir du matériau « noble » - marbre, calcaire, terre cuite… , et qui soudain, à travers l’utilisation de la mousse polyuréthane, le polyester, le plastique expansé, se voit transformée par une mutation technologique radicale. Le hasard accompagne celle-ci. Des coulages, des gonflements, des glissements, des échappements conférent alors à l’œuvre une destinée aléatoire. Dès son ébauche, l’œuvre évolue vers un achèvement imprévisible, guidé uniquement par l’intervention graduée et progressive de l’artiste, celui-ci restant maître de la forme définitive à imprimer à la matière. La chimie moderne rejoint ici l’alchimie de l’imaginaire...
Avec César, nous assistons à la libération de cette matière qui délivre alors ses forces telluriques cachées. Mais in fine, celles-ci sont toujours conduites, accompagnées, pacifiées par la main intelligente de l’homme. L'esprit reste le maître-d'oeuvre, incontournable vainqueur du chaos.
R. Rillot –
Fondation Cartier pour l’Art contemporain – 261, bd. Raspail. Tél 01 42 18 56 50. Exposition jusqu’au 26 octobre 2008.
06:00 Publié dans Expositions | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : Expositions, César, Fondation Cartier, sculpture | Facebook | |
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01 septembre 2008
L'Entrepôt: La rentrée en culture...
Cinéma : http://www.lentrepot.fr/httpdocs/cinema02.asp
Festival de Contis à l'entrepôt : courts-métrages et avant-premières jeudi 18 et vendredi 19.
"From the voice to the hand" : 3 films de Malik Ohanian en exclusivité à partir du mardi 23.
Ciné-débats et rencontres :
"Les guérisseurs, la foi, la science" avec J-Y Bilien lundi 8, mardi 9 et mercredi 10 à 20h,
"Mondovino"avec Nature et découvertes mardi 23 à 20h,
Ciné-philo dimanche 28 à 14h20 avec Daniel Ramirez.
Cycles : Ciné parents-bébé samedi 6 à 11h "Mes amis, mes amours" et samedi 13 à 11h "My name is Hallem Foe", Armenciné mardi 9 à 20h.
* Et toujours : la programmation hebdomadaire avec plus de 10 films par semaine.
Conférences : http://www.lentrepot.fr/httpdocs/conferences01.asp
* "Web 2.0 : entrer dans la danse et construire la confiance" par Jean-Marc Orsatelli , mercredi 10 à 19h30.
* "A la rencontre des familles d'âmes" par Catherine Boutard-Marquette, jeudi 11 à 19h30
* "Le symbolisme du corps humain à travers la mythologie grecque et le zodiaque" par Luc Bigé (Université du Symbole), jeudi 18 à 19h30. Entrée libre
* "Mutation collective, mutation individuelle" par Marielle Garel, mercredi 24 à 19h30.
* Rendez-vous mensuels : café RH le jeudi 4 à 18h30, Café-conso Nature et découvertes le samedi 13 à 10h30 "une rentrée et un cartable écolo", Rencontre des créatifs culturels le mardi 16 à 8h30.
Musique : http://www.lentrepot.fr/httpdocs/musique01.asp
* Rendez-vous au Bar Forum pour les Scènes ouvertes, le Jazz, le Slam, la World ou la Chanson festive : le mois est Show avec les Zooters, M.A.P., Ocho y media et beaucoup d'autres.
* Festival de Contis à l'entrepôt : SPOUMJ jeudi 17 à 21h30, Cumbia Ya! vendredi 18 à 21h30.
* Concert classique dans la Galerie jeudi 25 à 20h : récital de piano par Sylvie Amiech.
Galerie d'exposition : http://www.lentrepot.fr/httpdocs/exposition02.asp
* Jusqu'au 10 septembre : la galerie présente les oeuvres d'une quinzaine d'artistes pour le "Salon d'été". http://www.lentrepot.fr/httpdocs/web_été.html
* Du 17 septembre au 26 octobre : Koffi Comar, "Collages" papier, carton, terre et acrylique, dans le cadre du Festival de Contis à l'entrepôt. Vernissage le mercredi 17 à partir de 18h,.
Lectures et Impro : http://www.lentrepot.fr/httpdocs/litterature01.asp
* Les mardis 9, 16, 23 et 30 : lectures spectacles dans la Galerie à 19h15.
* Match d'impro avec les Traits d'Union dimanche 7 à 18h30 et cabaret d'impro avec les Carafes dimanche 21 à 19h30.
BONNE RENTREE A TOUS !
07:00 Publié dans 6- Art, Culture, Patrimoine | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : Entrepot, 75014, Paris 14, musique, cinéma, conferences | Facebook | |
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31 août 2008
Un hommage à Henri Cartier-Bresson
Fondation Henri Cartier-Bresson, 2 impasse Lebouis ( 75014) – tél : 01 56 80 27 00
06:00 Publié dans Expositions | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : photographie, Cartier-Bresson, 75014, Paris 14 | Facebook | |
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30 août 2008
La JAM 2007-2008 (Jeunesse athlétique de Montrouge)
Cette saison 2007/2008 fut pour notre club une année sportive remarquable. Nous avons cinq pôles sportifs au niveau régional (athlétisme, basket-ball, natation, tennis de table et trampoline).
Nos différents entraîneurs, malgré le peu de moyens en matériels, ont entrepris un travail en profondeur auprès de nos jeunes. La rigueur, la régularité et la présence aux entraînements ont fini par payer. Il est dommage que certaines personnes qui ne font que du loisir dans certaines disciplines ne puissent pas passer le Rubicon pour s’imposer en compétition. Les raisons sont diverses (manque de temps, famille, travail, études).
De mon temps, quand j’étais en scolaire et étudiant, nous pratiquions deux sports différents avec une organisation adéquate de nos études. Malheureusement les mentalités évoluent et le goût de l’effort et la motivation, deviennent des denrées rares. En effet il faut savoir que nous avons un taux de 40% de renouvellement de nos effectifs toutes disciplines confondues. C’est un perpétuel recommencement. Malgré cette nouvelle donne la J. A. M. se développe :
Un nouveau pôle sportif a été créé en 2007/2008 : le trampoline avec des résultats significatifs (7è place catégorie cadets en compétition inter-régionale).
Un autre pôle sportif va voir le jour pour la saison 2008/2009 : hockey sur terrain synthétique pour les jeunes, catégories débutants, poussins et benjamins. Nous venons de nous affilier à la Fédération Française de Hockey.
Par ailleurs un nouvel élu, M. Vincent JAROUSSEAU, vient de prendre la succession de Mme Carinne PETIT d’adjoint au Maire du XIV ème chargé des sports. Nos relations sont très bonnes. J’ai pu obtenir des créneaux d’entraînement supplémentaires pour le basket et le football.
Côté finances, la J. A. M. a une gestion saine. Nous arrivons à boucler les exercices sans trop de difficultés.
Je regrette que notre subvention n’ait pas été augmentée depuis plus de 6 ans. Je vais entreprendre un lobbying auprès de la Mairie du XIV ème arrondissement et mettre en avant nos résultats sportifs ainsi que notre savoir faire et savoir être. En espérant que cette demande porte ses fruits dans les meilleurs délais.
Le président d’une association est un véritable chef d’entreprise, responsable de ses salariés, de la gestion et du management et, j’ajouterai, du marketing pour développer et mettre en valeur son club. Heureusement que nos valeurs morales et physiques sont appliquées et mises en avant.
Je finirai cet article par une citation de K. POPPER, philosophe britannique d’origine autrichienne : « Être optimiste est un devoir moral ».
Arnaud BATISSIER
06:00 Publié dans Sport | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : sports dans le 14ème, JAM | Facebook | |
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29 août 2008
La journée des dupes au Théâtre 14

« Depuis l’entrée de Richelieu chez Marie de Médicis, tel Ruy Blas et son célèbre –Bon appétit Messieurs !- jusqu’au coup de théâtre que constitue le soudain ralliement de Louis XIII à ce prélat qu’il déteste, tout est là pour tenir le spectateur en haleine. Ajoutons à l’intrigue fort pittoresque : Richelieu, glacial et implacable, mais aussi angoissé, vulnérable, et finalement très humain ; Marie de Médicis, passionnée, forte en gueule, parfois risible quand elle jure en italien, Anne d’Autriche, épouse de Louis XIII, si seule, si révoltée, rêvant d’un grand amour auprès de Gaston d’Orléans, frère du roi, ce bellâtre qui conspire dans l’ombre ; Louis XIII, si seul lui aussi, timide, malade, mais plus intelligent, plus courageux qu’il ne lelaisse paraître ».
Théâtre 14 – 20 avenue Marc Sangnier – 75014 Paris – métro : Porte de Vanves. Bus 58, 95 et tramway.
- Représentations du 9 septembre au 25 octobre.
- Réservations : 01 45 45 49 77, du lundi au samedi de 14 heures à 18 heures - 27€ ou 19€ adhérents
09:55 Publié dans Théâtre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : théatre 14, 75014, paris 14, theatre 14, Jacques Rampal, Journée des dupes | Facebook | |
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27 août 2008
Forum de rentrée
- Tout connaître de la vie de l’arrondissement, s’informer des écoles et des crèches dans le quartier.
- S’informer au sujet des activités sportives organisées par la Ville, l’Office du Mouvement sportif et les clubs de l’arrondissement.
- Rencontrer les artistes et ceux qui contribuent à la vie culturelle, afin de se renseigner sur les activités proposées dans le 14ème.
- Comprendre la démarche du développement durable engagée par la Ville, découvrir les initiatives locales et apprendre les écogestes à adopter.
- Connaître les activités de loisirs ou de soutien scolaire destinées aux écoliers et aux jeunes.
- Dans le cadre des instances de Démocratie locale, s’engager dans la vie associative et contribuer à la vie citoyenne du 14ème.
- Si vous disposez de temps ou si vous désirez vous investir dans une association, vous pourrez laisser vos coordonnées et préciser les questions qui vous intéressent ainsi que vos heures de disponibilités. Les associations à la recherche de bénévoles recevront votre demande de participation au bénévolat, et vous pourrez également consulter les offres proposées par ces mêmes associations sur : mairie14.paris.fr
- Si vous êtes isolé, dans l’urgence ou dans la précarité, vous pourrez obtenir des informations sur la solidarité insertion.
Enfin vous pourrez rencontrer des représentants des services publics, ceux qui nous facilitent la vie au quotidien.
06:00 Publié dans 3- Vie des quartiers | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : informations citoyennes, mairie du 14e | Facebook | |
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24 août 2008
Antoine Chantin, un jardinier, une rue
Nos rues du 14ème, à travers les plaques bleues situées à chacune de leur entrée, nous annoncent le nom de personnalités parfois célèbres, et parfois totalement inconnues. Ainsi, il en va de Antoine Chantin qu’on nous désigne comme « ancien propriétaire du terrain ». Définition bien vague et imprécise. En fait, il exerçait, comme de nombreux confrères installés sur le territoire du Petit Montrouge la profession d’horticulteur et de pépiniériste. Il faut savoir, que les territoires des communes limitrophes de Paris, situées hors le « Mur des Fermiers Généraux », construit à la fin du 18èmeème lors de leur annexion en janvier 1860. Beaucoup d’entre eux étaient réservés à l’horticulture. siècle, comportaient de vastes terrains qui furent intégrés progressivement à notre 14ème.
Antoine Chantin était né en 1815 à Verzé près de Macon. Il débute son éducation horticole à Saint Clément près de son lieu de naissance. Successivement employé à Paris où il prend un poste d’attaché à l’établissement de Fromont il travaille ensuite à la société d’horticulture hollandaise du boulevard Montparnasse, puis est embauché au jardin de l’Ecole de Médecine de Paris et au jardin royal des Plantes.
En 1841 à 26 ans, il est à la tête des cultures des frères Cels. Passionné par les plantes, il s’oriente vers des essais de multiplications de celles-ci, et plus particulièrement de celles qui requièrent une multiplication difficile. En 1847, il rachète boulevard des Gobelins l’Etablissement Keteleer et en 1857 il s’installe définitivement avenue de Châtillon (rue Antoine Chantin). En 1867, à la suite de l’exposition universelle, il est décoré de la Légion d’Honneur. En 1878, il est membre du jury et fournisseur des plantes fleuries pour les parterres de l’exposition. Il meurt en 1893. La Maison Chantin était spécialisée dans les plantes de serre : Caladiums, Palmiers, Cycadacées, Pandanacées et Fougères.
NDLR : documentation extraite du n° 44 de la Revue d’Histoire du 14ème ardt.
06:00 Publié dans 6- Art, Culture, Patrimoine | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : Horticulture, histoire des rues du 14ème, Paris, Paris 14, Antoine Chantin | Facebook | |
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22 août 2008
Mêmes causes, mêmes effets
Ou, bis repetita placent (on aime bien quand ça se répète)
Regardez cette photo, prise tout près de chez nous, dans la rue Héverlor bien connue. N’est ce pas l’image de la vie moderne, où on fait tout trop vite, sous pression?
Exemple typique : il faut aller vite, on charge un camion plus que raisonnable, à l’arrivée on lève la benne sans prendre le temps d’alléger le chargement. Celui-ci glisse sur l’arrière et le camion lève le nez, et le chauffeur monte à 3 mètres du sol.
Regardez encore ceux-là. Ils ont fait encore plus fort. Heureusement que le chauffeur n'était pas à bord, il aurait fallu aller le chercher à 12 mètres de hauteur!
Eh, se dit-on : voilà encore bien l’effet de la vie moderne. A l’époque du bourricot, sans camion, sans stress, ça ne risquait pas d’arriver ! Evidemment !
Quoique ! Quoique ! A y regarder de plus près, au temps du bourricot, ça n’arrivait pas ? Voire !
Par ces temps de morosité, il faut bien se distraire un peu de temps en temps !
A.C.
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20 août 2008
les rues de nos quartiers: la rue Nansouty


06:00 Publié dans En flanant dans le 14e | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : histoire, Révolution française, 1er Empire, Restauration, Nansouty, napoleon | Facebook | |
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18 août 2008
Le 15 août au Mont Souris
Sans doute, le silence y est pour quelque chose. Car Paris, aujourd’hui, est plongé dans l’atmosphère que l’on perçoit lors de la descente dans une crypte de cathédrale. Vos pas, dont l’écho rebondit de façade en façade, vous rappellent que vous êtes seul, vraiment seul, en remontant les rues Beaunier, Paul Fort ou Lacaze . Lentement, vous arrivez en haut du carrefour, là où la rue de la Tombe Issoire rencontre la place Jules Hénaffe, et où les réservoirs de la Vanne imposent leur masse comme celle d’un château féodal. Au-dessus, le ciel apparaît libre, tout à fait dégagé des immeubles qui, jusqu’ici l’emprisonnaient dans les couloirs étroits et sombres que faisaient les rues déjà précitées.
Ainsi, à partir de ce carrefour, la longue descente de l’avenue Reille, suit la pente que fait le versant de la vallée de la Bièvre. Elle vous emmène aux abords du parc, à l’entrée donnant sur l’avenue du président Coty. Ca y est, vous êtes soudain devant un tableau de Hubert Robert. De hauts arbres déploient leur chevelure, une vaste pelouse repose vos yeux, la campagne semble s’être introduite dans la ville. Et si vous remontez l’allée latérale à la rue Nansouty, vous arriverez à la lisière de la porte d’Arcueil. Ici, un lieu-dit : « les Grandes Bornes », marquait autrefois l’altitude la plus haute de la rive gauche de Paris, soit 80 mètres. L’aqueduc de la Vanne y débouche. De ce lieu, le panorama devait être immense, il y a quelques millénaires, puisqu’il surplombait la vaste cuvette de la Seine, et cela menait le regard vers son centre situé à plus de cinq kilomètres, ainsi que vers les collines de Montmartre et de Ménilmontant. Aujourd’hui la vue est bouchée ! Il faut se contenter d’un peu d’imagination…
Mais revenons à l’entré du parc, côté nord où nous étions arrivés. Si vous dirigez votre regard vers le sud, vous serez accueilli par une statuaire : « La Paix armée », statuaire posée sur une colonne très classique et qui jure une peu en ce lieu dédié à la nature. L’œuvre est de Jules Contan. Mais la vraie paix, vous l’appréciez d’une autre manière, car à cette heure matinale, vous êtes ce promeneur « solitaire », cher à Jean-Jacques !
Maintenant, si vous dirigez vos pas plus avant, il y a quelques années, vous auriez rencontré la copie du palais du bey de Tunis réalisée pour l’Exposition universelle de 1867. Mais ce palais fut rasé après qu’ un incendie ne le détruisît sans espoir de le voir reconstruit. Toujours dans la périphérie de ce lieu, à quelques pas, et dans le prolongement de l’axe fait par l‘Observatoire de Paris, la mire du méridien de Paris, érigée en 1806, sous Napoléon, se dresse, blessée dans sa chair, car les avatars de l’Histoire ont fait que le nom de l’Empereur fut effacé sous la Restauration.
Nos découvertes ne s’arrêtent pas là. Orientez votre promenade vers le lac, situé en contrebas de la ligne du R.E.R. que vous franchirez par un pont, tout près de la station « Cité Universitaire ». Dans l’intervalle vous aurez rencontré une cascade de « poupée » qui vous aura dispensé sa fraîcheurs tout en vous éclaboussant d’un brouillard de gouttelettes. Et sur le lac, vous rencontrerez canards, bernaches, poules d’eau et peut-être un cygne…
Votre visite se terminera peut-être en faisant un salut à « Guignol » où des rires d’enfant se feront entendre. Votre visite aura duré une heure, ou plus. Cette promenade arrive à son terme. Vous vous sentez bien, le ciel est pommelé de petits nuages. Le 15 août à Paris a l’innocence d’un premier jour. Les pigeons du parc vaquent à leurs occupations. Un parfum de bonheur simple s’élève de la tapisserie du gazon – un peu fatigué - .Vous rentrez chez vous, apaisé, détendu. Votre cœur chante un peu plus fort, un peu plus vite, à l’unisson d’une matinée qui fut comme un chant d’oiseau.
R.R
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16 août 2008
Le Square Gaston Baty
Parcs et Jardins de notre XIV° (suite)
Ce square est intéressant par sa position au cœur d’un vieux village de barrières, à l’extérieur du mur des Fermiers Généraux. Sa forme triangulaire est pour le moins curieuse.
L’emplacement de ce jardin apparaît sur le plan de Sagansan, « ingénieur géographe de Napoléon III » en 1861, entre la rue du Maine ( qui débouche au 45 de l’avenue du Maine et les rues Charlot et Jolivet).
En 1864, la rue Charlot reçut le nom du mathématicien Poinsot. Jusqu’à la Grande Guerre, le triangle a très probablement supporté des maisons de faubourg et plutôt des masures. Ce n’est qu’en 1948 qu’un square avec grilles apparaît sur le plan monumental Paris à vol d’oiseau. Il faudra attendre le milieu des années 70 pour qu’un nom soit enfin donné au square, celui prestigieux de Gaston Baty (1885 – 1952), appellation pour une fois en situation puisque cette homme de théâtre dirigea de 1930 à 1942 le théâtre Montparnasse.
Le square a été doté d’une statue en pied du peintre Chaïn Soutine (1894 – 1943), exécutée seulement en 1963 par Arbit Blatas, qui donne une image tragique mais grand artiste, celui-ci étant enterré au cimetière Montparnasse.
Cet endroit de Paris donne à la fois une vision archaïque des anciens faubourgs et peut apparaître à certains comme possédant une atmosphère romantique.
R.R. Documentation extraite du n° 44 de la Revue de la S.H.A. du 14ème.
06:00 Publié dans En flanant dans le 14e | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Quartier Montparnasse | Facebook | |
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14 août 2008
La petite place
La place Flora Tristan possède le charme des placettes de village. Trois énormes platanes égaient de leurs frondaisons les maisons alentour. On se croirait presque en Provence, pour peu que le soleil joue à cache-cache avec l’ombre et la lumière diffusées sur les façades. Oui, en Provence, car la place le soir est animée. La terrasse de « L’imprévu » est pleine de monde. Les gens sirotent leur apéritif, d’autres dînent sur les tables disposées en plein air. On entend la cascade des voix ruisseler sous la lumière des lampadaires. Les convives s’animent et l’on sent dans l’air, cette forme de gaieté qui s’apparente à l’insouciance. Les visages sont détendus et l’on pourrait imaginer que la fête au village puisse commencer si d’aventure, un accordéon ou une guitare se glissait au milieu de cette petite foule, attentive à déguster des instants de bonheur simple et innocent.
A l’écart, sur un banc, un homme jeune regarde la scène. Il semble perdu dans ses pensées. Qu’évoque pour lui cette petite assemblée ? Celle-ci est réunie, comme autrefois les Anciens se retrouvaient en nos campagnes autour de quelques tables de bistrot, afin de discuter des affaires du jour. « Le bon vieux temps » va-t-on dire. Cela est un cliché mais un cliché qui ce soir, a du sens.
Cependant, aujourd’hui en plein Paris, au cœur du 14ème, il s’agit seulement de quelques habitants du quartier qui sans doute, traduisent leur amitié entre générations, par des éclats de rire, des voix un peu fortes accompagnées de gestes plus amples, et ma foi, l’illusion est parfaite : je suis en Provence, au seuil de la nuit. La lune accompagne la scène de son regard un peu jaloux et toujours mélancolique. Je m’éloigne sur la pointe des pieds pour ne pas déranger tous ces gens heureux.
La place Flora Tristan en cette soirée d’été, a fait ma conquête.
R. R.
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12 août 2008
Parcs et jardins de notre XIV°
Notre arrondissement est parsemé d’espaces verts plus ou moins importants. Nous allons essayer de les repérer. Ils offrent au passant des havres de paix, parfois de silence et ils nous font oublier la pollution tenace de nos quartiers.
Le premier à avoir été ouvert est le square Ferdinand Brunot d’une superficie de 3 943 m2. Il fut ouvert en 1862, donc sous le Second Empire. A l’époque le maire du 14ème était Dareau qui exerça ses fonctions de 1860à 1866.
Anciennement appelé square de Montrouge, il est l’un des 24 squares parisiens aménagés au Second Empire par Alphand et que Napoléon III offrit sur sa cassette personnelle. Depuis 1947, il est dédié à Ferdinand Brunot, grammairien, historien de la langue française et maire du 14e de 1910 à 1919. Parmi les arbres et arbustes qui l’agrémentent, signalons un arbre de Judée planté en 1996 en hommage à Y. Rabin, Prix Nobel de la Paix. Il est ornée de trois sculptures : un buste de la République, un groupe « aux mères du XIV° arrondissement », et la « femmes assise » datant respectivement de 1881 –1951- 1969 qui sont autant de témoins de leur époque.
Passons au square de l’abbé Migne d’une superficie de 1518 m2 et qui fut ouvert en 1880. Quatre espaces verts entourent la place Denfert-Rochereau. Ils correspondent à l’emplacement de la barrière d’Enfer du mur des Fermiers généraux. Ce sont les squares de l’abbé Migne, Claude Nicolas Ledoux, Jacques Antoine, Georges Lamarque. Le premier est dédié à l’abbé Migne, théologien, éditeur, imprimeur. Ses ateliers situés près de l’église Saint-Pierre employaient 600 personnes environ et furent anéantis par un incendie en 1868. Du monument initial dédié à Charlet, il ne reste plus que sa stèle dénudée.
Une prochaine étude nous fera découvrir d’autres espaces verts de notre 14ème .
06:00 Publié dans En flanant dans le 14e | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Espaces verts, 75014, Paris 14, abbé Migne, Ferdinand brunot | Facebook | |
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11 août 2008
L'accueil des personnes sans domicile dans le 14ème: le Secours Catholique au 36bis, rue du Père Corentin
Depuis 2005, le Secours Catholique, en lien avec notre paroisse, a créé un accueil de jour pour les personnes sans domicile du quartier. Situé au 36 bis rue du Père Corentin sur le terrain des frères franciscains, il est ouvert le dimanche après-midi et depuis janvier 2008 le lundi matin. Il est régulièrement fréquenté par des personnes sans domicile qui y passent un moment ou l’après-midi pour échanger des nouvelles, jouer à des jeux de société, boire un café ou simplement se reposer.
« Quelle est votre mission? »
« Avant tout l’accueil des personnes sans domicile pour leur offrir un lieu où elles se sentent chez elles, trouvent une écoute et nouent un lien amical aussi bien avec les bénévoles qu’avec les autres accueillis.
C’est aussi une base pour aller plus loin dans une démarche d’accompagnement en fonction de leurs projets personnels.
Les équipes de rue, tournées à deux à la rencontre des personnes sans domicile, sont aussi nécessaires. Elles sont faites dans le même état d’esprit de disponibilité, d’échange, de lien social en allant voir des gens dont beaucoup ne viennent jamais à l’accueil mais sont ainsi informés de son existence.
« Que vous apporte cette activité ? »
« Je crois que c’est différent pour chacun.
Pour ma part, il y a déjà une sensibilisation à la réalité du problème des personnes sans domicile, à leur désocialisation. C’est une plongée dans une réalité qu’on laisse de côté si on ne fait pas cette démarche. Ca favorise une prise de conscience.
On peut dire aussi que cette activité nous ouvre. On est ramené à l’essentiel, confronté à notre pauvreté. Comme l’exprime le titre d’un livre écrit par un couple qui a choisi de vivre dans la rue, c’est une école d’humanité. »
Isabelle Constans
Portes Ouvertes au local du 36bis, rue du Père Corentin: L'accueil de jour des personnes sans domicile vous invite à partager ses activités lundi 4 février de 9h à 12h.
07:00 Publié dans 7- Chrétiens dans le 14e | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : paris 14, festival de la charité, Secours catholique, solidarité, accueil, personnes sans domicile | Facebook | |
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10 août 2008
Les (trop) rares cafés associatifs parisiens veulent être reconnus
Ils sont une dizaine à Paris, dont le Moulin à Café dans le quatorzième, et ils veulent montrer leur rôle social dans la ville, et ainsi trouver des moyens pour survivre. Ils sont des lieux de rencontre dans leur quartier, où ils assurent de nombreuses animations, à prix modérés. Leur rentabilité, qui n’est pas leur but premier, est donc difficile à trouver, et de plus leur situation est souvent précaire.
Tel le Barbizon dans le 13ème, déjà expulsé du cinéma le Barbizon et squattant au 175ter, rue de Tolbiac, dont il va également être expulsé.
L'union fait la force
Cinq d’entre eux, à l’initiative du Barbizon, ont décidé de se fédérer pour accroître leur représentativité « Nous nous unissons pour être plus forts, explique Michel Scrive, membre du Barbizon, initiateur de ce regroupement, Nous créons du lien social, nous animons nos quartiers. Nous voulons donc que ce travail soit reconnu et nous demandons l'aide des pouvoirs publics. ». Par exemple, pour payer leurs loyers.
Au Barbizon, soirées de projection de documentaires, de vidéos d'art ou de films expérimentaux « Nous voulons permettre au plus grand nombre de visionner des oeuvres qui connaissent des problèmes de diffusion », explique Thierry Wurtz, le président de l'association. Souvent, le réalisateur est là pour participer à un débat avec les spectateurs. (175 ter, rue de Tolbiac, 75013 Paris, Metro Tolbiac. + d’infos sur www.lebarbizon.org. LE CAFÉZOÏDE (XIXème) s'occupe des moins de 16 ans. Le Petit Ney (XVIIIème) est un paradis de l'échange de livres, des ateliers d'écriture et des soirées de lecture de contes. Le Moulin à café (XIVème) est ouvert aux anciens, aux jeunes, aux célibataires comme aux mères isolées. La Commune libre d'Aligre a trouvé son point d'ancrage ; l'association, très active dans le XIIème, a ouvert son café associatif dans un local de 75 m2
Dans le XIVàme
Place de la Garenne, Le Moulin à Café accueille toutes les générations
Et chacun peut y amener ses idées. Du coup, les ateliers cuisine, théâtre, écriture ou couture s'enchaînent au grè de l’imagination et des talents des clients. Les peintres et photographes y exposent. Tout le monde peut mettre la main à la pâte... Le Moulin à Café, 9, place de la Garenne, XIVème, Metro Pernety. Tél. 01.40.44.87.55. plus d’info sur le site internet http://moulin.cafe.free.fr/
A.C.
06:00 Publié dans 3- Vie des quartiers | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : café associatif, paris, Moulin à café, Barbizon, Cafezoide, Petit Ney | Facebook | |
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09 août 2008
La main verte
La batavia ne sera plus seule. Elle aura pour aimable compagnon le persil, troubadour de son état., tandis que le thym, marchera de concert avec dame ciboulette. Passionné, l’oignon rencontrera l’impératrice laitue, habillée de simplicité et de naturelle humeur.
Où sommes-nous ? Au jardin partagé par d’honnêtes citoyens , et cela se passe rue de Coulmiers, au bord de la tranchée du chemin de fer. Tous les apprentis jardiniers ont joué le jeu
et le jeu a réussi à nous offrir la première version d’une oasis de verdure qui ne demande qu’à prendre de plus en plus racine et à s’étoffer.
Un pommier a même été planté ! Voilà que le jardin d’Eden est ressuscité… Adam et Eve jardiniers , qui l’eût cru ?
Cela mérite un coup de chapeau aux gentils initiateurs de ce projet, car le terrain était loin, à l’origine, de ressembler aux parterres du château de Villandry ! Espérons que les prochaines moissons seront une réussite, et qu’elles ne rendront pas jalouses la déesse Cérès et sa compagne Flore, toutes deux conviées aux agapes qui ne manqueront pas de réunir les joyeux laboureurs du quartier.
R.R
C’est l’association Vert.Tige qui s’occupe de ce jardin – http://vert.tige.asso.free.fr
05:00 Publié dans 3- Vie des quartiers | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jardin partagé, quartier, rue de Coulmiers | Facebook | |
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08 août 2008
Charles Lapicque, ou la peinture dans tous ses états
Courez vite au Musée de la Poste, pour découvrir ou redécouvrir, dans une rétrospective de 85 peintures et de 60 dessins, les œuvres d’un peintre des plus originaux du XXe siècle.
Lapicque a été un coloriste pas excellence. Il utilise, à cet effet, les seules couleurs primaires pour faire éclater l’essence même de la lumière, et provoquer ainsi la puissance d’un incendie, celui-ci aparaîssant comme étant inextinguible. Nous assistons là, à l’irruption irréversible d’un feu d’artifice, surprenant par son intensité soudaine et ravageuse, mais toujours magistralement dominé, ordonné, contenu dans une recomposition savante et magistrale de l’espace.
On assiste, à la vue de ces œuvres , à une explosion sans fin de mille soleils, qui inonderaient de leur éclat, le thème renouvelé des paysages, de la mer, des voyages, des corps et des visages, de certains monuments vénitiens, en propulsant la lumière dans une incandescence, la diffusant au-delà des limites d’une vision normale.
L’espace intérieur du peintre s’offre alors à nous, dans une vision quasi charnelle, d’où s’échappe la forte chaleur d’une embrasement général. Les limites du tableau explosent, comme soudain éclate un volcan dont la poussée des laves aurait été trop longtemps contenue. Votre regard alors, brûle au contact de cette peinture « incendiaire », pour peu que vous vous laissiez aller à la recevoir, dans une contemplation, une sorte d’extase quasi mystique, que provoque l’irruption sur votre œil, d’un torrent de couleurs pures.
Cette rétrospective est un vrai bonheur, à ne pas manquer.
R.Rillot
Musée de la Poste : 34 bd. de Vaugirard – 75 015 - www.museedelaposte.fr
Jusqu'au 13 septembre, du lundi au samedi, de 10h à 18h, sauf dimanche et jours fériés.
09:00 Publié dans 6- Art, Culture, Patrimoine | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Musée de la Poste, Charles Lapicque, paris 14 | Facebook | |
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04 août 2008
Cinéma au clair de lune
D’abord un rectificatif : le film « Talons aiguilles » d’Almodovar prévu le 8août n’est pas à l’affiche mais Cinéma au clair de lune au Parc Montsouris
voici le programme des 2 séances en accès gratuit de « cinéma au clair de lune » qui auront lieu au Parc Montsouris cet été.
Vendredi 8 août, 21h30: projection du film « Agnès Browne» d’Anjelica Huston au Parc Montsouris. Accès rue Nansouty, avenue Reille, ou boulevard Jourdan. RER et T3 Cité Universitaire. Entrée libre.
Vendredi 22 août, 21h30: projection du film « Max et Bobo » de Frédéric Fonteyne au Parc Montsouris. Accès rue Nansouty, avenue Reille, ou boulevard Jourdan. RER et T3 Cité Universitaire. Entrée libre.
10:05 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cinéma en plein air, parc Montsouris | Facebook | |
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02 août 2008
Un clocher sous haute surveillance...
Vous titubez… votre regard se trouble… malaise… vertige… hallucination ? Une étrange apparition vous éblouit, et vue de la Porte d’Orléans, la métamorphose de l’église Saint-Pierre-de-Montrouge vous apparaît, comme étant un objet étrange venu d’ailleurs.
Que se passe-t-il donc ? Vue d’ici, à plus de 500 mètre de la porte, emmaillotée, ficelée, serrée en de disgracieuses toiles grises, la silhouette de l’église s’apparente plus à celle d’une fusée posée sur son aire de départ au Cap Canaveral et prête pour un décollage imminent, qu’au traditionnel clocher d’une église construite au XIXe siècle, à l’un des carrefours les plus encombrés de la capitale.
Les projets de tours que nous concocte la municipalité parisienne, ne seraient-ils pas déjà en train de se réaliser dans le quartier du Petit-Montrouge, et cela sous le manteau ? Les Mystères de Paris seraient-ils toujours vivants ? Serait-ce là le ver dans le fruit ? Méfions-nous des camouflages…
En fait de camouflage, le mirage qui nous concerne n’est qu’une apparence. Il s’agit bien là de la réhabilitation du clocher et de son porche qui en ont bien besoin. Des panneaux explicatifs et les équipes d’ouvriers qui s’affairent autour du grand malade sont là pour le prouver. En fait, nous sommes les témoins d’un « lifting » devenu nécessaire après que la pollution et les années passées eussent dégradé les pierres et que la foudre tombée sur le sommet en juin 2006, n’ait eu raison de la croix qui s’y trouvait.
Deux années de travaux sont annoncées pour le rajeunissement de Saint-Pierre. Alors, une peau toute nouvelle lui aura donné un visage sans ride, sans vergiture, sans verrue, et les cloches elles-mêmes, en cours de réhabilitation sous le ciel de Normandie, pourront à nouveau après leur retour, délivrer leurs notes cristallines afin que nos oreilles et nos âmes puissent se sentir émues par l’Angélus du soir.
R.R
06:00 Publié dans En flanant dans le 14e | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : en flanant, promenade, regards sur le 14e | Facebook | |
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31 juillet 2008
La Voix-ci... La Voix-là... du 3 au 25 aout
Dimanche 3 août, de 15h à 21h : Bal rock.
Salle des fêtes de la mairie annexe, 12 rue Durouchoux. M° Mouton Duvernet. Gratuit.
Vendredi 8 août, 21h30 : Cinéma au clair de lune : projection du film « Talons aiguilles » de Pedro Almodovar au Parc Montsouris.
Accès rue Nansouty, avenue Reille, ou Boulevard Jourdan. RER et T3 Cité Universitaire. Entrée libre.
Dimanche 24 août, de 15h à 21h : Bal rock.
Salle des fêtes de la mairie annexe, 12 rue Durouchoux. M° Mouton Duvernet. Gratuit.
Lundi 25 août, 11h : Commémoration de la libération de Paris.
Parvis de la mairie. 2 place Ferdinand Brunot. M° Mouton Duvernet ou Denfert Rochereau.
09:05 Publié dans 3- Vie des quartiers | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : informations générales, animations | Facebook | |
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28 juillet 2008
Deux rues de nos quartiers
La période des vacances est propice à découvrir quelques aspects de nos rues. Ainsi, nous emprunterons aujourd’hui un itinéraire qui nous conduira dans les parages de la rue Daguerre, vers son extrême limite située en haut de l’avenue du Maine. Voici la rue Cels . Cette rue fait déjà partie du quartier Montparnasse. Orientée nord-ouest – sud-est, elle est longue de 158 m et est large de 10m et a été ouverte en 1850 sur les terrains de Jacques-Martin Cels, dont elle prit le nom, honorant ainsi une grande famille d’horticulteurs. Jacques Marin Cels est né à Versailles en 1743. Il obtiendra l’emploi de receveur d’octroi à la barrière Saint-Jacques ; sa charge lui laissant des loisirs, il les occupera à cultiver des fleurs, puis créera une pépinière d’arbres d’origine étrangère. Il deviendra inspecteur général des pépinières, poste qu’il occupera jusqu’à sa mort en 1832, atteint par le choléra… Ses fils continueront son œuvre et se spécialiseront dans les plantes exotiques et orientales.
Cette rue modeste par sa longueur apparaît intéressante par la présence d’un hôtel : l’hôtel Mistral, au 24 de cette même rue . Cet immeuble, qui fait l’angle avec la rue Auguste-Mie, abrita pendant la dernière guerre, et à plusieurs reprises, deux hôtes importants : Simone de Beauvoir et Jean-Paul Sartre. Une plaque commémorative sur la façade de l’immeuble indique leur passage à cet endroit.
Continuons notre promenade par la rue Fermat toute proche de la précédente. Cette rue longue de 108m. s’appelait autrefois « Rue neuve de la Pépinière » ( Cels). Elle fut ouverte en 1864, et relie actuellement la rue Daguerre à la rue Froidevaux. Elle prit le nom de Fermat ( probablement à cause de la proximité de l’Observatoire). Pierre Fermat était mathématicien, il était né à Beaumont-de-Lomagne (Gascogne) en 1601 et est décédé à Castres en 1665. Il est le précurseur dans divers domaines : calcul différentiel – géométrie analytique et par correspondance avec son ami Pascal sur le calcul des probabilités. Il est l’auteur du fameux théorème concernant la théorie des nombres et d’un principe général de l’optique géométrique. Il a été conseiller au Parlement de Toulouse et eut la première idée du calcul infinitésimal… Tout un programme !
Cette rue garde encore un certain nombre de maison de faubourg centenaires et d’ateliers d’artistes et d’artisans. Le passage Fermat qui débouchait autrefois après le n° 2 a totalement disparu. Le début de ce passage existe encore rue Froidevaux mais est fermé par une grille.
En attendant de nouvelles découvertes et promenades, bonnes vacances à tous !
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R.R. Documentation extraite du numéro 47 de la Revue des la S.H.A. du 14e ardt.
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11:05 Publié dans En flanant dans le 14e | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : quartiers du 14e, rues, patrimoine | Facebook | |
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23 juillet 2008
Mon quartier, l'été
On dit : « Prendre ses quartiers », mais les quartiers de Paris sont-ils à prendre ? Le mien, le vôtre, sans doute plus que les autres, est une vieille connaissance, puisque depuis mon enfance, j’y traîne mes guêtres.
Mon quartier, je me le suis approprié en cultivant la patiente flânerie du promeneur. Une présence ressuscite, un parfum s’exhale, comme à travers de vieilles photos oubliées.
Le 14 juillet est passé. Ses fusées, se sont éteintes, ou se sont échouées sur les balcons peuplés de quelques curieux. La deuxième quinzaine du mois laisse déjà filtrer les effluves presque fanés d’un été qui ose à peine ouvrir ses fenêtres sur le large : le plein soleil des plages, le ciel de l’océan voué au bleu outremer, le bleu consacré à la nonchalance des cocotiers, coiffés avec le peigne invisible des alizés !
Certes, le Petit-Montrouge n’est pas Copacabana, et la place de l’église (Victor Basch pour les modernes) a perdu à tout jamais de son charme désuet, celui d’une place d’un ancien village. Elle le fut cependant, il y a bien longtemps… Alors, lorsque l’imaginaire va bon train, les images renaissent de leurs cendres.
Tenez, après la Libération, et les années 45-47, on dansait sur la place. Il y avait même un kiosque à musique. Mais cela n’a pas duré longtemps…
Vite, on est passé à des choses plus sérieuses. « Circulez, il n’y a plus rien à voir ». Les chars à pétrole avaient remplacé les charrettes à traction animale, et le kiosque et la musique sont partis en fumée. La place est devenue un carrefour où s’affrontent les destriers motorisés, pressés d’atteindre l’autoroute du soleil à la porte d’Orléans!
Mais aujourd’hui, où le pétrole se fait rare et cher, peut-être verra-t-on un retour en arrière se faire jour ? Sait-on jamais…
Cependant le charme de mon quartier n’a pas complètement disparu. Qui sait fouiner avec la rigueur d’un orfèvre, découvrira à son insu de petits trésors, qui pour l’œil attentif apparaîtront comme de secrètes merveilles.
Tenez ! Passage Annibal, vous pourrez glisser vos doigts sur la margelle d’un vieux puits, à demi masqué par le mur d’une maison. Le silence et l’étroitesse du passage Joanès vous feront dériver le long des rives escarpées d’un Verdon miniature… Quant à la porte de Vanves, vous y rencontrerez l’ombre tranquille du douanier Rousseau, glisser entre les rails du tramway. Le gabelou naïf vous proposera un voyage extraordinaire au sein de la jungle urbaine, peuplée de lions pacifiques et de végétaux fantastiques. Et encore, pourquoi prendre l’avion pour visiter la Grèce, alors que la rue des Thermopyles vous offre l’opportunité d’y séjourner à moindres frais ?
Non, le Petit-Montrouge n’est pas le désert que de mauvaises langues tentent de faire croire. Et si la chaleur vous incommode, allongez le pas en direction de la Maison du fontainier, jouxtant rue Cassini, les lunettes astronomiques de l’Observatoire. Là, une atmosphère rafraîchissante, laissée sur les voûtes séculaires, vous rappellera qu’ici, l’aqueduc Médicis avait son terminus et qu’il était le digne héritier du gallo-romain. Un voyage dans le temps, lorsque Paris était encore à la campagne.
Alors, en attendant septembre et la douloureuse rentrée, récoltez le bon air en faisant une belle promenade par les rues et les avenues, par les bois et les bosquets, allais-je dire, mais le Parc Montsouris n’en est-il pas le modèle réduit ? Soyez ce promeneur éveillé, attentif. Prenez au Petit Montrouge vos quartiers d’été pour en déguster l’insolite, et cela sans modération.
R.Rillot
06:00 Publié dans Humeur | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Le Petit-Montrouge | Facebook | |
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22 juillet 2008
SALVADOR DALI, DANS LE 14e ARRONDISSEMENT DE PARIS
En Juillet 1934, les Dali s’installent au 101 bis, rue de la Tombe-Issoire, Paris 14e, dans une maison à l’angle de la villa Seurat. (N° de téléphone : GOBelins 80 58). Ils y resteront jusqu’en janvier 1938.
14:00 Publié dans 6- Art, Culture, Patrimoine | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : Salvador Dali, Gala, Paul Eluard, paris 14, 75014, Tombe-Issoire | Facebook | |
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21 juillet 2008
Les Petits Princes
10:52 Publié dans 5- Associations | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Vie associative | Facebook | |
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20 juillet 2008
SALVADOR DALI, DANS LE 14e ARRONDISSEMENT DE PARIS
Il y revient de la mi-avril au mois de juin 1929 pour le tournage du film Un chien andalou. Il habite chez Paul et Gala Eluard, 7 rue Becquerel, derrière la Butte Montmartre. Eluard avait connu Gala en 1913 au sanatorium de Clavadel, en Suisse. Il avait 17 ans et se nommait Eugène Emile Grindel. Elle l’épousa en février 1917. Leur fille Cécile naît la même année.
Une lettre de Paul Eluard à Gala, datée du 15 mai 1931, dont l’enveloppe porte l’adresse du 7, rue Becquerel concerne les impôts Grindel Eugène (Eluard). Elle indique que Dali vivait encore chez les Eluard à Montmartre.
Les Dali et Gala s’installent au n° 7 rue Gauguet, dans le 14e arrondissement de Paris, près du réservoir de Montsouris au mois de juillet 1932
07:00 Publié dans 6- Art, Culture, Patrimoine | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Salvador Dali, Gala, Paul Eluard, paris 14, 75014, Tombe-Issoire | Facebook | |
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19 juillet 2008
Figure de quartier: Richard Paschal, artiste
Rencontrer Richard Paschal, c’est s’exposer à une cascade de feux d’artifice. En effet, une fois que vous avez parlé avec lui de la sensibilité des trois aquarelles ( dont une qui représente le tunnel de Montrouge de la Petite Ceinture) qu’il expose à la Galerie du 55 rue du Montparnasse , près de la place Edgar Quinet, vous vous retrouvez trois heures plus tard en train de l’écouter vous raconter ses promenades à travers le quartier autant que ses périples à travers le monde ou auprès de grands artistes comme Marc Chagall ou Salvador Dali.
Au dessus, Gauguin, Brancusi, Nogushi, Modigliani, Marie Laurencin, Pascin, Calder, Bunuel, Dali.
Et tout en haut, la main de Bartholdi et, allongé pour prendre la photo, Man Ray.
06:00 Publié dans Figure de quartier | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Richard Paschal, peinture, Paris 14, Chagall, Dali | Facebook | |
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18 juillet 2008
Musée du Montparnasse, deux artistes géorgiennes
PARIS-MONTPARNASSE-TBILISSI
Hélène Akhvlédian et Véra Pagava
Leurs années parisiennes
exposition présentée du 27 juin au 12 octobre 2008
dans le cadre de la Saison de la Géorgie à l’étranger, en partenariat avec l’Ambassade de Géorgie en France
Le Musée du Montparnasse présentera pour la 1ère fois les œuvres (peintures et dessins) de deux artistes Géorgiennes qui sont venues à Paris, foyer de la création artistique européenne dans les années 20.
Elles seront entourées d’oeuvres d’autres artistes géorgiens immigrés appelés le “Groupe Parisien”.
07:00 Publié dans 6- Art, Culture, Patrimoine | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : l'art dans le 14e | Facebook | |
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17 juillet 2008
juillet à l'Entrepôt
jeu. 17 | Musique Jeudi Jazz | Dixie memory Jazz Band 21h30 |
Dixie Memory est un groupe de 8 musiciens. C'est un orchestre de Jazz traditionnel , dont le répertoire est choisi dans la grande tradition des formations de style New Orleans des années 1900 à 1930 (L.Armstrong, S.Bechet, Fat's Waller, Kid Ory...). | ||
ven. 18 | Musique Musique du monde | Les frères Guissé 21h30 |
Les Frères Guissé tirent la force, la richesse et la beauté de leur musique d'un ancrage aux confluents de plusieurs traditions culturelles du Sénégal et plus généralement de l'ouest africain. | ||
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sam. 19 | Musique Musique du monde | Les frères Guissé 21h30 |
Les Frères Guissé tirent la force, la richesse et la beauté de leur musique d'un ancrage aux confluents de plusieurs traditions culturelles du Sénégal et plus généralement de l'ouest africain. | ||
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dim. 20 | Littérature | CABARET D'IMPRO par Les Carafes 19h30 |
Pour le public, la tâche est simple : boire un verre entre amis, glisser un thème dans une grande Carafe , et contracter ses abdominaux de manière saccadée tout en poussant de petits éclats de voix. Du côté des comédiens, c’est plus compliqué : extraire to | ||
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lun. 21 | Musique Les lundis découvertes | Scène ouverte 21h30 |
Entrée libre à la scène le temps de 2 morceaux… Vincent, improvisateur et slammeur, les accueille et vous les présente. | ||
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mer. 23 | Musique Chanson française | Peïo 20h30 |
Dans un univers folk rock métissé Peio propose un voyage à travers des chansons poétiques et engagés sur le monde qui nous entoure. leur destin plante le décor de ces ar | ||
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jeu. 24 | Musique Jazz | Nico Morelli Trio 21h30 |
Nico Morelli s’impose aujourd’hui comme l’un des meilleurs jazzmen italiens. pour la virtuosité et la sensibilité de son jeu, il est aussi de plus en plus sollicité | ||
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ven. 25 | Musique Musique du Monde | Lando 21h30 |
Natif de l’Angola, Lando arrive assez jeune en France. Fils de la musique angolaise , il sillonne les routes d’Europe avec son trio aux couleurs musicales métissées : rythmes traditionnels africains flirtant avec la culture latine, autant de mélanges ép | ||
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sam. 26 | Musique Musique du Monde | Lando 21h30 |
Natif de l’Angola, Lando arrive assez jeune en France. Fils de la musique angolaise , il sillonne les routes d’Europe avec son trio aux couleurs musicales métissées : rythmes traditionnels africains flirtant avec la culture latine, autant de mélanges ép | ||
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jeu. 31 | Musique Jazz | Jean Chartron 21h30 |
C’est à l’âge de 10 ans que Jean Chartron attaque la guitare. Sans professeur, sans méthode, sans copain pour lui montrer, il réinvente l’instrument à sa façon et, gaucher joue avec une guitare de droitier avec les cordes (pour lui) en sens inverse. | ||
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15:40 Publié dans Loisirs | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : musique, littérature, à l'Entrepot | Facebook | |
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