29 avril 2007
Film : L’ami de la famille, de Paolo Sorrentino
La Voix l’a vu en avant-première pour vous dans le cadre de Avantpremieres.org, créé par l’ami Pierre Vallet. Il sortira le 2 Mai dans les salles. C’est le dernier film de Paolo Sorrentino, qui concourra pour la Palme d’or à Cannes, comme l’avait fait son précédent film « Les conséquences de l’amour » en 2004, mais qui était rentré bredouille.
Le héros, bien qu’il soit bien difficile de le qualifier ainsi, est un vieil usurier, affreux, laid, d’une avarice sordide. Il a un rapport morbide avec l’argent et avec les femmes. Ses clients, dans une situation infernale, viennent lui faire une cour éhontée et se font plumer. Par flagornerie, ils l’appellent l’ami de la famille, celui qu’on vient voir quand on est pris à la gorge. Il vit seul avec sa mère grabataire tout aussi noire.
Il a compris, comme le lui avait d’ailleurs dit son père qu’il n’était fait que pour les petits coups, qui l’ont d’ailleurs monstrueusement enrichi.
Malheureusement pour lui, son attraction maladive pour les femmes va le faire tomber dans un piège gros comme une maison, et croyant faire le gros coup, il va se ruiner, malgré les appels à la prudence de sa mère.
Vous l’avez compris, on nage dans le sordide. Paolo Sorrentino fait dans le pessimisme glauque et noir. D’ailleurs, présent lors de cette avant première, à la question : « Tout le monde, n’est pas aussi horrible. Quelle est la part de fiction ? », il a répondu : « Rien, tout peut être réel. »
Sortie le 2 Mai
Avec Giacomo Rizzo, Fabrizio Bentivoglio, Laura Chiatti
A.C.
22:40 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Ami de la famille, Paolo Sorrentine, Paris 14e, Laura Chiatti | Facebook | | Imprimer |
Asthmatiques, bougez, c'est possible...
Forum d'information et de mesure du souffle
mercredi 2 mai 2007, de 10h00 à 15h00
ouvert à tous
Hall d'accueil - groupe hospitalier Paris Saint-Joseph
185 rue Raymond Losserand Paris 14ème - métro Plaisance - bus 62
Groupe hospitalier ParisSaint-Joseph
ESPACE POUR L'ASTHME :Dr Marcela Sanmiguel
Renseignements et RV : 01 44 12 71 77
Du lundi au vendredi de 9h à17h
Service de pneumologie, allergologie- Chef de service : Dr Sergio Salmeron Secrétariat :01 44 12 3717
06:00 Publié dans 5- Associations | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : Hopital Saint Joseph, paris 14e, asthme, pneumologie | Facebook | | Imprimer |
28 avril 2007
VELIB: ça avance!
Dans une note précédente (voir la note), nous vous avons parlé du système de locations de vélos de la Mairie : VELIB.
Quand il sera complet, il comptera 1450 stations, soit en moyenne 75 par arrondissement (plus pour les arrondissements peuplés comme le 14ème) et 20.600 vélos au total, soit en moyenne, un millier par arrondissement. L’expérience de Lyon a montré qu’on les trouvait plutôt en bas des côtes qu’en haut !
Les stations seront situées à proximité des stations de métro, des arrêts de bus et des grands équipements publics ; en moyenne une station tous les 300 à 400 mètres. L’utilisateur pourra emprunter un vélo dans une station et le reposer dans une autre.
Dans un 1er temps, le 14e comptera 80 stations (37 à la mi-juillet, 43 supplémentaires mi-août). Les premières seront installées entre le 2 mai et le 8 juin boulevard Edgard Quinet, rue Liard (parc Montsouris), avenue de la Porte de Montrouge, rue Didot et rue de l’Ouest. Tous les quartiers seront équipés d’ici la mi-août. (Voir la carte des stations « prioritaires »)
« Vélib’ n’entend pas concurrencer les loueurs de vélos, mais proposer un nouveau moyen de déplacement pour aller au travail, faire ses courses, ou sortir. » affirme la Mairie. Souhaitons que ce soit vrai, les loueurs étant pour la plupart dans des situations difficiles.
A.C.
08:00 Publié dans 3- Vie des quartiers | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : paris 14e, VELIB, location velos, Paris, 75014 | Facebook | | Imprimer |
26 avril 2007
"Que la porte s'ouvre"
Un drame, celui d’une femme qui vit un dur chemin de conversion. Elle n’avait qu’un fils. Elle avait beaucoup misé sur lui. Or voici qu’il lui échappe pour vivre sa propre vie. Elle ne peut accepter la nouvelle orientation qu’il a choisie, celle de devenir prêtre.
Sa première réaction est de partir en guerre contre le prêtre qui, pense-t-elle, a su séduire son fils. Pas de doute, il a été trompé, il ne peut en être autrement. Elle se lance dans une lutte acharnée contre les prêtres, contre l’Eglise.
On apprendra par la suite qu'elle se considérait comme une "bonne chrétienne". Pourtant elle semble réagir comme une personne pour qui Dieu n’existe pas. Tout ce qu’elle a appris sur l’Eglise sonne faux pour elle désormais. Elle ne voit plus que les petits côtés de cette institution qui lui prend son fils. Elle s'emploie activement à essayer de la détruire. Elle laisse sortir d'elle-même tout ce qu'elle a emmagasiné, sans doute inconsciemment, de préjugés. A travers ses propos l’auteur nous fait entendre le discours habituel des ennemis de l’Eglise, ceux qui n’en voient que les aspects négatifs. Pas un instant, semble-t-il, cette mère ne soupçonne qu'il puisse y avoir un autre acteur dans ce drame.
La réaction de cette femme montre l’idée qu’on se fait maintenant de la vocation de prêtre dans l’opinion publique. Quand on se souvient de la considération que l’on avait dans le monde chrétien pour cet état de vie il y a encore 50 ans on mesure l’évolution des mentalités.
En s’abandonnant ainsi au sentiment de haine l’héroïne s’est soulagée un moment sans doute. Bientôt, pourtant, elle perd sa belle assurance. En voulant détruire les autres elle s’est en partie détruite elle-même. Ce sera le début d’un chemin de conversion.
Voici qu’on la retrouve dans un monastère. Elle n’est pas venue dans ce lieu pour prier. Non, simplement pour essayer d’y trouver le calme. Elle y fait une rencontre qui lui fait découvrir qu’on peut être heureux tout en étant prêtre. Après un dur combat elle finit par accepter la voie que son fils a choisie. Elle pressent tout à coup des réalités mystérieuses qui, jusqu’ici, lui avaient échappé. En se réconciliant avec Dieu elle connaît des joies qu’elle ne soupçonnait pas.
Ce spectacle peut amener des parents à se poser des questions par rapport à leurs enfants. « Est-ce que je m’efface suffisamment pour les laisser exister à leur manière ? Pourquoi me suis-je investi à ce point dans ces enfants? Ne seraient-ils qu'une part de moi-même? Ont-il le droit d'avoir leur propre vie? »
fr Bernard Méha
08:00 Publié dans Théâtre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : prêtres, Eglise, vocation, conversion, éducation, parents | Facebook | | Imprimer |
24 avril 2007
Spectacle à ne pas manquer
Samedi 28 avril 2007 à 20h30, spectacle d’Elsa Draïb au 16 rue du Moulin Vert, 75014 Paris
C'est l’histoire d’une mère de famille apprenant l’entrée au séminaire de son fils. Des dialogues extrêmement incisifs et émouvants. « Que la porte s’ouvre »
A voir pour tous publics. Ados, parents et grands parents (participation aux frais).
Pièce de : Elsa Draib
Montée par : Elisabeth Biard
Avec : Guillaume Beaujolais, Elisabeth Biard, Paul De Launoy
Débat à la fin avec les acteurs.
La venue de cette pièce de théâtre à la maison Alésia Jeunes est en lien avec le week-end du « Bon Pasteur » qui est traditionnellement le week-end de réflexion et de prière pour les vocations sacerdotales et religieuses.
Information reprise sur le blog de St-Pierre-de-Montrouge
Voir: La Feuille paroissiale de St-Pierre de M. du 22 avril 2007 (§ le Week-end prochain)
08:00 Publié dans Théâtre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : prêtres, vocation, Alesia Jeunes, Paris 14eme, 75014 | Facebook | | Imprimer |
23 avril 2007
Bus ligne 28: y a du progrès
Progrès modeste, on n'est pas passé d'une extrème à l'autre. On a toujours l'impression que la RATP ne croit pas à cette ligne, pourtant si utile et malheureusement très chargée.
Enfin, ne boudons pas notre satisfaction.
Depuis bientôt deux mois, l'amélioration du service attendue depuis si longtemps, a été mise en place, décidée et financée par le STIF, organisme d'organisation des transports en Ile de France. Il s'agit principalement, de la circulation des bus 28 tous les jours de l'année, donc dimanches et fêtes, ainsi que l'extension du service jusqu'à 22 heures 30, tous les jours également, et ce, sur l'ensemble de la ligne. Quant à la fréquence elle est dans la journée de 5 à 7 minutes en semaine et de 7 à 12 minutes le samedi. En soirée et le dimanche, il vous faudra attendre de 15 à 20 minutes. Début du service, 6h00 en semaine, 6h30 le samedi et 7h00 le dimanche et les jours de fête.
C'est tout de même une amélioration, pour une ligne souvent chargée, qui permet de relier la Porte d'Orléans et Alésia au 15ème, aux Champs Elysées (Petit et Grand Palais), Haussmann et Saint Augustin.
19:25 Publié dans 3- Vie des quartiers | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : RATP, Paris, bus, ligne 28, Paris 14, Paris 15 | Facebook | | Imprimer |
20 avril 2007
Nos fontaines Wallace
Parmi les éléments du mobilier urbain qui ont survécu aux dernières décennies, quelques fontaines "Wallace" nous offrent un témoignage un peu anachronique, mais qui entretient dans le décor de nos rues, un sujet de curiosité bien mérité.
A l'origine, il y eut un philanthrope anglais : sir Richard Wallace (1818-1890) né à Londres et mort à Paris. Ce gentleman avait passé la grande majorité de sa vie en notre capitale. Né très fortuné de par son père et son grand-père, il fut un amateur d'art éclairé qui a rassemblé une inestimable collection de tableaux, statues, armes, meubles et objets d'art. Cette collection est aujourd'hui visible à Londres (Hertford House) et l'abondance des œuvres d'art françaises y est remarquable.
Vers la fin du Second Empire, il avait fait la proposition de doter la capitale de "cinquante fontaines à boire sur les points les plus utiles de la capitale pour permettre aux passants de se désaltérer".
Eugène Belgrand ( 1810 – 1878), directeur des services des Eaux et des Egouts, fut chargé de la mise à exécution de cette offre. En 1873 commença la pose des fontaines dont le nombre fut porté à quatre-vingts. Chaque modèle pèse 700 kg. A l'origine, un gobelet était lié à la fontaine, mais fut supprimé en 1952 pour raison d'hygiène.
Un autre modèle à robinet, actionné par un bouton-poussoir se trouve dans les jardins publics, parcs et squares. Il s'agit là aussi d'une "Wallace".Plus de 130 années après leur création, nos "Wallaces" fonctionnent toujours. La "Parisienne des Eaux" en assure le service et la maintenance. Coulant nuit et jour, chaque fontaine débite 4000 litres d'eau par jour, parfaitement potable, puisque alimentées par le réseau public d'alimentation. Précisons que l'eau distribuée aux Parisiens provient de sources captées dans un rayon de 80 à 150 km. Quatre aqueducs totalisant 600 km acheminent l'essentiel de la consommation complétée par les usines de traitement puisant le précieux liquide dans la Marne et la Seine, en amont de Paris.
Notre 14ème peut s'enorgueillir de posséder sept fontaines dont la dernière mise en service il y a deux ans, est située au carrefour Alésia-Sarrette-Tombe Issoire.
Ainsi, sir Richard Wallace, par son amour de Paris, nous invite toujours à venir partager le "pot de l'amitié" avec lui, et ce pour longtemps encore sans doute. R.R.
NDLR – Documentation extraite du N° 40 de la SHA du 14e.
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19 avril 2007
Immobilier ancien à Paris: plus de 7% de hausse annuelle
Le prix de l'immobilier ancien continue de monter, à Paris comme ailleurs. Cependant le rythme de progression ralentit. La Fnaim (fédération d'agences immobilières), vient de publier ses résuktats pour le premier trimestre 2007. Dans toutes les régions de France, la croissance des prix s'est inscrite sous la barre des 10%.
"Nous sommes arrivés dans un marché équilibré", a expliqué René Pallincourt, président de la Fnaim (et à partir de combien le marché est déséquilibré?). En moyenne, l'immobilier ancien a ainsi vu ses prix progresser de 6,5% au premier trimestre, après une croissance de 10,4% en 2005 et de 7,1% en 2006. Le prix des loyers a quant à lui progressé de 3,2% sur le premier trimestre. Ces pourcentages sont ceux de la croissance annuelle calculée sur la base du 1er trimestre 2007. La hausse des prix est bien sûre inégale en fonction des zones géographiques. Dans le Sud-Ouest, la hausse des prix n'était que de 1,1% pour les maisons et de 1% pour les appartements tandis que, dans le Nord, la hausse des prix est de 8,5% (plus forte hausse). En Ile-de-France, la progression est de 7,2%. Dans le Centre et les Alpes, elle s'inscrit à 7,1%. Dans le Sud-Est et l'Ouest, la hausse est de à 6,1%.
Cette tendance confirme les chiffres déjà avancés par les notaires, qui notaient en particulier que la hausse des prix était passé sous les 10% à Paris, marquant un premier ralentissement en sept ans pour la capitale.
A.C.
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18 avril 2007
Internet sous la pluie aux Buttes Chaumont : ça va être possible!
Notre mairie l'a fait! Mais aux heures de bureau seulement! Rien n’est impossible à notre mairie, qui lance à grands sons de trompette son programme de bornes WI-FI gratuites, sobrement nommé Paris Ville Numérique (PARVI). Rappelons qu’une borne WI-FI permet de se connecter à Internet sans fil, dans un espace délimité. Dans ce domaine les web cafés parisiens se sont montrés pionniers de la démocratisation du web, et vont être (loyalement ?) concurrencés. Indiquons que les téléphones WI-FI existent, capables de se connecter à n'importe quel type de réseau sans-fil et intégrant souvent le logiciel SKYPE, qui permet de téléphoner sur Internet.
400 antennes en septembre
D'ici septembre 2007, 400 antennes WI-FI seront déployées dans la capitale, la transformant en un gigantesque hot-spot -bornage WI-FI- gratuit. 134 sites publics (Buttes Chaumont, Champ de Mars, Hôtel de Ville, etc.) sur 250 ont déjà été identifiés en plus de 150 bâtiments administratifs (bibliothèques, mairies...). Le déploiement couvrira aussi bien les jardins et espaces verts (8 hot spots sont prévus pour couvrir le parc des Buttes Chaumont) que les équipements municipaux comme les bibliothèques, les musées ou encore les sièges d'associations.
2.5 millions d'euros et 500.000 € de fonctionnement
Le projet chiffré à 2,5 millions d’euros, d’une durée de deux ans renouvelable une fois, a été remporté par Alcatel-Lucent pour le matériel et SFR pour le réseau. On promet déjà 250 bornes en juin et 400 en septembre. L’opération est financée par la Mairie de Paris et la Région Ile de France, qui ne rate jamais une occasion de dépense. En 2008 un budget de fonctionnement annuel de 500.000 € sera débloqué pour les hot spots
Enfin, pour ne pas « concurrencer les fournisseurs d'accès à Internet », les connexions ne seront disponibles qu'aux heures de bureau. (Si vous avez compris, écrivez nous, d’avance merci)
A.C.
06:00 Publié dans 3- Vie des quartiers | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : WI-FI, PARVI, PARIS, Internet gratuit, SKYPE, telephone | Facebook | | Imprimer |
17 avril 2007
Vie politique locale et Vacances de printemps
Conseils de quartier réunions publiques
Conseil Didot Porte de Vanves mardi 24 avril 19h30, séance publique à l’amphi de l’Institut de Puériculture 26 bd Brune. Ordre du jour : la gare expérimentale, fête associative des 3 communes, des espaces culturels porte de Vanves ou dalle sur le périphérique, quel projet pour la chaufferie de Broussais ?Conseil Montparnasse-Raspail mardi 24 avril à l’école élémentaire 24 rue Delambre à 19h30. Ordre du jour : Présentation du projet « Vélo libre » dans le quartier. Fête de quartier samedi 2 juin. Les trottoirs du bd Raspail, le budget d’investissement, renouvellement de membres du conseil, questions diverses.
Conseil Pernety mercredi 25 avril à 20h, le lieu et l’ordre du jour sont à préciser ultérieurement.
Conseil Montsouris-Dareau jeudi 26 avril à 19h Amphithéâtre Morel, hôpital Ste Anne, entrée 1 rue Cabanis. Ordre du jour : vie de quartier et fête, les antennes relais, bilan de la commission circulation, points divers.
Vacances de printemps
Hip-hop, théâtre, découverte du monde marin, sport... : la mairie du 14e et les centres d’animations organisent pour les enfants et les jeunes des activités durant les vacances de printemps. La mairie de Paris, celle du 13e et celle du 14e, proposent aux enfants et aux jeunes de 4 à 16 ans de découvrir et de s’initier gratuitement aux arts du cirque et aux arts urbains, du 10 au 21 avril, au stade Charléty. Renseignements :http://www.mairie14.paris.fr/
06:00 Publié dans 3- Vie des quartiers | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Agenda politique, vacances de printemps | Facebook | | Imprimer |
16 avril 2007
Musiques à l'Entrepôt
L'Entrepôt, 7 rue Francis de Pressensé, 75014, est un lieu de culture où toutes les musiques du monde sont présentées. Ainsi en avril, vous pourrez assister aux concerts suivants :
- Mercredi 18avril à 20 h 30, chansons françaises avec Annie Mako et les Bêtes à bon dieu
- Jeudi 19avril à 21 h 30 : Jazz avec Fabien Mary Quartet
- Vendredi 20 et samedi 21 à 21 h 30, chansons avec le Fun Carmen
- Lundi 23 avril à 20 h 30 soirée découverte avec les élèves de l'Edim
- Mercredi 25 avril à 20h 30 chansons françaises avec Pascal Parisot
- Jeudi 26 avril à 21 h 30 jazz bossa avec Clem
- Vendredi 27 et samedi 28 à 21 h 30,musiques dumonde avec le groupe Diferenças
Retrouvez l'Entrepôt sur MySpace : www.myspace.com/lentrepot
10:52 Publié dans Musique/Chanson | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Musique, spectacle, jazz, chansons | Facebook | | Imprimer |
René Rémond, un paroissien de Saint-Pierre
Les médias ont annoncé la disparition de René Rémond. Il avait 88 ans. Qui ne connaît l'excellence de ce politologue brillant qui ne manquait pas par ses interventions intelligentes de présenter après chaque élection majeure une analyse particulièrement éclairée sur le résultat des scrutins ?
Notre évocation de la personne se bornera à préciser qu'il fut un catholique fervent et qu'on le voyait assister aux messes dominicales, participer à divers colloques et conférences organisés au sein de la paroisse Saint-Pierre.
Nous tenons ici même à faire part de notre émotion et à présenter à ses proches l'expression de nos sincères condoléances.
10:30 Publié dans 7- Chrétiens dans le 14e | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : René Rémond, politologue, académicien, sociologue | Facebook | | Imprimer |
Le Peit Montrouge, notre quartier
Le quartier du Petit Montrouge est né de l'extension - c'est en cela un paradoxe - de la commune du Grand Montrouge vers le nord, au tout début du 19ème siècle. Ce hameau, implanté sur près de 2 kilomètres le long de la route d'Orléans correspondait à une nécessité économique de l'époque. Cette route d'Orléans était une voie importante de transit vers la Beauce, productrice de céréales (d'où de nombreux moulins installés sur le territoire du Petit Montrouge), et le centre de la France puis vers l'Espagne.
Ainsi, auberges, commerces de fournitures pour les voitures et les chevaux, fabriques de bâches, de harnais, de cordages, marchands de vêtements de travail, de fourrages, d'outillages, de quincaillerie et de denrées alimentaires prospéraient. Signalons que des minoteries remplacèrent peu à peu les moulins qui fonctionnaient encore au milieu du 19ème siècle (il en existait 24 à cette époque).
Mais il faut situer maintenant la position de notre "hameau" face à l'extension de Paris qui fit suite à l'annexion par le Second Empire des territoires quasiment vierges compris entre le mur des Fermiers Généraux - on disait alors la Ferme - construit entre 1787 et 1797, et la ceinture de fortifications construite sous Louis Philippe de 1841 à 1845 sur 36 kilomètres. Cette nouvelle "ceinture" étant édifiée bien au large du mur de la Ferme.
On peut remarquer ainsi que le hameau du Petit Montrouge fut séparé, sans autonomie administrative propre, du Grand Montrouge, par l'édification des fortifications de Louis Philippe. Signalons qu'en 1847 naquit une petite église, située un peu en amont du carrefour actuel Alésia-Général Leclerc. C'est en 1852 que, le second Empire naissant, dota la commune du Grand Montrouge, d'une mairie mais située sur le territoire du Petit Montrouge. Celle-ci deviendra la mairie du 14e ardt, lors de l'annexion à Paris en janvier 1860, du territoire dit du "Petit-Montrouge", séparant ainsi définitivement le "Grand" du "Petit". Notons que notre mairie actuelle fut agrandie sous la 3ème République et que le premier maire de notre ardt fut Alexandre Dareau, lui-même déjà maire du Grand Montrouge de 1843 à 1848 et de 1850 à 1859. Il exerça son nouveau mandat dans le 14ème de 1860 jusqu'à sa mort en 1866.
Lors de l'élection à la présidence de la République de Napoléon III en 1851, celui-ci avait reçu en héritage un Paris à la fois informe et infecte qui avait peu évolué depuis le Moyen Age, en dépit de monuments prestigieux contenus en son centre historique. Aussi, devenu empereur, Napoléon III, féru des nouvelles idées sur l'urbanisme - son exil à Londres y fut pour beaucoup - prit-il la décision avec son préfet Haussmann d'annexer au Paris ancien, les territoires situés entre le mur des Fermiers Généraux et les fortifications de Louis Philippe. Paris passait ainsi de 12 à 20 arrondissements. Ainsi, notre 14ème arrondissement prit date le 1er janvier 1860.
R.R.
NDLR: Documentation provenant de la revue d'histoire de la SHA du 14ème n°29.
06:00 Publié dans 6- Art, Culture, Patrimoine | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Paris 14, Montrrouge, Petit Montrouge, histoire de Paris | Facebook | | Imprimer |
15 avril 2007
Résurrection: Une foi fondée sur la parole d'une communauté de témoins
" Une première réponse, essentielle, s'impose à moi : je suis relié à l'événement pascal par une chaîne ininterrompue de témoins crédibles. Croire, c'est d'abord ajouter foi aux récits des Évangiles, au tombeau vide, à la surprise des premiers témoins, aux apparitions du Christ pendant les semaines ou les mois qui suivirent. Ces témoignages valent par leur caractère de récits à plusieurs voix. Sans être en rien comparables à des comptes-rendus journalistiques ou scientifiques, ils reflètent avec une grande force de suggestion le caractère étrange, inattendu et bouleversant de l'événement pascal.
En dépit de toutes les interprétations et mises en perspective a posteriori dont les textes portent la marque, on y perçoit distinctement la force brute d'un choc initial. La puissance propre de ces témoignages est indissociable du surgissement d'énergie spirituelle qui les a portés.
Les récits de la Résurrection pèseraient peu s'ils n'étaient inscrits dans la trace plus large d'un ébranlement fondateur. Ce qui apparaît d'évidence, c'est l'incroyable retournement d'une petite communauté, passant en quelques semaines du désespoir le plus total au dynamisme le plus extraordinaire.
Le miracle est bien là : entre Pâques et la Pentecôte, entre Jérusalem et le chemin de Damas, une poignée d'hommes incultes et désespérés s'est transformée en communauté dynamique, d'une extraordinaire capacité à témoigner et à convaincre. Non sans avoir assimilé en profondeur un message difficile que les douze disciples eux-mêmes avaient bien du mal à comprendre du vivant de Jésus. Que s'est-il passé ?
La seule explication qui vaille est que ces femmes et ces hommes ont fait une expérience inouïe et bouleversante : celui qu'ils croyaient mort leur est apparu, vivant d'une vie nouvelle, mystérieusement présent à ceux qui l'aiment. À la lumière de cette expérience, tout ce qu'ils ont vécu avec le Christ leur apparaît sous un jour nouveau : chacune de ses paroles prend un relief et une force bouleversante. À partir de là, tout devient possible et la mort elle-même est brusquement relativisée."
Bernard Perret, La logique de l'espérance page 172, Presses de la Renaissance, 2006
Bernard Perret est ingénieur des ponts et chaussées, économiste et sociologue.
06:45 Publié dans 7- Chrétiens dans le 14e | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Foi, résurrection, témoins, Eglise | Facebook | | Imprimer |
14 avril 2007
Un certain silence
Lundi de Pâques…Le parc Montsouris, ce matin-là, frissonne dans la lumière du ciel. Celle-ci saupoudre d'une fine poussière de soleil, chaque buisson, chaque massif de fleurs offerts à ses caresses. Notre regard devient tout à coup plus attentif, plus lent à décrypter les arcanes secrets du printemps.
Du faîte des platanes et des marronniers au feuillage encore hésitant, pleuvent mille éclats chatoyants de lumière qui s'épanouissent dans l'ombre des viornes, des buis, des sureaux, buissons inondant de leurs ondes successives les plages désertes des allées et des sentiers du parc.
Le silence est alors maître des lieux. Il règne soudain un ordre surnaturel, divin oserait-on dire. Oui, divin, car l'harmonie du monde devient ici sensible pour le promeneur, lui-même devenu attentif et silencieux devant le spectacle toujours renouvelé du premier instant de la Création.
Le témoin que nous sommes, soucieux de ne pas gêner par sa présence, l'impensable alchimie que la Nature offre à sa méditation, ne peut que contenir son émotion, de peur de détruire l'instant ineffable où il réalise que la communion sensible avec la symphonie pastorale de ce jardin, rejoint la présence intime d'une autre communion plus essentielle, celle que lui suggère le regard porté sur l'Univers.
R.R
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13 avril 2007
Le come-back, un film de Mark Lawrence
Destin mélancolique, même s’il l’accepte avec flegme, que celui d’Alex Fletcher, chanteur pop naguère triomphant, aujourd’hui oublié au profit de son ancien partenaire. Désormais, il se cantonne aux foires et aux parcs d’attractions.
Subitement, une singulière "dea-ex-machina" se manifeste sous l’aspect juvénile de Haley Bennett, alias Cora Corman, vedette en expansion, qui réclame au has been une chanson d’amour.
Il n’y a qu’un détail qui coince. Le chef d’œuvre doit être prêt dans un délai de trois jours. Or, Alex, excellent musicien, n’est pas un as de la création littéraire.
La fortune, ou chance, joue toujours un rôle prépondérant dans les comédies romantiques. Le défi à relever, pour les scénaristes, consiste généralement à masquer son apparition sous les dehors les plus inattendus possibles. Ici la révélation passe par les plantes et emprunte les traits émouvants de Drew Barrymore.
Inutile d’en dévoiler davantage : l’histoire est du reste assez prévisible, car elle a déjà été racontée cent fois sous d’autres formes. On retrouve dans le film de Mark Lawrence l’atmosphère pétillante des comédies musicales, où s’illustrèrent jadis Ginger Rogers et Fred Astaire. L’irruption de la pop music et de l’humour britannique – car le film est truffé de mots d’auteur hautement réjouissants – dans un schéma convenu mais toujours efficace, fonctionne parfaitement.
Une touche de satire, un brin de nostalgie, donnent tout son sel à la romance. Elle est fort bien servie par les comédiens, aucun second rôle n’étant sacrifié au couple vedette. Hugh Grant, un peu vieilli, exploite son créneau habituel de séducteur-sans-le-faire-exprès avec un soupçon d’autodérision qui lui va bien.
Josée Cathala
Le come back, un film de Mark Lawrence, avec Hugh Grant, Drew Barrymore, Jason Antoon, Emma Lesser, Haley Bennett.
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12 avril 2007
Un foyer après le canal (Saint Martin)
Emmaûs met le 3ème étage à la disposition de l'association "les enfants du canal" pour y pratiquer une politique d'accueil innovante et expérimentale, avec 30 hébergements. Les 60 places d'Emmaüs sont au 1er et 2ème étage, gérées par Emmaüs. Les 60 personnes hébergées sont suivies et orientées par l'association "Le coeur des haltes", qui suit également les personnes restant dans les terntes du canal.
Les hébergés sont en majorité jeunes, de 18 à 30 ans, mais, ce qui est plus rare, il y a une dizaine de couples. Cet hébergement nécessite l'emploi d'un responsable, de 8 permanents de nuit, d'un travailleur social et de 5 compagnons, auquel s'ajoute la visite hebdomadaire d'un infirmier psychiatrique de Ste Anne. Le but est de trouver pour chacun une solution adaptée en moins de 6 mois.
Les problèmes fondamentaux à régler sont, on le sait bien, l'emploi et le logement. Les partenaires en matière d'emploi sont notamment l'ANPE et l'AFPA, et pour le logement, les structures associatives en relation avec l'Etat.
La Voix a rencontré un hébergé, auparavant personne de la rue dans le 14ème: "La question est de montrer sur 6 mois qu'on est capable de gerer un logement et de travailler".
Et à la question: "Beaucoup le peuvent?", sa réponse est: "Pas la moitié!".
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11 avril 2007
4eme Biennale internationale des arts de la marionnette
Th&atre de la Cité Internationale 17, Bd Jourdan 75014 Paris
prix 14€, scolaires 8,50€
08:00 Publié dans Théâtre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : marionnette, theatre Cite Internationale, Paris 14eme, biennale | Facebook | | Imprimer |
10 avril 2007
Passation de pouvoir à la Fédération protestante de France
La Voix vous l’avait annoncé il y a quelques mois (voir la note), le Pasteur Claude Baty a été élu président de la Fédération protestante, en remplacement de Jean-Arnold de Clermont, aux commandes depuis huit ans.
A droite, le pasteur Claude Baty
Agé de 60 ans, le pasteur Claude Baty appartient à l’U.E.E.L. (Union des Eglises Evangéliques libres), branche du calvinisme de France. C’est un fait assez exceptionnel, puisque c’est seulement la deuxième fois depuis sa création qu’un évangéliste est élu à la tête de la fédération (Edouard Grüner en 1905).
Claude Baty est bien connu dans le quatorzième, puisqu’il a été le pasteur de la paroisse Paris-Alesia. Auparavant, il a été au Congo, en Suède, puis pasteur à Orthez. Il a présidé l’U.E.E.L. pendant seize ans.
Faisant le bilan de sa présidence, Jean-Arnold de Clermont a notamment évoqué deux dossiers importants, la défense des libertés religieuses et le dialogue avec les églises évangélistes et pentecôtistes. En relation avec la salle, d’autres sujets ont été évoqués comme des progrès à faire pour la place des femmes dans les églises évangéliques, la création d’instances de travail sur les questions éthiques et théologiques.
A.C.
08:00 Publié dans 7- Chrétiens dans le 14e | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Federation protestante, Claude Baty, UEEL, paris 14e, evangeliste | Facebook | | Imprimer |
09 avril 2007
La petite histoire de nos rues
Nous commençons aujourd'hui à vous raconter l'histoire des rues de notre quartier : le Petit Montrouge, tant sur le plan des sites de celles-ci que des divers noms qui leur ont été attribués au cours des 140 dernières années.
La célèbre photo de Giacometti, rue d'Alesia, par Henri Cartier-Bresson
Ainsi de la rue d'Alésia. La voie fut ouverte en deux tronçons : 1° à l'est de la place Victor Basch qui fut tracé de 1863 à 1869 et allant jusqu'au carrefour Santé-Amiral Mouchez, à la limite du 13ème arrondissement. Le pont du chemin de fer de Sceaux surplombant cette portion date de l'année 1868 ; 2° à l'ouest sur le très ancien tracé rectifié d'un "chemin de la Justice" qui conduisait à un gibet… Ce chemin devint au début du 19ème siècle le "chemin des Bœufs".
Après la création du chemin de fer de l'Ouest, ce chemin prit le nom de "route", puis, "boulevard du Haut Transit" et enfin "rue du Transit" avant de devenir "rue d'Alésia". Il faut signaler que l'appellation de "pont aux Bœufs", donnée au pont du chemin de fer de l'Ouest surplombant cette même rue, provenait du point de débarquement des bestiaux avant leur conduite jusqu'aux abattoirs de Vaugirard, les terrains de ceux-ci ayant été transformés sous la forme du parc Georges Brassens.
La rue d'Alésia est un segment de 2,4 kilomètres, faisant partie de la grande rocade qui, par les rues de Tolbiac, d'Alésia, de Vouillé et de la Convention, vint, il y a 135 ans, doubler les anciens boulevards extérieurs des Fermiers Généraux et des boulevards des Maréchaux, et relier ainsi les ponts de Tolbiac et de Mirabeau.
Sous la 3ème République, le voisinage de la rue d'Alésia entraîna de facto la dénomination des rues de Gergovie et de Vercingétorix. On peut signaler qu'un hôtel meublé de la rue du Château s'empressa de dédier en son temps son enseigne à Jules César…
Il faut encore préciser que l'écrivain : G. H. Rosny Aîné, auteur du roman "la guerre du feu" habita jusqu'en1910 au n° 72 de la rue d'Alésia.
Prochainement, nous continuerons notre promenade à travers plusieurs de nos rues qui sont toutes les héritières de l'histoire locale de notre quartier.
R.R.
NDLR : Documentation provenant de la revue d'histoire de la SHA du 14ème n° 35.
06:00 Publié dans 6- Art, Culture, Patrimoine | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : histoire locale, urbanisme, environnement, 14ème ardt, Giacometti, Cartier-Bresson | Facebook | | Imprimer |
08 avril 2007
Le Christ est ressuscité !
Voilà bien la plus stupéfiante des nouvelles qui concerne l’humanité, tant elle en récapitule l’Histoire : Dieu qui s’est fait homme, est allé, dans son contrat d’Amour, jusqu’au terme de notre mort pour vouloir la vaincre.
La mort du Fils de l’homme assumée pour grandir l’homme, le rendre plus homme c’est-à-dire le sauver de son péché et le restaurer dans son éminente dignité de personne créée à l’image et à la ressemblance du Père.
En enfants de ce Père, quelle fierté pour nous de savoir que le Ressuscité nous a redonné la vie, SA VIE : un Amour qui n’est que Don puisqu’il se fait partage.
Comme l’aube de ce petit matin de Pâques se fait dérisoire face à l’évènement le plus puissant qui ne se produira jamais : la mort vaincue.
- Une femme aimante constate la disparition du corps qu’elle vient vénérer, affolée, elle court propager la nouvelle qui l’afflige profondément.
- Deux disciples, ceux des premiers jours, reçoivent l’information, ils courent à leur tour, le plus jeune fait la même constatation mais attend Pierre, Berger de cette Eglise qui vient de naître, pour rentrer à nouveau dans le tombeau : il VOIT et il CROIT.
Comment nous situons-nous devant cette nouvelle fête de Pâques ? S’agit-il d’une simple étape dans le déroulement liturgique de l’année ou, à notre tour, voulons-nous VOIR la réalité en face, entrer davantage dans le Mystère Pascal et CROIRE à l’incroyable ? Dieu est mort de notre mort, Dieu n’a voulu connaître la mort que pour nous associer éternellement à Sa Vie,
« Présence où resplendit la lumière divine qui est la respiration de l’Eternel Amour » (Père M. ZUNDEL)
Père Maxime d’Arbaumont, curé de la paroisse Saint-Dominique (Paris 14ème)
07:00 Publié dans 7- Chrétiens dans le 14e | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Paques, Paris 14e, fête de Paques, Christ ressuscité | Facebook | | Imprimer |
07 avril 2007
« Mon temps est proche »
Maurice Denis: "Offrande au Calvaire (détail) - Tiré du livre "Maurice Denis, les couleurs du ciel" de Frédéric Martinez (Editions Franciscaines)
« Mon temps est proche »
Jésus est libre par rapport à sa famille, à son village, à son peuple. Par ses actes plus encore que ses paroles, il relativise les orthodoxies sociales, morales ou religieuses qui constituaient l'armature de la société juive.
Libre pour servir et apprendre à servir. Dans ce don, Jésus va vers tous ceux qui ont besoin d'être reconnus dans leur humanité: les pauvres, les malades, les méprisés, les anormaux, les marginaux. Comme si la véritable humanité devait toujours naître et renaître en marge de la société satisfaite. Jésus, donné à qui peut recevoir, annonce un nouveau rapport de l'homme à l'homme, bien au delà des catégories et des identités reconnues....
Que reste-t-il des stratifications de la fortune, du savoir, de la moralité, des appartenances religieuses? Que reste-t-il des tribus et des nations, de la séparation entre l'homme et Dieu? Au plus profond, Jésus appelle l'homme à se libérer de toutes les entraves pour se mettre en route à jamais dans l'amour. Libre jusqu'à en mourir.
Père Gérard Bessière
Prêtre, Gérard Bessière est l'auteur de nombreux ouvrages, dont Jésus insaisissable et Le feu qui rafraichit. Méditation tirée du Magnificat pour la Semaine sainte.
Antienne du lavement des pieds
Après s'être levé de table, le Seigneur versa de l'eau dans un bassin et se mit à laver les pieds de ses disciples. Tel est l'exemple qu'il nous a donné.
Jésus arrive devant Simon-Pierre, et Pierre lui dit: « Toi, Seigneur, tu veux me laver les pieds! » Jésus lui répond: « Si je ne te lave pas, tu n'auras point de part avec moi. » « Ce que je veux faire, tu ne le sais pas maintenant; plus tard tu comprendras. Si moi, votre Seigneur et votre Maître, je vous ai lavé les pieds, combien plus devez-vous aussi vous laver les pieds les uns les autres ».
12:12 Publié dans 7- Chrétiens dans le 14e | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Maurice Denis, Paques | Facebook | | Imprimer |
04 avril 2007
Ciné club à l’Entrepôt
Une initiative culturelle de quartier tout à fait intéressante :
C’est sur l’initiative du conseil de quartier Pernety auquel s’est joint ensuite le conseil Porte de Vanves que ce Cinéclub a été organisé tous les premiers mercredis du mois pour les amateurs de cinéma, au prix de 4€ la place. Après la projection du film, un débat organisé par des historiens du cinéma. A l’affiche ensuite : le mercredi 2 mai « L’inconnu du Nord-Express » d’Alfred Hitchcock, le mercredi 6 juin, « Gilda » de Charles Vidor, mercredi 4 juillet « Chantons sous la pluie » de Stanley Donen et Gene Kelly, programme tout à la fois varié et de grande qualité !
Ce cinéclub peut être le vôtre, il ne vivra que si un public nombreux le soutient. Pour tout renseignement, joindre Oscar (oscar.ortsman@laposte.net) ou Mireille (picholine@free.fr ). L’Entrepôt, 7 rue Francis de Pressensé 75014.Paris
projection de « Subway »
film de Luc Besson.mercredi 4 avril 2007 à 20h,
Un homme trouve refuge dans le métro parisien après avoir volé des documents confidentiels, une chasse à l’homme s’organise alors dans monde étrange et fascinant où l’on rencontre des musiciens, un fleuriste, un pickpocket qui se déplace en roller…La distribution est très brillante : Christophe Lambert, Isabelle Adjani, Richard Bohringer, Jean Réno, Michel Galabru, Jean-Luc Anglade, Jean-Pierre Bacri. C’est un des meilleurs films de Luc Besson !
M.G.
17:45 Publié dans 3- Vie des quartiers | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : paris 14e, cineclub, lentrepot, conseil de quartier, pernetty | Facebook | | Imprimer |
Chemin de Croix, "chemin de compassion"
Comme les années précédentes, la paroisse Saint-Dominique organise un CHEMIN DE CROIX, chemin de Compassion dans le quartier, les vendredi 6 avril 2007.
Voici l'itinéraire suivi avec les différentes stations:
1ère station : Eglise Saint Dominique - 18 rue de la Tombe-Issoire.
2ème station : Hospice de LA ROCHEFOUCAULD.
3ème station : Av. du Général Leclerc.
4ème station : Maison Marie-Thérèse – 277 Bd Raspail.
5ème station : Sœurs aveugles de Saint Paul – 88 Av. Denfert-Rochereau.
6ème station : Hôpital Saint Vincent de Paul – 82 av. Denfert-Rochereau.
7ème station : Foyer Notre-Dame de Joie – 71 av. Denfert-Rochereau.
8ème station : Sœurs de Saint Joseph de Cluny – 21 rue Méchain.
9ème station : Hôpital Cochin – 22 rue du Fg Saint Jacques.
10ème station : Sœurs Augustines, rue de la Santé.
11ème station : Maison d'Arrêt de la Santé – 42 rue de la Santé.
12ème station : Sœurs Fidèles compagnes de Jésus - N.D. de France, rue de la Santé.
13ème station : Hôpital Ste Anne – 4 rue Cabanis.
14ème station : Eglise Saint Dominique.
fr Bernard M.
09:35 Publié dans 7- Chrétiens dans le 14e | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Semaine Sainte, Vendredi Saint, Chemin de Croix | Facebook | | Imprimer |
03 avril 2007
"Les chemins de Pâques", d'Yoshio OGAWA à Saint Pierre de Montrouge
06:00 Publié dans Expositions | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Oshio Ogawa, exposition, Pâques, Paris 14e, Saint Pierre de Montrouge | Facebook | | Imprimer |
02 avril 2007
« Une vérité qui dérange » à l’Entrepôt
l’Entrepôt, 7-9 rue Francis de Pressensé75014
Si vous voulez compléter votre information sur l’effet de serre et le réchauffement climatique vous pouvez aller au cinéma l’Entrepôt voir ce documentaire « une vérité qui dérange »qui y est diffusé régulièrement. (Horaire des séances à consulter dans un programme de spectacles)
Le réalisateur Davis Guggenheim donne la parole à l'ancien vice-président des Etats-Unis et candidat malheureux à la Présidence en 2000 : Al Gore. Celui-ci s'est lancé depuis des années dans une lutte contre le réchauffement de la planète et dans un plaidoyer pour l'adoption de technologies et sources d'énergie alternatives. C’est une conférence très claire illustrée de beaux reportages.
Al Gore dénonce des faits alarmants, mais sans jamais culpabiliser l'auditoire afin de lui faire prendre conscience du danger qui plane sur notre planète. Cette démarche positive permet de réfléchir utilement et de susciter les initiatives pour faire des économies d’énergie.
M. G.
en VO :
Jeu, Dim, Lun : 17:40, Ven, Mar : 13:40, Sam : 15:40
08:00 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : Al Gore, verité, écologie, environnement, paris 14e, 75014, Entrepôt | Facebook | | Imprimer |
01 avril 2007
"Cinq méditations sur la beauté"
de François CHENG de l’Académie française chez Albin Michel.
Face au mal omniprésent, la beauté a-t-elle encore une place aujourd’hui ? Comment prononcer le terme même de "beauté" sans une "conscience aiguë de la barbarie du monde" ?
En cinq méditations accessibles au lecteur moyen, mais attentif, François Cheng oppose au cynisme de notre temps, la beauté qui "sauvera le monde" pour reprendre la phrase de Dostoïevski.
Faisant dialoguer pensées d’Orient et d’Occident, émaillées de souvenirs et d’anecdotes teintés de poésie, l’auteur nous introduit en douceur au plus profond de sa démarche personnelle, qui rejoint le cheminement plus ou moins conscient de tout être humain vers ce que chacun perçoit comme fondamental.
Taoïsme et christianisme se rencontrent dans cette quête où éthique et esthétique se confondent. Même étroitement imbriquée dans le mal, la beauté est présente ; la découvrir, c’est entrevoir
"la vérité de notre destinée et les données fondamentales de notre liberté".
Un livre magnifique, paisible et profond comme un paysage d’estampe chinoise ...
Une paroissienne de Saint-Dominique
Jeannine Faurobert
08:10 Publié dans Livre/BD/Mangas | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : Orient, Occident, poésie, taoïsme, christianisme | Facebook | | Imprimer |