Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

18 août 2009

la Cité U et la maison de l'Italie

maison-l-italie-305159.jpg

Tardivement construite du fait de la guerre, la maison de l'Italie fut inaugurée en janvier 1958. Sa belle architecture, fidèle aux années 30, est signée Portaluppi et Klein.

Typiques de l'Italie, les arcades du rez-de-chaussée, le fronton qui couronne le corps d'entrée, le porche à pilastres rappellent le style de ce merveilleux pays. Quelques fragments de ruines antiques placés dans le jardin, des pierres sculptées par Mario Nieddu ajoutent à l'ambiance romaine.

C'est à un "comité pour la maison italienne de l'étudiant à Paris" que revient l'initiative de cette construction. Le professeur Quaroni, fondateur de ce comité, réunit en 1953 les fonds en grande partie offerts par le Rotary italien.

Cette maison comporte 70 chambres et a été restaurée en 1981. C'est un peu de l'Italie dans le parc de la Cité.

S.E.

17 août 2009

Au village Reille...

Habitants du XIV ème, peut-être vous est-il arrivé, venant déjeuner au self-service de l'avenue Reille, ou encore lors de la fête du quartier Montsouris, de traverser ce que les sœurs qui y vivent, appellent le « village Reille ».

Ces sœurs sont des Franciscaines Missionnaires de Marie (un sigle ! FMM). Elles appartiennent à une famille nombreuse ( 7700 membres de 76 nationalités ) répandue dans 77 pays des cinq continents.

Hélène de Chappotin - Marie de la Passion,  a été leur fondatrice ; elle fut béatifiée à Rome, le 20 octobre 2002

Hélène de Chappotin, qui est-elle ? Une Nantaise qui a vécu dans la deuxième moitié du 19ème siècle  (1839 -1904) et qu'une suite d'événements, préparation familiale, joies et épreuves, envoie comme jeune religieuse inexpérimentée dans une mission du sud de l'Inde (Madurai), et conduit à fonder un Institut missionnaire.

A celui-ci, elle a légué ses intuitions personnelles bien franciscaines d'ouverture à l'universalité du monde et de l'Eglise, de justice et de paix, de présence, de solidarité avec les plus démunis ; et surtout d'une vie missionnaire prenant sa source et son dynamisme dans la prière et l'Eucharistie.

Aujourd'hui, la mission est au bout du monde comme au coin de la rue !

 

16 août 2009

Charles Louis du Couedic de Kergoualec ( 1739 - 1780)

Inconnus et oubliés

Dont les noms sont inscrits sur nos murs

kergport.jpgLe nom de cet héroïque marin (qui donna une ultime victoire navale à notre pays, dans les dernières années de l'Ancien Régime), pose plusieurs problèmes d' onomastique, car on y discerne la présence de diverses racines dont la "cohabitation" n'est pas évidente. Ce qui est certain, c'est que le mot "du", qui précède le patronyme "Couédic", n'est pas l'article français contracté ("de le"), mais bien l'adjectif breton qui signifie "noir" ; tandis-que, dans "Couédic", on trouve la racine du mot "ed", c'est-à-dire "blé"...

L'administration municipale, auteur de la "Nomenclature officielle des Voies publiques et privées" de Paris a, de toute façon, tranché le problème à sa façon, en dénommant "rue du Couédic" (tout court) notre rue du 14ème, en 1864... Mais, dans le texte de l'articulet intitulé pompeusement "historique", soit deux lignes, elle a tenu à développer les titre, nom et qualité de notre vaillant Breton : "Vicomte Charles Louis du Couédic de Kergoualec". Toutefois, le Grand Larousse encyclopédique ne le titre que chevalier, et orthographie avec un R final (et non un C) son petit domaine patrimonial...

Né en 1740, notre chevalier du Couédic était lieutenant de vaisseau en 1779, après vingt cinq années de mer, mais commandait une frégate, "la Surveillante". Par un beau matin d'automne - le 7 octobre - en pleine Manche, il vit une frégate anglaise, mettre le cap sur lui. Les deux vaisseaux étaient d'égale puissance de feu, et, s'observant depuis des mois, s'apprêtaient à engager le combat à la première occasion. Le vaisseau anglais était "le Québec", sous les ordres du commandant Farmer, excellent officier, expérimenté comme du Couédic. Deux cent soixante-dix hommes armaient chacun des deux vaisseaux.

surv1.jpgLe combat des deux navires (tableau de George Carter) dura tout le jour. Un boulet français bien placé finit par faire sauter la soute à munitions du "Québec" et couler ce vaisseau.

Du Couédic, atteint de multiples blessures, parvint à ramener sa "Surveillante" à Brest : ce n'était plus qu'une quasi-épave, maisl'étendard de la France y pendait encore sur un mat de fortune...
Louis XVI fit du Couédic Capitaine de vaisseau, mais ce grand marin ne survécut que quelques mois à sa victoire (printemps 1780).

R.- L. C

15 août 2009

CARIF. Ile-de-france

Le grand bâtiment de brique, sis au n°16 de l'avenue jean Moulin , a retrouvé des couleurs et une vie, après une longue période un peu triste d’abandon... mais quelle vie ? Celle d’une Société ? Il s’agit en fait du CARIF, Centre d’Animation, de Ressources et d’Information sur les Formations en Ile de France. Ce lieu est ouvert essentiellement aux professionnels de la Formation et de l’Insertion. Il est financé par l’Etat et le Conseil Régional.

Pour le grand public, une adresse Internet reprend toutes les données concernant les formations subventionnées par l’Etat et la Région : SITE INTERNET: www.carif-idf.org.

14 août 2009

Histoire de l'avenue jean Moulin

Indiquée en 1730 sur le Plan Roussel, sous le nom de « Grand chemin de Chevreuse », cette voie a ensuite porté celui d’Avenue de Châtillon, avant de recevoir celui du fondateur du Conseil National de la Résistance, Jean Moulin (1899-1943). Elle part de la place Victor Basch, aboutit Boulevard Brune et mesure 670 mètres (vous pouvez vérifier !)

Coïncidence tout à fait fortuite mais bien venue, il se trouve que ce quartier ne possédait pas moins de 60 moulins depuis le13ème siècle : le grain venait des plaines du sud de l’Ile de France : Brie et Beauce. Parmi les plus célèbres : Les moulins de Sans souci, Du Fort-Vestu, du Moque souris, de la Marjolaine, du Bel Air, de l’Alouette, des Lapins, et bien sûr, notre Moulin Vert sis à l’emplacement actuel du restaurant du même nom. Le seul rescapé siège toujours dans le cimetière de Montparnasse et se nomme « le Mouliniste » Il est surprenant de découvrir que ces moulins faisaient en plus office d’auberges ou de cabarets.

D’après ‘’Vie et Histoire du 14ème’’de L.R.C.

13 août 2009

Les seniors lisent au mois d'aout

Il est de tradition dans le XIV° que l’été durant, tous les seniors de l’arrondissement sont invités à lire. Pour cela la bibliothèque Vandamme, située sur l’avenue du Maine propose aux personnes âgées, un service de portage de livres à domicile. Les commandes se font par téléphone et les documents – livres et magazines- sont délivrés gratuitement à domicile, par l’intermédiaire de jeunes bénévoles faisant partie du service civil volontaire. A noter que la prestation du portage est uniquement réservée aux personnes ayant plus de 60 ans.

- Bibliothèque Vandamme, 80, avenue du Maine – 75 014 – Tél : 01 43 22 42 18

12 août 2009

La résidence Avicenne à la Cité U

Anciennement Maison de l'Iran, la Résidence Avicenne est le dernier bâtiment construit à la Cité Universitaire.

avicennesb_1.jpg
En octobre 1961, le Shah d'Iran posa la première pierre et rappela à cette occasion les liens culturels unissant son pays à la France et comment la diffusion de la langue française, au 19ème siècle, ouvrit son peuple à de vastes connaissances occidentales.

Confiée d'abord à deux architectes iraniens, la réalisation du bâtiment se vit adjoindre un ingénieur-conseil, René Sarger, un plasticien-conseil, André Bloc, et un architecte chargé de l'exécution, Claude Parent.

L'inauguration eut lieu en octobre 1969 par le Shah accompagné de son épouse Farah Dibah qui connaissait bien la Cité pour y avoir séjourné durant ses études en France.

Mais rapidement, la politique, au sein de cette réunion d'étudiants opposés au régime du Shah, obligea la fermeture de la Résidence qui fut alors complètement abandonnée par l'Etat iranien.

Reprise par la Fondation Nationale de la Cité Universitaire, elle fut réouverte en 1972 sous le nom d'Avicenne, en hommage au grand savant persan ( médecin, philosophe, 980 – 1037).

Une cafétéria, une salle de réunion, 100 chambres réparties en deux groupes de quatre étages dans un cadre typique, les étudiants ne se sentent pas dépaysés.

S.E.

 

10 août 2009

De la Croix des Sages au puits salé

 

Un lieu-dit, c'est, exprimé par un mot ou plus généralement un groupe de mots, un souvenir qui se perpétue, un parfum du passé qui persiste, la survivance poétique de décors ou d'êtres disparus. C'est un peu une main tendue par les générations mortes aux générations vives, une formule à la fois évocatoire et invocatoire

Dans l'essai d'inventaire de ce qui subsiste de notre patrimoine en appellation de lieux-dits dans le 14ème, nous avons commencé par un sujet demeuré populaire : les moulins.

Nous restons dans le voisinage des moulins pour examiner, du haut du clocher de Saint Pierre de Montrouge, un véritable nid de lieux-dits : nous sommes ici à celui des "Quatre Chemins", appellation qui désignait le carrefour de la route d'Orléans avec ses deux bras Nord et Sud ; de la Chaussée du Maine, ouverte par le duc du Maine, fils naturel de Louis XIV, pour se rendre à son château de Sceaux , et de la route de Chartres, dite aussi de Chevreuse. C'est la grande rocade de la rue d'Alésia qui est venue, sous le Second Empire, ajouter ses deux bras Est et Ouest au carrefour initial.

Mais un nom beaucoup plus ancien avait été celui du lieu-dit la "Croix des Sages". Celle-ci était implantée, pense-t-on, là où se trouve le parvis de notre église Saint Pierre du Petit-Montrouge, et il y a probabilité qu'il s'agissait de celle qui fut rompue là en Nivôse An II.

Deux puits, de dates très anciennes, se trouvaient non loin de là, et leurs noms restèrent longtemps attachés au lieu de leur situation après leur suppression : c'étaient le "Puits rouge" et le "Puits salé". Le nom du premier était à l'origine celui d'un estaminet de rouliers ; il était situé à la jonction de l'avenue du Général Leclerc et de l'avenue Jean Moulin *. Son nom fut repris par divers commerces avant de disparaître, après avoir été mentionné au cadastre. La couleur rouge était certainement une allusion à la terre du sol montrougien, comme le démontrent tous les travaux entrepris sous nos trottoirs. Quant au "Puits salé", il se trouvait de l'autre côté de l'avenue du Général Leclerc, immédiatement après l'église Saint Pierre. Il était situé au fond d'une courte impasse dite : "Rue du puits salé", donnant accès au magasin de fers d'une grande quincaillerie. Comblé dans ses profondeurs, il devait, dit-on, son nom au salpêtre revêtant ses parois.

R.-L. C

 

 

09 août 2009

D'un moulin à l'autre - Défense et illustration de nos anciens lieux-dits

Une promenade conduite par l'imaginaire nous fera découvrir un sujet demeuré populaire, celui des moulins qui longtemps ont été présents dans le 14ème

Il faut savoir que le nombre de ceux-ci, sur notre territoire, atteignit au cours des siècles, une bonne soixantaine. Une trentaine, plus ou moins exploités, subsistaient encore vers le premier tiers du 19ème siècle. Les minoteries, véritables usines à farine, les supplantèrent dans l'irrésistible mouvement de mécanisation qui caractérisa cette époque. Sur tant de moulins, seuls deux ou trois ne furent pas démolis : le moulin d'Amour (actuelle rue Ernest Cresson) qui devint un atelier de photographie (1) et le fameux moulin de la Charité, dit aussi "Moulin moliniste" (celui-ci très bien restauré il y a quelques années) dans le cimetière Montparnasse.

Nos voies, au hasard des décisions administratives, ont contribué à la préservation des appellations de plusieurs des lieux-dits correspondant à des moulins. Curieusement, une rue a disparu avec son moulin, celle dite du "Moulin de Beurre" ; tandis qu'une autre rue dite du "Moulin des Lapins" (2), était créée de toutes pièces dans l'aménagement de la ZAC Didot (1996), à hauteur du numéro 138 de la rue du Château.

Il est  regrettable que le beau nom de la rue du Moulin de Beurre, attestant de la qualité de la farine produite là jadis, n'ait pas été repris pour un ensemble immobilier nouveau du voisinage. A Plaisance, en revanche, la rue du Moulin de la Vierge, qui subsiste heureusement, a donné son nom (de même qu'une boulangerie) à un groupe de bâtiments modernes. La pérennité du lieu-dit semble ainsi être assurée.

Dans le quartier du Petit-Montrouge, la rue du Moulin-Vert pose problème. Cette voie de près de 700 mètres, qui relie très bizarrement l'avenue du Maine à la rue de Gergovie, mémorise certes un ancien moulin devenu une guinguette, mais il n'est pas démontré, à notre humble avis, que celui-ci se trouvait sur le généreux tracé que lui accorda Haussmann en 1863. En outre, elle est fréquemment confondue avec le célèbre cabaret des Romantiques de la Mère Saguet (qu'on peut vraisemblablement situer vers notre actuelle rue du Texel). Quoi qu'il en soit, des restaurateurs ont repris à diverses époques la dénomination du Moulin Vert sur leur enseigne, sous le patronage officiel de la rue par la Ville, et nul ne la  leur a contestée. Le Moulin de la Marjolaine - au joli nom - disparu de longue date, a néanmoins survécu jusqu'à nos jours dans l'enseigne d'une boulangerie, à la pointe constituée par la jonction des rues de la Tombe-Issoire et du Père Corentin.

Bien peu de passants se doutent que le passage de la Tour de Vanves, entre l'avenue du Maine et la rue Asseline, perpétue le souvenir du corps d'un moulin ayant depuis si longtemps perdu ses ailes, que son nom même était sorti de la mémoire collective : autre lieu-dit qui perdure comme un fantôme, grâce à la plaque bleue de l'une des plus modestes voies du 14ème (120 mètres de long, 3,80 mètres de large).

Il y a lieu de remarquer que l'industrie moderne, et notamment les minoteries mentionnées plus haut, bien que remontant à plus de 150 ans,  n'ont pas suscité l'apparition de noms de lieux-dits. C'est le cas, dans notre 14ème, des Grands Moulins de Montrouge, disparus dans l'entre-deux-guerres, dont la raison sociale, susmentionnée, ne permet qu'aux plus âgés de nos concitoyens, de se remémorer l'emplacement.

R.L.C.

 

08 août 2009

la Mairie de Paris propose des métiers et des formations

Si vous cherchez du travail, sachez que la Mairie de Paris propose un large choix de métiers et de formations


Des milliers de personnes trouvent chaque année une place dans l’administration de la Ville.

Pourquoi pas vous ? Découvrez la diversité des métiers qui contribuent au service public parisien. Ils vous sont présentés sous forme de fiches détaillées. La collectivité recrute avec ou sans concours. Dans le premier cas, vous trouverez en ligne le calendrier et les conditions d’inscriptions. À voir aussi, les statuts et les avantages des personnels, ainsi que la politique de ressources humaines.

La Ville de Paris recrute, chaque année, plusieurs milliers de personnes, le plus souvent par la voie du concours et, dans certains cas, par examen professionnel...

http://www.paris.fr/portail/accueil/Portal.lut?page_id=92

07 août 2009

la Boîte noire de Darwin

 

( l'Intelligent Design)

de Michael  B. BEHE

Dans ce premier  livre -« darwiniquement incorrect », un grand biologiste américain - le père de l'Intelligent Design, démontre, en s'appuyant sur les dernières découvertes en biochimie, que les mécanismes de base de la vie ne sont pas issus d'un processus aveugle, mais témoignent d'une conception intelligente.

Jusqu'à Darwin, l'existence des êtres vivants prouvait celle d'un concepteur intelligent de la vie. Darwin a montré que des forces aveugles comme le hasard et la sélection naturelle étaient capables d'expliquer une série de caractéristiques de ces êtres vivants. Dès lors, l'hypothèse d'un concepteur intelligent disparaissait du champ de la science. Mais alors, on ignorait tout des mécanismes de base de la vie, qui sont mieux connus depuis quelques décennies.

L'auteur multiplie les exemples montrant que des mécanismes aveugles et non programmés ne peuvent rendre compte des bases de la biochimie.

Eliminée provisoirement par Darwin et ses successeurs, l'hypothèse selon laquelle la vie, comme toute technologie, serait le résultat d'une conception intelligente, est réintroduite. Il ne s'agit en aucune façon de soutenir un créationnisme naïf, l'auteur croit totalement en l'existence d'un ancêtre commun à tous les êtres vivants, et rejette l'idée de création séparée des différentes espèces. Il ne s'agit pas non plus d'une retour en arrière, puisque cette conclusion est fondée sur les résultats les plus récents des sciences de la vie, et non pas sur leur négation comme chez les créationnistes.

En développant ainsi la thèse que les systèmes de base de la vie n'ont pas pu être le résultat d'un processus aveugle, Behe a donné naissance au mouvement de l'Intelligent Design. Vendu a des centaines de milliers d'exemplaires, cet ouvrage a créé un débat qui n'est pas prêt de s'arrêter. Pour informer le public de façon complète, il sera publié en même temps que l'ouvrage de Kenneth Miller, A la recherche du Dieu de Darwin, qui défend avec force le darwinisme et montre comment celui-ci peut être compatible avec une vision religieuse du monde.

 

Michael Behe est biochimiste et professeur de biologie à l'Université Lehigh de Pennsylvanie. C'est le premier scientifique de ce niveau à avoir affirmé que les mécanismes de la biochimie dévoilés par la science moderne indiquaient que la vie était le résultat d'une conception intelligente, contribuant ainsi à créer le mouvement de l'Intelligent Design, dont il est la principale figure sicentifique.

Ed. de la Renaissance - 420 pages - prix : 22 €  . Parution prévue le 3 septembre.

 

06 août 2009

le Moyen Age s'installe rue Friant

 

La surprise est offerte à tout promeneur qui remonte la rue Friant vers la porte de Montrouge, lorsqu'il découvre « l'Echoppe médiévale », boutique modeste sans doute, mais qui recèle en son sein moult trésors insolites qui se rapportent tous à l'époque moyenâgeuse, dont nous avons tous perdu les traces visuelles.

Ici, nous faisons un bond en arrière de mille ans ! Dès l'entrée, nous sommes accueillis par une armure... une vraie ! et le local exigu regorge de blasons, d'étains, de tapisseries, de vêtements et de bijoux qui fascinent l'œil autant que l'esprit. La première surprise passée, vous êtes tenter d'échanger sur le champ vos habits contemporains pour ceux que portaient les preux chevaliers, les manants et les dames aux atours festonnés. Vous voilà, sans vous en rendre compte, portant déjà un heaume rutilant...Vous ne vous êtes aperçus de rien et cependant, vous avez changé de millénaire. Vous êtes dans une autre époque.

« L'échoppe médiévale » est au 10 de la rue Friant. Son téléphone (lui, est résolument contemporain) est : 01 45 49 12 71. ainsi que le site Internet : www.echoppemedievale.com

R.R

 

05 août 2009

Au FIAP Jean Monnet, une soirée samba !

Soirée Samba, jeudi 6 août 2009 à 20h30 au FIAP Jean Monnet

Concert live de musique brésilienne : jeudi 6 août 2009 à 20h30 dans le grand hall du FIAP

Venez nombreux danser sur des sons latino ! Le FIAP organise la soirée Samba de l’été !

Soirée « jeux géants » : Mardi 11 août, à 19h30 sur la terrasse ou dans le hall du FIAP Jean Monnet

Les jeux, c’est BIEN…en géant, c’est MIEUX !

Le FIAP vous invite donc à découvrir de nouveaux jeux géants en bois, pour les GRANDS, comme pour les plus petits…

FIAP Jean Monnet - 30 rue Cabanis - 75014 PARIS http://www.fiap.asso.fr/

 FIAP jean Monnet : 30 rue Cabanis - 75 014-

Cinéma en plein air au parc Montsouris les 7 et 15 aout 2009

Le festival « Au Clair de Lune », organisé par le Forum des images, propose des projections gratuites de films en plein air. Les 7 et 15 août, assistez aux projections des films « Ariane » et « Renaissance » au parc Montsouris.

Vendredi 7 août à 21h30 : « Ariane » de Billy Wilder
avec Audrey Hepburn, Gary Cooper États-Unis / fiction 1957

Fille d’un détective privé spécialisé dans les histoires d’adultère, la jeune Ariane s’éprend d’un quinquagénaire américain, Don Juan notoire, que son père a pris en filature… Cette comédie romantique et raffinée est sans doute, de toutes celles réalisées par Billy Wilder, celle qui rend le mieux hommage à son maître en cinéma : Ernst Lubitsch

Samedi 15 août à 21h30 : « Renaissance » de Christian Volckman France / animation 2006

Dans un Paris futuriste dominé par une multinationale de soins de rajeunissement, une brillante généticienne est enlevée. Le policier chargé de l’enquête se trouve plongé au coeur d’un complot… Nouveau fleuron de l’animation française, ce thriller d’anticipation haletant, au noir et blanc contrasté, conjugue avec brio les techniques de 3D et de capture de mouvements.

Parc Montsouris (entrée à l'angle des rues Nansouty et Reille). T3 et RER Cité Universitaire.

Forum des images Tél. 01 44 76 63 00

Du cirque à la Cité U jusqu'au 9 aout


C’est le cirque au Théâtre de la Cité Internationale avec « Autres pistes » de Kitsou Dubois. La chorégraphe réunit une belle troupe de circassiens pour une série de spectacles de haute voltige : aérien, mât, jonglage, acrobatie, clown !

Mât chinois, diabolo, équilibre, clown, main à main... Formes courtes présentées par la chorégraphe Kitsou DUBOIS dont le travail est marqué par ses recherches en apesanteur.
Un programme cirque qui se reconfigurera au fil de l’été avec des propositions changeantes, en plein air ou dans les salles, en fonction des artistes et de la météo.


Restauration conviviale de rigueur et billet couplé donnant accès à la piscine de la Cité internationale. Une façon de vivre l’été à la Cité. En partenariat avec Paris quartier d’été.

Sur présentation de leur billet pour « Autres pistes », les spectateurs bénéficient d’une entrée gratuite à la piscine et un accès aux terrains de tennis de la Cité Universitaire. De même, les spectateurs bénéficient gratuitement d’ateliers d’initiation aux arts du cirque en famille sur les pelouses de la Cité.

Théâtre de la Cité Internationale 17 boulevard Jourdan. RER ou T3 Cité Internationale.
Tarifs : 18 €, 14 € pour les seniors et habitants du 14e, 10 € pour les moins de 30 ans et 5 € pour les moins de 12 ans. Liens : Théâtre de la Cité Internationale http://www.forumsirius.net/orion/citei.phtml?kld=2

14:47 Publié dans Loisirs | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cité u |  Facebook | |  Imprimer |

04 août 2009

Tout l'été, les livres fleurissent dans les jardins

Jusqu' au 15 septembre, les bibliothèques municipales et les associations Lire à Paris, Lire et faire lire et Delidemo délivrent leurs histoires dans les squares et jardins publics. Autour d'installations confortables - tapis de sol, chariots remplis de livres et parasols - bibliothécaires et animateurs font découvrir aux petits et aux grands, histoires, contes, albums d'images... A écouter, lire ou feuilleter sans modération.

Cet événement estival propose des lectures aux enfants seuls ou accompagnés, aux adolescents et à leurs familles. Son objectif : faire partager le désir de lire et faire connaître les bibliothèques de quartier, où rappelons-le, l'inscription est gratuite pour tous !

Volet festif de cette « opération séduction », plusieurs interventions viennent ponctuer les séances de lectures : lecture spectacle par la coopérative De rue et de cirque, les fanfares des Beaux-Arts...

Pour tout savoir sur les lieux et horaires de ces interventions : 01 44 78 80 50

Bibliothèques et squares participant à l'opération dans notre quartier ou dans ses environs :

Italie et Glacière (13e) (juillet et août)

Jardin du Moulin de la pointe : Mardi 10h30/12h

J.-P. Melville (13e) (juillet et août)

Jardin du moulin de la pointe : Mardi 10h30/12h

Plaisance (14e) (juillet)

Square des Jonquilles : Mercredi et Vendredi 15h30/17h30

Gutenberg (15e) (juillet et août)

Parc André Citroën : Mercredi 15h30/16h30 - Vendredi 10h30/11h30

» www.bibliotheques.paris.fr

03 août 2009

Là-haut

Un film de Bob Peterson et de Pete Docter

De palpitantes péripéties autour du voyage, de l'aventure et de la découverte du monde. Ce film d'animation (en 3D) foisonne de passages aussi drôles, dramatiques que de passages où le regard porté sur la vieillesse se double d'une nostalgie que la jeunesse accompagne avec une naïveté et un naturel bienveillant. L'émotion et la sensibilité ne sont jamais absentes, tandis que le personnage du petit scout se dévoile en révélant des sentiments d'entraide, d'amitié et de compassion certains.

19145907_w434_h_q80.jpg

L'histoire montre un vieil homme, dont le rêve a toujours été d'entreprendre au temps de son mariage, un voyage avec sa femme, aux « Chutes du Paradis ». Mais du vivant de son épouse ce voyage n'a jamais pu se réaliser. Après son veuvage, il décide, face aux pressions faites par un promoteur immobilier, de partir et de réaliser enfin son rêve. Pour cela, il partira avec sa maison élevée dans les airs par des milliers de ballons ! Le décollage réussi, il constate qu'un passager clandestin s'est introduit dans sa maison en la personne d'une jeune scout animé par le souhait d'aider une personne âgée.

Les images de la maison qui s'envole, arrimée à une myriade de petits ballons, est un morceau d'anthologie. Le spectaculaire de l'animation se traduit par la recherche constante d'images plus époustouflantes les unes que les autres, et par un rythme qui ne faiblit à aucun moment. La troisième dimension ajoute à l'ensemble un réalisme peu commun et original. Une belle réussite.

R.R

02 août 2009

Seniors, rendez-vous à la Maison Ouverte cet été

Cet été, la Maison ouverte propose des stages d'entretien corporel ou de détente réservés aux seniors mais aussi des activités tous publics autour de la photo, du cinéma, de la peinture ou de l'écriture...des RDV gratuits sont également organisés.

http://www.lamaisonouverte.fr/ Centre social Maurice Noguès 5 avenue de la porte de Vanves 01 45 45 11 78

Pour en savoir plus, consultez la plaquette - 5.45 Mo

30 juillet 2009

Vacance(s)

S'il est un temps où le mot « vacance »  résonne d'une musique particulière, c'est bien cette époque charnière où l'année prend ses quartiers d'été . Eté partagé par une ligne d'horizon invisible mais sensible à tout un chacun,  où  l'atmosphère retient son souffle, où le ciel semble faire le point pour déterminer la direction à trouver, où les nuits et les jours s'accouplent  de façon équilibrée pour ralentir le cours du fleuve « Temps », pacifier ses berges, gommer ses aspérités, réduire ses fractures, apaiser ses sautes d'humeur, bref, trouver la bonne vitesse qui fera naître en chacun, une forme de quiétude, de sérénité propre à la méditation, à cette lévitation de l'esprit que tout être humain attend de façon inconsciente, mais qui in fine, crée un espace, une « fenêtre » intérieure, ouverte sur le monde de l'esprit, sur l'espace, la forme visible de l'infini.

Ne nous privons pas de ce temps régénérateur, fortifiant. Le calme en est le bain de jouvence ; le silence : la clé d'un chant d'azur ; la paix : la musique qui efface le grondement souterrain des passions. Ce temps qui nous est prêté est ce trésor inconnu, peut-être caché sous nos pieds, mais que nous ne savons pas découvrir par faute de ne savoir regarder que les fantasmes d'un avenir toujours lointain, fuyant, insaisissable. Savoir s'arrêter. Là, est la porte ouverte des vacances !

R.R

28 juillet 2009

L’Encyclique "Caritas in veritate"du Pape Benoît XVI

On peut lire et télécharger le texte de l'Encyclique du Pape Benoît XVI "Caritas in veritate"sur le site du Vatican : http://www.vatican.va/holy_father/benedict_xvi/encyclical...

On peut consulter et télécharger la présentation par le Cardinal André Vingt-Trois de cette Encyclique "Caritas in veritate" sur le site du diocèse de Paris : http://catholique-paris.cef.fr/

27 juillet 2009

Léopold Sedar Senghor

Léopold Sedar Senghor a résidé dans le 14e à la Cité Internationale Universitaire de 1931 à 1934 (la Fondation Deutsch de la Meurthe). et à ce titre, il convient de rappeler, pour nos lecteurs,   les différentes  étapes de son passage  dans notre  arrondissement.

senghor.jpgLéopold Sedar Senghor est né le 9 octobre 1906 à JOAL, pittoresque village de la Petite Côte au sud de Dakar (115 km). Un village surprenant avec ses vieilles maisons à étages, ses cocotiers, ses "tanns" (grandes étendues de terre séchée) et des montagnes de coquillages surmontées de baobabs centenaires.

Senghor est issu d’une famille de commerçants catholiques de l'ethnie sérère. Sa première idée est de devenir prêtre pour pouvoir "travailler à l'émancipation de sa race". A 20 ans, il entre au lycée de Dakar, puis prend le bateau pour Paris en 1928.

Seul, exilé, il prépare Normale Supérieure en khâgne à Louis-le-Grand. Il rencontre Georges Pompidou qui restera toujours son ami. Devenu le premier agrégé africain de grammaire, il enseigne le français. «Je déchirerai, écrit-il, le rire Banania sur tous les murs de France» A la même époque, il se lie avec Aimé Césaire et Léon Damas. Avec Aimé Césaire, il lance la revue «L’étudiant Noir». Il y ébauche ses premières définitions de «la négritude». "Objectivement, la négritude est un fait : une culture. C’est l’ensemble des valeurs économiques et politiques, intellectuelles et morales, artistiques et sociales non seulement des peuples d’Afrique Noire, mais aussi des minorités noires d’Amérique et d’Océanie».

Senghor devient Président de la République du Sénégal le 20 août 1960.

Président d’un Sénégal indépendant. Une véritable indépendance avec un Président et un Président du Conseil Mamadou Dia. Cette répartition des tâches n’a duré que jusqu’en décembre 1962. Une nouvelle constitution est déclarée et approuvée le 4 mars 1963. Au terme de 20 années à la tête du Sénégal, Senghor abandonne volontairement le pouvoir le 1er janvier 1981. Conformément à la constitution, c’est Abdou Diouf, le Premier Ministre, qui devient Président. Sept ans après, le 28 janvier 1988, Abdou Diouf est réélu au suffrage universel.

Léopold Sedar Senghor était un grand poète.

«Chants d’Ombre», «Ethiopiques», «Lettres d’hivernage" et beaucoup d’articles parus dans «Présence Africaine». Senghor, quant à la nature de l’être, se réfère explicitement à Teilhard de Chardin "tendre vers le plus être".

Extrait de «Chants d’Ombre» : …«Femme nue, femme noire, gazelle aux attaches célestes, les perles sont des étoiles sur la nuit de ta peau… A l’ombre de ta chevelure s’éclaire mon angoisse aux soleils prochains de tes yeux» …

«Des chants d’oiseaux montent lavés dans le ciel primitif»…

«L’odeur verte de l’herbe monte»….

«Ecoute le bruissement blanc et noir des cigognes à l’extrême de leurs voiles déployées»…

«Ecoute le message de l’Afrique lointaine et le chant de ton sang !»…

Il fut élu à l’Académie Française en 1984, à l’âge de 78 ans.

Léopold Sedar Senghor est mort le 20 décembre 2001 en Normandie où il s’était retiré. Il a été enterré le 29 décembre 2001 à Dakar.

Marie-Chantal Belin

«Œuvres poétiques» Coll. Essais - Ed. Point

«La revue Présence Africaine et Léopold Senghor» Ed. Présence Africaine

26 juillet 2009

Un guide pour le handicap

Vous recherchez un hôpital où l'on parle la langue des signes, où scolariser votre fils qui se déplace en fauteuil, vous ne voyez pas bien et aimeriez faire du foot quand même ? Consultez le guide du handicap publié par la mairie du 14e.
Il présente, handicap par handicap, les prestations et services dédiés aux personnes handicapées dans l'arrondissement ou à proximité.Vous pouvez vous le procurer à l'accueil de la Mairie du 14ème ou le télécharger.  Fichiers en téléchargement : Guide du handicap - 1.69 Mo

25 juillet 2009

La Bouquinerie Alésia annonce

 L’ALBA ( Association des Lecteurs de la Bouquinerie Alésia ) et la Bouquinerie Alésia organisent un concours de nouvelles à partir de l’incipit suivant :

« Nous avions tous attendu cet instant avec impatience »… A vous d’imaginer la suite…

Modalités du concours : 7 pages maximum (ex  Arial 12) – en 3 ou 4 exemplaire. Coordonnées personnelles sur une feuille séparée – Dépôt ou envoi limite des textes à la librairie le samedi 3 octobre 2009.

Pour tout renseignement complémentaire, on doit s’adresser à la Bouquinerie Alésia : 17 rue Alphonse Daudet 75 014 Paris Tél/fax 01 45 40 74 46. Courriel : bouquineriealesia@free.fr

24 juillet 2009

Les espaces de solidarité, points d’eau … les plus proches ouverts cet été

L'été est une période très difficile pour les personnes en difficulté et les sans-abri ; les associations bénévoles cessent souvent leurs activités durant l'été et il est beaucoup plus difficile de trouver une aide alimentaire, des soins ....il s'y ajoute le besoin vital d'accès à l'eau et des sanitaires.

« Les sans abri meurent davantage l'été que l'hiver. Ce constat, fait par le collectif "Les morts de la rue" , a été pris en compte par la Ville de Paris. En juillet et en août, les personnes les plus démunies souffrent de la chaleur, avec des risques de déshydratation, et plusieurs associations caritatives ferment leurs portes. Paris poursuit ainsi sa mobilisation pour les plus fragiles durant cette période délicate. La Ville de Paris consacre ainsi 5,5 millions d'euros à l'aide alimentaire, a rappelé Olga Trostiansky, adjointe chargée de la solidarité, de la famille et de la lutte contre l'exclusion, lors d'une présentation du dispostif estival de la Ville. "Mais l'aide alimentaire est une responsabilité de l'Etat", insiste Olga Trostiansky, estimant que "l'Etat ne prend pas ses responsabilités" sur ce sujet »

Durant l'été, la Ville de Paris poursuit son aide aux sans abri et aux populations les plus défavorisées. Distribution de repas, accès à l'eau, maraudes...

953 points d'eau

L'accès à l'eau reste également une priorité. Paris dispose ainsi d'un réseau de fontaines publiques une quinzaine de bains-douches gratuits, et Eau de Paris, le service public parisien de l'eau, distribuent cet été plusieurs centaines de jerricanes aux associations qui assurent les maraudes auprès des SDF. En cas de canicule, 20 citernes de 650 litres sont mobilisables dans la journée pour assurer une distribution d'eau ponctuelle. Au total, ce sont 953 points d'eau potable accessibles dans la capitale. Les nouvelles sanisettes disposent aussi d'une fontaine extérieure.

» Aide alimentaire, eau...: toutes les adresses et dispositifs

Pour tout renseignement complémentaire  on peut consulter le site de la mairie de Paris: http://www.paris.fr/portail/Solidarites/Portal.lut?page_i... et pour une liste des lieux les plus proches de notre quartier, lire la suite :.

Lire la suite

23 juillet 2009

SANS ABRI : QUI FAIT QUOI ?

sans abri.jpgLa mairie du 14e publie un dépliant pour tout savoir des lieux d'accueil ou d'hébergement et des services d'urgence destinés aux personnes sans abri.

A qui s'adresser ? Où dormir ? Où prendre un repas chaud ? Où faire sa lessive ? Comment se soigner ? La mairie du 14e publie un dépliant pour tout savoir des lieux d'hébergement et des services destinés aux personnes sans abri. Le document est destiné aux personnes sans abri et aux personnes les côtoyant.
Téléchargez le document ou lire la suite

Attention, beaucoup de ces lieux sont fermés pendant l'été ! Pour les renseignements sur l'été voir l'article suivant « Les espaces de solidarité ouverts pendant l'été 2009 ».

Lire la suite

21 juillet 2009

Ciné-ma différence : un bilan et un nouveau local dans le 14ème

Récompensés !

Ciné-ma différence fait partie des cinq lauréats du Prix Familles au coeur décerné par la Fondation Ronald McDonald. Le thème du Prix 2009 était « Parents, enfants et temps libres ». Ce thème sera développé à l'occasion d'un colloque organisé par la Fondation à l'automne
2009, et auquel Ciné-ma différence participera.

Première à Poitiers
Plus de cent personnes, dont la moitié en situation de handicap, jeunes et moins jeunes, se sont retrouvées dimanche 5 avril après-midi au cinéma Le Dietrich à Poitiers pour la première séance Cinéma différence dans cette ville, à l'initiative de l'association ALEPA, avecle soutien de la Fondation MAAF.

Assurances.

Nouvel outil en images Le film de présentation de Ciné-ma différence, réalisé par Jonathan Broda, grâce au soutien de la Fondation Orange, est achevé. D'une durée de 9 minutes, ce film destiné aux familles et à nos partenaires actuels et futurs (associations, cinémas, collectivités locales) montre ce qu'est une séance Cinéma différence, ce qui s'y passe, ainsi que l'arrière plan organisationnel de notre action.

Dans nos meubles

Un bureau, voilà ce qui nous manquait pour travailler dans de meilleures conditions : nous en avons un désormais, inauguré le 2 juillet en présence de partenaires et amis. Accessible après un seuil de 7 cm, ce petit local est situé au rez-de-chaussée du 7 rue Desprez dans le 14ème arrondissement de Paris (métro Pernety), lieu de naissance de Ciné-ma différence. Vous pouvez nous y écrire et nous y rendre visite sur rendez-vous, en téléphonant au 01 71 20 22 64. Ciné-ma différence a obtenu sa reconnaissance en tant qu'oeuvre d'intérêt général. C'est important car cette reconnaissance nous autorise à délivrer des reçus fiscaux permettant à nos donateurs de bénéficier d'une réduction d'impôts de 66% du montant de leur don.
A la radio et dans la presse ou à lire ou écouter sur notre site Internet :

  • Reportage sur la Première à Poitiers dans La Nouvelle République, le 8 avril 2009 ;
  • Article de l'Agence de presse Reporters d'espoir, le 11 mai 2009 ;
  • Chronique Une vie, des idées, diffusée sur France Info, le 17 juin 2009 ;
  • Interview dans Ca va mieux en le disant, sur RCF (Radios chrétiennes francophones) les 8 et 9 juin 2009 ;
  • Interview dans La Matinale de Radio-Alpes 1, le 18 juin 2009.

Passez de très bonnes vacances et, dès septembre, retrouvez nos séances sur www.cinemadifference.com

20 juillet 2009

L'homme sur la lune


Le 20 juillet 1969,  l'homme posait ses pieds sur la Lune !  « Un grand pas pour l'humanité », disait-on alors. Quarante ans après cet exploit, que doit-on en penser ? Sans doute les retombées technologiques pour l'humanité ont été positives par les diverses applications qui ont suivi et qui ont modifié notre vie quotidienne. Mais qu'en est-il de la vie sur notre vieille Terre, pour ses habitants et l'environnement en général ? Avons-nous progressé dans la disparition de la malnutrition, des maladies endémiques qui ravagent des populations entières,  des dégâts irréversibles faits à l'encontre des espèces végétales et animales, du bouleversement climatique qui dans les décennies toutes proches modifieront profondément les conditions de vie de populations et seront sans aucun doute à l'origine de l'exode massif de celles-ci. Ne parlons pas de la crise économique, liée à la globalisation des échanges et à la mondialisation des flux financiers qui ont ravagé un fragile équilibre parmi les nations développées, tandis que les nations « pauvres » en subissaient le contre coup. Qu'avons-nous fait pour enrayer la violence - dans les cités de nos mégalopoles, lorsqu'une jeunesse sans repères n'a pour tout horizon que la révolte sans objet, et le chômage pour avenir ? Quant aux divers extrémismes religieux ou politiques, il empuantent l'atmosphère... Alors, l'homme sur la Lune ? Un progrès ou une simple anecdote technologique ?  N'y a-t-il pas d'autres urgences pour la survie de l'humanité sur cette Terre, d'autres préoccupations  d'ordre moral et éthique, qui par une lente et persévérante volonté des élites responsables, et de l'affirmation d'une gouvernance planétaire, pourraient « enfin » donner à notre Terre, notre "village" commun, l'assurance que la paix, la justice et l'amour soient définitivement vainqueurs ? Un pas sur la Lune, oui, mais plusieurs seront encore nécessaires pour sauver l'avenir de la Terre.

R.R

 

Filippo et Filippino Lippi : la Renaissance à Prato, exposition au musée du Luxembourg jusqu’au 2 août 2009

 L'exposition rassemble une soixantaine de tableaux et sculptures du XIVe au XVIe siècle, encore jamais présentés en France (et pour certaines oeuvres jamais sorties d'Italie), provenant en partie du musée municipal de Prato, situé dans le Palazzo Pretorio et fermé pour cause de travaux, ainsi que d'autres institutions de la région. (Située en Toscane, à 15km au nord de Florence, la ville de Prato a connu un essor économique considérable du milieu du XIVe au début du XVe siècle, avant de tomber, conquise par les troupes des Médicis, sous la domination de sa rivale Florence.)

annonciation.jpgLippi, Filippo (Florence, c.1406 ? Spolète, 1469) et son fils Filippino (Prato, c.1457? Florence, 1504), figurent parmi les artistes les plus respectés à Prato au XVe siècle. Chapelain du couvent de sainte Marguerite de Prato, Filippo mène une vie pourtant particulièrement dissolue que seul le patronage de son mécène Côme de Médicis met à l'abri de la justice florentine. En effet, Filippino est né de l'union de Filippo avec une religieuse, Lucrezia Buti; tous deux furent libérés de leurs vœux par le Pape Pie II grâce à l'intercession de Côme de Médicis.

(Donatello, autel) sculpture_donatello_autel.jpgCette exposition permet d'apprécier l'influence des Lippi dans l'avènement d'un style novateur, la Maniera, développée avec leurs plus proches collaborateurs (Fra Diamante et Domenico di Zanobi), puis relayée par leurs suiveurs (Tommaso di Piero dit Il Trombetto, Luca Signorelli, Zanobi Poggini, Raffaellino del Garbo, entre autres).

 Je vous conseille vivement la visite :

Cette exposition, de dimensions réduites, offre des œuvres absolument magnifiques que l'on peut voir et revoir avec autant de plaisir, cela permet de s'attarder sur une vierge, un détail....

Et, comme le moine Filippo Lippi, le visiteur est séduit par cette ravissante Lucrezia, aux traits si fins et purs, qui incarne aussi bien la Vierge que sainte Marguerite !

Certaines œuvres commencées par Filippo et ses collaborateurs et terminées par le fils Filipinno sont particulièrement marquantes : « La Vierge à la ceinture » et  une splendide Nativité , « l'Annonciation » ....

Ici l'art religieux est très « humain » : l'œil est flatté par l'élégance des proportions, la magnifique composition des scènes, la beauté des couleurs, des drapés...On peut admirer aussi des Vierges à l'enfant sculptées.

En effet, sont exposées des œuvres d'autres artistes contemporains des Lippi et le rôle prépondérant des sculpteurs y est également mis en lumière dans une section consacrée aux autels de dévotion privée.

Ce musée est tout proche de notre quartier ce qui donne l'occasion aux visiteurs qui viennent du 14ème de faire une très jolie promenade !

Musée du Luxembourg, 19, rue de Vaugirard, 75006 Paris - M°Saint Sulpice, Odéon, Rennes - RER B Luxembourg - Bus 58, 84, 89 -Ouvert tous les jours. Lundi et vendredi de 10h30 à 22h - mardi, mercredi, jeudi, samedi de 10h30 à 19h - dimanche de 9h30 à 19h
Plein tarif 11 € - Tarif réduit 9 € - Gratuit pour les moins de 10 ans

Pour plus de renseignements vous pouvez consulter les sites suivants : http://www.museeduluxembourg.fr/

http://www.artscape.fr/exposition-filippo-filippino-lippi...

19 juillet 2009

Un ciel, un monde : 100 cerfs-volants exposés à la bibliothèque Forney jusqu’au 1er août 2009

expo de cerfs volants bibliothèque Forney affiche.jpgApparu en Asie du sud-Est avant de survoler aujourd'hui tous les continents, le cerf-volant reste pourtant encore largement méconnu du grand public. Symbole de liberté, de paix et de rêve, le cerf-volant est une invitation au voyage qui nous transporte de la Corée au Japon en passant par la Chine, l'Indonésie, la Malaisie, le Guatemala, la Grèce... Un voyage à découvrir du 12 mai au 1er août à la bibliothèque Forney.

expo cerf volants à la bibliothèque forney.jpg

Gérard Clément : collectionneur et commissaire de l'exposition
Vice-président de la fédération internationale de cerf-volant et organisateur des Rencontres Internationales de Berk-sur-mer, Gérard Clément possède une collection rare de plus de 500 pièces et de nombreux documents originaux, constituée depuis plus de 20 ans. Il est le chef d'orchestre de la Maison du cerf-volant à Paris et transmet sa passion en organisant des ateliers didactiques tout en faisant circuler son exposition en France et en Europe. Il est l'auteur de plusieurs ouvrages sur le sujet et du catalogue qui paraîtra à l'occasion de cette exposition.

Alors, prêts pour le décollage ? Une exposition haute en couleurs et susceptible de plaire beaucoup aux enfants.

Bibliothèque Forney 1, rue du figuier, Paris 4e - Du mardi au samedi de 13h à 19h Entrée : 4 euros / 2 euros (tarif réduit).

17 juillet 2009

l'Entrepot en été

Cet été au cinéma (...)
Programme "spécial été" : rétrospective Alexandre Jodorovsky du mercredi 8 au mardi 28 juillet.
Tout l'été, programmation jeune public.
Et bien sûr la programmation hebdomadaire avec plus de 15 films par semaine.

Cet été à la Galerie (...)
Exposition "Salon d'été" du mercredi 15 juillet au dimanche 13 septembre. Une sélection d'oeuvres d'artistes ayant déjà exposé à la Galerie de l'entrepôt, gravures, peintures et sculptures.

Avant-goût des programmes de la rentrée (...)
Conférences
Lectures et Spectacles vivants
Expositions
Musique
Cinéma

Programmes, horaires, tarifs, agenda culturel (...)
Rendez-vous sur www.lentrepot.fr pour découvrir notre programme en détail, les horaires et les tarifs de nos spectacles.
Le nouveau site www.lentrepot.fr vous permet de donner votre avis sur les spectacles, de participer à la programmation du cinéma, de créer votre agenda culturel... Il suffit de vous rendre sur "mon espace culturel".
Si vous avez oublié votre mot de passe pour accéder à votre compte lentrepot.fr, cliquez ici.

Location d'espaces (...) et Bar, Restaurant, Jardin (...)
Pour vos événements d'entreprise, d'association ou privés, n'hésitez pas à vous renseigner sur nos locations de salles.
Tous les jours pour déjeuner, dîner ou simplement prendre un verre, profiter d'un lieu unique et magique.

Pendant l'été l'entrepôt vous accueille
L'entrepôt (Cinéma, Galerie, Bar, Jardin) est ouvert tout l'été sauf du samedi 8 août au soir après les séances au dimanche 16 août à 13h40.
Le restaurant est fermé du samedi 8 août au soir au lundi 24 août pour le dîner.


Vous désirez vous désabonner ? Cliquer ici lentrepot.fr © 2009

09:59 Publié dans Loisirs | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : l'entrepot |  Facebook | |  Imprimer |

 

Web Statistics Clicky