16 juillet 2011
Une séparation, un film de Asghar Farhadi
Nous sommes en Iran. Un couple est en instance de divorce. La femme quitte le domicile conjugal. Le mari doit s'occuper de son père atteint de la maladie d'Alzheimer; il embauche à cet effet une aide-soignante, enceinte de quatre mois. Celle-ci fera une fausse couche suite à un accident survenue dans la rue et qu'elle essaiera de camoufler à son mari. A partir de là, la situation dégénère : la violence, les mensonges, l'appât de l'argent, les rivalités entre classes sociales se croisent.
Les familles s'entredéchirent dans un climat délétère où surgit la lutte pour survivre à tout prix, alors que la menace de la prison pour le mari de l'aide-soignante, criblé de dettes, se fait de plus en plus forte. Les scènes où la violence conjugale éclate sont particulièrement réalistes.
Ce film montre avec brio, mais aussi avec force, finesse et une certaine pudeur dans l'évocation des sentiments, l'état d'une société où une évolution vers plus de liberté et d'autonomie perce à demi-jour, alors que les archaïsmes moraux et sociaux, la rigidité du fait religieux, et le machisme omniprésent restent toujours aussi oppressifs.
Nous sommes au coeur d'une société qui aspire à se transformer. Une plus grande liberté reconnue pour chacun, où le ressentiment social aurait disparu, où l'égalité entre les sexes serait un fait reconnu, où la justice serait rendue au nom de la loi, dénominateur commun régissant les rapports humains.
Utopie ? Le film ne donne pas la solution, mais il nous permet d'y réfléchir longtemps après. R.R
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30 juin 2011
L'Entrepôt en juillet
Cinéma ouvert tout l'été, encore un mois de concerts, expositions, restaurant et jardin....Exposition Mayaura, Festival Noches Pichantes et Festival l'île aux films
Jusqu'au jeudi 7 juillet Mayaura - Exposition Huiles sur bois
Mayaura Malvy-Mills est née en 1954 à Hirson en France. De 1975 à 1980, elle étudie avec Henri Goetz et aux Beaux-arts de Paris. En 1981, elle s’installe en Inde du sud à Auroville ( cité utopique internationale). Depuis 2004, elle vit et travaille à Paris. Elle expose dans le monde entier, notamment en Inde, en Europe et aux Etats-Unis.
Festival "l'île aux films" du 13 au 19 juillet : spécial jeune public
un rendez vous avec des projections, des animations , des ateliers, des rencontres et des surprises
L'entrepôt 7/9 rue Francis de Pressenssé 75014
13:55 Publié dans Art et artisanat, Film, Loisirs, Musique/Chanson | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | Imprimer |
20 juin 2011
Ciné Jeunes Débat, gratuit pour les moins de 25 ans, autour du film « Omar m'a tuer » 22 juin à 19h
Dans le cadre du Ciné Jeunes Débat, le Conseil de la jeunesse présente, en collaboration avec le Conseil de la jeunesse du 15e, le mercredi 22 juin, 19h, la projection du film « Omar m'a tuer » de Roschdy Zem, qui sera suivie d'un débat.
Gratuit pour les moins de 25 ans ! Inscription par mail : conseil.jeunesse14@paris.fr
Cinéma Gaumont Parnasse 3 rue d'Odessa M° Montparnasse Bienvenüe
17:07 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ciné jeunes débat, omar, paris 14e, 75014, lavoixdu14e | Facebook | | Imprimer |
14 juin 2011
« KES » de Ken Loach (1969), « Ciné Regard », mercredi 15 juin 2011 à 20 heures
Autour du thème « Rencontre avec un enfant » (cliquez sur la photo pour agrandir)
Ciné-club pour jeunes adultes 18 - 30 ans ouvert à tous, au cinéma l’Entrepôt à 20h, 3 €, 7/9 rue Francis de Pressensé, 75014 Paris, Métro Pernety)
A 19 heures au Temple, 95 rue de l'Ouest, pour ceux qui veulent dîner avant le film!
La projection du film est suivie d’un débat à 50m, 95 rue de l’Ouest
Église Réformée de Paris – Plaisance, tel 01 45 04 11 42
C'est la dernière séance de cette année scolaire 2010-2011 du ciné-club pour jeunes adultes 18 - 30 ans organisé sous l’égide de Pro-Fil (Protestants Filmophiles). Cette année s'est déroulée autour du thème " Les rencontres qui transforment "
18:09 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ken loach, kes, paris 14, 75014, l'entrepôt | Facebook | | Imprimer |
11 juin 2011
« Taking off » de Milos Forman à la séance du Ciné-quartier Mouton-Duvernet, mardi 14 juin 19h30, au cinéma Le Denfert
Pour sa séance de juin, le ciné-quartier du conseil de quartier Mouton-Duvernet vous propose "Taking off, le premier film américain de Milos Forman, qui a reçu le grand prix du festival de Cannes 1971.
« Jeannie, 15 ans, passionnée de musique, a quitté le domicile familial pour s'installer avec un chanteur hippie . Partis à sa recherche, ses parents s'inscrivent dans une association pour parents d'enfants fugitifs où, afin de les amener à comprendre le comportement des adolescents, on les initie à la drogue. »
« Ce film, caractéristique d’une époque touchée par les éphémères promesses du Flower Power, est une satire sociale qui souligne le fossé culturel qui sépare les parents de leurs enfants hippies... » « On a eu l’idée, Jean-Claude Carrière et moi, de faire un film sur les hippies américains. On avait loué une petite maison à trois et on écoutait les histoires autour de nous sur les hippies. Puis on est allé les observer mais on les a trouvés terriblement ennuyeux. Ils ne faisaient que fumer, dormir et mendier à longueur de temps. En fait le véritable drame se jouait chez les parents de ces enfants fugueurs. On a donc décidé de faire un film sur eux. » (Milos Forman)
Cette séance, ouverte à tous, a lieu le mardi 14 juin à partir de 19h30 au cinéma Le Denfert (24, place Denfert Rochereau). Le prix d'entrée est de 4 euros, le film est suivi d'un débat.
Pour être informé(e) régulièrement des séances mensuelles, vous pouvez vous inscrire à l'adresse : conseil_mouton.duvernet@yahoo.fr
14:41 Publié dans Conseil de quartier, Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : taking off, milos forman, jean-claude carriere, denfert, paris 14e, 75014, lavoixdu14e | Facebook | | Imprimer |
03 juin 2011
Midnight in Paris, film de Woody Allen
Film de Woody Allen avec Owen Wilson, Rachel Mc Adams, Marion Cotillard et Carla Bruni
Dans ce film où il a choisi de célébrer avec ferveur le Paris qu’il aime, le cinéaste commence par nous faire faire un parcours un peu obligé des sites les plus touristiques de la capitale, qu’il retrouve comme de vieux amis fidèles et immuables. Mais il nous entraine rapidement dans le Paris mythique qu’il porte au cœur : celui de l’avant-guerre, qui attirait à lui comme un aimant grands écrivains américains, peintres, cinéastes et intellectuels.
C’est à minuit que la réalité bascule pour le héros du film, jeune américain enthousiaste, en voyage à Paris avec sa fiancée et ses très riches futurs beaux-parents. Quelque peu englué dans cette famille très prosaïque et autoritaire, il s’en évade la nuit pour une plongée dans un passé culturel prestigieux dont il voudrait revivre la fièvre créatrice. Nous partageons ses émerveillements et ses perplexités lors de ses rencontres cocasses avec de célèbres auteurs et artistes à la vie tumultueuse, et leurs belles égéries ; nous sommes éblouis par de somptueuses fêtes nocturnes.
Ce versant très poétique du film n’empêche pas la verve comique de Woody Allen de se donner libre cours dans les scènes de jour avec la famille américaine obnubilée par sa supériorité financière, qui visite Paris sans le voir. Et le dénouement attendu se produit dans le registre résolument jeune et joyeux qui est celui de ce film.
Isabelle Constans
22:01 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : woody allen, marion cotillard, carla bruni, owen wilson, picasso | Facebook | | Imprimer |
31 mai 2011
l'Entrepôt - 1ère quinzaine de juin
Programme de la première quinzaine de juin 2011 à l' Entrepôt
7/9 rue Francis de Pressensé 75014- Tel : 01 45 40 07 50
M°Pernety
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21 mai 2011
« Le Soupirant » film de Pierre Etaix à la séance du Ciné-quartier Mouton- Duvernet : mardi 24 mai 19h 30 au cinéma le Denfert.
Film en noir et blanc de Pierre Etaix (France, 1962). « Pour faire plaisir à ses parents, un jeune homme rêveur, Pierre, décide de chercher une femme. Inadapté à la vie moderne, il va de désillusions en désillusions, trouvant finalement et par hasard son bonheur auprès d'Elge, une jeune fille au pair. »
Une comédie burlesque pleine de fantaisie, de poésie tout à fois drôle, émouvante et parfois amère Le personnage principal incarné par Pierre Etaix est un jeune homme au caractère rêveur, « lunaire» complètement en décalage avec son environnement. Ce sont ses rêves totalement délirants auxquels nous assistons avec bonheur et émotion :« Son imagination transforme les pots de fleurs et les plumeaux avec lesquels il s'entraîne à valser en de ravissantes cavalières.... »
L'évocation de la France des années 60 avec sa mode, son décor et de la vie de la bourgeoisie provinciale ajoute une autre magie pour les spectateurs, (un peu mélancolique pour ceux qui sont plus âgés et qui ont vécu ces années...) En effet, on ne peut projeter en salle les films de Pierre Etaix que depuis 2010 et les revoir près de 50 ans après, provoque une émotion supplémentaire. Il y a peu de dialogues mais une bande-son très riche qui ponctue le récit avec beaucoup d'humour.
06:00 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pierre etaix, le soupirant, paris 14e, ciné club | Facebook | | Imprimer |
17 mai 2011
Cine-ma Différence présente
Dimanche 22 mai, à 11 heures, au cinéma Majestic-Passy - 18 rue de Passy, Paris 16ème (Métro Passy)
La Fille du puisatier, d'après Marcel Pagnol
film de Daniel Auteuil, avec Daniel Auteuil, Kad Merad et Sabine Azema - durée 1 h 40 - Tarif unique 4 €
Personnes en fauteuil ne pouvant se transférer : 06 24 78 57 25
Ciné-ma différence : des séances de cinéma OUVERTES A TOUS offrant un accueil privilégié pour des personnes en situation de handicap, souvent exclues des loisirs culturels. Accueil par des bénévoles. Son abaissé. Noir progressif. Pas de publicité, pas de bandes-annonces, pas de stress!
Séances, infos et programmes : www.cinemadifference.com
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12 mai 2011
Qui a envie d'être aimé ? Film d’Anne Giafferi, tout à la fois profond et léger.
La Voix a beaucoup trop tardé à vous parler de ce très beau film sorti en février. On ne peut plus le voir que dans le cinéma Chaplin (ex Saint Lambert ) 6 rue Péclet 75015 jeudi 12 mai et lundi 16 mai à 14h30.
Ce film est d'abord très original par son sujet : la redécouverte de la foi chrétienne par un homme dont la vie semble comblée. La réalisatrice, Anne Giafferi, choisit d'aborder ce sujet sérieux et profond sur un ton léger, une comédie et c'est la conjonction des deux qui en fait une oeuvre rare dans un style moderne et pudique.
En fait, Anne Giafferi raconte l'itinéraire spirituel de son mari, Thierry Bizot, auteur de « Catholique anonyme » . Elle se place en observatrice et choisit d'évoquer l’évolution de cet homme qui ouvre son regard sur la foi, son rapport à Dieu au travers de sa vie familiale.
Cette aventure commence avec le fils, adolescent tourmenté et secret auquel Antoine n'ose pas parler ni exprimer son affection. Le professeur principal a convoqué les parents et, pour une fois, c'est Antoine qui va se rendre au rendez-vous. Cette rencontre s'est très bien passée mais, peu après, une invitation à une réunion de catéchèse est envoyée. Antoine n'ose pas esquiver : il s'y rend et il tombe sur une assemblée qui lui semble étrange, « ringarde » dans une arrière-salle miteuse où on pose une question impudique et déplacée « Qui a envie d'être aimé? » Et pourtant, Antoine, qui est avocat, a une épouse médecin, et évolue dans un milieu socio-culturel brillant va rester et retouner régulièrement à ces réunions.
09:41 Publié dans 7- Chrétiens dans le 14e, Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : foi, anne giafferi, foi chrétienne, lavoixdu14e.info, eric caravaca, arly jover, bible | Facebook | | Imprimer |
09 mai 2011
LA FILLE DU PUISATIER 2011 (II)
Contrairement au "Masque et la plume", nos critiques ont aimé la nouvelle version de "La fille du puisatier" de Daniel Auteuil. Voilà l'avis de Marie-Josée Carita:
La fille de Marcel Pagnol a autorisé Daniel Auteuil à tourner le film tiré du roman de son père. Elle a bien fait. Le film d’Auteuil est tout sauf fade. Lui-même est énorme dans le rôle du puisatier, Amoretti.
Chacun des autres rôles est formidable avec un bémol pour Sabine Azéma qui semble se trouver là par erreur, au milieu de tous ces gens si bons .
La mode est toujours au rétro en France et de nombreux films de ces dix dernières années creusent le filon de l’identité française à travers les histoires d’autrefois. Dans cette nouvelle version cinématographique du roman de Pagnol, il y a quelque chose de plus: c’est la musique. Avec elle , le décor est planté. Dès que le jeune garçon prend en selle sur sa moto la belle fille du puisatier et que le paysage provençal déroule sa splendeur sous nos yeux, la musique s’éveille et nous emmène vers une belle histoire. C’est quand même aussi pour ça que nous allons au cinéma. Ici nous sommes comblés.
06:00 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : fille du puisatier, cinéma, plagnol, daniel auteuil | Facebook | | Imprimer |
03 mai 2011
Cine-ma Différence présente
Samedi 7 mai, à 11 heures
RANGO
de Gore Verbinski, en VF, durée 1 h 40, -Tarif unique : 4 €
au Cinéma L'entrepôt, 7 rue Francis de Pressensé, Paris 14ème (Métro Pernety)
06:12 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | Imprimer |
27 avril 2011
La fille du puisatier
Un film de Daniel Auteuil
Autre temps, autre regard porté sur une fille pauvre, séduite par Jacques, le jeune aviateur… Patricia porte l’enfant de cet amour défendu, dans la crainte et la douleur de l’abandon. La petite paysanne rejetée, rejoindra le refuge bienveillant de sa tante, tandis que son père se livrera à une lutte sans merci pour défendre ses prérogatives de grand-père, ceci dans l’unique but de faire respecter le nom de famille, son nom, car ici l’honneur passe par le respect des traditions familiales, fortement ancrées au sein du clan.
Mais l’enfant qui naîtra du déshonneur finira par réconcilier les parties. L’optimisme effacera les blessures et l’incompréhension entre les familles, celle du géniteur et celle de la jeune fille. Le soleil de la Provence allumera d’autres soleils, ceux de la tendresse retrouvée.
Daniel Auteuil porte la vérité du puisatier avec naturel et une force un peu bourrue. La jeune Astrid Bergès-Frisbey est simple et magnifiquement convaincante par l’émotion qu’elle nous fait partager. Sabine Azéma et Jean-Pierre Darroussin endossent leur rôle de boutiquiers embourgeoisés avec la raideur et la suffisance qu’il convient. Quant à Kad Merad, il ouvre son cœur et sa générosité avec une sincérité émouvante.
Marcel Pagnol apprécierait cette version revisitée soixante dix ans après celle créée avec Raimu, tandis que les dialogues ont été respectés à l’identique. Ce « remake » n’a pas pris une ride. Le mistral et les paysages d’une Provence éternelle nous font revivre cette histoire, avec la juste mesure d’un retour aux valeurs essentielles de la vie : l’amour partagé, retrouvé, et le pardon accordé. R.R
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19 avril 2011
True grit : la vengeance de Mattie
Le western n’est pas mort, il se repose. Bien sûr, l’époque de la profusion, celle où Raoul Walsh, Anthony Mann et John Ford alignaient négligemment les chefs d’œuvre, semble révolue. Rares sont aujourd’hui les cinéastes ayant la témérité de s’aventurer sur un territoire peuplé d’aussi prestigieux fantômes.
Les frères Coen relèvent le défi, empruntant la voie du remake, plus dangereuse qu’il n’y paraît, car elle suscite d’inévitables comparaisons et des accusations de facilité. Cela dit, le film d’origine, connu en France sous le titre « Cent dollars pour un shérif », et qui valut en 1969, sous la direction de Henry Hathaway, son seul Oscar à John Wayne, s’inspirait déjà d’un roman de Charles Portis.
Du haut de ses quatorze ans, Mattie Ross n’a pas froid aux yeux, et elle est bien décidée à faire un sort au lâche contremaître, Tom Chaney, qui a assassiné son père, avant de rejoindre une bande de pillards en terre indienne. Pour mener ce projet à bien, elle fait appel aux services de Rooster Cogburn, un marshall hargneux, alcoolique et borgne, mais abondamment pourvu de « true grit », c’est-à-dire de vrai courage, pourrait-on dire en version édulcorée. Un certain LaBoeuf, Texas Ranger de son état, se joint à la poursuite.
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04 avril 2011
Les femmes du 6ème étage
Un film de Philippe Le Guay
C’est un film qui bouscule, qui met à bas tous les poncifs, il est animé par la bonne humeur, il ouvre les fenêtres et souffle sur la poussière de tous nos a priori. Fabrice Lucchini est merveilleux dans le rôle du personnage d’un agent de change « coincé » dans le fer des contraintes bourgeoises. Il découvre peu à peu la vraie vie de ces travailleuses de l’ombre au service des « grandes familles » . Par là-même il renaît dans la peau d’un autre homme fait de sang et de chair. Il retrouve sa respiration naturelle et lui-même, dans la spontanéité d’un être parfaitement libéré qui s’affranchit. Nous partageons sa liberté retrouvée et sommes sous le charme d’un personnage qui distille son humour avec la petite cuiller du sourire et de l’ironie. Ne négligeons pas la personne de sa femme, Sandrine Kiberlain qui elle aussi sans en être consciente, joue le rôle de la femme débordée par sa coiffeuse, les dîners en ville et les futilités d’une vie insouciante et superficielle. Elle aussi comprendra un peu plus tard que sa prison dorée l’empêche de découvrir la vraie personnalité de son mari. Déstabilisée, elle n’aura pour tout recours qu’un mépris exacerbé face au cours que prennent les événements. Quant aux différents archétypes proposés par ces « Femmes du 6ème » : bonnes espagnoles à tout faire et à tout accepter, Carmen Maura est convaincante par sa jeunesse, sa beauté juvénile, sa naïveté naturelle. Elle nous émeut par sa détresse, ses secrets, sa retenue, sa pudeur et son élégance… Ici, les sentiments reprennent toute leur importance lorsque la tendresse, l’amour, la compassion agissent pour transformer les hommes et les femmes et ainsi les rendre plus proches, c’est-à-dire plus fraternels, en définitive plus humains. Un film qui nous offre l’espérance de voir un jour les frontières s’abaisser, et permettre une réconciliation progressive de toutes les classes de la société par le regard nouveau porté sur l’autre. R.R
10:47 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (1) | Facebook | | Imprimer |
02 avril 2011
« L'homme sans passé" film d'Aki Kaurismäki au Ciné-quartier Mouton- Duvernet mardi 5 avril 19h30
Le Ciné-quartier du conseil de quartier Mouton-Duvernet propose mardi 5 avril, 19h30, au Cinéma le Denfert le film « L'homme sans passé" d'Aki Kaurismäki (avec Markku Peltola, Kati Outinen)
Le thème :En débarquant à Helsinki, un homme se fait voler et frapper à mort. Lorsqu'il reprend conscience, il a perdu la mémoire. Sans argent et sans identité, il est aidé par les SDF de la ville et des bénévoles...
C'est un film tout à la fois fort et touchant sur la reconstruction d'un homme grâce à la rencontre et à la solidarité de personnes souvent démunies, en marge de la société mais sans préjugés. Malgré un contexte assez sombre, cette aventure est pleine d'optimisme et de confiance en l'homme. Le ton n'est pas misérabiliste mais, au contraire, empreint d'humour.
L'image exprime avec justesse le message de l'auteur : terrains vagues aux lumières sombres, puis les couleurs du ciel éclairent l'horizon. Les personnages ont un premier abord ingrat. Mais leurs visages s'adoucissent au fur et à mesure du récit lorsque leurs personnalités se révèlent : alors, ils nous émeuvent et nous charment. Le jeu des acteurs est sobre et pourtant sensible.
Cette séance est ouverte à tous. Venez donc nombreux avec vos voisins et amis au Denfert ! Le prix d'entrée est de 4 euros, le film est suivi d'un débat. M.G.V.
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31 mars 2011
Kenna + Riboud:deux photographes magnifiques!
22:51 Publié dans Film, photo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : kenna, riboud, camera obscura, paris 14, lavoixdu14e | Facebook | | Imprimer |
27 mars 2011
Cine-ma Différence présente
Samedi 2 avril, à 11 heures
LES MOOMINS ET LA CHASSE A LA COMÈTE
de Maria Lindberg , en VF, durée 1 h 20
au Cinéma L'entrepôt - 7 rue Francis de Pressensé, Paris 14ème Métro Pernety Tarif unique : 4 €
Un film pour les petits (et pour les grands aussi...) adapté du premier roman de la série de l'auteur finlandaise Tove Johnson
Site : http://www.cinemadifference.com Courriel : contact@cinemadifference.com Tél. : 06 24 78 57 25
05:00 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cine ma difference, paris 14, lavoixdu14e, maria lindberg, l'entrepôt | Facebook | | Imprimer |
21 mars 2011
Loisirs pour les enfants mercredi 23 mars
Ateliers d'expériences scientifiques autour de l'électricité : Mercredi 23 mars, 14h30 à la bibliothèque Georges Brassens
Ateliers animés par l'association « Les Petits débrouillards » qui propose aux enfants de découvrir la science en s'amusant, par des défis, des énigmes et questions insolites que chacun peut résoudre par sa propre expérimentation.
Entrée libre sur inscription auprès des bibliothécaires. Tél. : 01 53 90 30 30. Bibliothèque Georges Brassens, 38 rue Gassendi.
Petites Z’Escapades (à partir de 3 ans) à 10h et 14 h (Suite du Cycle « l'écran animé »)
Programme de 6 courts-métrages à l' Entrepôt
Univers enchanté décliné en chansons (Jean de la lune, Meunier tu dors..), magie burlesque et dépaysante du Bout du monde, et Petites Z’Escapades, conte subtil et philosophique de Pierre-Luc Granjon.. : Mercredi 23 mars 10h et 14h
16:44 Publié dans Film, Loisirs | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pierre-luc granjon, l'entrepôt, paris 14e, lavoixdu14e, lavoixdu14e.info | Facebook | | Imprimer |
20 mars 2011
Les triplettes de Belleville à l'affiche du Ciné-quartier Mouton- Duvernet : Mardi 22 Mars 2011, 19h30 au cinéma Le Denfert.
Le Ciné-quartier organisé par le Conseil de quartier Mouton- Duvernet vous propose un film d’animation atypique réalisé en 2003 par Sylvain Chomet.
« L’idée qu’a eue madame Souza en offrant un vélo à son neveu va bien au-delà de ses espérances. L’entraînement, une alimentation adaptée et le Tour de France n’est pas loin … la « mafia française » non plus qui, repérant le futur champion cycliste, l’enlève.
Madame Souza et Bruno le chien partent aussitôt à sa recherche. Leur filature les conduit à Belleville, une immense cité abritant les fameuses triplettes, ces reines du swing à l’énergie débordante... »
Au cinéma Le Denfert 24, Place Denfert Rochereau, Prix : 4€. La séance, ouverte à tous, sera suivie d’un débat, venez avec vos voisins et vos amis !
Prochaines séances du Ciné Quartier les mardi 5 avril, 17 mai, 14 juin. Pour plus d’informations ou être informé(e) régulièrement des séances, vous pouvez écrire à l’adresse : conseil_mouton.duvernet@yahoo.fr
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17 mars 2011
Cine-ma Différence présente
Dimanche 20 mars 2011
Les Femmes du 6e étage, film de Philippe Le Guay
avec Fabrice Luchini et Sandrine Kiberlain, durée 1 h 30, à 11 heures
au cinéma Majestic-Passy - 18 rue de Passy, Paris 16ème (Métro Passy)
Tarif unique 4 €
Réservation pour les personnes en fauteuil ne pouvant se transférer : 06 24 78 57 25
Site : http://www.cinemadifference.com Courriel : contact@cinemadifference.com Tél. : 06 24 78 57 25
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03 mars 2011
Cine-ma Différence présente
Arrietty, le petit monde des chapardeurs de Hiromasa Yonebayashi , en VF, durée 1 h 30
Samedi 5 mars, à 11 heures au Cinéma L'entrepôt - 5-7 rue Francis de Pressensé, Paris 14ème (Métro Pernety), Tarif unique : 4 €
09:21 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cine-ma différence, l'entrepôt, lavoixdu14e, paris 14 | Facebook | | Imprimer |
01 mars 2011
La petite chambre
Un film de Stéphanie Chuat
Sur la ligne toujours tendue de l’émotion, nous assistons ici au chassé-croisé de la mort et de la vie. Michel Bouquet, vieil homme sur le déclin, se voit abandonner par son fils en partance pour les Etats-Unis. Une infirmière, qui elle-même a perdu un enfant à la naissance, s’attache peu à peu à ce vieil homme bourru, apparemment dénué de toute empathie à l’égard d’autrui. Mais le miracle va s’accomplir. Le vieil homme découvre inopinément le drame de l’infirmière Une forme de substitution dans les situations s’installe. L’infirmière prend soin du vieillard au même titre qu’elle aurait pris soin de son enfant s’il celui-ci avait vécu. Elle ira jusqu’à l’héberger chez elle au grand dam de son époux. Alors, le vieillard, à son tour, prendra conscience du désarroi de la jeune femme. Une intimité filiale s’installera. Puis, soudain, au cours d’une fugue hors de sa maison de retraite, le vieil homme attaché au souvenir de sa femme disparue il y a quarante ans, fera un pèlerinage en montagne, où il trouvera la mort. Son destin s’achève à travers la splendeur des sommets alpins. Et c’est avec émotion que nous assistons à la conclusion d’une vie. Images d’une puissance convaincante, car la mort du vieil homme se trouve ici comme sublimée par le grandiose des paysages qui peuvent nous inspirer l’idée d’une infinie plénitude.
Le personnage de l’infirmière, interprété par Florence Loiret-Caille est criant de vérité et de naturel, lorsque la fragilité de la jeune femme s’exprime par le désarroi et dans la douleur de chaque instant. La petite chambre est un film où l’humanité, la compassion, l’espérance dans la vie, mais aussi les affres de la mort toujours présente, s’entremêlent et laissent le spectateur à la merci de l’émotion la plus pure, la plus vraie, celle du cœur, partagée entre les générations, pour ne laisser en fin de compte que la victoire salvatrice de l’amour. La conclusion de ce film sensible, nous amène à redécouvrir un hymne à la joie, un hymne destiné à engendrer une nouvelle naissance à la vie. R.R
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24 février 2011
Le discours d'un roi: un film de Tom Hooper
Aujourd’hui l’image est reine, et nous avons INTERNET. Il y a plus de soixante dix ans, seule la « TSF », disons la Radio, était le seul pouvoir des médias sur les foules ; certes, la presse écrite était encore nombreuse en titres et diffusée abondamment. Il est évident que la prise de parole était pour les hommes de pouvoir, primordiale. Posséder une aisance en public a toujours été un atout, une force incontournable. La maîtrise de la voix, du discours force l’adhésion des foules. Et en politique, plus qu’ailleurs, les grands orateurs ont toujours raison, quel que soit le contenu des idées présentées.
Ce film montre par le détail, les conséquences négatives dues au défaut de maîtrise de la parole, à travers le personnage d’un des fils de Georges V, devenu roi d’Angleterre, à la veille de la Seconde Guerre Mondiale.
Nous assistons à la lutte journalière d’un homme intelligent certes, mais affaibli, diminué par un bégaiement paralysant. C’est avec l’appui bienveillant et amical d’un orthophoniste original, employant des méthodes peu académiques pour l’époque, que ce roi réussira à dominer son handicap, ses peurs et ses blocages face à l’expression orale.
La parole reconquise, Georges VI, pourra alors s’adresser à son peuple, à la veille de la guerre, pour lui indiquer la voie à suivre : celle des épreuves, du courage et du sacrifice demandés.
C’est un film émouvant, parce qu’il nous révèle sans artifice, les fragilités, les peurs, les inquiétudes de l’homme, face à sa destinée. Une leçon de courage à méditer, soutenue par la seule volonté de transformer une faiblesse en force. R.R.
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07 février 2011
« Les Emotifs anonymes » film de Jean-Pierre Améris
Une délicieuse comédie à aller voir sans tarder !
Angélique ( Isabelle Carré) est une chocolatière pleine d'inventivité mais elle perd ses moyens dès qu'elle se sait observée au point de s'évanouir. Elle est embauchée par Jean- René ( Benoît Poelvoorde) , patron d'une chocolaterie en déclin. Celui-ci cache son anxiété et sa timidité maladives sous une apparence sévère et des propos bourrus. Ils sont attirés immédiatement l'un par l'autre. Sauront-ils surmonter leur total manque de confiance en eux ?
Chacun, de son côté, cherche à surmonter ce handicap qui les paralyse : Jean- René se rend chez un « psy » qui lui donne des « excercices » pour se soigner, Angélique va partager ses difficultés avec un groupe de timides « Les Emotifs anonymes ». Cela permet une description pleine d'humour de personnages cocasses portés par d'excellents acteurs qui incarnent avec finesse ces seconds rôles savoureux.
Et puis il y a le couple irrésistible : Angélique -Isabelle Carré, la timide fée du chocolat, toute en légèreté, et Jean-Benoît Poelvoorde, le complexé, qui exprime son désarroi avec une variété de mimiques tout à la fois drôles et touchantes ... Les rendez-vous ratés, se terminant le plus souvent en fuite éperdue, sont hilarants. (cliquez sur les photos pour agrandir)
Bref, une délicieuse comédie à voir en famille ou avec des amis : tous sortiront euhoriques et prêts à déguster des chocolats por prolonger ce moment de bonne humeur !
M. Garrigue- Viney
10:00 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : isabelle carré, jean-pierre améris, jean-benoît poelvoorde, emotifs anonymes, la voix du 14e | Facebook | | Imprimer |
Laissez fusionner les métaux, tolérez les alchimies...
Expression tirée du poeme de Le Corbusier, l'Angle droit. Elle invite à préter attention aux rencontres qui marquent, qui transforment. Ecoutez, tolérez, cela crée des alchimies, dit le célèbre architecte suisse et protestant.
Cette expression sert de titre au cycle de cinéma organisé par l'église réformée de France, paroisse de Paris Plaisance. C'est une série de 9 films, en cours, toujours un vendredi à 20h. Les prochains sont:
Land of Plenty, vendredi 11 février, 20h
Harry, un ami qui vous veut du bien, vendredi 11 mars
Les égarés, vendredi 8 avril
La visite de la fanfare, vendredi 13 mai
Oasis, vendredi 10 juin
La projection a lieu à l'Entrepôt (7/9, rue Francis de Pressencé). Elle est suivie d'un débat à Paris Plaisance, (95, rue de L'Ouest), à 50m.
06:00 Publié dans 7- Chrétiens dans le 14e, Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : paris 14, la voix du 14el'entrepôt, paris plaisance, eglise réformée de france | Facebook | | Imprimer |
05 février 2011
"Umberto D" film de Vittorio De Sica
A l'affiche du Ciné-quatier Mouton- Duvernet, mardi 8 février, 19h30, au cinéma Le Denfert. Entrée ouverte à tous, 4€
Année de production : 1952- Ressorti en salles en 2005
Un grand film néo-réaliste sur la solitude d'un vieil homme pauvre
Umberto est un fonctionnaire retraité qui ne parvient plus à subvenir à ses besoins.Le réalisateur décrit sa vie au quotidien, au gré de ses rencontres. Vivant dans une pension minable, il a pour seul compagnon son chien Flike. Il occupe ses journées à trouver de quoi manger pour leur dîner...Petit à petit, il vend le peu qu'il possède mais l'argent obtenu ne suffit pas. Il continue son combat contre la misère qui le guette…
11:25 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ciné-club, vittorio de sica, le denfert | Facebook | | Imprimer |
01 février 2011
Ciné-ma différence
Dimanche 6 février 2011
RIEN A DÉCLARER, film de et avec Dany Boon, durée 1 h 45
à 11 heures, au cinéma Majestic-Passy - 18 rue de Passy, Paris 16ème (Métro Passy)
Tarif unique 4 €
Réservation pour les personnes en fauteuil ne pouvant se transférer : 06 24 78 57 25
à 14 heures 30
Première séance à Issy-les-Moulineaux (92)
au Ciné d'Issy - 11-13 rue Danton (Conservatoire de musique)
Issy-les-Moulineaux (Métro Mairie d'Issy / RER C Issy Val de Seine)
Salle accessible aux personnes en fauteuil, boucle magnétique
Informations : 01 41 23 86 55 ou thomas.courant@ville-issy.fr
Site : http://www.cinemadifference.com Courriel : contact@cinemadifference.com
Tél. : 06 24 78 57 25
05:00 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cine ma diference, film, dany boon, rien à declarer | Facebook | | Imprimer |
17 janvier 2011
Cine-ma Différence
DIMANCHE 23 JANVIER A 11H
au cinéma Majestic-Passy - 18 rue de Passy, Paris 16ème (Métro Passy)
UNE VIE DE CHAT
film de Alain Gagnol et Jean-Loup Felicioli- durée 1 h 10
Tarif unique 4 €
Réservation pour les personnes en fauteuil ne pouvant se transférer : 06 24 78 57 25
09:48 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | Imprimer |
15 janvier 2011
La Charge héroïque", western de John Ford, à l'affiche du Ciné-quartier Mouton -Duvernet, mardi 18 janvier
19h au cinéma Le Denfert - Séance ouverte à tous : entrée 4€ ( le film et le débat)
La Charge héroïque (She Wore a Yellow Ribbon, Etats-Unis, 1949). Durée : 1h43.
Réalisation : John Ford. Scénario : Frank S. Nugent et Laurence Stallings d’après une histoire de James Warner Bellah. Interprétation : John Wayne (Capt. Brittles), Joanne Dru (Olivia Dandridge), John Agar (Lt Cohill), Ben Johnson (Sgt Tyree), Harry Carrey Jr (Znd Lt Pennell), Victor McLaglen (Top Sgt Quincannon), Mildred Natwick (Abby Allshard), George O’Brien (Major Mac Allshard).
En 1876, après la défaite et la mort de Custer, dix mille Indiens commencent à se réunir pour marcher contre les Blancs. Le capitaine Nathan Brittles, à quelques jours de la retraite, effectue sa dernière patrouille. Ce sera un échec complet, car à cause de la femme et de la nièce du commandant du fort qu'il doit mener à la diligence, il ne pourra prendre le risque d'empêcher les Indiens de faire leur jonction, de s'approvisionner en fusils auprès d'un trafiquant d'armes et de massacrer des planteurs.
Mais, durant les dernières minutes de son commandement, Brittles effectue un raid audacieux contre le camp où se sont regroupés des milliers d'Indiens et il met en fuite leurs chevaux, évitant ainsi une guerre sanglante. Quand il croit quitter définitivement l'armée et la cavalerie, il est nommé chef des éclaireurs civils.
06:00 Publié dans Conseil de quartier, Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : charge héroïque, john ford, dendert rochereau, ciné-club, paris 14, la voix du 14e | Facebook | | Imprimer |